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Antérieurement en 2021
 

Le baron de l'écluse

Télévision : 7 mars 2021 à 13:35-15:15 sur France 3

Comédie

Le baron Jérôme Antoine, descendant d'un général d'Empire et héros de la Grande Guerre, vit à Deauville d'expédients et de ses relations avec quelques aristocrates fortunés. Son existence ne tient désormais qu'à un reste d'élégance et à son sens du bluff. Le marquis de Villamayor lui a demandé de vendre son superbe yacht. Jérôme revoit à cette occasion un amour de passage, Perle, entretenue par un milliardaire, le prince Sadokkan. Antoine provoque ce dernier aux cartes et se retrouve de fil en aiguille propriétaire du yacht et détenteur potentiel d'une fortune appréciable. Le nouveau riche entraîne Perle à bord du bateau, pour un périple sur les canaux de France en direction de Monte-Carlo. Une panne de carburant et des problèmes financiers imprévus contraignent toutefois le couple à faire escale au bord d'une écluse de Champagne...

Année : 1960

De : Jean Delannoy

Avec : Jean Gabin, Micheline Presle, Jean Desailly, Blanchette Brunoy, Jacques Castelot, Jean Constantin, Aimée Mortimer, Robert Dalban, Jacques Hilling, Alexandre Rignault, Dominique Boschero, Charles Bouillaud

Antérieurement en 2019
 

Le Baron de l'écluse (Digibook - Blu-ray + DVD + ...

DVD/Blu-ray : 6 octobre 2019

Editeur : Coin de Mire Cinéma

Année : 1960

De : Jean Delannoy

Avec : Jean Gabin, Micheline Presle, Jean Desailly, Blanchette Brunoy, Jacques Castelot, Jean Constantin, Aimée Mortimer, Robert Dalban

Antérieurement en 2018
 

Les quatre cents coups

Télévision : 3 mars 2018 à 17:00-18:25 sur La Chaîne Parlementaire

film : drame

Chronique d'une enfance blessée. Truffaut règle ses comptes avec les non-dits de son passé et parle à travers un double magique, Jean-Pierre Léaud, qui joue l'art de la fugue avec une virtuosité inégalée. Critique : Film de François Truffaut (France, 1959). Scénario : F. Truffaut et Marcel Moussy. Image : Henri Decaë. Musique : Jean Constantin. 100 mn. NB. Avec Jean-Pierre Léaud : Antoine Doinel. Claire Maurier : madame Doinel. Albert Rémy : monsieur Doinel. Guy Decomble : le prof. Patrick Auffay : René Bigey. Georges Flamant : monsieur Bigey. Le genre : classique indémodable. Se sentant mal aimé par sa mère et son père adoptif, et n'ayant aucun goût pour ses études, Antoine Doinel, 12 ans, cherche sa place dans le monde. Avec son ami René, il fait l'école buissonnière puis, de retour à l'école, ment en disant que sa mère est morte... Plus tard, il fugue à nouveau et, à la suite d'un vol, est placé dans un centre pour jeunes délinquants. « L'idée qui nous a inspirés tout au long de l'écriture, expliqua plus tard Truffaut, était d'esquisser une chronique de l'adolescence considérée non avec l'habituelle nostalgie attendrie mais, au contraire, comme un mauvais moment à passer. » Truffaut avouait par ailleurs le caractère autobiographique du film, qui adoucissait ce qu'il avait vécu avec son ami Robert Lachenay dans les années 1940. Aujourd'hui, Les Quatre Cents Coups ne frappent pas tant par leur liberté narrative que par l'incroyable justesse des personnages et des sentiments en jeu. La vérité du film tient aussi à la performance hallucinante du jeune Jean-Pierre Léaud, qui s'était présenté au casting en disant : « Il paraît que vous cherchez un mec qui soit gouailleur, alors je suis venu. » Les malheurs qui s'abattent sur lui, et la vigueur, adulte, avec laquelle il les encaisse, provoquent chez le spectateur une adhésion instantanée et une émotion profonde. L'intelligence de la mise en scène - l'écran large soulignant sans cesse la façon dont Doinel n'arrive pas à s'intégrer au monde - révélait par ailleurs un cinéaste promis à un grand avenir. Au coeur de son oeuvre, ce tout premier film garde une saveur particulière, un goût de liberté et de sincérité. Aurélien Ferenczi Suivi, à 22h30, du second volet de la saga Antoine Doinel : le court métrage Antoine et Colette.

Année : 1959

Antérieurement en 2018
 

Les quatre cents coups

Télévision : 25 février 2018 à 20:30-22:00 sur La Chaîne Parlementaire

film : drame

Chronique d'une enfance blessée. Truffaut règle ses comptes avec les non-dits de son passé et parle à travers un double magique, Jean-Pierre Léaud, qui joue l'art de la fugue avec une virtuosité inégalée. Critique : Film de François Truffaut (France, 1959). Scénario : F. Truffaut et Marcel Moussy. Image : Henri Decaë. Musique : Jean Constantin. 100 mn. NB. Avec Jean-Pierre Léaud : Antoine Doinel. Claire Maurier : madame Doinel. Albert Rémy : monsieur Doinel. Guy Decomble : le prof. Patrick Auffay : René Bigey. Georges Flamant : monsieur Bigey. Le genre : classique indémodable. Se sentant mal aimé par sa mère et son père adoptif, et n'ayant aucun goût pour ses études, Antoine Doinel, 12 ans, cherche sa place dans le monde. Avec son ami René, il fait l'école buissonnière puis, de retour à l'école, ment en disant que sa mère est morte... Plus tard, il fugue à nouveau et, à la suite d'un vol, est placé dans un centre pour jeunes délinquants. « L'idée qui nous a inspirés tout au long de l'écriture, expliqua plus tard Truffaut, était d'esquisser une chronique de l'adolescence considérée non avec l'habituelle nostalgie attendrie mais, au contraire, comme un mauvais moment à passer. » Truffaut avouait par ailleurs le caractère autobiographique du film, qui adoucissait ce qu'il avait vécu avec son ami Robert Lachenay dans les années 1940. Aujourd'hui, Les Quatre Cents Coups ne frappent pas tant par leur liberté narrative que par l'incroyable justesse des personnages et des sentiments en jeu. La vérité du film tient aussi à la performance hallucinante du jeune Jean-Pierre Léaud, qui s'était présenté au casting en disant : « Il paraît que vous cherchez un mec qui soit gouailleur, alors je suis venu. » Les malheurs qui s'abattent sur lui, et la vigueur, adulte, avec laquelle il les encaisse, provoquent chez le spectateur une adhésion instantanée et une émotion profonde. L'intelligence de la mise en scène - l'écran large soulignant sans cesse la façon dont Doinel n'arrive pas à s'intégrer au monde - révélait par ailleurs un cinéaste promis à un grand avenir. Au coeur de son oeuvre, ce tout premier film garde une saveur particulière, un goût de liberté et de sincérité. Aurélien Ferenczi   Suivi, à 22h30, du second volet de la saga Antoine Doinel : le court métrage Antoine et Colette.

Année : 1959

Antérieurement en 2018
 

Les quatre cents coups

Télévision : 18 février 2018 à 14:30-16:00 sur La Chaîne Parlementaire

film : drame

Chronique d'une enfance blessée. Truffaut règle ses comptes avec les non-dits de son passé et parle à travers un double magique, Jean-Pierre Léaud, qui joue l'art de la fugue avec une virtuosité inégalée. Critique : Film de François Truffaut (France, 1959). Scénario : F. Truffaut et Marcel Moussy. Image : Henri Decaë. Musique : Jean Constantin. 100 mn. NB. Avec Jean-Pierre Léaud : Antoine Doinel. Claire Maurier : madame Doinel. Albert Rémy : monsieur Doinel. Guy Decomble : le prof. Patrick Auffay : René Bigey. Georges Flamant : monsieur Bigey. Le genre : classique indémodable. Se sentant mal aimé par sa mère et son père adoptif, et n'ayant aucun goût pour ses études, Antoine Doinel, 12 ans, cherche sa place dans le monde. Avec son ami René, il fait l'école buissonnière puis, de retour à l'école, ment en disant que sa mère est morte... Plus tard, il fugue à nouveau et, à la suite d'un vol, est placé dans un centre pour jeunes délinquants. « L'idée qui nous a inspirés tout au long de l'écriture, expliqua plus tard Truffaut, était d'esquisser une chronique de l'adolescence considérée non avec l'habituelle nostalgie attendrie mais, au contraire, comme un mauvais moment à passer. » Truffaut avouait par ailleurs le caractère autobiographique du film, qui adoucissait ce qu'il avait vécu avec son ami Robert Lachenay dans les années 1940. Aujourd'hui, Les Quatre Cents Coups ne frappent pas tant par leur liberté narrative que par l'incroyable justesse des personnages et des sentiments en jeu. La vérité du film tient aussi à la performance hallucinante du jeune Jean-Pierre Léaud, qui s'était présenté au casting en disant : « Il paraît que vous cherchez un mec qui soit gouailleur, alors je suis venu. » Les malheurs qui s'abattent sur lui, et la vigueur, adulte, avec laquelle il les encaisse, provoquent chez le spectateur une adhésion instantanée et une émotion profonde. L'intelligence de la mise en scène - l'écran large soulignant sans cesse la façon dont Doinel n'arrive pas à s'intégrer au monde - révélait par ailleurs un cinéaste promis à un grand avenir. Au coeur de son oeuvre, ce tout premier film garde une saveur particulière, un goût de liberté et de sincérité. Aurélien Ferenczi   Suivi, à 22h30, du second volet de la saga Antoine Doinel : le court métrage Antoine et Colette.

Année : 1959

Antérieurement en 2018
 

Les quatre cents coups

Télévision : 18 février 2018 à 01:00-02:25 sur La Chaîne Parlementaire

film : drame

Chronique d'une enfance blessée. Truffaut règle ses comptes avec les non-dits de son passé et parle à travers un double magique, Jean-Pierre Léaud, qui joue l'art de la fugue avec une virtuosité inégalée. Critique : Film de François Truffaut (France, 1959). Scénario : F. Truffaut et Marcel Moussy. Image : Henri Decaë. Musique : Jean Constantin. 100 mn. NB. Avec Jean-Pierre Léaud : Antoine Doinel. Claire Maurier : madame Doinel. Albert Rémy : monsieur Doinel. Guy Decomble : le prof. Patrick Auffay : René Bigey. Georges Flamant : monsieur Bigey. Le genre : classique indémodable. Se sentant mal aimé par sa mère et son père adoptif, et n'ayant aucun goût pour ses études, Antoine Doinel, 12 ans, cherche sa place dans le monde. Avec son ami René, il fait l'école buissonnière puis, de retour à l'école, ment en disant que sa mère est morte... Plus tard, il fugue à nouveau et, à la suite d'un vol, est placé dans un centre pour jeunes délinquants. « L'idée qui nous a inspirés tout au long de l'écriture, expliqua plus tard Truffaut, était d'esquisser une chronique de l'adolescence considérée non avec l'habituelle nostalgie attendrie mais, au contraire, comme un mauvais moment à passer. » Truffaut avouait par ailleurs le caractère autobiographique du film, qui adoucissait ce qu'il avait vécu avec son ami Robert Lachenay dans les années 1940. Aujourd'hui, Les Quatre Cents Coups ne frappent pas tant par leur liberté narrative que par l'incroyable justesse des personnages et des sentiments en jeu. La vérité du film tient aussi à la performance hallucinante du jeune Jean-Pierre Léaud, qui s'était présenté au casting en disant : « Il paraît que vous cherchez un mec qui soit gouailleur, alors je suis venu. » Les malheurs qui s'abattent sur lui, et la vigueur, adulte, avec laquelle il les encaisse, provoquent chez le spectateur une adhésion instantanée et une émotion profonde. L'intelligence de la mise en scène - l'écran large soulignant sans cesse la façon dont Doinel n'arrive pas à s'intégrer au monde - révélait par ailleurs un cinéaste promis à un grand avenir. Au coeur de son oeuvre, ce tout premier film garde une saveur particulière, un goût de liberté et de sincérité. Aurélien Ferenczi   Suivi, à 22h30, du second volet de la saga Antoine Doinel : le court métrage Antoine et Colette.

Année : 1959

Antérieurement en 2018
 

Les quatre cents coups

Télévision : 10 février 2018 à 17:00-18:35 sur La Chaîne Parlementaire

film : drame

Chronique d'une enfance blessée. Truffaut règle ses comptes avec les non-dits de son passé et parle à travers un double magique, Jean-Pierre Léaud, qui joue l'art de la fugue avec une virtuosité inégalée. Critique : Film de François Truffaut (France, 1959). Scénario : F. Truffaut et Marcel Moussy. Image : Henri Decaë. Musique : Jean Constantin. 100 mn. NB. Avec Jean-Pierre Léaud : Antoine Doinel. Claire Maurier : madame Doinel. Albert Rémy : monsieur Doinel. Guy Decomble : le prof. Patrick Auffay : René Bigey. Georges Flamant : monsieur Bigey. Le genre : classique indémodable. Se sentant mal aimé par sa mère et son père adoptif, et n'ayant aucun goût pour ses études, Antoine Doinel, 12 ans, cherche sa place dans le monde. Avec son ami René, il fait l'école buissonnière puis, de retour à l'école, ment en disant que sa mère est morte... Plus tard, il fugue à nouveau et, à la suite d'un vol, est placé dans un centre pour jeunes délinquants. « L'idée qui nous a inspirés tout au long de l'écriture, expliqua plus tard Truffaut, était d'esquisser une chronique de l'adolescence considérée non avec l'habituelle nostalgie attendrie mais, au contraire, comme un mauvais moment à passer. » Truffaut avouait par ailleurs le caractère autobiographique du film, qui adoucissait ce qu'il avait vécu avec son ami Robert Lachenay dans les années 1940. Aujourd'hui, Les Quatre Cents Coups ne frappent pas tant par leur liberté narrative que par l'incroyable justesse des personnages et des sentiments en jeu. La vérité du film tient aussi à la performance hallucinante du jeune Jean-Pierre Léaud, qui s'était présenté au casting en disant : « Il paraît que vous cherchez un mec qui soit gouailleur, alors je suis venu. » Les malheurs qui s'abattent sur lui, et la vigueur, adulte, avec laquelle il les encaisse, provoquent chez le spectateur une adhésion instantanée et une émotion profonde. L'intelligence de la mise en scène - l'écran large soulignant sans cesse la façon dont Doinel n'arrive pas à s'intégrer au monde - révélait par ailleurs un cinéaste promis à un grand avenir. Au coeur de son oeuvre, ce tout premier film garde une saveur particulière, un goût de liberté et de sincérité. Aurélien Ferenczi   Suivi, à 22h30, du second volet de la saga Antoine Doinel : le court métrage Antoine et Colette.

Année : 1959

Antérieurement en 2018
 

Les quatre cents coups

Télévision : 4 février 2018 à 20:45-22:10 sur La Chaîne Parlementaire

film : drame

Chronique d'une enfance blessée. Truffaut règle ses comptes avec les non-dits de son passé et parle à travers un double magique, Jean-Pierre Léaud, qui joue l'art de la fugue avec une virtuosité inégalée. Critique : Film de François Truffaut (France, 1959). Scénario : F. Truffaut et Marcel Moussy. Image : Henri Decaë. Musique : Jean Constantin. 100 mn. NB. Avec Jean-Pierre Léaud : Antoine Doinel. Claire Maurier : madame Doinel. Albert Rémy : monsieur Doinel. Guy Decomble : le prof. Patrick Auffay : René Bigey. Georges Flamant : monsieur Bigey. Le genre : classique indémodable. Se sentant mal aimé par sa mère et son père adoptif, et n'ayant aucun goût pour ses études, Antoine Doinel, 12 ans, cherche sa place dans le monde. Avec son ami René, il fait l'école buissonnière puis, de retour à l'école, ment en disant que sa mère est morte... Plus tard, il fugue à nouveau et, à la suite d'un vol, est placé dans un centre pour jeunes délinquants. « L'idée qui nous a inspirés tout au long de l'écriture, expliqua plus tard Truffaut, était d'esquisser une chronique de l'adolescence considérée non avec l'habituelle nostalgie attendrie mais, au contraire, comme un mauvais moment à passer. » Truffaut avouait par ailleurs le caractère autobiographique du film, qui adoucissait ce qu'il avait vécu avec son ami Robert Lachenay dans les années 1940. Aujourd'hui, Les Quatre Cents Coups ne frappent pas tant par leur liberté narrative que par l'incroyable justesse des personnages et des sentiments en jeu. La vérité du film tient aussi à la performance hallucinante du jeune Jean-Pierre Léaud, qui s'était présenté au casting en disant : « Il paraît que vous cherchez un mec qui soit gouailleur, alors je suis venu. » Les malheurs qui s'abattent sur lui, et la vigueur, adulte, avec laquelle il les encaisse, provoquent chez le spectateur une adhésion instantanée et une émotion profonde. L'intelligence de la mise en scène - l'écran large soulignant sans cesse la façon dont Doinel n'arrive pas à s'intégrer au monde - révélait par ailleurs un cinéaste promis à un grand avenir. Au coeur de son oeuvre, ce tout premier film garde une saveur particulière, un goût de liberté et de sincérité. Aurélien Ferenczi   Suivi, à 22h30, du second volet de la saga Antoine Doinel : le court métrage Antoine et Colette.

Année : 1959