Harold Goodwin : passages TV et dernières sorties DVD/Blu-ray

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Récemment en décembre
 

A l'Ouest, rien de nouveau

Télévision : 4 décembre 2023 à 13:35-15:45 sur Arte

film de guerre

Août 1914. La guerre vient d'être déclarée. Galvanisés par les harangues de leurs professeurs, Paul Bäumer et ses camarades, des lycéens allemands, décident de s'enrôler dans l'armée. Les pleurs et suppliques de leurs mères respectives n'y changent rien : ils rejoignent leur affectation. Leur premier contact avec la vie militaire est dur : les recrues se retrouvent sous la houlette d'un redoutable sous-officier, Himmelstoss. Puis ils reçoivent l'ordre de s'occuper du transport des blessés. La confrontation avec la réalité est brutale pour ces jeunes idéalistes, qui découvrent coup sur coup l'enfer des tranchées, les bombardements intensifs, la peur, la fatigue et la faim... - Critique : Il faut passer outre le côté production de prestige, avec scénario littéraire et dialogues ampoulés. La force du sujet emporte tout. Il faut montrer ce film aux enfants pour qu’ils y découvrent le mensonge de l’embrigadement, l’atrocité des mutilations, en un mot l’insoutenable horreur de la guerre. On a fait « mieux » depuis au cinéma en matière de réalisme rouge sang ; mais ce film garde sa force, peut-être parce qu’on sent confusément qu’il est presque contemporain du cauchemar qu’il décrit. Les scènes de combat sont frappantes — notamment par l’usage de la caméra qui se substitue à la mitrailleuse —, mais même les moments d’accalmie ont une intensité rare : ainsi, quand Albert découvre dans un miroir qu’il vient d’être amputé, ou lorsque Paul, de retour chez lui, est pris pour un lâche. Lewis Milestone a l’intelligence de montrer sans vouloir démontrer : si son film est un pamphlet, c’est seulement par la crudité des images… On n’oubliera pas la dernière scène, que le cinéaste tourna sans l’accord du studio. Conclusion inéluctable et dramatique de la tragédie…

Année : 1930

De : Lewis Milestone

Avec : Arnold Lucy, Ben Alexander, Harold Goodwin, John Wray, Lew Ayres, Louis Wolheim, Owen Davis Jr, Richard Alexander, Russell Gleason, Scott Kolk, Walter Rogers, William Bakewell

Récemment en novembre
 

A l'Ouest, rien de nouveau

Télévision : 22 novembre 2023 à 13:35-15:45 sur Arte

film de guerre

Août 1914. La guerre vient d'être déclarée. Galvanisés par les harangues de leurs professeurs, Paul Bäumer et ses camarades, des lycéens allemands, décident de s'enrôler dans l'armée. Les pleurs et suppliques de leurs mères respectives n'y changent rien : ils rejoignent leur affectation. Leur premier contact avec la vie militaire est dur : les recrues se retrouvent sous la houlette d'un redoutable sous-officier, Himmelstoss. Puis ils reçoivent l'ordre de s'occuper du transport des blessés. La confrontation avec la réalité est brutale pour ces jeunes idéalistes, qui découvrent coup sur coup l'enfer des tranchées, les bombardements intensifs, la peur, la fatigue et la faim... - Critique : Il faut passer outre le côté production de prestige, avec scénario littéraire et dialogues ampoulés. La force du sujet emporte tout. Il faut montrer ce film aux enfants pour qu’ils y découvrent le mensonge de l’embrigadement, l’atrocité des mutilations, en un mot l’insoutenable horreur de la guerre. On a fait « mieux » depuis au cinéma en matière de réalisme rouge sang ; mais ce film garde sa force, peut-être parce qu’on sent confusément qu’il est presque contemporain du cauchemar qu’il décrit. Les scènes de combat sont frappantes — notamment par l’usage de la caméra qui se substitue à la mitrailleuse —, mais même les moments d’accalmie ont une intensité rare : ainsi, quand Albert découvre dans un miroir qu’il vient d’être amputé, ou lorsque Paul, de retour chez lui, est pris pour un lâche. Lewis Milestone a l’intelligence de montrer sans vouloir démontrer : si son film est un pamphlet, c’est seulement par la crudité des images… On n’oubliera pas la dernière scène, que le cinéaste tourna sans l’accord du studio. Conclusion inéluctable et dramatique de la tragédie…

Année : 1930

De : Lewis Milestone, Luis Majlstoun

Avec : Arnold Lucy, Ben Alexander, Harold Goodwin, John Wray, Lew Ayres, Louis Wolheim, Owen Davis Jr, Richard Alexander, Russell Gleason, Scott Kolk, Walter Rogers, William Bakewell

Récemment en novembre
 

A l'Ouest, rien de nouveau

Télévision : 20 novembre 2023 à 23:05-01:15 sur Arte

film de guerre

Août 1914. La guerre vient d'être déclarée. Galvanisés par les harangues de leurs professeurs, Paul Bäumer et ses camarades, des lycéens allemands, décident de s'enrôler dans l'armée. Les pleurs et suppliques de leurs mères respectives n'y changent rien : ils rejoignent leur affectation. Leur premier contact avec la vie militaire est dur : les recrues se retrouvent sous la houlette d'un redoutable sous-officier, Himmelstoss. Puis ils reçoivent l'ordre de s'occuper du transport des blessés. La confrontation avec la réalité est brutale pour ces jeunes idéalistes, qui découvrent coup sur coup l'enfer des tranchées, les bombardements intensifs, la peur, la fatigue et la faim... - Critique : Il faut passer outre le côté production de prestige, avec scénario littéraire et dialogues ampoulés. La force du sujet emporte tout. Il faut montrer ce film aux enfants pour qu’ils y découvrent le mensonge de l’embrigadement, l’atrocité des mutilations, en un mot l’insoutenable horreur de la guerre. On a fait « mieux » depuis au cinéma en matière de réalisme rouge sang ; mais ce film garde sa force, peut-être parce qu’on sent confusément qu’il est presque contemporain du cauchemar qu’il décrit. Les scènes de combat sont frappantes — notamment par l’usage de la caméra qui se substitue à la mitrailleuse —, mais même les moments d’accalmie ont une intensité rare : ainsi, quand Albert découvre dans un miroir qu’il vient d’être amputé, ou lorsque Paul, de retour chez lui, est pris pour un lâche. Lewis Milestone a l’intelligence de montrer sans vouloir démontrer : si son film est un pamphlet, c’est seulement par la crudité des images… On n’oubliera pas la dernière scène, que le cinéaste tourna sans l’accord du studio. Conclusion inéluctable et dramatique de la tragédie…

Année : 1930

De : Lewis Milestone

Avec : Arnold Lucy, Ben Alexander, Harold Goodwin, John Wray, Lew Ayres, Louis Wolheim, Owen Davis Jr, Richard Alexander, Russell Gleason, Scott Kolk, Walter Rogers, William Bakewell

Récemment en novembre
 

A l'Ouest, rien de nouveau

Télévision : 20 novembre 2023 à 23:00-01:10 sur Arte

film de guerre

Août 1914. La guerre vient d'être déclarée. Galvanisés par les harangues de leurs professeurs, Paul Bäumer et ses camarades, des lycéens allemands, décident de s'enrôler dans l'armée. Les pleurs et suppliques de leurs mères respectives n'y changent rien : ils rejoignent leur affectation. Leur premier contact avec la vie militaire est dur : les recrues se retrouvent sous la houlette d'un redoutable sous-officier, Himmelstoss. Puis ils reçoivent l'ordre de s'occuper du transport des blessés. La confrontation avec la réalité est brutale pour ces jeunes idéalistes, qui découvrent coup sur coup l'enfer des tranchées, les bombardements intensifs, la peur, la fatigue et la faim...

Année : 1930

De : Lewis Milestone, Luis Majlstoun

Avec : Arnold Lucy, Ben Alexander, Harold Goodwin, John Wray, Lew Ayres, Louis Wolheim, Owen Davis Jr, Richard Alexander, Russell Gleason, Scott Kolk, Walter Rogers, William Bakewell

Antérieurement en 2023
 

Tueurs de dames

Télévision : 6 février 2023 à 13:35-15:15 sur Arte

film : comédie

Louisa Wilberforce, une dame veuve d'un officier de marine, habite à Richmond, dans une vieille maison. Sa principale distraction consiste à accabler le commissariat local des mille et un soupçons qui peuplent son esprit craintif. Un jour, elle loue une chambre au professeur Marcus et à ses quatre amis, qui se disent tous musiciens. En réalité, ce sont des bandits qui préparent en toute discrétion l'attaque d'un camion blindé transportant la recette de la gare. Quoique fort avisée en matière criminelle, madame Wilberforce ne se rend compte de rien. Pourtant, ses fantasmes criminels pourraient bien se réaliser plus vite que prévu... - Critique : Une charmante vieille dame loue une chambre au distingué professeur Marcus pour que son quatuor puisse répéter. Mais Marcus est un imposteur : ses musiciens et lui ne sont qu’une bande de voleurs préparant un mauvais coup… Et quand ils se croient démasqués, les malfrats cherchent à se débarrasser de leur logeuse. Mais la vieille lady est coriace… « Être frivole sur un sujet frivole, c’est simplement ennuyeux ; être frivole sur un sujet mortellement sérieux, voilà­ le vrai comique ! » Appliquant son propre principe au pied de la lettre, Alexander Mackendrick signait l’une des comédies anglaises les plus hilarantes et les plus noires. Michael Balcon, son producteur, trouvait même que son poulain était allé trop loin dans l’inégal combat entre l’ancêtre innocente et ses odieux locataires. La mécanique macabre est irrésistible, et la victoire de la vieille Mrs Wilberforce, qui a l’art de considérer des tueurs sans scrupules comme des chenapans irresponsables, sera totale, sans appel et, somme toute, assez morale. L’interprétation est parfaite, de Katie Johnson à Alec Guinness, flanqué d’un Peter Sellers ­débutant. À s’étrangler de rire en dégustant son thé.

Année : 1955

De : Alexander Mackendrick

Avec : Alec Guinness, Cecil Parker, Danny Green, Frankie Howerd, Harold Goodwin, Herbert Lom, Hélène Burls, Jack Warner, Katie Johnson, Kenneth Connor, Peter Sellers, Stainton Philip

Antérieurement en 2023
 

Tueurs de dames

Télévision : 30 janvier 2023 à 20:50-22:20 sur Arte

film : comédie

Louisa Wilberforce, une dame veuve d'un officier de marine, habite à Richmond, dans une vieille maison. Sa principale distraction consiste à accabler le commissariat local des mille et un soupçons qui peuplent son esprit craintif. Un jour, elle loue une chambre au professeur Marcus et à ses quatre amis, qui se disent tous musiciens. En réalité, ce sont des bandits qui préparent en toute discrétion l'attaque d'un camion blindé transportant la recette de la gare. Quoique fort avisée en matière criminelle, madame Wilberforce ne se rend compte de rien. Pourtant, ses fantasmes criminels pourraient bien se réaliser plus vite que prévu... - Critique : La mécanique macabre est irrésistible, et la victoire de la vieille Mrs Wilberforce, qui a l’art de considérer des tueurs sans scrupule comme des chenapans irresponsables, sera totale, sans appel et, somme toute, assez morale. L’interprétation est parfaite, de Katie Johnson à Alec Guinness, flanqué d’un Peter Sellers ­débutant. A s’étrangler de rire en dégustant son thé.

Année : 1955

De : Alexander Mackendrick

Avec : Alec Guinness, Cecil Parker, Danny Green, Frankie Howerd, Harold Goodwin, Herbert Lom, Hélène Burls, Jack Warner, Katie Johnson, Kenneth Connor, Peter Sellers, Stainton Philip

Antérieurement en 2022
 

Le pont de la rivière Kwaï

Télévision : 22 novembre 2022 à 23:03-01:53 sur C8

film de guerre

En 1943, le colonel Saïto dirige un camp de prisonniers dans la jungle birmane. Il reçoit l'ordre de construire un pont sur la rivière Kwaï et d'y faire travailler les détenus, y compris les officiers, au mépris des conventions internationales. Le colonel anglais Nicholson, capturé à Singapour avec ses troupes, refuse énergiquement de participer au chantier. Saïto pense pouvoir le faire plier en le soumettant à toutes sortes de vexations et de sévices, mais Nicholson tient bon. Son geôlier finit par céder. Nicholson accepte alors, de son plein gré, de prendre la tête des opérations pour montrer aux Japonais de quoi sont capables les soldats de Sa Majesté... - Critique : 1943. Le colonel anglais Nicholson et ses hommes sont faits prisonniers par l’armée japonaise, dans la jungle birmane. Ils doivent obéir au sanguinaire colonel nippon Saito et construire un pont sur la rivière Kwaï pour assurer la liaison entre Bangkok et Rangoon… Cette superproduction guerrière, loin de se complaire dans les clichés d’usage, ­radiographie scrupuleusement la folie destructrice qui ronge le cœur des hommes. Si le début du film peut laisser craindre une opposition bêtement manichéenne entre le flegme britannique et la sauvagerie japonaise, la suite dément ce pronostic. Il n’y a pas de grande différence entre la psychologie du gradé japonais et celle du colonel Nicholson (génial Alec Guinness)… On trouve dans les deux cas le même délire mégalomane, le même instinct de mort. La mise en scène de David Lean, sans atteindre les sommets de Lawrence d’Arabie, exploite merveilleusement les possibilités du format Scope, autant dans les scènes de gesticulations militaires que dans les séquences où ses élégants travellings rendent grâce aux beautés de la jungle birmane… Immense succès dès sa sortie, le film n’a pris que peu de rides. Ni chef-d’œuvre ni monument d’académisme, il témoigne de la personnalité de David Lean, cinéaste à la fois efficace et contemplatif.

Année : 1957

De : David Lean

Avec : Alec Guinness, André Morell, Ann Sears, Geoffrey Horne, Harold Goodwin, Hawkins Jack, James Donald, John Boxer, Percy Herbert, Peter Williams, Sessue Hayakawa, William Holden

Antérieurement en 2022
 

Le pont de la rivière Kwaï

Télévision : 22 novembre 2022 à 23:03-01:30 sur C8

film de guerre

En 1943, le colonel Saïto dirige un camp de prisonniers dans la jungle birmane. Il reçoit l'ordre de construire un pont sur la rivière Kwaï et d'y faire travailler les détenus, y compris les officiers, au mépris des conventions internationales. Le colonel anglais Nicholson, capturé à Singapour avec ses troupes, refuse énergiquement de participer au chantier. Saïto pense pouvoir le faire plier en le soumettant à toutes sortes de vexations et de sévices, mais Nicholson tient bon. Son geôlier finit par céder. Nicholson accepte alors, de son plein gré, de prendre la tête des opérations pour montrer aux Japonais de quoi sont capables les soldats de Sa Majesté... - Critique : 1943. Le colonel anglais Nicholson et ses hommes sont faits prisonniers par l’armée japonaise, dans la jungle birmane. Ils doivent obéir au sanguinaire colonel nippon Saito et construire un pont sur la rivière Kwaï pour assurer la liaison entre Bangkok et Rangoon… Cette superproduction guerrière, loin de se complaire dans les clichés d’usage, ­radiographie scrupuleusement la folie destructrice qui ronge le cœur des hommes. Si le début du film peut laisser craindre une opposition bêtement manichéenne entre le flegme britannique et la sauvagerie japonaise, la suite dément ce pronostic. Il n’y a pas de grande différence entre la psychologie du gradé japonais et celle du colonel Nicholson (génial Alec Guinness)… On trouve dans les deux cas le même délire mégalomane, le même instinct de mort. La mise en scène de David Lean, sans atteindre les sommets de Lawrence d’Arabie, exploite merveilleusement les possibilités du format Scope, autant dans les scènes de gesticulations militaires que dans les séquences où ses élégants travellings rendent grâce aux beautés de la jungle birmane… Immense succès dès sa sortie, le film n’a pris que peu de rides. Ni chef-d’œuvre ni monument d’académisme, il témoigne de la personnalité de David Lean, cinéaste à la fois efficace et contemplatif.

Année : 1957

De : David Lean

Avec : Alec Guinness, André Morell, Ann Sears, Geoffrey Horne, Harold Goodwin, Hawkins Jack, James Donald, John Boxer, Percy Herbert, Peter Williams, Sessue Hayakawa, William Holden

Antérieurement en 2022
 

Le pont de la rivière Kwaï

Télévision : 1er novembre 2022 à 21:19-00:15 sur C8

film de guerre

En 1943, le colonel Saïto dirige un camp de prisonniers dans la jungle birmane. Il reçoit l'ordre de construire un pont sur la rivière Kwaï et d'y faire travailler les détenus, y compris les officiers, au mépris des conventions internationales. Le colonel anglais Nicholson, capturé à Singapour avec ses troupes, refuse énergiquement de participer au chantier. Saïto pense pouvoir le faire plier en le soumettant à toutes sortes de vexations et de sévices, mais Nicholson tient bon. Son geôlier finit par céder. Nicholson accepte alors, de son plein gré, de prendre la tête des opérations pour montrer aux Japonais de quoi sont capables les soldats de Sa Majesté... - Critique : 1943. Le colonel anglais Nicholson et ses hommes sont faits prisonniers par l’armée japonaise, dans la jungle birmane. Ils doivent obéir au sanguinaire colonel nippon Saito et construire un pont sur la rivière Kwaï pour assurer la liaison entre Bangkok et Rangoon… Cette superproduction guerrière, loin de se complaire dans les clichés d’usage, ­radiographie scrupuleusement la folie destructrice qui ronge le cœur des hommes. Si le début du film peut laisser craindre une opposition bêtement manichéenne entre le flegme britannique et la sauvagerie japonaise, la suite dément ce pronostic. Il n’y a pas de grande différence entre la psychologie du gradé japonais et celle du colonel Nicholson (génial Alec Guinness)… On trouve dans les deux cas le même délire mégalomane, le même instinct de mort. La mise en scène de David Lean, sans atteindre les sommets de Lawrence d’Arabie, exploite merveilleusement les possibilités du format Scope, autant dans les scènes de gesticulations militaires que dans les séquences où ses élégants travellings rendent grâce aux beautés de la jungle birmane… Immense succès dès sa sortie, le film n’a pris que peu de rides. Ni chef-d’œuvre ni monument d’académisme, il témoigne de la personnalité de David Lean, cinéaste à la fois efficace et contemplatif.

Année : 1957

De : David Lean

Avec : Alec Guinness, André Morell, Ann Sears, Geoffrey Horne, Harold Goodwin, Hawkins Jack, James Donald, John Boxer, Percy Herbert, Peter Williams, Sessue Hayakawa, William Holden

Antérieurement en 2019
 

Le pont de la rivière Kwaï

Télévision : 1er novembre 2019 à 13:55-16:40 sur France 3

Film de guerre

En 1943, le colonel Saïto dirige un camp de prisonniers dans la jungle birmane. Il reçoit l'ordre de construire un pont sur la rivière Kwaï et d'y faire travailler les détenus, y compris les officiers, au mépris des conventions internationales. Le colonel anglais Nicholson, capturé à Singapour avec ses troupes, refuse énergiquement de participer au chantier. Saïto pense pouvoir le faire plier en le soumettant à toutes sortes de vexations et de sévices, mais Nicholson tient bon. Son geôlier finit par céder. Nicholson accepte alors, de son plein gré, de prendre la tête des opérations pour montrer aux Japonais de quoi sont capables les soldats de Sa Majesté...

Année : 1957

De : David Lean

Avec : William Holden, Alec Guinness, Jack Hawkins, Sessue Hayakawa, James Donald, Geoffrey Horne, Ann Sears, Peter Williams, John Boxer, Percy Herbert, Harold Goodwin, André Morell

Antérieurement en 2017
 

Le Fantôme de l'Opéra (Combo Collector Blu-ray + ...

DVD/Blu-ray : 7 novembre 2017

Année : 1962

De : Terence Fisher

Avec : Herbert Lom, Heather Sears, Edward de Souza, Thorley Walters, Michael Gough, Harold Goodwin, Michael Ripper

Antérieurement en 2017
 

Le Fantôme de l'Opéra (Édition Collector) - DVD

DVD/Blu-ray : 7 novembre 2017

Année : 1962

De : Terence Fisher

Avec : Herbert Lom, Heather Sears, Edward de Souza, Thorley Walters, Michael Gough, Harold Goodwin, Michael Ripper

Antérieurement en 2017