Gracy Goldman : passages TV

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Antérieurement en 2022
 

Breeders

Télévision : 26 août 2022 à 06:46-07:10 sur Canal +

série humoristique

No Power. Saison:2 - Episode:10 - C'est le jour du mariage de Leah et Alex. Malheureusement, Paul et Ally doivent résoudre un conflit familial avant de participer aux réjouissances. En effet, deux semaines auparavant, Luke avait pris la décision d'aller vivre chez sa grand-mère, les tensions avec son père étant trop fortes. Il refuse de revenir auprès de ses parents. Ally pousse Paul à profiter de la fête pour avoir une franche discussion avec son fils. - Critique : Paul, la quarantaine (Martin Freeman), a du mal à contrôler ses nerfs. Il passe d’un psy à l’autre pour apprendre à lâcher prise, à ne plus crier, à moins jurer en présence de ses deux enfants, Ava, 10 ans, et Luke, 13 ans. Son couple avec Ally (Daisy Haggard) se porte bien, comme sa relation avec ses propres parents, qui vivent dans le même coin de banlieue londonienne. Mais rien n’y fait, il tremble pour ses gosses, leur place dans le monde, le lien qu’il pensait avoir créé avec eux et qui se distend avec les années… Bref, Paul est un père comme les autres. Breeders, dont la saison 2 débute ce mardi 23 mars sur Canal+ Séries, observe le quotidien de cette famille, de petits conflits en grandes crises, avec un remarquable sens du détail. Sur un ton parfois grave, souvent émouvant, mais sans jamais se départir de son accent comique. Impossible pour Freeman, cocréateur de la série avec Chris Addison et Simon Blackwell (The Thick of It), d’éviter certains lieux communs sur l’adolescence, comme la question du téléphone portable ou des réunions parents-profs. Mais Breeders ne donne jamais de leçons, ne propose pas de solutions. Elle provoque le rire dans les interstices d’un récit essentiellement dramatique, notamment avec les discussions entre Paul et Ally, truffées d’horreurs sur les enfants – un moyen de relâcher la pression. Elle se sert aussi des parents de Paul comme d’une soupape humoristique en s’amusant de leur décalage avec le monde moderne et de leur franc-parler. Pour eux, être parents, c’est faire ce qu’on peut, même quand on le fait mal. « On voit le résultat », souffle en réponse Paul, rongé par un sentiment d’échec permanent. Insister sur l’impossible perfection parentale : c’est là la grande force de Breeders. Dire qu’éduquer, c’est forcément rater son coup, et qu’il est parfois difficile de vraiment connaître ses propres enfants. Ava est précoce, Luke, anxieux à en perdre le sommeil. Est-ce la faute d’Ally et Paul ? « On accuse toujours les parents », résume un des personnages. Une mélancolie tour à tour nostalgique et ironique enveloppe les quatre premiers épisodes envoyés à la presse de cette saison, et confirme que Breeders est une formidable série sur le temps qui passe. On y pleure et on y rit de la mort qui rôde, des voisins qui déménagent, et de la disparition des instants partagés, comme ces soirées où toute la famille se serrait sur le canapé devant Dancing on Ice. Cette chronique douce-amère, comme dans sa première saison, fera à n’en pas douter un bien fou à tous les parents qui partagent les mêmes angoisses.

Année : 2021

De : Ollie Parsons

Avec : Alex Eastwood, Alun Armstrong, Daisy Haggard, Eve Prenelle, Gracy Goldman, Hugh Quarshie, Joanna Bacon, Martin Freeman, Mary Doherty, Peter F, Stella Gonet

Antérieurement en 2022
 

Breeders

Télévision : 25 mars 2022 à 07:37-08:02 sur Canal +

série humoristique

No Power. Saison:2 - Episode:10 - C'est le jour du mariage de Leah et Alex. Malheureusement, Paul et Ally doivent résoudre un conflit familial avant de participer aux réjouissances. En effet, deux semaines auparavant, Luke avait pris la décision d'aller vivre chez sa grand-mère, les tensions avec son père étant trop fortes. Il refuse de revenir auprès de ses parents. Ally pousse Paul à profiter de la fête pour avoir une franche discussion avec son fils. - Critique : Paul, la quarantaine (Martin Freeman), a du mal à contrôler ses nerfs. Il passe d’un psy à l’autre pour apprendre à lâcher prise, à ne plus crier, à moins jurer en présence de ses deux enfants, Ava, 10 ans, et Luke, 13 ans. Son couple avec Ally (Daisy Haggard) se porte bien, comme sa relation avec ses propres parents, qui vivent dans le même coin de banlieue londonienne. Mais rien n’y fait, il tremble pour ses gosses, leur place dans le monde, le lien qu’il pensait avoir créé avec eux et qui se distend avec les années… Bref, Paul est un père comme les autres. Breeders, dont la saison 2 débute ce mardi 23 mars sur Canal+ Séries, observe le quotidien de cette famille, de petits conflits en grandes crises, avec un remarquable sens du détail. Sur un ton parfois grave, souvent émouvant, mais sans jamais se départir de son accent comique. Impossible pour Freeman, cocréateur de la série avec Chris Addison et Simon Blackwell (The Thick of It), d’éviter certains lieux communs sur l’adolescence, comme la question du téléphone portable ou des réunions parents-profs. Mais Breeders ne donne jamais de leçons, ne propose pas de solutions. Elle provoque le rire dans les interstices d’un récit essentiellement dramatique, notamment avec les discussions entre Paul et Ally, truffées d’horreurs sur les enfants – un moyen de relâcher la pression. Elle se sert aussi des parents de Paul comme d’une soupape humoristique en s’amusant de leur décalage avec le monde moderne et de leur franc-parler. Pour eux, être parents, c’est faire ce qu’on peut, même quand on le fait mal. « On voit le résultat », souffle en réponse Paul, rongé par un sentiment d’échec permanent. Insister sur l’impossible perfection parentale : c’est là la grande force de Breeders. Dire qu’éduquer, c’est forcément rater son coup, et qu’il est parfois difficile de vraiment connaître ses propres enfants. Ava est précoce, Luke, anxieux à en perdre le sommeil. Est-ce la faute d’Ally et Paul ? « On accuse toujours les parents », résume un des personnages. Une mélancolie tour à tour nostalgique et ironique enveloppe les quatre premiers épisodes envoyés à la presse de cette saison, et confirme que Breeders est une formidable série sur le temps qui passe. On y pleure et on y rit de la mort qui rôde, des voisins qui déménagent, et de la disparition des instants partagés, comme ces soirées où toute la famille se serrait sur le canapé devant Dancing on Ice. Cette chronique douce-amère, comme dans sa première saison, fera à n’en pas douter un bien fou à tous les parents qui partagent les mêmes angoisses.

Année : 2021

Avec : Alex Eastwood, Alun Armstrong, Daisy Haggard, Eve Prenelle, Gracy Goldman, Hugh Quarshie, Joanna Bacon, Martin Freeman, Mary Doherty, Peter F, Stella Gonet

Antérieurement en 2021
 

Breeders

Télévision : 19 octobre 2021 à 07:44-08:08 sur Canal +

Série humoristique

C'est le jour du mariage de Leah et Alex. Malheureusement, Paul et Ally doivent résoudre un conflit familial avant de participer aux réjouissances. En effet, Luke a pris la décision d'aller vivre chez sa grand-mère. Ally pousse Paul à profiter de la fête pour avoir une franche discussion avec son fils.

Année : 2021

Avec : Martin Freeman, Daisy Haggard, Alun Armstrong, Joanna Bacon, Stella Gonet, Alex Eastwood, Eve Prenelle, Gracy Goldman, Hugh Quarshie, Mary Doherty, Peter F

Antérieurement en 2021
 

Quiz

Télévision : 30 juin 2021 à 21:05-22:00 sur TF1

Série dramatique

Le producteur de télévision Paul Smith met tout en oeuvre pour faire du quiz '' Qui veut gagner des millions?" la nouvelle sensation. Cette émission devient une véritable obsession pour une famille en particulier.

Année : 2020

De : Stephen Frears, James Graham, Bob Woffinden, James Plaskett

Avec : Michael Sheen, Matthew MacFadyen, Sian Clifford, Mark Bonnar, Aisling Bea, Elliot Levey, Risteard Cooper, Trystan Gravelle, Michael Jibson, Helen Mccrory, Jasmyn Banks, Paul Bazely, Seraphina Beh, Matt Blair, Mark Aaron, Keir Charles, William Chubb, Beau Gadsdon, Billie Gadsdon, Dolly Gadsdon, Gracy Goldman, Jerry Killick, Andrew Leung, John McAndrew, Geoffrey McGivern, Tony Turner, Nicholas Woodeson, Sarah Woodward