Gladys Greer : passages TV

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Antérieurement en 2022
 

Mississippi Burning

Télévision : 16 mars 2022 à 21:05-23:20 sur 6ter

film policier

Mississippi, été 1964. Trois jeunes militants des droits civiques, un Noir et deux Blancs, venus établir un centre d'inscription électoral pour les Noirs, disparaissent mystérieusement. Deux agents du FBI, Rupert Anderson, un homme du Sud, souple, avisé et rompu aux méthodes de terrain, et Alan Ward, un yankee cassant et intransigeant, sont chargés de l'enquête. Les méthodes de Ward suscitent de vives réactions de la part du Ku Klux Klan, dont la responsabilité dans l'affaire des disparus ne fait bientôt plus l'ombre d'un doute. La violence éclate. Explosions et incendies défient la loi et ses représentants. Anderson décide de réagir avant qu'il ne soit trop tard...

Année : 1988

De : Parker Alan

Avec : Badja Djola, Barry Davis Jim Sr, Bob Penny, Brad Dourif, Christopher White, Dan Desmond, Daniel Winford, Dianne Lancaster, Frances McDormand, Frankie Faison, Gailard Sartain, Gene Hackman, Geoffrey Nauffts, Georgia F Wise, Gladys Greer, Jake Gipson, James F Moore, Kevin Dunn, Larry Shuler, Lois Allen, Marc Clement, Michael Rooker, Park Overall, Pruitt Taylor, R Lee, Rick Zieff, Stanley W, Stephen Bridgewater, Stephen Tobolowsky, Thomas B, Willem Dafoe

Antérieurement en 2018
 

Mississippi Burning

Télévision : 5 février 2018 à 22:50-00:55 sur France ô

film policier

Années 1960, Mississippi. Deux agents du FBI – le vieux routier et le jeune idéaliste – enquêtent sur le meurtre de militants. Du bon vieux cinéma plein de louables intentions mais un brin racoleur. Critique : Film américain d'Alan Parker (1989). Rediffusion. Rupert Anderson : Gene Hackman. Alan Ward : Willem Dafoe. Mme Pell : Frances McDormand. Le shérif adjoint Pell : Brad Dourif. Le maire Tilman : R. Lee Ermey. Le shérif Stuckey : Gailard Sartain. Clayton Townley : Stephen Tobolowsky. Lester Cowens : Pruitt Taylor Vince. L'agent Monk : Ezdja Djola. L'agent Bird : Kevin Dunn. Le juge : Tom Mason. Hattie : Gladys Greer. Fiche technique. Scénario : Chris Gerolmo. Images : Peter Biziou. Décors : Jim Erickson. Montage : Gerry Hambling. Musique : Trevor Jones. Critique parue dans Télérama 2046. Durée annoncée : 122 mn. Le genre. Dramatique. L'histoire. En 1964, trois jeunes militants pour les droits civiques sont assassinés près d'une petite ville du Mississippi. Le FBI envoie sur place deux de ses meilleurs agents, Rupert Anderson et Alan Ward. Le premier connaît bien les habitudes de la région et de ses habitants ; le second est diplômé d'une grande école. Les deux hommes se heurtent au mur du silence et au Ku Klux Klan, peu désireux de voir éclater la vérité... Ce que j'en pense. D'un côté, une population sudiste objectivement complice des meurtriers ; de l'autre, deux enquêteurs à la recherche d'une vérité que l'on veut à tout prix leur cacher. Le film d'Alan Parker, s'inspirant d'un fait divers authentique, décrit les rapports entre deux policiers d'origine et d'éducation dissemblables, en même temps que le comportement d'un Etat ségrégationniste du Sud, face à l'Amérique de 1964, où l'on parle de l'intégration et des droits civiques. Le scénario présente d'ailleurs, d'une manière quelque peu manichéenne, J. Edgar Hoover, le patron du FBI, comme un partisan de l'intégration raciale. Martin Luther King, qui eut à souffrir des persécutions de cet organisme (filatures, écoutes téléphoniques, calomnies), aurait sans doute été d'un avis différent. Cette simplification mise à part, le film possède la force des oeuvres à thèse hollywoodiennes. "Aux Etats-Unis, déclara Parker, on se demande pourquoi un cinéaste britannique se croit obligé de remuer ce vieux tas de boue complètement oublié. C'est pour prouver que, ce qu'ils appellent ce tas de boue n'est pas aussi oublié qu'ils veulent bien le dire, et surtout parce que d'autres formes de racisme et d'intolérance sont apparues, dans ce pays et dans le monde, que j'ai voulu faire ce film." Souvent inégal et inutilement tapageur - son ouverture n'avait pas besoin d'une musique aussi insistante -, "Mississippi Burning" demeure néanmoins un constat dramatique et très intéressant. Gene Hackman et Willem Dafoe y sont re- marquables. André Moreau

Année : 1988

Antérieurement en 2018
 

Mississippi Burning

Télévision : 22 janvier 2018 à 20:55-23:05 sur France ô

film policier

Années 1960, Mississippi. Deux agents du FBI – le vieux routier et le jeune idéaliste – enquêtent sur le meurtre de militants. Du bon vieux cinéma plein de louables intentions mais un brin racoleur. Critique : Film américain d'Alan Parker (1989). Rediffusion. Rupert Anderson : Gene Hackman. Alan Ward : Willem Dafoe. Mme Pell : Frances McDormand. Le shérif adjoint Pell : Brad Dourif. Le maire Tilman : R. Lee Ermey. Le shérif Stuckey : Gailard Sartain. Clayton Townley : Stephen Tobolowsky. Lester Cowens : Pruitt Taylor Vince. L'agent Monk : Ezdja Djola. L'agent Bird : Kevin Dunn. Le juge : Tom Mason. Hattie : Gladys Greer. Fiche technique. Scénario : Chris Gerolmo. Images : Peter Biziou. Décors : Jim Erickson. Montage : Gerry Hambling. Musique : Trevor Jones. Critique parue dans Télérama 2046. Durée annoncée : 122 mn. Le genre. Dramatique. L'histoire. En 1964, trois jeunes militants pour les droits civiques sont assassinés près d'une petite ville du Mississippi. Le FBI envoie sur place deux de ses meilleurs agents, Rupert Anderson et Alan Ward. Le premier connaît bien les habitudes de la région et de ses habitants ; le second est diplômé d'une grande école. Les deux hommes se heurtent au mur du silence et au Ku Klux Klan, peu désireux de voir éclater la vérité... Ce que j'en pense. D'un côté, une population sudiste objectivement complice des meurtriers ; de l'autre, deux enquêteurs à la recherche d'une vérité que l'on veut à tout prix leur cacher. Le film d'Alan Parker, s'inspirant d'un fait divers authentique, décrit les rapports entre deux policiers d'origine et d'éducation dissemblables, en même temps que le comportement d'un Etat ségrégationniste du Sud, face à l'Amérique de 1964, où l'on parle de l'intégration et des droits civiques. Le scénario présente d'ailleurs, d'une manière quelque peu manichéenne, J. Edgar Hoover, le patron du FBI, comme un partisan de l'intégration raciale. Martin Luther King, qui eut à souffrir des persécutions de cet organisme (filatures, écoutes téléphoniques, calomnies), aurait sans doute été d'un avis différent. Cette simplification mise à part, le film possède la force des oeuvres à thèse hollywoodiennes. "Aux Etats-Unis, déclara Parker, on se demande pourquoi un cinéaste britannique se croit obligé de remuer ce vieux tas de boue complètement oublié. C'est pour prouver que, ce qu'ils appellent ce tas de boue n'est pas aussi oublié qu'ils veulent bien le dire, et surtout parce que d'autres formes de racisme et d'intolérance sont apparues, dans ce pays et dans le monde, que j'ai voulu faire ce film." Souvent inégal et inutilement tapageur - son ouverture n'avait pas besoin d'une musique aussi insistante -, "Mississippi Burning" demeure néanmoins un constat dramatique et très intéressant. Gene Hackman et Willem Dafoe y sont re- marquables. André Moreau

Année : 1988

Antérieurement en 2018
 

Mississippi Burning

Télévision : 22 janvier 2018 à 20:55-22:55 sur France ô

film policier

Années 1960, Mississippi. Deux agents du FBI – le vieux routier et le jeune idéaliste – enquêtent sur le meurtre de militants. Du bon vieux cinéma plein de louables intentions mais un brin racoleur. Critique : Film américain d'Alan Parker (1989). Rediffusion. Rupert Anderson : Gene Hackman. Alan Ward : Willem Dafoe. Mme Pell : Frances McDormand. Le shérif adjoint Pell : Brad Dourif. Le maire Tilman : R. Lee Ermey. Le shérif Stuckey : Gailard Sartain. Clayton Townley : Stephen Tobolowsky. Lester Cowens : Pruitt Taylor Vince. L'agent Monk : Ezdja Djola. L'agent Bird : Kevin Dunn. Le juge : Tom Mason. Hattie : Gladys Greer. Fiche technique. Scénario : Chris Gerolmo. Images : Peter Biziou. Décors : Jim Erickson. Montage : Gerry Hambling. Musique : Trevor Jones. Critique parue dans Télérama 2046. Durée annoncée : 122 mn. Le genre. Dramatique. L'histoire. En 1964, trois jeunes militants pour les droits civiques sont assassinés près d'une petite ville du Mississippi. Le FBI envoie sur place deux de ses meilleurs agents, Rupert Anderson et Alan Ward. Le premier connaît bien les habitudes de la région et de ses habitants ; le second est diplômé d'une grande école. Les deux hommes se heurtent au mur du silence et au Ku Klux Klan, peu désireux de voir éclater la vérité... Ce que j'en pense. D'un côté, une population sudiste objectivement complice des meurtriers ; de l'autre, deux enquêteurs à la recherche d'une vérité que l'on veut à tout prix leur cacher. Le film d'Alan Parker, s'inspirant d'un fait divers authentique, décrit les rapports entre deux policiers d'origine et d'éducation dissemblables, en même temps que le comportement d'un Etat ségrégationniste du Sud, face à l'Amérique de 1964, où l'on parle de l'intégration et des droits civiques. Le scénario présente d'ailleurs, d'une manière quelque peu manichéenne, J. Edgar Hoover, le patron du FBI, comme un partisan de l'intégration raciale. Martin Luther King, qui eut à souffrir des persécutions de cet organisme (filatures, écoutes téléphoniques, calomnies), aurait sans doute été d'un avis différent. Cette simplification mise à part, le film possède la force des oeuvres à thèse hollywoodiennes. "Aux Etats-Unis, déclara Parker, on se demande pourquoi un cinéaste britannique se croit obligé de remuer ce vieux tas de boue complètement oublié. C'est pour prouver que, ce qu'ils appellent ce tas de boue n'est pas aussi oublié qu'ils veulent bien le dire, et surtout parce que d'autres formes de racisme et d'intolérance sont apparues, dans ce pays et dans le monde, que j'ai voulu faire ce film." Souvent inégal et inutilement tapageur - son ouverture n'avait pas besoin d'une musique aussi insistante -, "Mississippi Burning" demeure néanmoins un constat dramatique et très intéressant. Gene Hackman et Willem Dafoe y sont re- marquables. André Moreau

Année : 1988