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Antérieurement en 2021
 

Columbo

Télévision : 11 décembre 2021 à 21:05-22:50 sur TMC

Série policière

Le sergent-major Keegan, instructeur dans un camp d'entraînement, a trouvé la mort dans des circonstances suspectes, lors de manoeuvres nocturnes. Columbo est envoyé sur les lieux du drame. Plusieurs détails curieux le poussent à demander une autopsie. Il s'avère très vite que l'homme a été poignardé...

Année : 1989

De : Sam Wanamaker, Richard Levinson, William Link

Avec : Peter Falk, Robert Foxworth, Janet Eilber, Stephen Elliott, James Lashly, Michael McManus, Andy Romano, Lynn Clark, Carolyn Carradine, Rick Marzan, Bennett Liss, Lee Arenberg, John William, Stephen Quadros, Milt Kogan, Christopher Titus, George J, Norma MacMillan, Charles Gideon, Randy Lee, Dana Vitatoe

Antérieurement en 2018
 

Libre comme le vent

Télévision : 11 février 2018 à 09:25-10:45 sur Arte

film

Steve Sinclair, un ancien hors-la-loi, est devenu depuis quelques années un paisible fermier qui se contente de travailler ses terres. Lorsque son jeune frère Tony revient de la ville en compagnie d'une ravissante danseuse, Joan, il a un mauvais pressentiment. Tony vient d'acquérir un revolver dont il compte se servir à la première occasion. Et bientôt, au cours d'une bataille, il abat un desperado venu se quereller avec son frère. La réputation de tireur infaillible de la victime tourne la tête de Tony, qui décide de se livrer à d'autres exploits. Il s'en prend à un certain Clay Ellison, venu s'installer sur les terres qu'il revendique... Critique : Film de Robert Parrish (Saddle the wind, USA, 1957). Scénario : Rod Serling, d'après l'histoire de Thomas Thompson. Image : George J. Folsey. Musique : Elmer Bernstein. 95 mn. VM. Avec Robert Taylor : Steve Sinclair. Julie London : Joan Blake. John Cassavetes : Tony Sinclair. Donald Crisp : M. Deneen. Charles McGraw : Larry Venables. Royal Dano : Clay Ellison. Richard Erdman : Dallas Hanson. Douglas Spencer : Hamp Scribner. Ray Teal : Brick Larson. Le genre : western. Tony Sinclair supporte de plus en plus difficilement l'autorité de son frère aîné, Steve. Pour affirmer son indépendance, il revient au ranch avec une jeune femme, Joan Blake. Ayant découvert la puissance que donnent les armes, Tony abat un tueur, Larry Venables, qui voulait se débarrasser de Steve. Les auteurs du film ont visiblement voulu échapper au classicisme du western traditionnel. Le personnage de Tony Sinclair, joué par un John Cassavetes fiévreux et menaçant, possède une violence et une nervosité habituelles au film policier, mais assez rares dans le western. A l'opposé de ce jeu survolté, Robert Taylor incarne un héros sobre et calme, précipité malgré lui dans un climat de violence de plus en plus inquiétant. Volontairement noir - même s'il est en Cinémascope et en couleurs -, Libre comme le vent est une oeuvre surprenante. A l'image de son final, qui se déroule dans un champ rempli de fleurs, elle joue sur les ruptures de ton, décrivant un Far West dans lequel les tensions apparaissent vite insurmontables et où le choc des générations est tout aussi tumulteux qu'en milieu urbain. Très curieux. André Moreau

Année : 1958

Antérieurement en 2018
 

Libre comme le vent

Télévision : 11 février 2018 à 09:20-10:50 sur Arte

film

Steve Sinclair, un ancien hors-la-loi, est devenu depuis quelques années un paisible fermier qui se contente de travailler ses terres. Lorsque son jeune frère Tony revient de la ville en compagnie d'une ravissante danseuse, Joan, il a un mauvais pressentiment. Tony vient d'acquérir un revolver dont il compte se servir à la première occasion. Et bientôt, au cours d'une bataille, il abat un desperado venu se quereller avec son frère. La réputation de tireur infaillible de la victime tourne la tête de Tony, qui décide de se livrer à d'autres exploits. Il s'en prend à un certain Clay Ellison, venu s'installer sur les terres qu'il revendique... Critique : Film de Robert Parrish (Saddle the wind, USA, 1957). Scénario : Rod Serling, d'après l'histoire de Thomas Thompson. Image : George J. Folsey. Musique : Elmer Bernstein. 95 mn. VM. Avec Robert Taylor : Steve Sinclair. Julie London : Joan Blake. John Cassavetes : Tony Sinclair. Donald Crisp : M. Deneen. Charles McGraw : Larry Venables. Royal Dano : Clay Ellison. Richard Erdman : Dallas Hanson. Douglas Spencer : Hamp Scribner. Ray Teal : Brick Larson. Le genre : western. Tony Sinclair supporte de plus en plus difficilement l'autorité de son frère aîné, Steve. Pour affirmer son indépendance, il revient au ranch avec une jeune femme, Joan Blake. Ayant découvert la puissance que donnent les armes, Tony abat un tueur, Larry Venables, qui voulait se débarrasser de Steve. Les auteurs du film ont visiblement voulu échapper au classicisme du western traditionnel. Le personnage de Tony Sinclair, joué par un John Cassavetes fiévreux et menaçant, possède une violence et une nervosité habituelles au film policier, mais assez rares dans le western. A l'opposé de ce jeu survolté, Robert Taylor incarne un héros sobre et calme, précipité malgré lui dans un climat de violence de plus en plus inquiétant. Volontairement noir - même s'il est en Cinémascope et en couleurs -, Libre comme le vent est une oeuvre surprenante. A l'image de son final, qui se déroule dans un champ rempli de fleurs, elle joue sur les ruptures de ton, décrivant un Far West dans lequel les tensions apparaissent vite insurmontables et où le choc des générations est tout aussi tumulteux qu'en milieu urbain. Très curieux. André Moreau

Année : 1958

Antérieurement en 2018
 

Libre comme le vent

Télévision : 7 février 2018 à 13:35-15:00 sur Arte

film

Steve Sinclair, un ancien hors-la-loi, est devenu depuis quelques années un paisible fermier qui se contente de travailler ses terres. Lorsque son jeune frère Tony revient de la ville en compagnie d'une ravissante danseuse, Joan, il a un mauvais pressentiment. Tony vient d'acquérir un revolver dont il compte se servir à la première occasion. Et bientôt, au cours d'une bataille, il abat un desperado venu se quereller avec son frère. La réputation de tireur infaillible de la victime tourne la tête de Tony, qui décide de se livrer à d'autres exploits. Il s'en prend à un certain Clay Ellison, venu s'installer sur les terres qu'il revendique... Critique : Film de Robert Parrish (Saddle the wind, USA, 1957). Scénario : Rod Serling, d'après l'histoire de Thomas Thompson. Image : George J. Folsey. Musique : Elmer Bernstein. 95 mn. VM. Avec Robert Taylor : Steve Sinclair. Julie London : Joan Blake. John Cassavetes : Tony Sinclair. Donald Crisp : M. Deneen. Charles McGraw : Larry Venables. Royal Dano : Clay Ellison. Richard Erdman : Dallas Hanson. Douglas Spencer : Hamp Scribner. Ray Teal : Brick Larson. Le genre : western. Tony Sinclair supporte de plus en plus difficilement l'autorité de son frère aîné, Steve. Pour affirmer son indépendance, il revient au ranch avec une jeune femme, Joan Blake. Ayant découvert la puissance que donnent les armes, Tony abat un tueur, Larry Venables, qui voulait se débarrasser de Steve. Les auteurs du film ont visiblement voulu échapper au classicisme du western traditionnel. Le personnage de Tony Sinclair, joué par un John Cassavetes fiévreux et menaçant, possède une violence et une nervosité habituelles au film policier, mais assez rares dans le western. A l'opposé de ce jeu survolté, Robert Taylor incarne un héros sobre et calme, précipité malgré lui dans un climat de violence de plus en plus inquiétant. Volontairement noir - même s'il est en Cinémascope et en couleurs -, Libre comme le vent est une oeuvre surprenante. A l'image de son final, qui se déroule dans un champ rempli de fleurs, elle joue sur les ruptures de ton, décrivant un Far West dans lequel les tensions apparaissent vite insurmontables et où le choc des générations est tout aussi tumulteux qu'en milieu urbain. Très curieux. André Moreau

Année : 1958

Antérieurement en 2018
 

Libre comme le vent

Télévision : 2 février 2018 à 13:35-15:20 sur Arte

film

Steve Sinclair, un ancien hors-la-loi, est devenu depuis quelques années un paisible fermier qui se contente de travailler ses terres. Lorsque son jeune frère Tony revient de la ville en compagnie d'une ravissante danseuse, Joan, il a un mauvais pressentiment. Tony vient d'acquérir un revolver dont il compte se servir à la première occasion. Et bientôt, au cours d'une bataille, il abat un desperado venu se quereller avec son frère. La réputation de tireur infaillible de la victime tourne la tête de Tony, qui décide de se livrer à d'autres exploits. Il s'en prend à un certain Clay Ellison, venu s'installer sur les terres qu'il revendique... Critique : Film de Robert Parrish (Saddle the wind, USA, 1957). Scénario : Rod Serling, d'après l'histoire de Thomas Thompson. Image : George J. Folsey. Musique : Elmer Bernstein. 95 mn. VM. Avec Robert Taylor : Steve Sinclair. Julie London : Joan Blake. John Cassavetes : Tony Sinclair. Donald Crisp : M. Deneen. Charles McGraw : Larry Venables. Royal Dano : Clay Ellison. Richard Erdman : Dallas Hanson. Douglas Spencer : Hamp Scribner. Ray Teal : Brick Larson. Le genre : western. Tony Sinclair supporte de plus en plus difficilement l'autorité de son frère aîné, Steve. Pour affirmer son indépendance, il revient au ranch avec une jeune femme, Joan Blake. Ayant découvert la puissance que donnent les armes, Tony abat un tueur, Larry Venables, qui voulait se débarrasser de Steve. Les auteurs du film ont visiblement voulu échapper au classicisme du western traditionnel. Le personnage de Tony Sinclair, joué par un John Cassavetes fiévreux et menaçant, possède une violence et une nervosité habituelles au film policier, mais assez rares dans le western. A l'opposé de ce jeu survolté, Robert Taylor incarne un héros sobre et calme, précipité malgré lui dans un climat de violence de plus en plus inquiétant. Volontairement noir - même s'il est en Cinémascope et en couleurs -, Libre comme le vent est une oeuvre surprenante. A l'image de son final, qui se déroule dans un champ rempli de fleurs, elle joue sur les ruptures de ton, décrivant un Far West dans lequel les tensions apparaissent vite insurmontables et où le choc des générations est tout aussi tumulteux qu'en milieu urbain. Très curieux. André Moreau

Année : 1958