Frank Cady : passages TV et derniers films au cinéma

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Récemment en janvier
 

Fenêtre sur cour

Télévision : 18 janvier à 13:35-15:35 sur Arte

film de suspense

Dans le quartier new-yorkais de Greenwich Village, par un été torride, le reporter photographe LB Jefferies se retrouve immobilisé dans son appartement après un accident. Seul avec le plâtre qui enserre sa jambe et le cloue dans son fauteuil, il s'ennuie. Pour tuer le temps, il épie ses voisins et pénètre chaque jour davantage dans leur intimité. C'est ainsi qu'il s'intéresse de plus en plus à Lars Thorwald, une sombre brute qu'il a surpris en train de se disputer avec sa femme. Il en vient à le soupçonner d'avoir assassiné la malheureuse. Lisa Fremont, qui visite souvent Jefferies, auquel elle porte une tendre attention, partage bientôt son obsession... - Critique : Immobilisé à cause d’une fracture de la jambe, Jeff, photographe, tue le temps en observant la cour de son immeuble. Il est vite persuadé que le voisin d’en face, qui se disputait fréquemment avec elle, a tué sa femme… Un ami détective ne le croit pas, mais sa fiancée, Lisa, accepte d’enquêter. C’est l’un des plus grands films de Hitchcock : à la fois une réflexion sur l’amour et sur le cinéma. Comme le note François Truffaut dans son recueil d’entretiens avec le maître, tous les voisins qu’observe James Stewart ont pour point commun l’amour : couple qui se dispute, jeunes mariés qui passent leurs journées au lit, ménage sans enfants, danseuse qui s’exhibe… Figures du désir ou de la pratique amoureuse qui renvoient le personnage principal à son propre problème : épousera-t-il ou non sa dulcinée ? Par ailleurs, sa position d’observateur immobile est celle du cinéphile : en multipliant les cadres — rectangulaires comme les fenêtres, ronds comme les jumelles ou les objectifs photographiques —, la mise en scène construit une ­série de mises en abyme. Le voyeurisme — et l’impuissance qu’il suggère — nie le réel de la relation amoureuse et constitue un exutoire fantasmatique du désir. Sous le polar, d’une maîtrise ­absolue, se cachent une fois de plus les obsessions de Hitchcock.

Année : 1954

Avec : Frank Cady, Georgine Darcy, Grace Kelly, James Stewart, Jesslyn Fax, Judith Evelyn, Rand Harper, Raymond Burr, Ross Bagdasarian, Sara Berner, Thelma Ritter, Wendell Corey

Récemment en janvier
 

Fenêtre sur cour

Télévision : 8 janvier à 13:35-15:45 sur Arte

film de suspense

Dans le quartier new-yorkais de Greenwich Village, par un été torride, le reporter photographe LB Jefferies se retrouve immobilisé dans son appartement après un accident. Seul avec le plâtre qui enserre sa jambe et le cloue dans son fauteuil, il s'ennuie. Pour tuer le temps, il épie ses voisins et pénètre chaque jour davantage dans leur intimité. C'est ainsi qu'il s'intéresse de plus en plus à Lars Thorwald, une sombre brute qu'il a surpris en train de se disputer avec sa femme. Il en vient à le soupçonner d'avoir assassiné la malheureuse. Lisa Fremont, qui visite souvent Jefferies, auquel elle porte une tendre attention, partage bientôt son obsession... - Critique : Immobilisé à cause d’une fracture de la jambe, Jeff, photographe, tue le temps en observant la cour de son immeuble. Il est vite persuadé que le voisin d’en face, qui se disputait fréquemment avec elle, a tué sa femme… Un ami détective ne le croit pas, mais sa fiancée, Lisa, accepte d’enquêter. C’est l’un des plus grands films de Hitchcock : à la fois une réflexion sur l’amour et sur le cinéma. Comme le note François Truffaut dans son recueil d’entretiens avec le maître, tous les voisins qu’observe James Stewart ont pour point commun l’amour : couple qui se dispute, jeunes mariés qui passent leurs journées au lit, ménage sans enfants, danseuse qui s’exhibe… Figures du désir ou de la pratique amoureuse qui renvoient le personnage principal à son propre problème : épousera-t-il ou non sa dulcinée ? Par ailleurs, sa position d’observateur immobile est celle du cinéphile : en multipliant les cadres — rectangulaires comme les fenêtres, ronds comme les jumelles ou les objectifs photographiques —, la mise en scène construit une ­série de mises en abyme. Le voyeurisme — et l’impuissance qu’il suggère — nie le réel de la relation amoureuse et constitue un exutoire fantasmatique du désir. Sous le polar, d’une maîtrise ­absolue, se cachent une fois de plus les obsessions de Hitchcock.

Année : 1954

Avec : Frank Cady, Georgine Darcy, Grace Kelly, James Stewart, Jesslyn Fax, Judith Evelyn, Rand Harper, Raymond Burr, Ross Bagdasarian, Sara Berner, Thelma Ritter, Wendell Corey

Récemment en janvier
 

Fenêtre sur cour

Télévision : 7 janvier à 21:00-22:50 sur Arte

film de suspense

Dans le quartier new-yorkais de Greenwich Village, par un été torride, le reporter photographe LB Jefferies se retrouve immobilisé dans son appartement après un accident. Seul avec le plâtre qui enserre sa jambe et le cloue dans son fauteuil, il s'ennuie. Pour tuer le temps, il épie ses voisins et pénètre chaque jour davantage dans leur intimité. C'est ainsi qu'il s'intéresse de plus en plus à Lars Thorwald, une sombre brute qu'il a surpris en train de se disputer avec sa femme. Il en vient à le soupçonner d'avoir assassiné la malheureuse. Lisa Fremont, qui visite souvent Jefferies, auquel elle porte une tendre attention, partage bientôt son obsession... - Critique : Immobilisé à cause d’une fracture de la jambe, Jeff, photographe, tue le temps en observant la cour de son immeuble. Il est vite persuadé que le voisin d’en face, qui se disputait fréquemment avec elle, a tué sa femme… Un ami détective ne le croit pas, mais sa fiancée, Lisa, accepte d’enquêter. C’est l’un des plus grands films de Hitchcock : à la fois une réflexion sur l’amour et sur le cinéma. Comme le note François Truffaut dans son recueil d’entretiens avec le maître, tous les voisins qu’observe James Stewart ont pour point commun l’amour : couple qui se dispute, jeunes mariés qui passent leurs journées au lit, ménage sans enfants, danseuse qui s’exhibe… Figures du désir ou de la pratique amoureuse qui renvoient le personnage principal à son propre problème : épousera-t-il ou non sa dulcinée ? Par ailleurs, sa position d’observateur immobile est celle du cinéphile : en multipliant les cadres — rectangulaires comme les fenêtres, ronds comme les jumelles ou les objectifs photographiques —, la mise en scène construit une ­série de mises en abyme. Le voyeurisme — et l’impuissance qu’il suggère — nie le réel de la relation amoureuse et constitue un exutoire fantasmatique du désir. Sous le polar, d’une maîtrise ­absolue, se cachent une fois de plus les obsessions de Hitchcock.

Année : 1954

Avec : Frank Cady, Georgine Darcy, Grace Kelly, James Stewart, Jesslyn Fax, Judith Evelyn, Rand Harper, Raymond Burr, Ross Bagdasarian, Sara Berner, Thelma Ritter, Wendell Corey

Antérieurement en 2022
 

La Guerre des mondes (1953) + Le Choc des mondes ...

DVD/Blu-ray : 9 novembre 2022

Editeur : Paramount Pictures France

Année : 1953

De : Byron Haskin, Rudolph Maté

Avec : Gene Barry, Ann Robinson, Les Tremayne, Robert Cornthwaite, Sandro Giglio, Lewis Martin, Houseley Stevenson Jr, Paul Frees, Richard Derr, Barbara Rush, Peter Hansen, John Hoyt, Larry Keating, Rachel Ames, Stephen Chase, Frank Cady, Hayden Rorke

Antérieurement en 2020
 

Le gouffre aux chimères

Télévision : 24 novembre 2020 à 00:00-01:50 sur France 5

Drame

Journaliste sans scrupules, Charles Tatum a connu quelques déboires à New York. Sans travail, alcoolique, il trouve enfin une occasion de renouer avec le métier. Il est embauché au Sun Bulletin d'Albuquerque, au Nouveau-Mexique. Parti avec Herbie Cook, un jeune photographe, pour faire un reportage sur la chasse aux serpents à sonnette, il s'arrête en cours de route à Escudero, où un homme vient d'être enseveli par un éboulement dans une grotte. Aveuglé par sa soif de réussite, Tatum met tout en oeuvre pour faire de ce dramatique incident un spectacle à rebondissements. Rien ne l'arrête. Ayant obtenu l'exclusivité du reportage, il devient le maître des opérations, poussant son avidité jusqu'à demander au shérif de ralentir les manoeuvres de sauvetage...

Année : 1951

De : Billy Wilder

Avec : Kirk Douglas, Robert Arthur, Jan Sterling, Porter Hall, Frank Cady, Richard Benedict, Ray Teal, Lewis Martin, John Berkes, Frances Dominguez, Harry Harvey, Edith Evanson

Antérieurement en 2020
 

Fenêtre sur cour

Télévision : 2 février 2020 à 20:55-22:45 sur Arte

Film de suspense

Dans le quartier new-yorkais de Greenwich Village, par un été torride, le reporter photographe LB Jefferies se retrouve immobilisé dans son appartement après un accident. Seul avec le plâtre qui enserre sa jambe et le cloue dans son fauteuil, il s'ennuie. Pour tuer le temps, il épie ses voisins et pénètre chaque jour davantage dans leur intimité. C'est ainsi qu'il s'intéresse de plus en plus à Lars Thorwald, une sombre brute qu'il a surpris en train de se disputer avec sa femme. Il en vient à le soupçonner d'avoir assassiné la malheureuse. Lisa Fremont, qui visite souvent Jefferies, auquel elle porte une tendre attention, partage bientôt son obsession...

Année : 1954

De : Alfred Hitchcock

Avec : James Stewart, Grace Kelly, Raymond Burr, Thelma Ritter, Wendell Corey, Judith Evelyn, Irene Winston, Georgine Darcy, Ross Bagdasarian, Sara Berner, Frank Cady, Rand Harper

Antérieurement en 2017