Télévision : 10 juin 2023 à 05:25-06:40 sur Arte
documentaire sport
Depuis que le Tour de France existe, le sommet du mont Ventoux a constitué huit fois l'arrivée d'une étape. Eddy Merckx l'a remportée en 1970, Jean-François Bernard en 1987, Marco Pantani en 2000, Richard Virenque en 2002, et Juan Manuel Garate en 2009. Mais lequel de ces vainqueurs fut le meilleur grimpeur ? En quoi leurs victoires respectives reflètent-elles l'évolution du cyclisme ? Grâce à un dispositif mêlant images d'archives, témoins et animations graphiques, ce documentaire crée une compétition imaginaire entre ces cinq géants de la montagne, pour offrir la plus grandiose des courses en même temps qu'une réflexion sur l'histoire du cyclisme.
Télévision : 21 août 2021 à 12:40-13:15 sur TF1 Séries Films
Série réaliste
Chaque épisode raconte une incroyable histoire de voisins : conflits de voisinage, amours interdites, secrets, jalousies... Nous les fréquentons chaque jour. Nous échangeons avec eux des politesses dans la cour d'immeuble ou par-dessus la haie. Nous imaginons leur intimité en les regardant par la fenêtre. La vie de nos voisins semble parfaitement normale... Mais les apparences sont trompeuses et derrière leurs murs, se cachent bien souvent d'incroyables histoires... Et vous, connaissez-vous vraiment vos voisins ? C'est tout l'univers de cette quotidienne.
Année : 2014
De : Philippe Roussel
Avec : François Bernard, Marcelline Collard, Tiffany Tourn, Christian Bobet
Télévision : 15 juillet 2018 à 01:45-03:00 sur Arte
documentaire : sport
Depuis que le Tour de France existe, le sommet du mont Ventoux a constitué huit fois l'arrivée d'une étape. Eddy Merckx l'a remportée en 1970, Jean-François Bernard en 1987, Marco Pantani en 2000, Richard Virenque en 2002, et Juan Manuel Garate en 2009. Mais lequel de ces vainqueurs fut le meilleur grimpeur ? En quoi leurs victoires respectives reflètent-elles l'évolution du cyclisme ? Grâce à un dispositif mêlant images d'archives, témoins et animations graphiques, ce documentaire crée une compétition imaginaire entre ces cinq géants de la montagne, pour offrir la plus grandiose des courses en même temps qu'une réflexion sur l'histoire du cyclisme. Critique : Ce dimanche, pendant que les coureurs du Tour affronteront cinq cols pyrénéens, c'est en Provence qu'Arte nous propose de suivre cinq de leurs grands aînés dans la conquête du mont Ventoux, surnommé le « mont Chauve » en raison de son aspect lunaire. Cinq champions qui y remportèrent une victoire — Eddy Merckx (en 1970), Jean-François Bernard (en 1987), Marco Pantani (en 2000), Richard Virenque (en 2002) et Juan Manuel Garate (en 2009) — et qui se jetteront virtuellement dans un même élan à l'assaut de ce sommet de légende. Curieux objet que ce Roi du mont Ventoux, montage d'archives qui se propose de jouer l'affrontement entre des cyclistes d'époques très différentes sur un même parcours. Curieux et raté, comme on pouvait s'y attendre, tant le pari était impossible à tenir. Tant un montage, même excellent, n'était en mesure de pallier l'incompatibilité formelle des images exploitées. Archives couleurs et noir et blanc, elles accusent des différences de texture visuelle et d'options de cadrage qui empêchent l'homogénéité nécessaire à l'élaboration d'un récit auquel se laisser prendre. Sur le déroulement heurté de cette course, les commentaires de deux journalistes sportifs manquent trop de spontanéité pour suggérer un effet de direct. Effet définitivement annulé par les incursions de Bernard, Virenque, Garate et du directeur sportif de Pantani, qui témoignent au passé tout au long de ce film en butte à d'incessantes ruptures de temporalité. — François Ekchajzer
Année : 2013
De : Fons Feyaerts
Télévision : 15 juillet 2018 à 01:25-02:40 sur Arte
documentaire : sport
Depuis que le Tour de France existe, le sommet du mont Ventoux a constitué huit fois l'arrivée d'une étape. Eddy Merckx l'a remportée en 1970, Jean-François Bernard en 1987, Marco Pantani en 2000, Richard Virenque en 2002, et Juan Manuel Garate en 2009. Mais lequel de ces vainqueurs fut le meilleur grimpeur ? En quoi leurs victoires respectives reflètent-elles l'évolution du cyclisme ? Grâce à un dispositif mêlant images d'archives, témoins et animations graphiques, ce documentaire crée une compétition imaginaire entre ces cinq géants de la montagne, pour offrir la plus grandiose des courses en même temps qu'une réflexion sur l'histoire du cyclisme. Critique : Ce dimanche, pendant que les coureurs du Tour affronteront cinq cols pyrénéens, c'est en Provence qu'Arte nous propose de suivre cinq de leurs grands aînés dans la conquête du mont Ventoux, surnommé le « mont Chauve » en raison de son aspect lunaire. Cinq champions qui y remportèrent une victoire — Eddy Merckx (en 1970), Jean-François Bernard (en 1987), Marco Pantani (en 2000), Richard Virenque (en 2002) et Juan Manuel Garate (en 2009) — et qui se jetteront virtuellement dans un même élan à l'assaut de ce sommet de légende. Curieux objet que ce Roi du mont Ventoux, montage d'archives qui se propose de jouer l'affrontement entre des cyclistes d'époques très différentes sur un même parcours. Curieux et raté, comme on pouvait s'y attendre, tant le pari était impossible à tenir. Tant un montage, même excellent, n'était en mesure de pallier l'incompatibilité formelle des images exploitées. Archives couleurs et noir et blanc, elles accusent des différences de texture visuelle et d'options de cadrage qui empêchent l'homogénéité nécessaire à l'élaboration d'un récit auquel se laisser prendre. Sur le déroulement heurté de cette course, les commentaires de deux journalistes sportifs manquent trop de spontanéité pour suggérer un effet de direct. Effet définitivement annulé par les incursions de Bernard, Virenque, Garate et du directeur sportif de Pantani, qui témoignent au passé tout au long de ce film en butte à d'incessantes ruptures de temporalité. — François Ekchajzer
Année : 2013
De : Fons Feyaerts
Télévision : 7 juillet 2018 à 07:10-08:25 sur Arte
documentaire : sport
Depuis que le Tour de France existe, le sommet du mont Ventoux a constitué huit fois l'arrivée d'une étape. Eddy Merckx l'a remportée en 1970, Jean-François Bernard en 1987, Marco Pantani en 2000, Richard Virenque en 2002, et Juan Manuel Garate en 2009. Mais lequel de ces vainqueurs fut le meilleur grimpeur ? En quoi leurs victoires respectives reflètent-elles l'évolution du cyclisme ? Grâce à un dispositif mêlant images d'archives, témoins et animations graphiques, ce documentaire crée une compétition imaginaire entre ces cinq géants de la montagne, pour offrir la plus grandiose des courses en même temps qu'une réflexion sur l'histoire du cyclisme. Critique : Ce dimanche, pendant que les coureurs du Tour affronteront cinq cols pyrénéens, c'est en Provence qu'Arte nous propose de suivre cinq de leurs grands aînés dans la conquête du mont Ventoux, surnommé le « mont Chauve » en raison de son aspect lunaire. Cinq champions qui y remportèrent une victoire — Eddy Merckx (en 1970), Jean-François Bernard (en 1987), Marco Pantani (en 2000), Richard Virenque (en 2002) et Juan Manuel Garate (en 2009) — et qui se jetteront virtuellement dans un même élan à l'assaut de ce sommet de légende. Curieux objet que ce Roi du mont Ventoux, montage d'archives qui se propose de jouer l'affrontement entre des cyclistes d'époques très différentes sur un même parcours. Curieux et raté, comme on pouvait s'y attendre, tant le pari était impossible à tenir. Tant un montage, même excellent, n'était en mesure de pallier l'incompatibilité formelle des images exploitées. Archives couleurs et noir et blanc, elles accusent des différences de texture visuelle et d'options de cadrage qui empêchent l'homogénéité nécessaire à l'élaboration d'un récit auquel se laisser prendre. Sur le déroulement heurté de cette course, les commentaires de deux journalistes sportifs manquent trop de spontanéité pour suggérer un effet de direct. Effet définitivement annulé par les incursions de Bernard, Virenque, Garate et du directeur sportif de Pantani, qui témoignent au passé tout au long de ce film en butte à d'incessantes ruptures de temporalité. — François Ekchajzer
Année : 2013
De : Fons Feyaerts
Télévision : 1er juillet 2018 à 14:50-16:05 sur Arte
documentaire : sport
Depuis que le Tour de France existe, le sommet du mont Ventoux a constitué huit fois l'arrivée d'une étape. Eddy Merckx l'a remportée en 1970, Jean-François Bernard en 1987, Marco Pantani en 2000, Richard Virenque en 2002, et Juan Manuel Garate en 2009. Mais lequel de ces vainqueurs fut le meilleur grimpeur ? En quoi leurs victoires respectives reflètent-elles l'évolution du cyclisme ? Grâce à un dispositif mêlant images d'archives, témoins et animations graphiques, ce documentaire crée une compétition imaginaire entre ces cinq géants de la montagne, pour offrir la plus grandiose des courses en même temps qu'une réflexion sur l'histoire du cyclisme. Critique : Ce dimanche, pendant que les coureurs du Tour affronteront cinq cols pyrénéens, c'est en Provence qu'Arte nous propose de suivre cinq de leurs grands aînés dans la conquête du mont Ventoux, surnommé le « mont Chauve » en raison de son aspect lunaire. Cinq champions qui y remportèrent une victoire — Eddy Merckx (en 1970), Jean-François Bernard (en 1987), Marco Pantani (en 2000), Richard Virenque (en 2002) et Juan Manuel Garate (en 2009) — et qui se jetteront virtuellement dans un même élan à l'assaut de ce sommet de légende. Curieux objet que ce Roi du mont Ventoux, montage d'archives qui se propose de jouer l'affrontement entre des cyclistes d'époques très différentes sur un même parcours. Curieux et raté, comme on pouvait s'y attendre, tant le pari était impossible à tenir. Tant un montage, même excellent, n'était en mesure de pallier l'incompatibilité formelle des images exploitées. Archives couleurs et noir et blanc, elles accusent des différences de texture visuelle et d'options de cadrage qui empêchent l'homogénéité nécessaire à l'élaboration d'un récit auquel se laisser prendre. Sur le déroulement heurté de cette course, les commentaires de deux journalistes sportifs manquent trop de spontanéité pour suggérer un effet de direct. Effet définitivement annulé par les incursions de Bernard, Virenque, Garate et du directeur sportif de Pantani, qui témoignent au passé tout au long de ce film en butte à d'incessantes ruptures de temporalité. — François Ekchajzer
Année : 2013
De : Fons Feyaerts
Télévision : 29 juin 2018 à 23:05-00:20 sur Arte
documentaire : sport
Depuis que le Tour de France existe, le sommet du mont Ventoux a constitué huit fois l'arrivée d'une étape. Eddy Merckx l'a remportée en 1970, Jean-François Bernard en 1987, Marco Pantani en 2000, Richard Virenque en 2002, et Juan Manuel Garate en 2009. Mais lequel de ces vainqueurs fut le meilleur grimpeur ? En quoi leurs victoires respectives reflètent-elles l'évolution du cyclisme ? Grâce à un dispositif mêlant images d'archives, témoins et animations graphiques, ce documentaire crée une compétition imaginaire entre ces cinq géants de la montagne, pour offrir la plus grandiose des courses en même temps qu'une réflexion sur l'histoire du cyclisme. Critique : Ce dimanche, pendant que les coureurs du Tour affronteront cinq cols pyrénéens, c'est en Provence qu'Arte nous propose de suivre cinq de leurs grands aînés dans la conquête du mont Ventoux, surnommé le « mont Chauve » en raison de son aspect lunaire. Cinq champions qui y remportèrent une victoire — Eddy Merckx (en 1970), Jean-François Bernard (en 1987), Marco Pantani (en 2000), Richard Virenque (en 2002) et Juan Manuel Garate (en 2009) — et qui se jetteront virtuellement dans un même élan à l'assaut de ce sommet de légende. Curieux objet que ce Roi du mont Ventoux, montage d'archives qui se propose de jouer l'affrontement entre des cyclistes d'époques très différentes sur un même parcours. Curieux et raté, comme on pouvait s'y attendre, tant le pari était impossible à tenir. Tant un montage, même excellent, n'était en mesure de pallier l'incompatibilité formelle des images exploitées. Archives couleurs et noir et blanc, elles accusent des différences de texture visuelle et d'options de cadrage qui empêchent l'homogénéité nécessaire à l'élaboration d'un récit auquel se laisser prendre. Sur le déroulement heurté de cette course, les commentaires de deux journalistes sportifs manquent trop de spontanéité pour suggérer un effet de direct. Effet définitivement annulé par les incursions de Bernard, Virenque, Garate et du directeur sportif de Pantani, qui témoignent au passé tout au long de ce film en butte à d'incessantes ruptures de temporalité. — François Ekchajzer
Année : 2013
De : Fons Feyaerts