Folker Bohnet : passages TV et dernières sorties DVD/Blu-ray

Créez gratuitement votre compte Evernext pour être averti de toutes les actualités de Folker Bohnet.

Créer mon compte

Antérieurement en 2023
 

Ludwig ou le crépuscule des dieux

Télévision : 28 mai 2023 à 22:45-00:45 sur Arte

film : biographie

Le roi Louis II se retrouve de plus en plus seul et incompris. Pour fuir son malaise, il entreprend la construction d'une série d'extravagants châteaux, que les finances du royaume supportent mal. Les ministres du roi expriment en catimini leur indignation face à un tel gâchis somptuaire alors que l'époque favorise si splendidement les investissements productifs. C'est alors que Louis II fait la connaissance du comédien Joseph Kainz et l'invite au château de Linderhof. Mais, peu à peu, la santé mentale du roi s'altère. Un soir, sur l'île aux Roses, Louis s'éprend de Hornig, un de ses jeunes valets. La prostituée qu'on lui avait envoyée avant son mariage pour le "former" n'aura décidément servi à rien...

Année : 1973

Avec : Folker Bohnet, Gert Fröbe, Helmut Berger, Helmut Griem, Howard Trevor, Izabella Telezynska, John Moulder-Brown, Nora Ricci, Romy Schneider, Silvana Mangano, Sonia Petrova, Umberto Orsini

Antérieurement en 2023
 

Le pont

Télévision : 22 mai 2023 à 13:35-15:40 sur Arte

film de guerre

Allemagne, 1945. Sept adolescents vivent, relativement heureux, dans un village encore épargné par la guerre. Quand le IIIe Reich agonisant les appelle sous les drapeaux, ils saisissent fièrement cette occasion de devenir des "hommes". Leur professeur intervient juste avant leur incorporation pour que les missions les plus périlleuses leur soient épargnées. Alors que leur régiment part au front, l'officier qui le dirige les charge d'une tâche qu'il espère sans danger, la garde d'un pont qui n'a, a priori, aucune importance stratégique. A l'aube, alors que le sous-officier qui les accompagnait a été tué, un avion américain les mitraille... - Critique : En avril 1945, juste avant la capitulation, Hitler décide de sacrifier la jeunesse allemande. Dans une petite ville, sept adolescents mènent une existence presque normale malgré les bombardements alliés. Avec un style proche du réalisme anglais à la Karel Reisz, Bernhard Wicki décrit leur vie insouciante, entre flirts et blagues potaches. Les jeunes attendent leur ordre de mobilisation avec impatience, persuadés que la guerre, c’est comme jouer aux cow-boys et aux Indiens. Puis, dans une caserne, que le cinéaste filme comme une école, ils reçoivent un entraînement de pacotille. « Tu comptes en faire des soldats ? » demande un type à l’instructeur. Réponse : « Non »… Classique du cinéma allemand pacifiste d’après-guerre, Le Pont tire sa force de son basculement progressif dans l’horreur. On confie aux gamins une mission absurde : protéger un pont promis à la destruction. Après une superbe séquence de nuit à la limite de l’expressionnisme, où les visages blancs, ceux des innocents, transpercent la nuit noire, les sept prennent la guerre en pleine face — voir le gros plan sur la mitrailleuse d’un avion. C’est le même type de mise en scène percutante (chars américains contre garçons en pleurs) qui est à l’œuvre lors de l’affrontement final, qui, plus de soixante ans après, reste d’une violence inouïe.

Année : 1959

De : Bernhard Wicki

Avec : Edith Schultze-Westrum, Folker Bohnet, Frank Glaubrecht, Fritz Wepper, Günter Pfitzmann, Günther Hoffmann, Hinz Michael, Karl Michael Balzer, Trantow Cordula, Vicco von Bülow, Volker Lechtenbrink, Wolfgang Stumpf

Antérieurement en 2023
 

Le pont

Télévision : 11 mai 2023 à 13:35-15:40 sur Arte

film de guerre

Allemagne, 1945. Sept adolescents vivent, relativement heureux, dans un village encore épargné par la guerre. Quand le IIIe Reich agonisant les appelle sous les drapeaux, ils saisissent fièrement cette occasion de devenir des "hommes". Leur professeur intervient juste avant leur incorporation pour que les missions les plus périlleuses leur soient épargnées. Alors que leur régiment part au front, l'officier qui le dirige les charge d'une tâche qu'il espère sans danger, la garde d'un pont qui n'a, a priori, aucune importance stratégique. A l'aube, alors que le sous-officier qui les accompagnait a été tué, un avion américain les mitraille... - Critique : En avril 1945, juste avant la capitulation, Hitler décide de sacrifier la jeunesse allemande. Dans une petite ville, sept adolescents mènent une existence presque normale malgré les bombardements alliés. Avec un style proche du réalisme anglais à la Karel Reisz, Bernhard Wicki décrit leur vie insouciante, entre flirts et blagues potaches. Les jeunes attendent leur ordre de mobilisation avec impatience, persuadés que la guerre, c’est comme jouer aux cow-boys et aux Indiens. Puis, dans une caserne, que le cinéaste filme comme une école, ils reçoivent un entraînement de pacotille. « Tu comptes en faire des soldats ? » demande un type à l’instructeur. Réponse : « Non »… Classique du cinéma allemand pacifiste d’après-guerre, Le Pont tire sa force de son basculement progressif dans l’horreur. On confie aux gamins une mission absurde : protéger un pont promis à la destruction. Après une superbe séquence de nuit à la limite de l’expressionnisme, où les visages blancs, ceux des innocents, transpercent la nuit noire, les sept prennent la guerre en pleine face — voir le gros plan sur la mitrailleuse d’un avion. C’est le même type de mise en scène percutante (chars américains contre garçons en pleurs) qui est à l’œuvre lors de l’affrontement final, qui, plus de soixante ans après, reste d’une violence inouïe.

Année : 1959

De : Bernhard Wicki

Avec : Edith Schultze-Westrum, Folker Bohnet, Frank Glaubrecht, Fritz Wepper, Günter Pfitzmann, Günther Hoffmann, Hinz Michael, Karl Michael Balzer, Trantow Cordula, Vicco von Bülow, Volker Lechtenbrink, Wolfgang Stumpf

Antérieurement en 2023
 

Le pont

Télévision : 8 mai 2023 à 20:50-22:30 sur Arte

film de guerre

Allemagne, 1945. Sept adolescents vivent, relativement heureux, dans un village encore épargné par la guerre. Quand le IIIe Reich agonisant les appelle sous les drapeaux, ils saisissent fièrement cette occasion de devenir des "hommes". Leur professeur intervient juste avant leur incorporation pour que les missions les plus périlleuses leur soient épargnées. Alors que leur régiment part au front, l'officier qui le dirige les charge d'une tâche qu'il espère sans danger, la garde d'un pont qui n'a, a priori, aucune importance stratégique. A l'aube, alors que le sous-officier qui les accompagnait a été tué, un avion américain les mitraille... - Critique : | Genre : enfant soldat En avril 1945, juste avant la capitulation, Hitler décide de sacrifier la jeunesse allemande. Dans une petite ville, sept adolescents mènent une existence presque normale malgré les bombardements alliés. Avec un style proche du réalisme anglais (celui de Karel Reisz), Bernhard Wicki décrit leur vie insouciante, entre flirts et blagues potaches. Ils attendent leur ordre de mobilisation avec impatience, persuadés que la guerre, c'est comme jouer aux cow-boys et aux Indiens. Puis, dans une caserne, que le cinéaste filme comme une école, ils reçoivent un entraînement de pacotille. « Tu comptes en faire des soldats ? », demande un type à l'instructeur. Réponse : « Non »... Classique du cinéma allemand pacifiste d'après-guerre, Le Pont tire sa force de son basculement progressif dans l'horreur. On confie aux gamins une mission absurde : protéger un pont promis à la destruction. Après une superbe séquence de nuit à la limite de l'expressionnisme, où les visages blancs, ceux des innocents, transpercent la nuit noire, les sept prennent la guerre en pleine face — voir le gros plan sur la mitrailleuse d'un avion. C'est le même type de mise en scène percutante (chars américains contre garçons en pleurs) qui est à l'oeuvre lors de l'affrontement final, qui, plus de cinquante ans après, reste d'une violence inouïe. — Nicolas Didier

Année : 1959

De : Bernhard Wicki

Avec : Edith Schultze-Westrum, Folker Bohnet, Frank Glaubrecht, Fritz Wepper, Günter Pfitzmann, Günther Hoffmann, Hinz Michael, Karl Michael Balzer, Trantow Cordula, Vicco von Bülow, Volker Lechtenbrink, Wolfgang Stumpf

Antérieurement en 2019
 

Ludwig ou le crépuscule des dieux

Télévision : 29 décembre 2019 à 12:15-16:00 sur Arte

Biographie

En 1864, le couronnement de Louis II de Bavière se déroule en grande pompe. Vingt-deux ans plus tard, en 1886, le roi est arrêté et interné au château de Berg, où il mourra dans des conditions restées obscures. Entre ces deux dates, l'homme ne cessera de s'enfoncer dans une lente décrépitude, physique et mentale, répondant étrangement, comme en écho, à l'agonie d'un royaume de Bavière peu à peu englouti par l'hégémonie prussienne. Très vite, Louis II, abandonnant les rênes du pouvoir aux mains de ses ministres, se consacra à combler de faveurs Wagner, à qui il vouait une admiration sans bornes, et à rechercher «son bonheur dans l'impossible», notamment auprès de sa cousine Elisabeth d'Autriche...

Année : 1973

De : Luchino Visconti

Avec : Helmut Berger, Romy Schneider, Trevor Howard, Silvana Mangano, Sonia Petrova, Helmut Griem, Gert Fröbe, Umberto Orsini, Izabella Telezynska, John Moulder-Brown, Folker Bohnet, Heinz Moog

Antérieurement en 2019
 

Ludwig ou le crépuscule des dieux

Télévision : 15 décembre 2019 à 20:55-00:45 sur Arte

Biographie

En 1864, le couronnement de Louis II de Bavière se déroule en grande pompe. Vingt-deux ans plus tard, en 1886, le roi est arrêté et interné au château de Berg, où il mourra dans des conditions restées obscures. Entre ces deux dates, l'homme ne cessera de s'enfoncer dans une lente décrépitude, physique et mentale, répondant étrangement, comme en écho, à l'agonie d'un royaume de Bavière peu à peu englouti par l'hégémonie prussienne. Très vite, Louis II, abandonnant les rênes du pouvoir aux mains de ses ministres, se consacra à combler de faveurs Wagner, à qui il vouait une admiration sans bornes, et à rechercher «son bonheur dans l'impossible», notamment auprès de sa cousine Elisabeth d'Autriche...

Année : 1973

De : Luchino Visconti

Avec : Helmut Berger, Romy Schneider, Trevor Howard, Silvana Mangano, Sonia Petrova, Helmut Griem, Gert Fröbe, Umberto Orsini, Izabella Telezynska, John Moulder-Brown, Folker Bohnet, Heinz Moog

Antérieurement en 2017
 
Antérieurement en 2017