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Antérieurement en 2022
 

La route des Indes

Télévision : 14 juin 2022 à 13:35-16:25 sur Arte

film : drame

Dans les années 20, Adela Quested arrive aux Indes en compagnie d'une vieille dame, madame Moore, sa future belle-mère. Elle vient retrouver Ronny, son fiancé, qui exerce les fonctions de juge à Chandrapore, une petite ville de province. Les deux femmes refusent de se laisser enfermer dans le petit monde des colons et n'ont qu'un souhait : plonger dans cette Inde chatoyante et mystérieuse qu'elles découvrent et qui les fascine. Elles font la connaissance de deux Indiens : Aziz, un jeune médecin, et Godbole, un vieux brahmane. Devenu leur ami, Aziz leur propose de leur faire découvrir les merveilleuses grottes de Marabar. Peu à peu, Adela s'éloigne de Ronny... - Critique : Film de David Lean (A passage to India, Grande-Bretagne, 1984). Scénario : D. Lean, d'après E.M. Forster. Image : Ernest Day. Musique : Maurice Jarre. 165 mn. VM. Avec Peggy Ashcroft : madame Moore. Judy Davis : Adela Quested. James Fox : Richard Fielding. Richard Wilson : Turton. Alec Guinness : Godbole. Victor Banerjee : le docteur Aziz. Nigel Havers : Ronny Heaslop. Antonia Pemberton : madame Turton. Genre : grand spectacle. Dans les années 20, Adela Quested arrive en Inde, avec la mère de son fiancé Ronny Moore. Elles décident d'échapper au petit monde des colons et veulent découvrir l'« Inde profonde ». Accompagnées de deux Indiens, le Dr Aziz et le vieux professeur Godbole, elles font une excursion aux grottes de Malabar. Au retour, Adela accuse Aziz d'avoir tenté de la violer. A la fin de sa carrière, David Lean s'est fait une spécialité des grands films épiques. La Route des Indes fut son dernier film ; il avait 77 ans. Insensible aux modes, il a filmé ­cette adaptation d'un roman d'E.M. For­ster avec un lyrisme discret. La lenteur du rythme surprend. Mais elle est nécessaire, car David Lean veut faire ressentir une atmosphère, une interrogation qui sont le quotidien de ses personnages. Pour montrer deux mondes fermés sur eux-mêmes et qui n'arrivent pas à communiquer, il nous installe dans des paysages qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Une excursion aux grottes, une promenade solitaire à bicyclette et la découverte d'un temple enfoui dans la végétation : ces moments-là nous plongent dans un univers sensuel et magique. Le cinéaste se perd parfois dans des séquences plus explicatives. Le « passage » du titre original renvoie à un passage intérieur autant qu'à une route. C'est donc une oeuvre en demi-­teinte dont un trop petit écran peut amoindrir la splendeur visuelle. Philippe Piazzo

Année : 1984

De : David Lean

Avec : Alec Guinness, Antonia Pemberton, Art Malik, Clive Swift, James Fox, Judy Davis, Michael Culver, Nigel Havers, Peggy Ashcroft, Richard Wilson, Sandra Hotz, Victor Banerjee

Antérieurement en 2022
 

La route des Indes

Télévision : 12 juin 2022 à 21:00-23:40 sur Arte

film : drame

Dans les années 20, Adela Quested arrive aux Indes en compagnie d'une vieille dame, madame Moore, sa future belle-mère. Elle vient retrouver Ronny, son fiancé, qui exerce les fonctions de juge à Chandrapore, une petite ville de province. Les deux femmes refusent de se laisser enfermer dans le petit monde des colons et n'ont qu'un souhait : plonger dans cette Inde chatoyante et mystérieuse qu'elles découvrent et qui les fascine. Elles font la connaissance de deux Indiens : Aziz, un jeune médecin, et Godbole, un vieux brahmane. Devenu leur ami, Aziz leur propose de leur faire découvrir les merveilleuses grottes de Marabar. Peu à peu, Adela s'éloigne de Ronny... - Critique : Film de David Lean (A passage to India, Grande-Bretagne, 1984). Scénario : D. Lean, d'après E.M. Forster. Image : Ernest Day. Musique : Maurice Jarre. 165 mn. VM. Avec Peggy Ashcroft : madame Moore. Judy Davis : Adela Quested. James Fox : Richard Fielding. Richard Wilson : Turton. Alec Guinness : Godbole. Victor Banerjee : le docteur Aziz. Nigel Havers : Ronny Heaslop. Antonia Pemberton : madame Turton. Genre : grand spectacle. Dans les années 20, Adela Quested arrive en Inde, avec la mère de son fiancé Ronny Moore. Elles décident d'échapper au petit monde des colons et veulent découvrir l'« Inde profonde ». Accompagnées de deux Indiens, le Dr Aziz et le vieux professeur Godbole, elles font une excursion aux grottes de Malabar. Au retour, Adela accuse Aziz d'avoir tenté de la violer. A la fin de sa carrière, David Lean s'est fait une spécialité des grands films épiques. La Route des Indes fut son dernier film ; il avait 77 ans. Insensible aux modes, il a filmé ­cette adaptation d'un roman d'E.M. For­ster avec un lyrisme discret. La lenteur du rythme surprend. Mais elle est nécessaire, car David Lean veut faire ressentir une atmosphère, une interrogation qui sont le quotidien de ses personnages. Pour montrer deux mondes fermés sur eux-mêmes et qui n'arrivent pas à communiquer, il nous installe dans des paysages qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Une excursion aux grottes, une promenade solitaire à bicyclette et la découverte d'un temple enfoui dans la végétation : ces moments-là nous plongent dans un univers sensuel et magique. Le cinéaste se perd parfois dans des séquences plus explicatives. Le « passage » du titre original renvoie à un passage intérieur autant qu'à une route. C'est donc une oeuvre en demi-­teinte dont un trop petit écran peut amoindrir la splendeur visuelle. Philippe Piazzo

Année : 1984

De : David Lean

Avec : Alec Guinness, Antonia Pemberton, Art Malik, Clive Swift, James Fox, Judy Davis, Michael Culver, Nigel Havers, Peggy Ashcroft, Richard Wilson, Sandra Hotz, Victor Banerjee

Antérieurement en 2018
 

Chapeau melon et bottes de cuir

Télévision : 19 juillet 2018 à 11:55-12:50 sur Arte

série policière

Obsession - Saison : 8 - Episode : 5 - Steed demande à Purdey de se joindre à une équipe de gardes du corps chargée de la protection d'un important dignitaire arabe. A la stupéfaction de John et Gambit, la jeune femme refuse la mission. Elle leur explique que sept ans plus tôt, le père de Larry, son ex-mari, a été assassiné par des soldats arabes alors qu'il était en train de dépanner une société pétrolière. Purdey avait alors empêché son mari de se venger. L'enquête va peu à peu remettre les héros sur la piste de ce Larry, pour qui la vengeance est un plat qui se mange froid. Son objectif est à présent de lancer un missile sur le parlement de Londres, au moment où le dignitaire arabe doit s'y rendre en visite... Critique : Magie d'une télé qui recycle à l'infini les pépites des années 1970. Parapluie au bras, Steed poursuit inlassablement les savant fous. Emma Peel s'est fait la malle, replacée par Purdey – alias Joanna Lumley, la foldingue d'Absolutely fabulous. Absolument indémodable.

De : Ernest Day

Avec : Patrick Macnee, Joanna Lumley, Gareth Hunt, Martin Shaw, Mark Kingston, Lewis Collins, Tommy Boyle, Anthony Heaton

Antérieurement en 2018
 

Chapeau melon et bottes de cuir

Télévision : 18 juillet 2018 à 11:05-11:55 sur Arte

série policière

Les anges de la mort - Saison : 8 - Episode : 2 - Martin, un agent secret, franchit la frontière entre l'Est et l'Ouest par un poste isolé. Il est abattu par un tireur embusqué. John Steed et Purdey, présents au moment du drame, se précipitent à ses côtés. Ses dernières paroles avant de mourir, recueillies par Steed et Purdey, concernent de mystérieux «anges de la mort»...

De : Ernest Day

Avec : Patrick Macnee, Joanna Lumley, Gareth Hunt, Anthony Bailey, Lindsay Duncan, Moira Foot, Melissa Stribling, Christopher Driscoll

Antérieurement en 2018
 

La route des Indes

Télévision : 18 juin 2018 à 20:55-23:35 sur France ô

film : drame

Années 1920. Deux Anglaises découvrent les Indes. Pour montrer deux mondes qui n'arrivent pas à communiquer, David Lean nous installe dans des paysages superbes qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Critique : Film de David Lean (A passage to India, Grande-Bretagne, 1984). Scénario : D. Lean, d'après E.M. Forster. Image : Ernest Day. Musique : Maurice Jarre. 165 mn. VM. Avec Peggy Ashcroft : madame Moore. Judy Davis : Adela Quested. James Fox : Richard Fielding. Richard Wilson : Turton. Alec Guinness : Godbole. Victor Banerjee : le docteur Aziz. Nigel Havers : Ronny Heaslop. Antonia Pemberton : madame Turton. Genre : grand spectacle. Dans les années 20, Adela Quested arrive en Inde, avec la mère de son fiancé Ronny Moore. Elles décident d'échapper au petit monde des colons et veulent découvrir l'« Inde profonde ». Accompagnées de deux Indiens, le Dr Aziz et le vieux professeur Godbole, elles font une excursion aux grottes de Malabar. Au retour, Adela accuse Aziz d'avoir tenté de la violer. A la fin de sa carrière, David Lean s'est fait une spécialité des grands films épiques. La Route des Indes fut son dernier film ; il avait 77 ans. Insensible aux modes, il a filmé ­cette adaptation d'un roman d'E.M. For­ster avec un lyrisme discret. La lenteur du rythme surprend. Mais elle est nécessaire, car David Lean veut faire ressentir une atmosphère, une interrogation qui sont le quotidien de ses personnages. Pour montrer deux mondes fermés sur eux-mêmes et qui n'arrivent pas à communiquer, il nous installe dans des paysages qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Une excursion aux grottes, une promenade solitaire à bicyclette et la découverte d'un temple enfoui dans la végétation : ces moments-là nous plongent dans un univers sensuel et magique. Le cinéaste se perd parfois dans des séquences plus explicatives. Le « passage » du titre original renvoie à un passage intérieur autant qu'à une route. C'est donc une oeuvre en demi-­teinte dont un trop petit écran peut amoindrir la splendeur visuelle. Philippe Piazzo

Année : 1984

Avec : David Lean, Judy Davis, Peggy Ashcroft, Alec Guinness, Nigel Havers, Victor Banerjee, James Fox, Richard Wilson, Antonia Pemberton, Maurice Jarre, David Lean, EM Forster, Sanha Rama Rauu, John Box, Ernest Day

Antérieurement en 2018
 

La route des Indes

Télévision : 7 mai 2018 à 23:00-01:40 sur France ô

film : drame

Années 1920. Deux Anglaises découvrent les Indes. Pour montrer deux mondes qui n'arrivent pas à communiquer, David Lean nous installe dans des paysages superbes qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Critique : Film de David Lean (A passage to India, Grande-Bretagne, 1984). Scénario : D. Lean, d'après E.M. Forster. Image : Ernest Day. Musique : Maurice Jarre. 165 mn. VM. Avec Peggy Ashcroft : madame Moore. Judy Davis : Adela Quested. James Fox : Richard Fielding. Richard Wilson : Turton. Alec Guinness : Godbole. Victor Banerjee : le docteur Aziz. Nigel Havers : Ronny Heaslop. Antonia Pemberton : madame Turton. Genre : grand spectacle. Dans les années 20, Adela Quested arrive en Inde, avec la mère de son fiancé Ronny Moore. Elles décident d'échapper au petit monde des colons et veulent découvrir l'« Inde profonde ». Accompagnées de deux Indiens, le Dr Aziz et le vieux professeur Godbole, elles font une excursion aux grottes de Malabar. Au retour, Adela accuse Aziz d'avoir tenté de la violer. A la fin de sa carrière, David Lean s'est fait une spécialité des grands films épiques. La Route des Indes fut son dernier film ; il avait 77 ans. Insensible aux modes, il a filmé ­cette adaptation d'un roman d'E.M. For­ster avec un lyrisme discret. La lenteur du rythme surprend. Mais elle est nécessaire, car David Lean veut faire ressentir une atmosphère, une interrogation qui sont le quotidien de ses personnages. Pour montrer deux mondes fermés sur eux-mêmes et qui n'arrivent pas à communiquer, il nous installe dans des paysages qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Une excursion aux grottes, une promenade solitaire à bicyclette et la découverte d'un temple enfoui dans la végétation : ces moments-là nous plongent dans un univers sensuel et magique. Le cinéaste se perd parfois dans des séquences plus explicatives. Le « passage » du titre original renvoie à un passage intérieur autant qu'à une route. C'est donc une oeuvre en demi-­teinte dont un trop petit écran peut amoindrir la splendeur visuelle. Philippe Piazzo

Année : 1984

Avec : David Lean, Judy Davis, Peggy Ashcroft, Alec Guinness, Nigel Havers, Victor Banerjee, James Fox, Richard Wilson, Antonia Pemberton, Maurice Jarre, David Lean, EM Forster, Sanha Rama Rauu, John Box, Ernest Day, Michael Culver, Art Malik, Saeed Jaffrey, Clive Swift

Antérieurement en 2018
 

La route des Indes

Télévision : 7 mai 2018 à 23:00-01:35 sur France ô

film : drame

Années 1920. Deux Anglaises découvrent les Indes. Pour montrer deux mondes qui n'arrivent pas à communiquer, David Lean nous installe dans des paysages superbes qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Critique : Film de David Lean (A passage to India, Grande-Bretagne, 1984). Scénario : D. Lean, d'après E.M. Forster. Image : Ernest Day. Musique : Maurice Jarre. 165 mn. VM. Avec Peggy Ashcroft : madame Moore. Judy Davis : Adela Quested. James Fox : Richard Fielding. Richard Wilson : Turton. Alec Guinness : Godbole. Victor Banerjee : le docteur Aziz. Nigel Havers : Ronny Heaslop. Antonia Pemberton : madame Turton. Genre : grand spectacle. Dans les années 20, Adela Quested arrive en Inde, avec la mère de son fiancé Ronny Moore. Elles décident d'échapper au petit monde des colons et veulent découvrir l'« Inde profonde ». Accompagnées de deux Indiens, le Dr Aziz et le vieux professeur Godbole, elles font une excursion aux grottes de Malabar. Au retour, Adela accuse Aziz d'avoir tenté de la violer. A la fin de sa carrière, David Lean s'est fait une spécialité des grands films épiques. La Route des Indes fut son dernier film ; il avait 77 ans. Insensible aux modes, il a filmé ­cette adaptation d'un roman d'E.M. For­ster avec un lyrisme discret. La lenteur du rythme surprend. Mais elle est nécessaire, car David Lean veut faire ressentir une atmosphère, une interrogation qui sont le quotidien de ses personnages. Pour montrer deux mondes fermés sur eux-mêmes et qui n'arrivent pas à communiquer, il nous installe dans des paysages qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Une excursion aux grottes, une promenade solitaire à bicyclette et la découverte d'un temple enfoui dans la végétation : ces moments-là nous plongent dans un univers sensuel et magique. Le cinéaste se perd parfois dans des séquences plus explicatives. Le « passage » du titre original renvoie à un passage intérieur autant qu'à une route. C'est donc une oeuvre en demi-­teinte dont un trop petit écran peut amoindrir la splendeur visuelle. Philippe Piazzo

Année : 1984

Avec : David Lean, Judy Davis, Peggy Ashcroft, Alec Guinness, Nigel Havers, Victor Banerjee, James Fox, Richard Wilson, Antonia Pemberton, Maurice Jarre, David Lean, EM Forster, Sanha Rama Rauu, John Box, Ernest Day, Michael Culver, Art Malik, Saeed Jaffrey, Clive Swift

Antérieurement en 2018
 

La route des Indes

Télévision : 16 avril 2018 à 20:55-23:40 sur France ô

film : drame

Années 1920. Deux Anglaises découvrent les Indes. Pour montrer deux mondes qui n'arrivent pas à communiquer, David Lean nous installe dans des paysages superbes qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Critique : Film de David Lean (A passage to India, Grande-Bretagne, 1984). Scénario : D. Lean, d'après E.M. Forster. Image : Ernest Day. Musique : Maurice Jarre. 165 mn. VM. Avec Peggy Ashcroft : madame Moore. Judy Davis : Adela Quested. James Fox : Richard Fielding. Richard Wilson : Turton. Alec Guinness : Godbole. Victor Banerjee : le docteur Aziz. Nigel Havers : Ronny Heaslop. Antonia Pemberton : madame Turton. Genre : grand spectacle. Dans les années 20, Adela Quested arrive en Inde, avec la mère de son fiancé Ronny Moore. Elles décident d'échapper au petit monde des colons et veulent découvrir l'« Inde profonde ». Accompagnées de deux Indiens, le Dr Aziz et le vieux professeur Godbole, elles font une excursion aux grottes de Malabar. Au retour, Adela accuse Aziz d'avoir tenté de la violer. A la fin de sa carrière, David Lean s'est fait une spécialité des grands films épiques. La Route des Indes fut son dernier film ; il avait 77 ans. Insensible aux modes, il a filmé ­cette adaptation d'un roman d'E.M. For­ster avec un lyrisme discret. La lenteur du rythme surprend. Mais elle est nécessaire, car David Lean veut faire ressentir une atmosphère, une interrogation qui sont le quotidien de ses personnages. Pour montrer deux mondes fermés sur eux-mêmes et qui n'arrivent pas à communiquer, il nous installe dans des paysages qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Une excursion aux grottes, une promenade solitaire à bicyclette et la découverte d'un temple enfoui dans la végétation : ces moments-là nous plongent dans un univers sensuel et magique. Le cinéaste se perd parfois dans des séquences plus explicatives. Le « passage » du titre original renvoie à un passage intérieur autant qu'à une route. C'est donc une oeuvre en demi-­teinte dont un trop petit écran peut amoindrir la splendeur visuelle. Philippe Piazzo

Année : 1984

Antérieurement en 2018
 

La route des Indes

Télévision : 16 avril 2018 à 20:55-23:35 sur France ô

film : drame

Années 1920. Deux Anglaises découvrent les Indes. Pour montrer deux mondes qui n'arrivent pas à communiquer, David Lean nous installe dans des paysages superbes qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Critique : Film de David Lean (A passage to India, Grande-Bretagne, 1984). Scénario : D. Lean, d'après E.M. Forster. Image : Ernest Day. Musique : Maurice Jarre. 165 mn. VM. Avec Peggy Ashcroft : madame Moore. Judy Davis : Adela Quested. James Fox : Richard Fielding. Richard Wilson : Turton. Alec Guinness : Godbole. Victor Banerjee : le docteur Aziz. Nigel Havers : Ronny Heaslop. Antonia Pemberton : madame Turton. Genre : grand spectacle. Dans les années 20, Adela Quested arrive en Inde, avec la mère de son fiancé Ronny Moore. Elles décident d'échapper au petit monde des colons et veulent découvrir l'« Inde profonde ». Accompagnées de deux Indiens, le Dr Aziz et le vieux professeur Godbole, elles font une excursion aux grottes de Malabar. Au retour, Adela accuse Aziz d'avoir tenté de la violer. A la fin de sa carrière, David Lean s'est fait une spécialité des grands films épiques. La Route des Indes fut son dernier film ; il avait 77 ans. Insensible aux modes, il a filmé ­cette adaptation d'un roman d'E.M. For­ster avec un lyrisme discret. La lenteur du rythme surprend. Mais elle est nécessaire, car David Lean veut faire ressentir une atmosphère, une interrogation qui sont le quotidien de ses personnages. Pour montrer deux mondes fermés sur eux-mêmes et qui n'arrivent pas à communiquer, il nous installe dans des paysages qui expriment ce que les êtres ne savent pas dire. Une excursion aux grottes, une promenade solitaire à bicyclette et la découverte d'un temple enfoui dans la végétation : ces moments-là nous plongent dans un univers sensuel et magique. Le cinéaste se perd parfois dans des séquences plus explicatives. Le « passage » du titre original renvoie à un passage intérieur autant qu'à une route. C'est donc une oeuvre en demi-­teinte dont un trop petit écran peut amoindrir la splendeur visuelle. Philippe Piazzo

Année : 1984

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