Télévision : mardi 12 novembre à 10:06-11:57 sur Canal +
film : comédie dramatique
Réalisateur expérimenté, Simon se lance dans un nouveau projet : un film qui met en scène des ouvriers qui se battent pour empêcher la délocalisation de leur usine. Mais, alors que le tournage ne fait que commencer, Simon apprend une nouvelle qui le place dans une situation fort délicate. En effet, surpris de constater des modifications de dernière minute dans le scénario, deux des producteurs déclarent qu'ils retireront leurs fonds du projet si ces adaptations ne sont pas supprimées. Faute de voir leur demande satisfaite, la menace est vite mise à exécution. Sur le plateau, les conflits se multiplient. La vie privée de Simon n'est guère plus apaisée... - Critique : Il y eut Steven Spielberg enchaînant la même année (2018) deux films aussi radicalement différents que Pentagon Papers et Ready Player One, et il y a aujourd’hui Cédric Kahn qui, juste après son époustouflant Procès Goldman, propose une comédie sur le cinéma. Ou plutôt, vertigineuse gigogne, un film sur un film dans le film… dans le film. Un réalisateur (Denis Podalydès, délicieusement dépassé par les événements) apprend, dès le premier jour de tournage de sa « tragédie » sur le combat perdu d’avance des ouvriers d’une usine délocalisée face au « grand capital », que le gros studio qui le finance retire ses billes du projet. Ses représentants, deux jeunes loups, qui balancent avec cynisme que le public ne veut pas voir sur un écran les problèmes qu’il vit au quotidien, pensaient avoir investi, certes, dans un film social, mais avec un happy end. La faute au producteur de toujours du réalisateur incarné par… le réalisateur Xavier Beauvois, absolument formidable en vieux de la vieille un peu escroc, et très pirate dans sa manière de faire coûte que coûte du cinéma, cette « drogue dure ». Caprices et ego versus drames sociaux Pendant que ce dernier fait mine de chercher d’autres financements, le tournage continue vaille que vaille dans le froid et les décors d’une usine réellement désaffectée où les vrais ouvriers font office de figurants et de conseillers. L’acteur principal « bankable » pique des crises narcissiques, déguisées en réflexion sur le « bien du film », pour évincer sa partenaire : Jonathan Cohen, parfaitement insupportable et finalement attachant face à la lumineuse Souheila Yacoub. Et la directrice de production (Emmanuelle Bercot, décidément une de nos grandes comédiennes quand elle ne filme pas elle-même) essaie de tenir l’équipe à bout de bras. Pour alléger le budget, il faudrait faire des coupes sombres dans le scénario mais le réalisateur ne s’y résout pas. Il faudrait réduire le nombre de techniciens mais les chefs de poste refusent de sacrifier les salaires de leurs équipiers… Première mise en abyme donc : l’histoire, savoureusement scénarisée, d’un capitaine de navire qui prend l’eau en filmant une usine qui coule, avec un sens du détail, très authentique et souvent comique, sur les dessous d’un tournage. Si celui-ci devient la métaphore du sujet qu’il aborde, avec des séquences à la mise en scène fluide et gracieuse qui rendent perméables les frontières entre les deux combats, Cédric Kahn en profite, aussi, pour poser en douce une question épineuse, morale : en quoi le cinéma, monde d’argent, de caprices et d’ego, peut-il rendre compte avec une absolue vérité des drames sociaux ? La deuxième mise en abyme, elle, est inscrite dans le titre. Persuadé que le jeune type engagé pour réaliser le making of de son film l’a été par piston (« C’est le fils de qui ? »), le réalisateur le remplace par Joseph, un pizzaïolo du coin se rêvant metteur en scène, et lui demande un journal de bord filmé sans filtre, y compris quand il tente de reconquérir son épouse (Valérie Donzelli). Ou comment s’invitent dans le film du film d’autres images, intimes, sur les affres d’un cinéaste. Et là, Cédric Kahn émeut avec les souvenirs de ses débuts, ou révèle ses propres névroses ! Et c’est bien ce Joseph, incarné par le remarquable Stefan Crepon, talent montant, qui est le cœur, battant, confiant, de cette Nuit américaine en plein jour où un film n’est pas un train qui avance dans la nuit, mais un vaisseau qui surnage. Parce que Joseph est la relève. Un futur ouvrier du cinéma, qui ne fermera jamais.
Année : 2023
Avec : Denis Podalydès, Emmanuelle Bercot, Jonathan Cohen, Orlando Vauthier, Souheila Yacoub, Stefan Crepon, Thaïs Vauquières, Thomas Silberstein, Valérie Donzelli, Xavier Beauvois
Télévision : 5 novembre à 23:26-01:16 sur Canal +
film : comédie dramatique
Réalisateur expérimenté, Simon se lance dans un nouveau projet : un film qui met en scène des ouvriers qui se battent pour empêcher la délocalisation de leur usine. Mais, alors que le tournage ne fait que commencer, Simon apprend une nouvelle qui le place dans une situation fort délicate. En effet, surpris de constater des modifications de dernière minute dans le scénario, deux des producteurs déclarent qu'ils retireront leurs fonds du projet si ces adaptations ne sont pas supprimées. Faute de voir leur demande satisfaite, la menace est vite mise à exécution. Sur le plateau, les conflits se multiplient. La vie privée de Simon n'est guère plus apaisée... - Critique : Il y eut Steven Spielberg enchaînant la même année (2018) deux films aussi radicalement différents que Pentagon Papers et Ready Player One, et il y a aujourd’hui Cédric Kahn qui, juste après son époustouflant Procès Goldman, propose une comédie sur le cinéma. Ou plutôt, vertigineuse gigogne, un film sur un film dans le film… dans le film. Un réalisateur (Denis Podalydès, délicieusement dépassé par les événements) apprend, dès le premier jour de tournage de sa « tragédie » sur le combat perdu d’avance des ouvriers d’une usine délocalisée face au « grand capital », que le gros studio qui le finance retire ses billes du projet. Ses représentants, deux jeunes loups, qui balancent avec cynisme que le public ne veut pas voir sur un écran les problèmes qu’il vit au quotidien, pensaient avoir investi, certes, dans un film social, mais avec un happy end. La faute au producteur de toujours du réalisateur incarné par… le réalisateur Xavier Beauvois, absolument formidable en vieux de la vieille un peu escroc, et très pirate dans sa manière de faire coûte que coûte du cinéma, cette « drogue dure ». Caprices et ego versus drames sociaux Pendant que ce dernier fait mine de chercher d’autres financements, le tournage continue vaille que vaille dans le froid et les décors d’une usine réellement désaffectée où les vrais ouvriers font office de figurants et de conseillers. L’acteur principal « bankable » pique des crises narcissiques, déguisées en réflexion sur le « bien du film », pour évincer sa partenaire : Jonathan Cohen, parfaitement insupportable et finalement attachant face à la lumineuse Souheila Yacoub. Et la directrice de production (Emmanuelle Bercot, décidément une de nos grandes comédiennes quand elle ne filme pas elle-même) essaie de tenir l’équipe à bout de bras. Pour alléger le budget, il faudrait faire des coupes sombres dans le scénario mais le réalisateur ne s’y résout pas. Il faudrait réduire le nombre de techniciens mais les chefs de poste refusent de sacrifier les salaires de leurs équipiers… Première mise en abyme donc : l’histoire, savoureusement scénarisée, d’un capitaine de navire qui prend l’eau en filmant une usine qui coule, avec un sens du détail, très authentique et souvent comique, sur les dessous d’un tournage. Si celui-ci devient la métaphore du sujet qu’il aborde, avec des séquences à la mise en scène fluide et gracieuse qui rendent perméables les frontières entre les deux combats, Cédric Kahn en profite, aussi, pour poser en douce une question épineuse, morale : en quoi le cinéma, monde d’argent, de caprices et d’ego, peut-il rendre compte avec une absolue vérité des drames sociaux ? La deuxième mise en abyme, elle, est inscrite dans le titre. Persuadé que le jeune type engagé pour réaliser le making of de son film l’a été par piston (« C’est le fils de qui ? »), le réalisateur le remplace par Joseph, un pizzaïolo du coin se rêvant metteur en scène, et lui demande un journal de bord filmé sans filtre, y compris quand il tente de reconquérir son épouse (Valérie Donzelli). Ou comment s’invitent dans le film du film d’autres images, intimes, sur les affres d’un cinéaste. Et là, Cédric Kahn émeut avec les souvenirs de ses débuts, ou révèle ses propres névroses ! Et c’est bien ce Joseph, incarné par le remarquable Stefan Crepon, talent montant, qui est le cœur, battant, confiant, de cette Nuit américaine en plein jour où un film n’est pas un train qui avance dans la nuit, mais un vaisseau qui surnage. Parce que Joseph est la relève. Un futur ouvrier du cinéma, qui ne fermera jamais.
Année : 2023
Avec : Denis Podalydès, Emmanuelle Bercot, Jonathan Cohen, Orlando Vauthier, Souheila Yacoub, Stefan Crepon, Thaïs Vauquières, Thomas Silberstein, Valérie Donzelli, Xavier Beauvois
Télévision : 2 novembre à 08:33-09:18 sur Canal +
série d'action
Saison:1 - Episode:8 - Alors que le plan de Jacob est sur le point d'aboutir, Zara, Vincent et Juliette craignent de devoir céder à son ultimatum. Une course contre la montre s'engage : parviendront-ils à sauver Paris ? - Critique : Vous ne le saviez sans doute pas, mais le bon Gerard Butler sauve régulièrement le monde occidental dans la franchise Has Fallen, lancée en 2013 avec La Chute de la Maison-Blanchex, film ultraviolent, médiocre et débordant de patriotisme américain. Pas d’inquiétude, l’acteur écossais n’est que producteur de cette étape parisienne de la saga, ici portée par Tewfik Jallab dans le rôle du garde du corps surmotivé et trop impliqué. Il faut dire qu’un ancien légionnaire (Sean Harris, que l’on pourrait qualifier de terrifiant s’il ne rejouait pas simplement son rôle de Solomon Lane, grand méchant de Mission : Impossible 5 et 6) en veut énormément à son patron, le ministre de la Défense… On découvre alors un complot politique sur fond de meurtres en cascade, entre autres commis par un sniper opérant à son aise sur les toits de Paris. De cette série brutale où la plupart des Français jouent regrettablement mal (mention spéciale à Emmanuelle Bercot et Laurent Lucas), on retient quand même quelques images d’une violence inouïe (en général, dues au personnage de Sean Harris, assez doué en communication terroriste), tellement inattendues que l’on ne peut que saluer l’intention de filmer au ras des pâquerettes de telles horreurs.
Année : 2023
De : Hans Herbots
Avec : Ana Ularu, Camille Rutherford, Emmanuelle Bercot, Jérémie Covillault, Mehdi Meskar, Paul Gorostidi, Ritu Arya, Sean Harris, Tewfik Jallab
Télévision : 2 novembre à 08:30-09:16 sur Canal +
série d'action
Saison:1 - Episode:8 - Alors que le plan de Jacob est sur le point d'aboutir, Zara, Vincent et Juliette craignent de devoir céder à son ultimatum. Une course contre la montre s'engage : parviendront-ils à sauver Paris ? - Critique : Vous ne le saviez sans doute pas, mais le bon Gerard Butler sauve régulièrement le monde occidental dans la franchise Has Fallen, lancée en 2013 avec La Chute de la Maison-Blanche, film ultraviolent, médiocre et débordant de patriotisme américain. Pas d’inquiétude, l’acteur écossais n’est que producteur de cette étape parisienne de la saga, ici portée par Tewfik Jallab dans le rôle du garde du corps surmotivé et trop impliqué. Il faut dire qu’un ancien légionnaire (Sean Harris, que l’on pourrait qualifier de terrifiant s’il ne rejouait pas simplement son rôle de Solomon Lane, grand méchant de Mission : Impossible 5 et 6) en veut énormément à son patron, le ministre de la Défense… On découvre alors un complot politique sur fond de meurtres en cascade, entre autres commis par un sniper opérant à son aise sur les toits de Paris. De cette série brutale où la plupart des Français jouent regrettablement mal (mention spéciale à Emmanuelle Bercot et Laurent Lucas), on retient quand même quelques images d’une violence inouïe (en général, dues au personnage de Sean Harris, assez doué en communication terroriste), tellement inattendues que l’on ne peut que saluer l’intention de filmer au ras des pâquerettes de telles horreurs.
Année : 2023
De : Hans Herbots
Avec : Ana Ularu, Camille Rutherford, Emmanuelle Bercot, Jérémie Covillault, Mehdi Meskar, Paul Gorostidi, Ritu Arya, Sean Harris, Tewfik Jallab
Télévision : 2 novembre à 07:50-08:33 sur Canal +
série d'action
Saison:1 - Episode:7 - Le temps presse pour Vincent, Zara et le reste de la cellule d'intervention. Après l'ultimatum de Jacob, qui menace de faire exploser une bombe d'uranium en plein Paris, Zara et Vincent tentent de convaincre une des alliées de Pearce de le trahir afin de localiser l'engin, surveillé de près par un sbire de l'ancien capitaine de la Légion française. La Présidente Juliette Levesque doit faire face à la pire des situations... - Critique : Vous ne le saviez sans doute pas, mais le bon Gerard Butler sauve régulièrement le monde occidental dans la franchise Has Fallen, lancée en 2013 avec La Chute de la Maison-Blanchex, film ultraviolent, médiocre et débordant de patriotisme américain. Pas d’inquiétude, l’acteur écossais n’est que producteur de cette étape parisienne de la saga, ici portée par Tewfik Jallab dans le rôle du garde du corps surmotivé et trop impliqué. Il faut dire qu’un ancien légionnaire (Sean Harris, que l’on pourrait qualifier de terrifiant s’il ne rejouait pas simplement son rôle de Solomon Lane, grand méchant de Mission : Impossible 5 et 6) en veut énormément à son patron, le ministre de la Défense… On découvre alors un complot politique sur fond de meurtres en cascade, entre autres commis par un sniper opérant à son aise sur les toits de Paris. De cette série brutale où la plupart des Français jouent regrettablement mal (mention spéciale à Emmanuelle Bercot et Laurent Lucas), on retient quand même quelques images d’une violence inouïe (en général, dues au personnage de Sean Harris, assez doué en communication terroriste), tellement inattendues que l’on ne peut que saluer l’intention de filmer au ras des pâquerettes de telles horreurs.
Année : 2023
De : Hans Herbots
Avec : Ana Ularu, Camille Rutherford, Emmanuelle Bercot, Jérémie Covillault, Mehdi Meskar, Paul Gorostidi, Ritu Arya, Sean Harris, Tewfik Jallab
Télévision : 2 novembre à 07:47-08:30 sur Canal +
série d'action
Saison:1 - Episode:7 - Le temps presse pour Vincent, Zara et le reste de la cellule d'intervention. Après l'ultimatum de Jacob, qui menace de faire exploser une bombe d'uranium en plein Paris, Zara et Vincent tentent de convaincre une des alliées de Pearce de le trahir afin de localiser l'engin, surveillé de près par un sbire de l'ancien capitaine de la Légion française. La Présidente Juliette Levesque doit faire face à la pire des situations... - Critique : Vous ne le saviez sans doute pas, mais le bon Gerard Butler sauve régulièrement le monde occidental dans la franchise Has Fallen, lancée en 2013 avec La Chute de la Maison-Blanche, film ultraviolent, médiocre et débordant de patriotisme américain. Pas d’inquiétude, l’acteur écossais n’est que producteur de cette étape parisienne de la saga, ici portée par Tewfik Jallab dans le rôle du garde du corps surmotivé et trop impliqué. Il faut dire qu’un ancien légionnaire (Sean Harris, que l’on pourrait qualifier de terrifiant s’il ne rejouait pas simplement son rôle de Solomon Lane, grand méchant de Mission : Impossible 5 et 6) en veut énormément à son patron, le ministre de la Défense… On découvre alors un complot politique sur fond de meurtres en cascade, entre autres commis par un sniper opérant à son aise sur les toits de Paris. De cette série brutale où la plupart des Français jouent regrettablement mal (mention spéciale à Emmanuelle Bercot et Laurent Lucas), on retient quand même quelques images d’une violence inouïe (en général, dues au personnage de Sean Harris, assez doué en communication terroriste), tellement inattendues que l’on ne peut que saluer l’intention de filmer au ras des pâquerettes de telles horreurs.
Année : 2023
De : Hans Herbots
Avec : Ana Ularu, Camille Rutherford, Emmanuelle Bercot, Jérémie Covillault, Mehdi Meskar, Paul Gorostidi, Ritu Arya, Sean Harris, Tewfik Jallab
Télévision : 31 octobre à 14:14-14:59 sur Canal +
série d'action
Saison:1 - Episode:8 - Alors que le plan de Jacob est sur le point d'aboutir, Zara, Vincent et Juliette craignent de devoir céder à son ultimatum. Une course contre la montre s'engage : parviendront-ils à sauver Paris ? - Critique : Vous ne le saviez sans doute pas, mais le bon Gerard Butler sauve régulièrement le monde occidental dans la franchise Has Fallen, lancée en 2013 avec La Chute de la Maison-Blanchex, film ultraviolent, médiocre et débordant de patriotisme américain. Pas d’inquiétude, l’acteur écossais n’est que producteur de cette étape parisienne de la saga, ici portée par Tewfik Jallab dans le rôle du garde du corps surmotivé et trop impliqué. Il faut dire qu’un ancien légionnaire (Sean Harris, que l’on pourrait qualifier de terrifiant s’il ne rejouait pas simplement son rôle de Solomon Lane, grand méchant de Mission : Impossible 5 et 6) en veut énormément à son patron, le ministre de la Défense… On découvre alors un complot politique sur fond de meurtres en cascade, entre autres commis par un sniper opérant à son aise sur les toits de Paris. De cette série brutale où la plupart des Français jouent regrettablement mal (mention spéciale à Emmanuelle Bercot et Laurent Lucas), on retient quand même quelques images d’une violence inouïe (en général, dues au personnage de Sean Harris, assez doué en communication terroriste), tellement inattendues que l’on ne peut que saluer l’intention de filmer au ras des pâquerettes de telles horreurs.
Année : 2023
De : Hans Herbots
Avec : Ana Ularu, Camille Rutherford, Emmanuelle Bercot, Jérémie Covillault, Mehdi Meskar, Paul Gorostidi, Ritu Arya, Sean Harris, Tewfik Jallab
Télévision : 31 octobre à 13:30-14:14 sur Canal +
série d'action
Saison:1 - Episode:7 - Le temps presse pour Vincent, Zara et le reste de la cellule d'intervention. Après l'ultimatum de Jacob, qui menace de faire exploser une bombe d'uranium en plein Paris, Zara et Vincent tentent de convaincre une des alliées de Pearce de le trahir afin de localiser l'engin, surveillé de près par un sbire de l'ancien capitaine de la Légion française. La Présidente Juliette Levesque doit faire face à la pire des situations... - Critique : Vous ne le saviez sans doute pas, mais le bon Gerard Butler sauve régulièrement le monde occidental dans la franchise Has Fallen, lancée en 2013 avec La Chute de la Maison-Blanchex, film ultraviolent, médiocre et débordant de patriotisme américain. Pas d’inquiétude, l’acteur écossais n’est que producteur de cette étape parisienne de la saga, ici portée par Tewfik Jallab dans le rôle du garde du corps surmotivé et trop impliqué. Il faut dire qu’un ancien légionnaire (Sean Harris, que l’on pourrait qualifier de terrifiant s’il ne rejouait pas simplement son rôle de Solomon Lane, grand méchant de Mission : Impossible 5 et 6) en veut énormément à son patron, le ministre de la Défense… On découvre alors un complot politique sur fond de meurtres en cascade, entre autres commis par un sniper opérant à son aise sur les toits de Paris. De cette série brutale où la plupart des Français jouent regrettablement mal (mention spéciale à Emmanuelle Bercot et Laurent Lucas), on retient quand même quelques images d’une violence inouïe (en général, dues au personnage de Sean Harris, assez doué en communication terroriste), tellement inattendues que l’on ne peut que saluer l’intention de filmer au ras des pâquerettes de telles horreurs.
Année : 2023
De : Hans Herbots
Avec : Ana Ularu, Camille Rutherford, Emmanuelle Bercot, Jérémie Covillault, Mehdi Meskar, Paul Gorostidi, Ritu Arya, Sean Harris, Tewfik Jallab
Télévision : 31 octobre à 00:27-01:13 sur Canal +
série d'action
Saison:1 - Episode:8 - Alors que le plan de Jacob est sur le point d'aboutir, Zara, Vincent et Juliette craignent de devoir céder à son ultimatum. Une course contre la montre s'engage : parviendront-ils à sauver Paris ? - Critique : Vous ne le saviez sans doute pas, mais le bon Gerard Butler sauve régulièrement le monde occidental dans la franchise Has Fallen, lancée en 2013 avec La Chute de la Maison-Blanchex, film ultraviolent, médiocre et débordant de patriotisme américain. Pas d’inquiétude, l’acteur écossais n’est que producteur de cette étape parisienne de la saga, ici portée par Tewfik Jallab dans le rôle du garde du corps surmotivé et trop impliqué. Il faut dire qu’un ancien légionnaire (Sean Harris, que l’on pourrait qualifier de terrifiant s’il ne rejouait pas simplement son rôle de Solomon Lane, grand méchant de Mission : Impossible 5 et 6) en veut énormément à son patron, le ministre de la Défense… On découvre alors un complot politique sur fond de meurtres en cascade, entre autres commis par un sniper opérant à son aise sur les toits de Paris. De cette série brutale où la plupart des Français jouent regrettablement mal (mention spéciale à Emmanuelle Bercot et Laurent Lucas), on retient quand même quelques images d’une violence inouïe (en général, dues au personnage de Sean Harris, assez doué en communication terroriste), tellement inattendues que l’on ne peut que saluer l’intention de filmer au ras des pâquerettes de telles horreurs.
Année : 2023
De : Hans Herbots
Avec : Ana Ularu, Camille Rutherford, Emmanuelle Bercot, Jérémie Covillault, Mehdi Meskar, Paul Gorostidi, Ritu Arya, Sean Harris, Tewfik Jallab
Télévision : 30 octobre à 23:44-00:27 sur Canal +
série d'action
Saison:1 - Episode:7 - Le temps presse pour Vincent, Zara et le reste de la cellule d'intervention. Après l'ultimatum de Jacob, qui menace de faire exploser une bombe d'uranium en plein Paris, Zara et Vincent tentent de convaincre une des alliées de Pearce de le trahir afin de localiser l'engin, surveillé de près par un sbire de l'ancien capitaine de la Légion française. La Présidente Juliette Levesque doit faire face à la pire des situations... - Critique : Vous ne le saviez sans doute pas, mais le bon Gerard Butler sauve régulièrement le monde occidental dans la franchise Has Fallen, lancée en 2013 avec La Chute de la Maison-Blanchex, film ultraviolent, médiocre et débordant de patriotisme américain. Pas d’inquiétude, l’acteur écossais n’est que producteur de cette étape parisienne de la saga, ici portée par Tewfik Jallab dans le rôle du garde du corps surmotivé et trop impliqué. Il faut dire qu’un ancien légionnaire (Sean Harris, que l’on pourrait qualifier de terrifiant s’il ne rejouait pas simplement son rôle de Solomon Lane, grand méchant de Mission : Impossible 5 et 6) en veut énormément à son patron, le ministre de la Défense… On découvre alors un complot politique sur fond de meurtres en cascade, entre autres commis par un sniper opérant à son aise sur les toits de Paris. De cette série brutale où la plupart des Français jouent regrettablement mal (mention spéciale à Emmanuelle Bercot et Laurent Lucas), on retient quand même quelques images d’une violence inouïe (en général, dues au personnage de Sean Harris, assez doué en communication terroriste), tellement inattendues que l’on ne peut que saluer l’intention de filmer au ras des pâquerettes de telles horreurs.
Année : 2023
De : Hans Herbots
Avec : Ana Ularu, Camille Rutherford, Emmanuelle Bercot, Jérémie Covillault, Mehdi Meskar, Paul Gorostidi, Ritu Arya, Sean Harris, Tewfik Jallab
Télévision : 29 octobre à 00:04-01:55 sur Canal +
film : comédie dramatique
Réalisateur expérimenté, Simon se lance dans un nouveau projet : un film qui met en scène des ouvriers qui se battent pour empêcher la délocalisation de leur usine. Mais, alors que le tournage ne fait que commencer, Simon apprend une nouvelle qui le place dans une situation fort délicate. En effet, surpris de constater des modifications de dernière minute dans le scénario, deux des producteurs déclarent qu'ils retireront leurs fonds du projet si ces adaptations ne sont pas supprimées. Faute de voir leur demande satisfaite, la menace est vite mise à exécution. Sur le plateau, les conflits se multiplient. La vie privée de Simon n'est guère plus apaisée... - Critique : Il y eut Steven Spielberg enchaînant la même année (2018) deux films aussi radicalement différents que Pentagon Papers et Ready Player One, et il y a aujourd’hui Cédric Kahn qui, juste après son époustouflant Procès Goldman, propose une comédie sur le cinéma. Ou plutôt, vertigineuse gigogne, un film sur un film dans le film… dans le film. Un réalisateur (Denis Podalydès, délicieusement dépassé par les événements) apprend, dès le premier jour de tournage de sa « tragédie » sur le combat perdu d’avance des ouvriers d’une usine délocalisée face au « grand capital », que le gros studio qui le finance retire ses billes du projet. Ses représentants, deux jeunes loups, qui balancent avec cynisme que le public ne veut pas voir sur un écran les problèmes qu’il vit au quotidien, pensaient avoir investi, certes, dans un film social, mais avec un happy end. La faute au producteur de toujours du réalisateur incarné par… le réalisateur Xavier Beauvois, absolument formidable en vieux de la vieille un peu escroc, et très pirate dans sa manière de faire coûte que coûte du cinéma, cette « drogue dure ». Caprices et ego versus drames sociaux Pendant que ce dernier fait mine de chercher d’autres financements, le tournage continue vaille que vaille dans le froid et les décors d’une usine réellement désaffectée où les vrais ouvriers font office de figurants et de conseillers. L’acteur principal « bankable » pique des crises narcissiques, déguisées en réflexion sur le « bien du film », pour évincer sa partenaire : Jonathan Cohen, parfaitement insupportable et finalement attachant face à la lumineuse Souheila Yacoub. Et la directrice de production (Emmanuelle Bercot, décidément une de nos grandes comédiennes quand elle ne filme pas elle-même) essaie de tenir l’équipe à bout de bras. Pour alléger le budget, il faudrait faire des coupes sombres dans le scénario mais le réalisateur ne s’y résout pas. Il faudrait réduire le nombre de techniciens mais les chefs de poste refusent de sacrifier les salaires de leurs équipiers… Première mise en abyme donc : l’histoire, savoureusement scénarisée, d’un capitaine de navire qui prend l’eau en filmant une usine qui coule, avec un sens du détail, très authentique et souvent comique, sur les dessous d’un tournage. Si celui-ci devient la métaphore du sujet qu’il aborde, avec des séquences à la mise en scène fluide et gracieuse qui rendent perméables les frontières entre les deux combats, Cédric Kahn en profite, aussi, pour poser en douce une question épineuse, morale : en quoi le cinéma, monde d’argent, de caprices et d’ego, peut-il rendre compte avec une absolue vérité des drames sociaux ? La deuxième mise en abyme, elle, est inscrite dans le titre. Persuadé que le jeune type engagé pour réaliser le making of de son film l’a été par piston (« C’est le fils de qui ? »), le réalisateur le remplace par Joseph, un pizzaïolo du coin se rêvant metteur en scène, et lui demande un journal de bord filmé sans filtre, y compris quand il tente de reconquérir son épouse (Valérie Donzelli). Ou comment s’invitent dans le film du film d’autres images, intimes, sur les affres d’un cinéaste. Et là, Cédric Kahn émeut avec les souvenirs de ses débuts, ou révèle ses propres névroses ! Et c’est bien ce Joseph, incarné par le remarquable Stefan Crepon, talent montant, qui est le cœur, battant, confiant, de cette Nuit américaine en plein jour où un film n’est pas un train qui avance dans la nuit, mais un vaisseau qui surnage. Parce que Joseph est la relève. Un futur ouvrier du cinéma, qui ne fermera jamais.
Année : 2023
Avec : Denis Podalydès, Emmanuelle Bercot, Jonathan Cohen, Orlando Vauthier, Souheila Yacoub, Stefan Crepon, Thaïs Vauquières, Thomas Silberstein, Valérie Donzelli, Xavier Beauvois
Télévision : 28 octobre à 23:55-01:46 sur Canal +
film : comédie dramatique
Réalisateur expérimenté, Simon se lance dans un nouveau projet : un film qui met en scène des ouvriers qui se battent pour empêcher la délocalisation de leur usine. Mais, alors que le tournage ne fait que commencer, Simon apprend une nouvelle qui le place dans une situation fort délicate. En effet, surpris de constater des modifications de dernière minute dans le scénario, deux des producteurs déclarent qu'ils retireront leurs fonds du projet si ces adaptations ne sont pas supprimées. Faute de voir leur demande satisfaite, la menace est vite mise à exécution. Sur le plateau, les conflits se multiplient. La vie privée de Simon n'est guère plus apaisée... - Critique : Il y eut Steven Spielberg enchaînant la même année (2018) deux films aussi radicalement différents que Pentagon Papers et Ready Player One, et il y a aujourd’hui Cédric Kahn qui, juste après son époustouflant Procès Goldman, propose une comédie sur le cinéma. Ou plutôt, vertigineuse gigogne, un film sur un film dans le film… dans le film. Un réalisateur (Denis Podalydès, délicieusement dépassé par les événements) apprend, dès le premier jour de tournage de sa « tragédie » sur le combat perdu d’avance des ouvriers d’une usine délocalisée face au « grand capital », que le gros studio qui le finance retire ses billes du projet. Ses représentants, deux jeunes loups, qui balancent avec cynisme que le public ne veut pas voir sur un écran les problèmes qu’il vit au quotidien, pensaient avoir investi, certes, dans un film social, mais avec un happy end. La faute au producteur de toujours du réalisateur incarné par… le réalisateur Xavier Beauvois, absolument formidable en vieux de la vieille un peu escroc, et très pirate dans sa manière de faire coûte que coûte du cinéma, cette « drogue dure ». Caprices et ego versus drames sociaux Pendant que ce dernier fait mine de chercher d’autres financements, le tournage continue vaille que vaille dans le froid et les décors d’une usine réellement désaffectée où les vrais ouvriers font office de figurants et de conseillers. L’acteur principal « bankable » pique des crises narcissiques, déguisées en réflexion sur le « bien du film », pour évincer sa partenaire : Jonathan Cohen, parfaitement insupportable et finalement attachant face à la lumineuse Souheila Yacoub. Et la directrice de production (Emmanuelle Bercot, décidément une de nos grandes comédiennes quand elle ne filme pas elle-même) essaie de tenir l’équipe à bout de bras. Pour alléger le budget, il faudrait faire des coupes sombres dans le scénario mais le réalisateur ne s’y résout pas. Il faudrait réduire le nombre de techniciens mais les chefs de poste refusent de sacrifier les salaires de leurs équipiers… Première mise en abyme donc : l’histoire, savoureusement scénarisée, d’un capitaine de navire qui prend l’eau en filmant une usine qui coule, avec un sens du détail, très authentique et souvent comique, sur les dessous d’un tournage. Si celui-ci devient la métaphore du sujet qu’il aborde, avec des séquences à la mise en scène fluide et gracieuse qui rendent perméables les frontières entre les deux combats, Cédric Kahn en profite, aussi, pour poser en douce une question épineuse, morale : en quoi le cinéma, monde d’argent, de caprices et d’ego, peut-il rendre compte avec une absolue vérité des drames sociaux ? La deuxième mise en abyme, elle, est inscrite dans le titre. Persuadé que le jeune type engagé pour réaliser le making of de son film l’a été par piston (« C’est le fils de qui ? »), le réalisateur le remplace par Joseph, un pizzaïolo du coin se rêvant metteur en scène, et lui demande un journal de bord filmé sans filtre, y compris quand il tente de reconquérir son épouse (Valérie Donzelli). Ou comment s’invitent dans le film du film d’autres images, intimes, sur les affres d’un cinéaste. Et là, Cédric Kahn émeut avec les souvenirs de ses débuts, ou révèle ses propres névroses ! Et c’est bien ce Joseph, incarné par le remarquable Stefan Crepon, talent montant, qui est le cœur, battant, confiant, de cette Nuit américaine en plein jour où un film n’est pas un train qui avance dans la nuit, mais un vaisseau qui surnage. Parce que Joseph est la relève. Un futur ouvrier du cinéma, qui ne fermera jamais.
Année : 2023
Avec : Denis Podalydès, Emmanuelle Bercot, Jonathan Cohen, Orlando Vauthier, Souheila Yacoub, Stefan Crepon, Thaïs Vauquières, Thomas Silberstein, Valérie Donzelli, Xavier Beauvois
Télévision : 28 octobre à 21:52-22:37 sur Canal +
série d'action
Saison:1 - Episode:8 - Alors que le plan de Jacob est sur le point d'aboutir, Zara, Vincent et Juliette craignent de devoir céder à son ultimatum. Une course contre la montre s'engage : parviendront-ils à sauver Paris ? - Critique : Vous ne le saviez sans doute pas, mais le bon Gerard Butler sauve régulièrement le monde occidental dans la franchise Has Fallen, lancée en 2013 avec La Chute de la Maison-Blanchex, film ultraviolent, médiocre et débordant de patriotisme américain. Pas d’inquiétude, l’acteur écossais n’est que producteur de cette étape parisienne de la saga, ici portée par Tewfik Jallab dans le rôle du garde du corps surmotivé et trop impliqué. Il faut dire qu’un ancien légionnaire (Sean Harris, que l’on pourrait qualifier de terrifiant s’il ne rejouait pas simplement son rôle de Solomon Lane, grand méchant de Mission : Impossible 5 et 6) en veut énormément à son patron, le ministre de la Défense… On découvre alors un complot politique sur fond de meurtres en cascade, entre autres commis par un sniper opérant à son aise sur les toits de Paris. De cette série brutale où la plupart des Français jouent regrettablement mal (mention spéciale à Emmanuelle Bercot et Laurent Lucas), on retient quand même quelques images d’une violence inouïe (en général, dues au personnage de Sean Harris, assez doué en communication terroriste), tellement inattendues que l’on ne peut que saluer l’intention de filmer au ras des pâquerettes de telles horreurs.
Année : 2023
De : Hans Herbots
Avec : Ana Ularu, Camille Rutherford, Emmanuelle Bercot, Jérémie Covillault, Mehdi Meskar, Paul Gorostidi, Ritu Arya, Sean Harris, Tewfik Jallab
Télévision : 28 octobre à 21:09-21:52 sur Canal +
série d'action
Saison:1 - Episode:7 - Le temps presse pour Vincent, Zara et le reste de la cellule d'intervention. Après l'ultimatum de Jacob, qui menace de faire exploser une bombe d'uranium en plein Paris, Zara et Vincent tentent de convaincre une des alliées de Pearce de le trahir afin de localiser l'engin, surveillé de près par un sbire de l'ancien capitaine de la Légion française. La Présidente Juliette Levesque doit faire face à la pire des situations... - Critique : Vous ne le saviez sans doute pas, mais le bon Gerard Butler sauve régulièrement le monde occidental dans la franchise Has Fallen, lancée en 2013 avec La Chute de la Maison-Blanchex, film ultraviolent, médiocre et débordant de patriotisme américain. Pas d’inquiétude, l’acteur écossais n’est que producteur de cette étape parisienne de la saga, ici portée par Tewfik Jallab dans le rôle du garde du corps surmotivé et trop impliqué. Il faut dire qu’un ancien légionnaire (Sean Harris, que l’on pourrait qualifier de terrifiant s’il ne rejouait pas simplement son rôle de Solomon Lane, grand méchant de Mission : Impossible 5 et 6) en veut énormément à son patron, le ministre de la Défense… On découvre alors un complot politique sur fond de meurtres en cascade, entre autres commis par un sniper opérant à son aise sur les toits de Paris. De cette série brutale où la plupart des Français jouent regrettablement mal (mention spéciale à Emmanuelle Bercot et Laurent Lucas), on retient quand même quelques images d’une violence inouïe (en général, dues au personnage de Sean Harris, assez doué en communication terroriste), tellement inattendues que l’on ne peut que saluer l’intention de filmer au ras des pâquerettes de telles horreurs.
Année : 2023
De : Hans Herbots
Avec : Ana Ularu, Camille Rutherford, Emmanuelle Bercot, Jérémie Covillault, Mehdi Meskar, Paul Gorostidi, Ritu Arya, Sean Harris, Tewfik Jallab
DVD/Blu-ray : 9 octobre
Editeur : Blaq Out
Année : 2024
De : Jérémie Sein
Avec : Benjamin Voisin, Emmanuelle Bercot, Rivaldo Pawawi, Grégoire Ludig, Laura Felpin, Aura Atika, Suzy Bemba, Chloé Lecerf
DVD/Blu-ray : 9 octobre
Editeur : Zinc.
Année : 2023
De : Michaël Dichter
Avec : Diego Murgia, Benjamin Tellier, Jean Devie, Emmanuelle Bercot, Raphaël Quenard, Maxime Bailleul, Pauline Cher, Cyprian Oudin
Netflix : 20 septembre
Le quotidien des policiers de la BPM (Brigade de Protection des Mineurs) ce sont les gardes à vue de pédophiles, les arrestations de pickpockets mineurs mais aussi la pause déjeuner où l’on se raconte ses problèmes de couple ; ce sont les auditions de parents maltraitants, les dépositions des enfants, les dérives de la sexualité chez les adolescents, mais aussi la solidarité entre collègues et les fous rires incontrôlables dans les moments les plus impensables ; c’est savoir que le pire existe, et tenter de faire avec… Comment ces policiers parviennent-ils à trouver l’équilibre entre leurs vies privées et la réalité à laquelle ils sont confrontés, tous les jours ? Fred, l’écorché du groupe, aura du mal à supporter le regard de Melissa, mandatée par le ministère de l’intérieur pour réaliser un livre de photos sur cette brigade.
De : Maïwenn
Avec : Frédéric Pierrot, JoeyStarr, Nicolas Duvauchelle, Karin Viard, Naidra Ayadi, Karole Rocher, Emmanuelle Bercot