Télévision : 19 septembre à 21:25-23:40 sur TMC
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique.
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Télévision : 31 mars à 23:35-01:45 sur TF1
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique.
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Télévision : 17 mars à 21:10-23:35 sur TF1
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Disney+ : 4 mars
Sur la face cachée de la Lune, la cité d'Attilan cache une communauté d'Inhumains vivant depuis plusieurs générations loin de la Terre. Alors que des Inhumains réapparaissent sur Terre après que des cristaux tératogènes ont été libérés en mer, le règne du roi Blackagar Boltagon, à la voix destructrice, est menacé par son frère Maximus, un Inhumain sans pouvoirs qui aspire à ce que ses semblables reprennent leur place sur Terre. La conspiration va forcer le roi, la reine Médusa, son conseiller Karnak et le chef de la garde royale Gorgone à trouver refuge sur Terre, sur l'île d'Oahu, pendant que Maximus prend le pouvoir.
De : Scott Buck
Avec : Anson Mount, Serinda Swan, Iwan Rheon, Isabelle Cornish, Ken Leung, Eme Ikwuakor, Sonya Balmores
Télévision : 1er juillet 2023 à 16:47-18:54 sur Canal +
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Télévision : 11 juin 2023 à 22:45-00:51 sur Canal +
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Télévision : 31 mai 2023 à 13:29-15:35 sur Canal +
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Télévision : 31 mai 2023 à 13:28-15:35 sur Canal +
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Télévision : 23 mai 2023 à 13:13-15:19 sur Canal +
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Télévision : 19 mai 2023 à 08:35-10:42 sur Canal +
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Télévision : 19 mai 2023 à 08:32-10:39 sur Canal +
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Télévision : 12 mai 2023 à 13:25-15:32 sur Canal +
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Télévision : 10 mai 2023 à 09:58-12:05 sur Canal +
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Télévision : 6 mai 2023 à 14:26-16:32 sur Canal +
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Télévision : 3 mai 2023 à 00:04-02:11 sur Canal +
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Télévision : 3 mai 2023 à 00:02-02:09 sur Canal +
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Ava Weiss, Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Frank Schorpion, Halle Berry, John Bradley, Michael Peña, Patrick Wilson, Wenwen Yu, Zayn Maloney
Télévision : 1er mai 2023 à 12:11-14:17 sur Canal +
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu
Télévision : 29 avril 2023 à 09:53-12:00 sur Canal +
film de science-fiction
Nanti d'une réputation de théoricien du complot, K.C. ne parvient pas à convaincre son entourage de sa découverte. D'après des données alarmantes qu'il a recueilli, la Lune aurait quitté son orbite et se dirige désormais droit sur la Terre. En désespoir de cause, il s'adresse à une ancienne astronaute, Jo, espérant obtenir son aide pour que la NASA prenne enfin cette alerte au sérieux. Sûre de détenir une solution pour éviter la catastrophe annoncée et imminente, cette dernière s'associe à Brian, astronaute lui aussi, pour démontrer à la communauté scientifique la nécessité d'une réaction rapide pour tenter de sauver l'humanité... - Critique : Roland Emmerich n’est pas réputé pour faire dans la dentelle. Avec ses films catastrophes plus ou moins réussis, où la Terre risque d’être anéantie par des aliens (Independence Day, triomphe planétaire), un monstre très énervé (Godzilla), une nouvelle ère glacière (Le Jour d’après) ou des catastrophes naturelles (2012), le réalisateur germano-américain est l’un des rois incontestés du box-office. Le monde, déjà mal en point, avait-il cependant besoin de Moonfall, son nouveau film, actuellement en salles ? On peut en douter tant l’expérience (2h10) prend des allures d’épreuve. Le « master of disaster » (« maître du désastre »), comme il est surnommé aux États-Unis, a cette fois imaginé, avec ses coscénaristes Harald Kloser et Spenser Cohen, que la Lune menaçait de s’écraser sur la planète, dix ans après la mission d’une équipe d’astronautes. Envoyée dans l’espace pour réparer un satellite, elle s’était fait attaquer par une force mystérieuse, aux allures d’essaim noir. De retour sur Terre, ce fut la disgrâce pour le commandant Brian Harper (Patrick Wilson), accusé par la Nasa d’avoir commis l’erreur d’inattention ayant coûté la vie à l’un des membres de l’équipage. Harper eut à subir dans la foulée licenciement, divorce et endettement… Un gloubi-boulga spatial Dix ans après, donc, KC (John Bradley, Samwell Tarly de Game of Thrones), prototype caricatural du geek solitaire à lunettes et chat, célibataire fan de maman et employé dans un fast-food, découvre que la Lune est en train de dévier de son orbite. Persuadé que l’astre est une « mégastructure » artificielle construite par des aliens (et pourquoi pas ?), il l’étudie en effet de près depuis plusieurs années, et tente d’alerter la Nasa qui, de nouveau, fait la sourde oreille – en cela, le film fait écho au récent Don’t Look Up : déni cosmique, à voir sur Netflix, dans lequel personne ne prend au sérieux des scientifiques ayant fait la découverte d’une comète fonçant droit sur nous. Qu’à cela ne tienne, KC fait fuiter l’info sur les réseaux sociaux. Panique générale, la population tente de fuir, le changement d’orbite montrant déjà ses dramatiques effets sur les océans : inondations spectaculaires et raz de marée. Impression d’avoir déjà vu ça mille fois ? C’est le cas… Mais il faut bien que quelqu’un se colle au sauvetage de la planète. On s’en serait douté, c’est Harper qui en est le seul capable, avec KC (enfin considéré) et sa collègue Jo Fawler – Halle Berry, en service minimum, ne prenant même pas la peine de faire semblant de croire à ce qu’elle raconte, s’adressant, l’œil éteint, à Donald Sutherland : « Vous voulez dire que la Lune est le grand mensonge de l’humanité ? » Notons à ce stade une spectaculaire scène de décollage en urgence de la navette Endeavour, alors qu’une immense vague menace de la submerger. Cela ne suffit cependant pas à sauver ce gloubi-boulga spatial qui lorgne sur 2001 et tente quelques saillies humoristiques (poussives) à la Gardiens de la galaxie… Quitte à viser la Lune pour rencontrer des clones, mieux vaut revoir Moon, de Duncan Jones, délicieusement métaphysique et neurasthénique. :t0: Moonfall, de Roland Emerich. Avec Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley,
Année : 2022
Avec : Carolina Bartczak, Charlie Plummer, Donald Sutherland, Eme Ikwuakor, Halle Berry, John Bradley, Josh Cruddas, Maxim Roy, Michael Peña, Patrick Wilson, Stephen Bogaert, Wenwen Yu