Carol Bivins : passages TV

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Récemment en janvier
 

Un jour sans fin

Télévision : 5 janvier à 13:50-15:27 sur France 2

film : comédie

Phil Connors enrage. Comme tous les ans, parce qu'il présente la météo sur une chaîne de télévision de Pittsburgh, il doit se rendre à Punxsutawney pour une fête locale, le "Groundhog Day", qui célèbre tous les 2 février la fin de l'hibernation des marmottes. Un cameraman, Larry, et une belle productrice, Rita, l'accompagnent. Une tempête de neige les empêche de rentrer le soir même. Furieux, Phil se couche tôt. Le lendemain, il semble être le seul à s'apercevoir que la journée de la veille recommence. Mêmes paroles, mêmes incidents. Chaque matin, le 2 février recommence. D'abord dérouté par ce piétinement du temps, Phil y prend bientôt un certain plaisir. Plus rien n'a de conséquence au-delà du délai d'une journée... - Critique : Présentateur météo égotiste et exaspéré, Phil Connors ne songe qu’à repartir fissa de Punxsutawney, ville de « bouseux » où il est venu couvrir une ridicule Fête de la marmotte. La neige l’oblige à rester une nuit. Le lendemain, Phil découvre avec horreur qu’on est toujours le 2 février ; le voilà condamné à revivre indéfiniment la même journée… La réussite d’un film se mesure parfois à sa manière de transformer pour toujours la perception d’un lieu, d’un objet, d’une personne. Dans Un jour sans fin, ­cela commence par une chanson, I Got You Babe, de Sonny and Cher, ritournelle connue qu’on ne peut plus écouter sans s’esclaffer. Elle sert ici d’intro au cauchemar perpétuel du pauvre Phil. Pourquoi Bill Murray excelle-t-il dans ce traquenard temporel qui transforme la vie en gamme de répétitions mais aussi de possibilités ? Parce qu’il n’est jamais autant lui-même que dans le virtuel, la dérision, le détachement. Sceptique, dupe de personne, il est quelqu’un de toujours déplacé, qui dérange ou que l’on dérange sans cesse. Pas synchrone, c’est son problème. Phil Connors apprend pourtant au fil de son voyage immobile à se détendre, à s’ouvrir, à aimer. Au début mufle sardonique, il finit Bon Samaritain. Intelligent et vertigineux, le scénario de ce piège temporel offre toutes sortes d’hypothèses et de mises en abyme, sans toutefois brider l’action. Bergson et Capra réunis ? Chapeau !

Année : 1993

Avec : Andie MacDowell, Angela Paton, Bill Murray, Brian Doyle-Murray, Carol Bivins, Chris Elliott, Marita Geraghty, Rick Ducommun, Rick Overton, Robin Duke, Stephen Tobolowsky, Willie Garson

Antérieurement en 2022
 

Un jour sans fin

Télévision : 16 juin 2022 à 23:05-00:55 sur Chérie 25

film : comédie

Phil Connors enrage. Comme tous les ans, parce qu'il présente la météo sur une chaîne de télévision de Pittsburgh, il doit se rendre à Punxsutawney pour une fête locale, le "Groundhog Day", qui célèbre tous les 2 février la fin de l'hibernation des marmottes. Un cameraman, Larry, et une belle productrice, Rita, l'accompagnent. Une tempête de neige les empêche de rentrer le soir même. Furieux, Phil se couche tôt. Le lendemain, il semble être le seul à s'apercevoir que la journée de la veille recommence. Mêmes paroles, mêmes incidents. Chaque matin, le 2 février recommence. D'abord dérouté par ce piétinement du temps, Phil y prend bientôt un certain plaisir. Plus rien n'a de conséquence au-delà du délai d'une journée... - Critique : Présentateur météo égotiste et exaspéré, Phil Connors ne songe qu’à repartir fissa de Punxsutawney, ville de « bouseux » où il est venu couvrir une ridicule Fête de la marmotte. La neige l’oblige à rester une nuit. Le lendemain, Phil découvre avec horreur qu’on est toujours le 2 février ; le voilà condamné à revivre indéfiniment la même journée… La réussite d’un film se mesure parfois à sa manière de transformer pour toujours la perception d’un lieu, d’un objet, d’une personne. Dans Un jour sans fin, ­cela commence par une chanson, I Got You Babe, de Sonny and Cher, ritournelle connue qu’on ne peut plus écouter sans s’esclaffer. Elle sert ici d’intro au cauchemar perpétuel du pauvre Phil. Pourquoi Bill Murray excelle-t-il dans ce traquenard temporel qui transforme la vie en gamme de répétitions mais aussi de possibilités ? Parce qu’il n’est jamais autant lui-même que dans le virtuel, la dérision, le détachement. Sceptique, dupe de personne, il est quelqu’un de toujours déplacé, qui dérange ou que l’on dérange sans cesse. Pas synchrone, c’est son problème. Phil Connors apprend pourtant au fil de son voyage immobile à se détendre, à s’ouvrir, à aimer. Au début mufle sardonique, il finit Bon Samaritain. Intelligent et vertigineux, le scénario de ce piège temporel offre toutes sortes d’hypothèses et de mises en abyme, sans toutefois brider l’action. Bergson et Capra réunis ? Chapeau !

Année : 1993

Avec : Andie MacDowell, Angela Paton, Bill Murray, Brian Doyle-Murray, Carol Bivins, Chris Elliott, Marita Geraghty, Rick Ducommun, Rick Overton, Robin Duke, Stephen Tobolowsky, Willie Garson

Antérieurement en 2022
 

Un jour sans fin

Télévision : 9 juin 2022 à 21:05-23:05 sur Chérie 25

film : comédie

Phil Connors enrage. Comme tous les ans, parce qu'il présente la météo sur une chaîne de télévision de Pittsburgh, il doit se rendre à Punxsutawney pour une fête locale, le "Groundhog Day", qui célèbre la fin de l'hibernation des marmottes. Le lendemain, il s'aperçoit que la journée de la veille recommence... - Critique : Présentateur météo égotiste et exaspéré, Phil Connors ne songe qu’à repartir fissa de Punxsutawney, ville de « bouseux » où il est venu couvrir une ridicule Fête de la marmotte. La neige l’oblige à rester une nuit. Le lendemain, Phil découvre avec horreur qu’on est toujours le 2 février ; le voilà condamné à revivre indéfiniment la même journée… La réussite d’un film se mesure parfois à sa manière de transformer pour toujours la perception d’un lieu, d’un objet, d’une personne. Dans Un jour sans fin, ­cela commence par une chanson, I Got You Babe, de Sonny and Cher, ritournelle connue qu’on ne peut plus écouter sans s’esclaffer. Elle sert ici d’intro au cauchemar perpétuel du pauvre Phil. Pourquoi Bill Murray excelle-t-il dans ce traquenard temporel qui transforme la vie en gamme de répétitions mais aussi de possibilités ? Parce qu’il n’est jamais autant lui-même que dans le virtuel, la dérision, le détachement. Sceptique, dupe de personne, il est quelqu’un de toujours déplacé, qui dérange ou que l’on dérange sans cesse. Pas synchrone, c’est son problème. Phil Connors apprend pourtant au fil de son voyage immobile à se détendre, à s’ouvrir, à aimer. Au début mufle sardonique, il finit Bon Samaritain. Intelligent et vertigineux, le scénario de ce piège temporel offre toutes sortes d’hypothèses et de mises en abyme, sans toutefois brider l’action. Bergson et Capra réunis ? Chapeau !

Année : 1993

Avec : Andie MacDowell, Angela Paton, Bill Murray, Brian Doyle-Murray, Carol Bivins, Chris Elliott, Marita Geraghty, Rick Ducommun, Rick Overton, Robin Duke, Stephen Tobolowsky, Willie Garson

Antérieurement en 2022
 

Un jour sans fin

Télévision : 18 février 2022 à 21:00-22:40 sur France 5

film : comédie

Phil Connors enrage. Comme tous les ans, parce qu'il présente la météo sur une chaîne de télévision de Pittsburgh, il doit se rendre à Punxsutawney pour une fête locale, le "Groundhog Day", qui célèbre la fin de l'hibernation des marmottes. Le lendemain, il s'aperçoit que la journée de la veille recommence... - Critique : Présentateur météo égotiste et exaspéré, Phil Connors ne songe qu’à repartir fissa de Punxsutawney, ville de « bouseux » où il est venu couvrir une ridicule Fête de la marmotte. La neige l’oblige à rester une nuit. Le lendemain, Phil découvre avec horreur qu’on est toujours le 2 février ; le voilà condamné à revivre indéfiniment la même journée… La réussite d’un film se mesure parfois à sa manière de transformer pour toujours la perception d’un lieu, d’un objet, d’une personne. Dans Un jour sans fin, ­cela commence par une chanson, I Got You Babe, de Sonny and Cher, ritournelle connue qu’on ne peut plus écouter sans s’esclaffer. Elle sert ici d’intro au cauchemar perpétuel du pauvre Phil. Pourquoi Bill Murray excelle-t-il dans ce traquenard temporel qui transforme la vie en gamme de répétitions, mais aussi de possibilités ? Parce qu’il n’est jamais autant lui-même que dans le virtuel, la dérision, le détachement. Sceptique, dupe de personne, à la fois lointain et présent, il est quelqu’un de toujours déplacé, qui dérange ou que l’on dérange sans cesse. Pas synchrone, c’est son problème. Phil Connors apprend pourtant au fil de son voyage immobile à se détendre, à s’ouvrir, à aimer. Au début mufle sardonique, il finit Bon Samaritain. Intelligent et vertigineux, le scénario de ce piège temporel offre toutes sortes d’hypothèses et de mises en abyme, sans toutefois brider l’action — laquelle coule de source. Bergson et Capra, réunis ? Chapeau !

Année : 1993

De : Harold Ramis

Avec : Andie MacDowell, Angela Paton, Ben Zwick, Bill Murray, Brian Doyle-Murray, C O Erickson, Carol Bivins, Chet Dubowski, Chris Elliott, David Pasquesi, Evangeline Binkley, Harold Ramis, Hynden Walch, John M, Ken Hudson, Lee R, Leighanne O'Neil, Les Podewell, Marita Geraghty, Michael Shannon, Peggy Roeder, Rick Ducommun, Rick Overton, Robin Duke, Rod Sell, Samuel Mages, Sandy Maschmeyer, Stephen Tobolowsky, Tom Milanovich, Willie Garson