Betty Grable : passages TV

Créez gratuitement votre compte Evernext pour être averti de toutes les actualités de Betty Grable.

Créer mon compte

Récemment en février
 

Comment épouser un millionnaire

Télévision : 11 février à 13:30-15:05 sur Arte

film : comédie sentimentale

A New York, trois amies de longue date, Page, Pola et Loco, de superbes mannequins, partagent un appartement et ambitionnent toutes trois d'épouser un millionnaire. Page fait la connaissance de Tom Brookman, dont elle tombe immédiatement amoureuse. Persuadée, à tort, qu'il n'a pas la moindre fortune, elle s'empresse de le délaisser au profit du milliardaire JD Hanley, un quinquagénaire qui invite le trio à une réception. Au cours de la soirée, Loco fait la connaissance de Brewster, un homme qui propose de l'emmener dans son pavillon de chasse. Quant à Pola, elle recevra une demande en mariage du richissime Merrill. Mais va-t-elle vraiment l'épouser ?... - Critique : Pola, Schatze et Loco, trois pin-up new-yorkaises, sont prêtes à tout (du moins le croient-elles) pour épingler un riche célibataire : « Rien en dessous de un million par an », se sont-elles juré. ­Ravissantes mais fauchées, elles perdent leurs derniers sous dans la colocation d’un appartement de luxe, censé favoriser leur stratégie matrimoniale, et se mettent à l’affût du pigeon idéal. Ces demoiselles, moins âpres au gain que sentimentales, ­finiront, après moult quiproquos et flirts en tout genre, par gagner… l’amour. Jean Negulesco signe ici, outre l’un des premiers films en CinémaScope, une comédie gentiment désuète et faussement cynique sur les déboires et bévues d’un délicieux trio de comédiennes (Lauren Bacall, Betty Grable, Marilyn Monroe, excusez du peu). Trois mythes qui permettent d’oublier certaines faiblesses de scénario (personnages masculins fantoches, scènes répétitives) et baisses de rythme. Le film mérite d’être (re) vu, ne serait-ce que pour Marilyn et son irrésistible numéro de gaffeuse myope, ou encore pour les multiples clins d’œil que le réalisateur et ses actrices s’amusent à adresser au public. Ainsi Schatze (Lauren Bacall, Mme Bogart à la ville) exprime-t-elle son goût pour les hommes plus âgés : « Comme ce vieux, là, comment s’appelle-t-il ? Celui qui joue dans African Queen. Je suis folle de lui ! »

Année : 1953

De : Jean Negulesco

Avec : Alexander D'Arcy, Betty Grable, Billy Daniel, Calhoun Rory, Cameron Mitchell, Fred Clark, Jan Arvan, Lauren Bacall, Marilyn Monroe, Percy Helton, Robert Adler, Wayne David, William Powell

Récemment en janvier
 

Stalag 17

Télévision : 30 janvier à 13:35-15:50 sur Arte

film de guerre

Dans le Stalag 17, un camp de prisonniers près du Danube, plus de 600 pilotes américains sont incarcérés. Toutefois, l'ambiance est bonne. Les plaisanteries contre les officiers allemands vont bon train, les jeux et paris ne manquent pas. Mais un jour, la tentative d'évasion de Manfredi et de Johnson échoue lamentablement. La trahison ne fait aucun doute. Les Allemands devaient forcément avoir eu connaissance de l'existence du tunnel par lequel les malheureux comptaient prendre la poudre d'escampette. Soudain, l'ambiance se dégrade, tout le monde se surveille et chacun cherche le traître. Les soupçons se portent sur un sergent au caractère cynique, JJ Sefton. A tort ou à raison ?... - Critique : Pour le rôle du commandant du camp nazi, Billy Wilder engage le cinéaste Otto Preminger, autrichien comme lui et réputé pour diriger sadiquement ses acteurs. Avec Otto, Billy se fait tout doux : « Vous comprenez, dit-il en rigolant, j'ai encore de la famille en Allemagne. » Wilder n'est pas le dernier à exiger de ses interprètes une obéissance absolue. Sur le plateau de ­Fedora, Marthe Keller s'en plaint à son partenaire, William Holden. « Il est terrible, je sais, réplique ce dernier, mais, chaque fois que ce fils de pute me dirige, je suis nommé à l'oscar. » Et, précisément, Holden remporte la statuette avec ce Stalag 17, exercice de style brillantissime, mais vaguement mineur en regard des chefs-d'œuvre wilderiens : Certains l'aiment chaud, Un, deux, trois ou La Vie privée de Sherlock Holmes. On retrouve sa griffe dans de nombreuses scènes : ce Noël étrange où les prisonniers dansent entre eux et où un soldat, travesti en femme à l'aide de poignées de paille astucieusement placées, se fait agresser par un pote qui le prend pour ­Betty Grable, sa star préférée. Plus sérieusement, on retrouve l'un des thèmes essentiels de Wilder : l'hystérie. Nous sommes en 1953, le maccarthysme bat son plein, et Stalag 17 raconte l'histoire d'Américains qui cherchent des traîtres partout et font d'un faux coupable leur bouc émissaire. Que la victime ne soit pas un pur agneau (Holden est malin, cynique et profiteur) ajoute, évidemment, à la jubilation de Wilder et à l'ambiguïté du film.

Année : 1953

Avec : Baldwin Peter, Don Taylor, Erdman Richard, Harvey Lembeck, Michael Moore, Neville Brand, Otto Preminger, Peter Graves, Robert Shawley, Robert Strauss, Robinson Stone, William Holden

Récemment en janvier
 

Comment épouser un millionnaire

Télévision : 29 janvier à 20:55-22:30 sur Arte

film : comédie sentimentale

A New York, trois amies de longue date, Page, Pola et Loco, de superbes mannequins, partagent un appartement et ambitionnent toutes trois d'épouser un millionnaire. Page fait la connaissance de Tom Brookman, dont elle tombe immédiatement amoureuse. Persuadée, à tort, qu'il n'a pas la moindre fortune, elle s'empresse de le délaisser au profit du milliardaire JD Hanley, un quinquagénaire qui invite le trio à une réception. Au cours de la soirée, Loco fait la connaissance de Brewster, un homme qui propose de l'emmener dans son pavillon de chasse. Quant à Pola, elle recevra une demande en mariage du richissime Merrill. Mais va-t-elle vraiment l'épouser ?... - Critique : Genre : comédie. Pola, Schatze et Loco, trois pin-up new-yorkaises, sont prêtes à tout (du moins le croient-elles) pour épingler un riche célibataire : « Rien en dessous de un million par an », se sont-elles juré. ­Ravissantes mais fauchées, elles perdent leurs derniers sous dans la colocation d'un appartement de luxe, censé favoriser leur stratégie matrimoniale, et se mettent à l'affût du pigeon idéal. Ces demoiselles, moins âpres au gain que sentimentales, ­finiront, après moult quiproquos et flirts en tout genre, par gagner... l'amour. Jean Negulesco signe ici, outre l'un des premiers films en CinémaScope, une comédie gentiment désuète et faussement cynique sur les déboires et bévues d'un délicieux trio de comédiennes (Lauren Bacall, Betty Grable, Marilyn Monroe, excusez du peu). Trois mythes qui permettent d'oublier certaines faiblesses de scénario (personnages masculins fantoches, scènes répétitives) et baisses de rythme. Le film mérite d'être (re)vu, ne serait-ce que pour Marilyn et son irrésistible numéro de gaffeuse myope, ou encore pour les multiples clins d'oeil que le réalisateur et ses actrices s'amusent à adresser au public. Ainsi Schatze (Lauren Bacall, Mme Bogart à la ville) exprime-t-elle son goût pour les hommes plus âgés : « Comme ce vieux, là, comment s'appelle-t-il ? Celui qui joue dans African Queen. Je suis folle de lui ! »

Année : 1953

De : Jean Negulesco

Avec : Alexander D'Arcy, Betty Grable, Billy Daniel, Calhoun Rory, Cameron Mitchell, Fred Clark, Jan Arvan, Lauren Bacall, Marilyn Monroe, Percy Helton, Robert Adler, Wayne David, William Powell

Récemment en janvier
 

Stalag 17

Télévision : 26 janvier à 13:35-15:50 sur Arte

film de guerre

Dans le Stalag 17, un camp de prisonniers près du Danube, plus de 600 pilotes américains sont incarcérés. Toutefois, l'ambiance est bonne. Les plaisanteries contre les officiers allemands vont bon train, les jeux et paris ne manquent pas. Mais un jour, la tentative d'évasion de Manfredi et de Johnson échoue lamentablement. La trahison ne fait aucun doute. Les Allemands devaient forcément avoir eu connaissance de l'existence du tunnel par lequel les malheureux comptaient prendre la poudre d'escampette. Soudain, l'ambiance se dégrade, tout le monde se surveille et chacun cherche le traître. Les soupçons se portent sur un sergent au caractère cynique, JJ Sefton. A tort ou à raison ?... - Critique : Pour le rôle du commandant du camp nazi, Billy Wilder engage le cinéaste Otto Preminger, autrichien comme lui et réputé pour diriger sadiquement ses acteurs. Avec Otto, Billy se fait tout doux : « Vous comprenez, dit-il en rigolant, j'ai encore de la famille en Allemagne. » Wilder n'est pas le dernier à exiger de ses interprètes une obéissance absolue. Sur le plateau de ­Fedora, Marthe Keller s'en plaint à son partenaire, William Holden. « Il est terrible, je sais, réplique ce dernier, mais, chaque fois que ce fils de pute me dirige, je suis nommé à l'oscar. » Et, précisément, Holden remporte la statuette avec ce Stalag 17, exercice de style brillantissime, mais vaguement mineur en regard des chefs-d'oeuvre wilderiens : Certains l'aiment chaud, Un, deux, trois ou La Vie privée de Sherlock Holmes. On retrouve sa griffe dans de nombreuses scènes : ce Noël étrange où les prisonniers dansent entre eux et où un soldat, travesti en femme à l'aide de poignées de paille astucieusement placées, se fait agresser par un pote qui le prend pour ­Betty Grable, sa star préférée. Plus sérieusement, on retrouve l'un des thèmes essentiels de Wilder : l'hystérie. Nous sommes en 1953, le maccarthysme bat son plein, et Stalag 17 raconte l'histoire d'Américains qui cherchent des traîtres partout et font d'un faux coupable leur bouc émissaire. Que la victime ne soit pas un pur agneau (Holden est malin, cynique et profiteur) ajoute, évidemment, à la jubilation de Wilder et à l'ambiguïté du film.

Année : 1953

Avec : Baldwin Peter, Don Taylor, Erdman Richard, Harvey Lembeck, Michael Moore, Neville Brand, Otto Preminger, Peter Graves, Robert Shawley, Robert Strauss, Robinson Stone, William Holden

Récemment en janvier
 

Stalag 17

Télévision : 22 janvier à 20:55-22:55 sur Arte

film de guerre

Dans le Stalag 17, un camp de prisonniers près du Danube, plus de 600 pilotes américains sont incarcérés. Toutefois, l'ambiance est bonne. Les plaisanteries contre les officiers allemands vont bon train, les jeux et paris ne manquent pas. Mais un jour, la tentative d'évasion de Manfredi et de Johnson échoue lamentablement. La trahison ne fait aucun doute. Les Allemands devaient forcément avoir eu connaissance de l'existence du tunnel par lequel les malheureux comptaient prendre la poudre d'escampette. Soudain, l'ambiance se dégrade, tout le monde se surveille et chacun cherche le traître. Les soupçons se portent sur un sergent au caractère cynique, JJ Sefton. A tort ou à raison ?... - Critique : Pour le rôle du commandant du camp nazi, Billy Wilder engage le cinéaste Otto Preminger, autrichien comme lui et réputé pour diriger sadiquement ses acteurs. Avec lui, Billy va se faire tout doux : « Vous comprenez, dit-il en rigolant, j’ai encore de la famille en Allemagne… » Mais Wilder aussi exigeait une obéissance absolue. Sur le plateau de Fedora, Marthe Keller se plaindra à son partenaire, William Holden. « Il est terrible, je sais , réplique-t-il, mais chaque fois que ce fils de pute me dirige, je suis nommé à l’Oscar. » Et Holden remporte la statuette pour ce rôle dans Stalag 17 , exercice de style brillantissime mais vaguement mineur, en regard de chefs-d’œuvre wilderiens comme Certains l’aiment chaud ou La Vie privée de Sherlock Holmes . On retrouve bien sûr sa griffe dans de nombreuses scènes : ce Noël étrange où les prisonniers dansent entre eux et où un soldat, travesti en femme, se fait agresser par un pote qui le prend pour Betty Grable, sa star préférée. Plus sérieusement, on retrouve l’un des thèmes essentiels de Wilder : l’hystérie. Nous sommes en 1953, le maccarthysme bat son plein, et Stalag 17 raconte l’histoire d’Américains qui cherchent des traîtres partout. Que la victime ne soit pas un pur agneau (Holden est malin, cynique et profiteur) ajoute, évidemment, à la jubilation de Wilder et à l’ambiguïté du film.

Année : 1953

Avec : Baldwin Peter, Don Taylor, Erdman Richard, Harvey Lembeck, Michael Moore, Neville Brand, Otto Preminger, Peter Graves, Robert Shawley, Robert Strauss, Robinson Stone, William Holden