Berti Marina : passages TV

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Récemment en janvier
 

Le témoin

Télévision : 27 janvier à 00:49-02:16 sur France 3

film : drame

Pierre Scotti, soupçonné d'un meurtre crapuleux, risque une très grave condamnation sur la foi d'un témoin à charge de dernière minute, Marchi, dont les déclarations reposent sur l'heure du crime fournie par sa montre. Mais l'avocat de Pierre trafique l'objet, si bien que Marchi se met à douter. Il n'en faut pas plus pour que Pierre soit libéré. Hanté par les dernières confidences de son compagnon de cellule, exécuté depuis, il se rend dans un petit café et tombe sous le charme de la domestique, Linda, maltraitée par son patron. Il la pousse à le suivre et à s'installer avec lui. Le hasard le met à nouveau en présence du fatal témoin...

Année : 1946

Avec : Arnoldo Foà, Berti Marina, Cesare Fantoni, Dino Maronetto, Ernesto Almirante, Marcella Melnati, Roldano Lupi, Sandro

Antérieurement en 2023
 

Madame Sans-Gêne

Télévision : 17 octobre 2023 à 13:35-15:40 sur Arte

film : comédie sentimentale

En 1792, le jour de la prise des Tuileries. Catherine Hubscher, une belle et pétulante blanchisseuse, demande à un jeune lieutenant d'artillerie, Bonaparte, de faire évacuer sa cour, envahie par les patriotes. Le militaire lance quelques conseils méprisants à ces révolutionnaires mal organisés puis se retire dignement. Catherine cherche et trouve protection auprès du sergent François Lefebvre, qui deviendra son mari. Les années passent. Lefebvre gagne des galons, le petit lieutenant du terrain et Catherine, surnommée Madame Sans-Gêne, une certaine réputation. Celle-ci finit par rejoindre son époux, devenu capitaine, et se fait engager comme cantinière pour ne pas le quitter. Un jour, le couple est capturé par les Autrichiens...

Année : 1961

Avec : Bertheau Julien, Berti Marina, Enrique Avila, Fernando Sancho, Gadé Analía, Gianrico Tedeschi, Giuffrè Carlo, Gray Léa, Laura Valenzuela, Renaud Mary, Robert Hossein, Sophia Loren

Antérieurement en 2023
 

Madame Sans-Gêne

Télévision : 6 octobre 2023 à 13:35-15:10 sur Arte

film : comédie sentimentale

En 1792, le jour de la prise des Tuileries. Catherine Hubscher, une belle et pétulante blanchisseuse, demande à un jeune lieutenant d'artillerie, Bonaparte, de faire évacuer sa cour, envahie par les patriotes. Le militaire lance quelques conseils méprisants à ces révolutionnaires mal organisés puis se retire dignement. Catherine cherche et trouve protection auprès du sergent François Lefebvre, qui deviendra son mari. Les années passent. Lefebvre gagne des galons, le petit lieutenant du terrain et Catherine, surnommée Madame Sans-Gêne, une certaine réputation. Celle-ci finit par rejoindre son époux, devenu capitaine, et se fait engager comme cantinière pour ne pas le quitter. Un jour, le couple est capturé par les Autrichiens...

Année : 1961

Avec : Bertheau Julien, Berti Marina, Enrique Avila, Fernando Sancho, Gadé Analía, Gianrico Tedeschi, Giuffrè Carlo, Gray Léa, Laura Valenzuela, Renaud Mary, Robert Hossein, Sophia Loren

Antérieurement en 2023
 

Madame Sans-Gêne

Télévision : 17 septembre 2023 à 13:30-15:25 sur Arte

film : comédie sentimentale

En 1792, le jour de la prise des Tuileries. Catherine Hubscher, une belle et pétulante blanchisseuse, demande à un jeune lieutenant d'artillerie, Bonaparte, de faire évacuer sa cour, envahie par les patriotes. Le militaire lance quelques conseils méprisants à ces révolutionnaires mal organisés puis se retire dignement. Catherine cherche et trouve protection auprès du sergent François Lefebvre, qui deviendra son mari. Les années passent. Lefebvre gagne des galons, le petit lieutenant du terrain et Catherine, surnommée Madame Sans-Gêne, une certaine réputation. Celle-ci finit par rejoindre son époux, devenu capitaine, et se fait engager comme cantinière pour ne pas le quitter. Un jour, le couple est capturé par les Autrichiens...

Année : 1961

Avec : Bertheau Julien, Berti Marina, Enrique Avila, Fernando Sancho, Gadé Analía, Gianrico Tedeschi, Giuffrè Carlo, Gray Léa, Laura Valenzuela, Renaud Mary, Robert Hossein, Sophia Loren

Antérieurement en 2023
 

Quo vadis ?

Télévision : 30 avril 2023 à 13:30-16:15 sur Arte

film : péplum

L'an 60 de l'ère chrétienne. Le règne sanglant de l'empereur Néron est marqué depuis des années par la corruption et le crime. Marcus Vinicius, vaillant combattant des guerres récentes, est accueilli triomphalement à Rome. Sur ordre de l'empereur et de son oncle Pétrone, Marcus fait camper ses hommes à l'extérieur de la ville et passe lui-même la nuit dans la maison de campagne du général Plautius. Il y fait la connaissance de l'apôtre Paul, qui prêche le christianisme, interdit à Rome, et de Lygie, une jeune esclave chrétienne qui appartient à Néron et dont il tombe immédiatement amoureux. Bien que la jeune femme le repousse, Marcus décide de la racheter à l'empereur. Pendant ce temps, Néron met une touche finale à ses grandioses projets "architecturaux"... - Critique : | Genre : autant en emporte Rome. Alors que Néron semble plus préoccupé par ses compositions ­lyriques que par la politique, une jeune femme, Lygie, fait connaître à un officier romain les délices du christianisme naissant... Devenir chrétien par amour, et le rester par conviction : il n'y a pas plus politiquement correct que les péplums américains des années 1950. Tout en se vautrant — avec pudeur — dans les ­orgies, ces films édulcorent l'histoire romaine et la revisitent à l'aune de l'actualité. Réalisé en pleine guerre froide, Quo vadis ­assimile les Romains militaristes (et décadents) aux méchants ­soviétiques. Les Américains puritains se retrouvaient, eux, dans la sympathique famille chrétienne de Lygie, tout en rigueur ­morale et amour de son prochain. Première superproduction tournée après la guerre, dans les studios de Cinecittà, ce film — très long — a contribué à graver dans le marbre la représentation de l'Antiquité romaine. Et de ses ­héros. Néron, interprété par un Peter Ustinov exagérément inspiré, devient un despote de pacotille plus ridicule que cruel. Mais l'incendie de Rome reste spectaculaire — les scènes sont d'ailleurs attribuées au réalisateur de la seconde équipe, Anthony Mann. Parmi la foule, saurez-vous repérer une jeune figurante, Sophia Loren ? — Anne Dessuant

Année : 1951

De : Anthony Mann, LeRoy Mervyn

Avec : Aylmer Felix, Berti Marina, Buddy Baer, Deborah Kerr, Finlay Currie, Laffan Patricia, Leo Genn, Nora Swinburne, Ralph Truman, Robert Taylor, Sofaer Abraham, Ustinov Peter

Antérieurement en 2023
 

La Califfa

Télévision : 29 avril 2023 à 00:22-01:59 sur France 3

film : drame

Irène Orsini, ravissante ouvrière de l'Italie du Nord, est surnommée "la Califfa". La mort de son mari au cours d'affrontements entre grévistes et forces de l'ordre, l'a poussée à devenir une militante acharnée. On la retrouve à la tête des revendications ouvrières, lors d'une grève de solidarité décidée dans toutes les entreprises de la ville, en soutien à une usine menacée par la faillite. Annibale Doberdo, un grand patron que la grève fragilise, évite les organisations syndicales pour traiter directement avec les travailleurs. La Califfa réagit et mène la résistance. Mais derrière la lutte sociale se profile, presque contre nature, un rapprochement des deux êtres... - Critique : C’est l’époque fastueuse où Romy Schneider enchaîne trois films par an. Parfois en s’égarant, comme dans ce drame pompier qui frise souvent le ridicule. Soit une usine du nord de l’Italie, occupée par des grévistes très en colère, avec à leur tête une pasionaria (Romy Schneider), qui n’hésite pas à cracher sur le patron (Ugo Tognazzi, de marbre), au demeurant assez détestable. Lequel s’amende en s’éprenant d’elle, l’ouvrière ayant auparavant couché avec son fils ! L’homme se transforme tant qu’il en vient à proposer un modèle d’autogestion, au grand dam d’autres grands patrons ligués contre lui dans une sorte de loge mafieuse. Le film réussit l’exploit d’être à la fois confus, traînard et emphatique. Il échappe à la narration classique, oscillant entre la tragédie lyrique et le néo-western – soutenu par la musique omniprésente d’Ennio Morricone. Il s’agit du premier film réalisé par Alberto Bevilacqua, romancier et poète, qui adaptait là un de ses livres. On subodore qu’il était davantage fait pour l’écriture (il a été scénariste de Mario Bava) que pour la mise en scène. Le seul intérêt du film tient dans le charisme fou de Romy Schneider, bronzée, au zénith de sa beauté. Clairement ensorcelé lui aussi, le réalisateur ne détache pas son regard d’elle, près d’une image sur deux étant un gros plan sur son visage et ses yeux d’aigue-marine. À noter enfin, la présence secondaire de Marina Berti, autre déesse (au faux air de Lucia Bosè), dont la carrière s’est partagée entre les États-Unis, la France et l’Italie.

Année : 1970

Avec : Berti Marina, Gigi Ballista, Luigi Casellato, Massimo Farinelli, Massimo Serato, Roberto Bisacco, Romy Schneider, Ugo Tognazzi

Antérieurement en 2023
 

Quo vadis ?

Télévision : 10 avril 2023 à 13:35-16:40 sur Arte

film : péplum

L'an 60 de l'ère chrétienne. Le règne sanglant de l'empereur Néron est marqué depuis des années par la corruption et le crime. Marcus Vinicius, vaillant combattant des guerres récentes, est accueilli triomphalement à Rome. Sur ordre de l'empereur et de son oncle Pétrone, Marcus fait camper ses hommes à l'extérieur de la ville et passe lui-même la nuit dans la maison de campagne du général Plautius. Il y fait la connaissance de l'apôtre Paul, qui prêche le christianisme, interdit à Rome, et de Lygie, une jeune esclave chrétienne qui appartient à Néron et dont il tombe immédiatement amoureux. Bien que la jeune femme le repousse, Marcus décide de la racheter à l'empereur. Pendant ce temps, Néron met une touche finale à ses grandioses projets "architecturaux"... - Critique : | Genre : autant en emporte Rome. Alors que Néron semble plus préoccupé par ses compositions ­lyriques que par la politique, une jeune femme, Lygie, fait connaître à un officier romain les délices du christianisme naissant... Devenir chrétien par amour, et le rester par conviction : il n'y a pas plus politiquement correct que les péplums américains des années 1950. Tout en se vautrant — avec pudeur — dans les ­orgies, ces films édulcorent l'histoire romaine et la revisitent à l'aune de l'actualité. Réalisé en pleine guerre froide, Quo vadis ­assimile les Romains militaristes (et décadents) aux méchants ­soviétiques. Les Américains puritains se retrouvaient, eux, dans la sympathique famille chrétienne de Lygie, tout en rigueur ­morale et amour de son prochain. Première superproduction tournée après la guerre, dans les studios de Cinecittà, ce film — très long — a contribué à graver dans le marbre la représentation de l'Antiquité romaine. Et de ses ­héros. Néron, interprété par un Peter Ustinov exagérément inspiré, devient un despote de pacotille plus ridicule que cruel. Mais l'incendie de Rome reste spectaculaire — les scènes sont d'ailleurs attribuées au réalisateur de la seconde équipe, Anthony Mann. Parmi la foule, saurez-vous repérer une jeune figurante, Sophia Loren ? — Anne Dessuant

Année : 1951

De : Anthony Mann, LeRoy Mervyn

Avec : Aylmer Felix, Berti Marina, Buddy Baer, Deborah Kerr, Finlay Currie, Laffan Patricia, Leo Genn, Nora Swinburne, Ralph Truman, Robert Taylor, Sofaer Abraham, Ustinov Peter