Armendáriz Pedro : passages TV

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Récemment en décembre
 

Le fils du désert

Télévision : 23 décembre 2023 à 23:07-01:07 sur C8

film : western

Robert Hightower, Pedro Fuerte et le Kid d'Abilene arrivent à Welcome, une petite bourgade perdue en plein coeur de l'Arizona. Ils rencontrent le shérif, "Buck" Perley Sweet, avant d'attaquer la banque et de s'enfuir aussitôt. Le Kid est blessé dans l'opération. Buck Sweet se lance aussitôt à la poursuite des trois voleurs. Pour échapper à la milice, les fugitifs s'engagent dans le désert. Ils y trouvent un chariot totalement isolé, vestige d'un convoi attaqué par les Indiens, qui abrite une femme sur le point d'accoucher. Pedro l'aide à mettre son enfant au monde. Sentant sa mort prochaine, la jeune mère confie son bébé aux trois hommes. Les bandits font tout pour protéger l'enfant... - Critique : Entre Le Massacre de Fort Apache et La Charge héroïque, les deux premiers volets de sa trilogie sur la cavalerie, John Ford s’accorde une récréation. Le Fils du désert est un drôle de western en forme de conte de Noël : on y croise l’étoile du Berger, un âne, un nouveau-né, une bible, un shérif nommé B. Sweet (« Sois gentil ») et trois brigands aux allures de Rois mages… De Welcome, petite ville dont ils dévalisent la banque, à la Nouvelle Jérusalem, les trois lascars, dont le chemin de croix traversera la Vallée de la Mort, se rachètent une conscience en sauvant un bébé, cet orphelin du désert aux parrains pas très catholiques… Parabole sur la rédemption, le film prend son temps, s’attache plus aux hommes qu’aux péripéties. Et aux décors : c’est la quintessence des paysages fordiens, filmés en Technicolor. Le réalisateur avait déjà adapté ce scénario en 1919 (Marked Men), et on y sent l’influence du cinéma muet, comme dans les magnifiques séquences, silencieuses, de la tempête de sable. John Ford compose ses plans comme autant d’icônes pour illustrer sa relecture de la Nativité à l’aune de la conquête de l’Ouest.

Année : 1948

Avec : Armendáriz Pedro, Charles Halton, Dorothy Ford, Guy Kibbee, Hank Worden, Harry Carey, Jack Pennick, Jane Darwell, John Wayne, Mae Marsh, Mildred Natwick, Ward Bond

Récemment en décembre
 

Le fils du désert

Télévision : 23 décembre 2023 à 23:05-01:08 sur C8

film : western

Robert Hightower, Pedro Fuerte et le Kid d'Abilene arrivent à Welcome, une petite bourgade perdue en plein coeur de l'Arizona. Ils rencontrent le shérif, "Buck" Perley Sweet, avant d'attaquer la banque et de s'enfuir aussitôt. Le Kid est blessé dans l'opération. Buck Sweet se lance aussitôt à la poursuite des trois voleurs. Pour échapper à la milice, les fugitifs s'engagent dans le désert. Ils y trouvent un chariot totalement isolé, vestige d'un convoi attaqué par les Indiens, qui abrite une femme sur le point d'accoucher. Pedro l'aide à mettre son enfant au monde. Sentant sa mort prochaine, la jeune mère confie son bébé aux trois hommes. Les bandits font tout pour protéger l'enfant... - Critique : Entre Le Massacre de Fort Apache et La Charge héroïque, les deux premiers volets de sa trilogie sur la cavalerie, John Ford s’accorde une récréation. Le Fils du désert est un drôle de western en forme de conte de Noël : on y croise l’étoile du Berger, un âne, un nouveau-né, une bible, un shérif nommé B. Sweet (« Sois gentil ») et trois brigands aux allures de Rois mages… De Welcome, petite ville dont ils dévalisent la banque, à la Nouvelle Jérusalem, les trois lascars, dont le chemin de croix traversera la Vallée de la Mort, se rachètent une conscience en sauvant un bébé, cet orphelin du désert aux parrains pas très catholiques… Parabole sur la rédemption, le film prend son temps, s’attache plus aux hommes qu’aux péripéties. Et aux décors : c’est la quintessence des paysages fordiens, filmés en Technicolor. Le réalisateur avait déjà adapté ce scénario en 1919 (Marked Men), et on y sent l’influence du cinéma muet, comme dans les magnifiques séquences, silencieuses, de la tempête de sable. John Ford compose ses plans comme autant d’icônes pour illustrer sa relecture de la Nativité à l’aune de la conquête de l’Ouest.

Année : 1948

Avec : Armendáriz Pedro, Charles Halton, Dorothy Ford, Guy Kibbee, Hank Worden, Harry Carey, Jack Pennick, Jane Darwell, John Wayne, Mae Marsh, Mildred Natwick, Ward Bond

Récemment en décembre
 

Le fils du désert

Télévision : 16 décembre 2023 à 21:10-23:05 sur C8

film : western

Robert Hightower, Pedro Fuerte et le Kid d'Abilene arrivent à Welcome, une petite bourgade perdue en plein coeur de l'Arizona. Ils rencontrent le shérif, "Buck" Perley Sweet, avant d'attaquer la banque et de s'enfuir aussitôt. Le Kid est blessé dans l'opération. Buck Sweet se lance aussitôt à la poursuite des trois voleurs. Pour échapper à la milice, les fugitifs s'engagent dans le désert. Ils y trouvent un chariot totalement isolé, vestige d'un convoi attaqué par les Indiens, qui abrite une femme sur le point d'accoucher. Pedro l'aide à mettre son enfant au monde. Sentant sa mort prochaine, la jeune mère confie son bébé aux trois hommes. Les bandits font tout pour protéger l'enfant... - Critique : | Genre : il est né le divin enfant. Entre Le Massacre de Fort Apache et La Charge héroïque, les deux premiers volets de sa trilogie sur la cavalerie, John Ford s'accorde une récréation. Le Fils du désert est un drôle de western en forme de conte de Noël : on y croise l'étoile du berger, un âne, un nouveau-né, une bible, un shérif nommé B. Sweet (« Sois gentil ») et trois brigands aux allures de Rois mages... De Welcome, petite ville dont ils dévalisent la banque, à la Nouvelle Jérusalem, les trois lascars, dont le chemin de croix traversera le désert de la Mort, se rachètent une conscience en sauvant un bébé, cet orphelin du désert aux parrains pas très catholiques ! Ce film en forme de parabole sur la rédemption prend son temps et s'attache plus aux hommes qu'aux péripéties. Et aux décors : c'est la quintessence des paysages fordiens, filmés en Technicolor. Le réalisateur avait déjà adapté ce scénario en 1919 (Marked Men), et on y sent l'influence du cinéma muet, comme dans les magnifiques séquences, silencieuses, de la tempête de sable. John Ford compose ses plans comme autant d'icônes pour illustrer sa relecture de la Nativité à l'aune de la Conquête de l'Ouest. Divin. — Anne Dessuant

Année : 1948

Avec : Armendáriz Pedro, Charles Halton, Dorothy Ford, Guy Kibbee, Hank Worden, Harry Carey, Jack Pennick, Jane Darwell, John Wayne, Mae Marsh, Mildred Natwick, Ward Bond

Antérieurement en 2023
 

Bons baisers de Russie

Télévision : 14 août 2023 à 00:50-02:40 sur France 2

film d'action

Les services de contre-espionnage britanniques et soviétiques se livrent une lutte acharnée pour mettre la main sur des documents secrets. Le "Spectre" charge la belle Tatiana Romanova de séduire James Bond, en possession des précieuses informations, et de le livrer à des complices qui se chargeront de le faire périr. Tandis que les Britanniques s'assurent l'aide des Turcs, les Soviétiques s'acoquinent avec les Bulgares. L'agent 007 fuit ses assaillants au cours d'une course échevelée en train, en hélicoptère et en voiture. Mais ses agresseurs ne veulent pas lâcher prise, même si leur nombre tend singulièrement à diminuer... - Critique : Pour éliminer Bond, le Spectre fait appel à Rosa Klebb, ex-espionne au service de l’URSS. Elle attire 007 à Istanbul. Son appât ? La délicieuse Tatiana, agent soviétique qui veut passer à l’Ouest. La partie, musclée, se jouera dans l’Orient-Express… C’est la deuxième aventure de James Bond à l’écran, et sans aucun doute l’une des plus réussies de la saga. Il faut se replacer dans le contexte de l’époque. Quelques années plus tôt, la Couronne britannique vient de nommer ses traîtres : Burgess, Philby, Maclean, espions à la solde de l’URSS. Et, en été 1963 — l’année même du film —, éclate l’affaire Profumo : on surprend un ministre anglais partageant une maîtresse avec un attaché naval soviétique ! Il faut bien un 007 pour remettre de l’ordre dans la pagaille de la guerre froide… Voilà pourquoi le film gagne sur tous les tableaux : il est spectaculaire à souhait, avec de l’action, des gadgets et des minettes (la blonde Daniela Bianchi et la brune Martine Beswick), mais l’intrigue gagne aussi en complexité, montrant sans détour le jeu des manipulations et des trahisons. Sean Connery, plus mûr, a en face de lui des méchants costauds. On connaît l’adage : meilleur est le méchant, meilleur est le film. Ici, Robert Shaw, en tueur oxygéné, et Lotte Lenya mettent l’Orient-Express sens dessus dessous…

Année : 1963

De : Terence Young

Avec : Aliza Gur, Armendáriz Pedro, Bernard Lee, Daniela Bianchi, De Francis, Eunice Gayson, Lotte Lenya, Martine Beswick, Robert Shaw, Sean Connery, Vladek Sheybal, Walter Gotell

Antérieurement en 2023
 

Bons baisers de Russie

Télévision : 14 août 2023 à 00:45-02:35 sur France 2

film d'action

Les services de contre-espionnage britanniques et soviétiques se livrent une lutte acharnée pour mettre la main sur des documents secrets. Le "Spectre" charge la belle Tatiana Romanova de séduire James Bond, en possession des précieuses informations, et de le livrer à des complices qui se chargeront de le faire périr. Tandis que les Britanniques s'assurent l'aide des Turcs, les Soviétiques s'acoquinent avec les Bulgares. L'agent 007 fuit ses assaillants au cours d'une course échevelée en train, en hélicoptère et en voiture. Mais ses agresseurs ne veulent pas lâcher prise, même si leur nombre tend singulièrement à diminuer... - Critique : Pour éliminer Bond, le Spectre fait appel à Rosa Klebb, ex-espionne au service de l’URSS. Elle attire 007 à Istanbul. Son appât ? La délicieuse Tatiana, agent soviétique qui veut passer à l’Ouest. La partie, musclée, se jouera dans l’Orient-Express… C’est la deuxième aventure de James Bond à l’écran, et sans aucun doute l’une des plus réussies de la saga. Il faut se replacer dans le contexte de l’époque. Quelques années plus tôt, la Couronne britannique vient de nommer ses traîtres : Burgess, Philby, Maclean, espions à la solde de l’URSS. Et, en été 1963 — l’année même du film —, éclate l’affaire Profumo : on surprend un ministre anglais partageant une maîtresse avec un attaché naval soviétique ! Il faut bien un 007 pour remettre de l’ordre dans la pagaille de la guerre froide… Voilà pourquoi le film gagne sur tous les tableaux : il est spectaculaire à souhait, avec de l’action, des gadgets et des minettes (la blonde Daniela Bianchi et la brune Martine Beswick), mais l’intrigue gagne aussi en complexité, montrant sans détour le jeu des manipulations et des trahisons. Sean Connery, plus mûr, a en face de lui des méchants costauds. On connaît l’adage : meilleur est le méchant, meilleur est le film. Ici, Robert Shaw, en tueur oxygéné, et Lotte Lenya mettent l’Orient-Express sens dessus dessous…

Année : 1963

De : Terence Young

Avec : Aliza Gur, Armendáriz Pedro, Bernard Lee, Daniela Bianchi, De Francis, Eunice Gayson, Lotte Lenya, Martine Beswick, Robert Shaw, Sean Connery, Vladek Sheybal, Walter Gotell

Antérieurement en 2023
 

Bons baisers de Russie

Télévision : 30 juillet 2023 à 23:25-01:15 sur France 2

film d'action

Les services de contre-espionnage britanniques et soviétiques se livrent une lutte acharnée pour mettre la main sur des documents secrets. Le "Spectre" charge la belle Tatiana Romanova de séduire James Bond, en possession des précieuses informations, et de le livrer à des complices qui se chargeront de le faire périr. Tandis que les Britanniques s'assurent l'aide des Turcs, les Soviétiques s'acoquinent avec les Bulgares. L'agent 007 fuit ses assaillants au cours d'une course échevelée en train, en hélicoptère et en voiture. Mais ses agresseurs ne veulent pas lâcher prise, même si leur nombre tend singulièrement à diminuer... - Critique : Pour éliminer Bond, le Spectre fait appel à Rosa Klebb, ex-espionne au service de l’URSS. Elle attire 007 à Istanbul. Son appât ? La délicieuse Tatiana, agent soviétique qui veut passer à l’Ouest. La partie, musclée, se jouera dans l’Orient-Express… C’est la deuxième aventure de James Bond à l’écran, et sans aucun doute l’une des plus réussies de la saga. Il faut se replacer dans le contexte de l’époque. Quelques années plus tôt, la Couronne britannique vient de nommer ses traîtres : Burgess, Philby, Maclean, espions à la solde de l’URSS. Et, en été 1963 — l’année même du film —, éclate l’affaire Profumo : on surprend un ministre anglais partageant une maîtresse avec un attaché naval soviétique ! Il faut bien un 007 pour remettre de l’ordre dans la pagaille de la guerre froide… Voilà pourquoi le film gagne sur tous les tableaux : il est spectaculaire à souhait, avec de l’action, des gadgets et des minettes (la blonde Daniela Bianchi et la brune Martine Beswick), mais l’intrigue gagne aussi en complexité, montrant sans détour le jeu des manipulations et des trahisons. Sean Connery, plus mûr, a en face de lui des méchants costauds. On connaît l’adage : meilleur est le méchant, meilleur est le film. Ici, Robert Shaw, en tueur oxygéné, et Lotte Lenya mettent l’Orient-Express sens dessus dessous…

Année : 1963

De : Terence Young

Avec : Aliza Gur, Armendáriz Pedro, Bernard Lee, Daniela Bianchi, De Francis, Eunice Gayson, Lotte Lenya, Martine Beswick, Robert Shaw, Sean Connery, Vladek Sheybal, Walter Gotell

Antérieurement en 2022
 

L'aventurier du Rio Grande

Télévision : 16 mars 2022 à 13:35-15:15 sur Arte

film : western

Après avoir tué l'assassin de son père, Martin Brady s'est réfugié au Mexique. Devenu le garde du corps du politicien Cipriano Castro, il est envoyé au Texas, l'Etat qu'il a dû fuir, afin d'y chercher un convoi d'armes. En chemin, il se casse la jambe et se retrouve ainsi bloqué à Puerto, un village à proximité de la frontière. Le fourgon prend la route sans lui, subit un détournement. De son côté, Martin, profitant de son repos forcé, contacte le capitaine de la milice locale, un vieil ami de son père, qui lui certifie que son cas peut s'arranger. Mais à peine rétabli, Martin, pour venger l'un de ses amis qui vient de mourir, commet à nouveau un crime... - Critique : À l’ouest, il y a toujours des pépites à redécouvrir. Dans L’Aventurier du Rio Grande (1959), de Robert Parrish, pas de poursuite infernale ni d’héroïsme. Le cinéaste a toujours été fier de ce western aux teintes mélancoliques où un porte-flingue à la jambe cassée (on voit Robert Mitchum tomber de cheval !), partagé entre deux rives et deux vies, connaît une renaissance morale. Le rôle fut refusé par Henry Fonda et Gregory Peck. Tant mieux, Robert Mitchum, qui aima d’emblée ce personnage d’individualiste un peu las, est étonnant : tendre, presque sentimental. Ce qui ne l’empêcha pas de prendre de sérieuses cuites sur le tournage avec les potes qu’il avait engagés. Car il était aussi coproducteur…

Année : 1959

De : Robert Parrish

Avec : Albert Dekker, Anthony Caruso, Armendáriz Pedro, Charles McGraw, Chester Hayes, Chuck Roberson, Claudio Brook, Gary Merrill, Jack Oakie, Jay Novello, Joe Haworth, John Banner, Julie London, Leroy 'Satchel' Paige, Max Slaten, Mike Kellin, Mike Luna, Robert Mitchum, Tom Lea, Víctor Manuel

Antérieurement en 2022
 

L'aventurier du Rio Grande

Télévision : 6 mars 2022 à 13:30-15:05 sur Arte

film : western

Après avoir tué l'assassin de son père, Martin Brady s'est réfugié au Mexique. Devenu le garde du corps du politicien Cipriano Castro, il est envoyé au Texas, l'Etat qu'il a dû fuir, afin d'y chercher un convoi d'armes. En chemin, il se casse la jambe et se retrouve ainsi bloqué à Puerto, un village à proximité de la frontière. Le fourgon prend la route sans lui, subit un détournement. De son côté, Martin, profitant de son repos forcé, contacte le capitaine de la milice locale, un vieil ami de son père, qui lui certifie que son cas peut s'arranger. Mais à peine rétabli, Martin, pour venger l'un de ses amis qui vient de mourir, commet à nouveau un crime... - Critique : À l’ouest, il y a toujours des pépites à redécouvrir. Dans L’Aventurier du Rio Grande (1959), de Robert Parrish, pas de poursuite infernale ni d’héroïsme. Le cinéaste a toujours été fier de ce western aux teintes mélancoliques où un porte-flingue à la jambe cassée (on voit Robert Mitchum tomber de cheval !), partagé entre deux rives et deux vies, connaît une renaissance morale. Le rôle fut refusé par Henry Fonda et Gregory Peck. Tant mieux, Robert Mitchum, qui aima d’emblée ce personnage d’individualiste un peu las, est étonnant : tendre, presque sentimental. Ce qui ne l’empêcha pas de prendre de sérieuses cuites sur le tournage avec les potes qu’il avait engagés. Car il était aussi coproducteur…

Année : 1959

De : Robert Parrish

Avec : Albert Dekker, Anthony Caruso, Armendáriz Pedro, Charles McGraw, Chester Hayes, Chuck Roberson, Claudio Brook, Gary Merrill, Jack Oakie, Jay Novello, Joe Haworth, John Banner, Julie London, Leroy 'Satchel' Paige, Max Slaten, Mike Kellin, Mike Luna, Robert Mitchum, Tom Lea, Víctor Manuel

Antérieurement en 2022
 

L'aventurier du Rio Grande

Télévision : 1er mars 2022 à 13:35-15:10 sur Arte

film : western

Après avoir tué l'assassin de son père, Martin Brady s'est réfugié au Mexique. Devenu le garde du corps du politicien Cipriano Castro, il est envoyé au Texas, l'Etat qu'il a dû fuir, afin d'y chercher un convoi d'armes. En chemin, il se casse la jambe et se retrouve ainsi bloqué à Puerto, un village à proximité de la frontière. Le fourgon prend la route sans lui, subit un détournement. De son côté, Martin, profitant de son repos forcé, contacte le capitaine de la milice locale, un vieil ami de son père, qui lui certifie que son cas peut s'arranger. Mais à peine rétabli, Martin, pour venger l'un de ses amis qui vient de mourir, commet à nouveau un crime... - Critique : | Genre : western sentimental. A l’ouest, il y a toujours des pépites à redécouvrir. Dans L’Aventurier du Rio Grande (1959), de Robert Parrish, pas de poursuite infernale ni d’héroïsme. Le cinéaste a toujours été fier de ce western aux teintes mélancoliques où un porte-flingue à la jambe cassée (on voit Robert Mitchum tomber de cheval !), partagé entre deux rives et deux vies, connaît une renaissance morale. Le rôle fut refusé par Henry Fonda et Gregory Peck. Tant mieux, Robert Mitchum, qui aima d’emblée ce personnage d’individualiste un peu las, est étonnant : tendre, presque sentimental. Ce qui ne l’empêcha pas de prendre de sérieuses cuites sur le tournage avec les potes qu’il avait engagés. Car il était aussi coproducteur…

Année : 1959

De : Robert Parrish

Avec : Albert Dekker, Anthony Caruso, Armendáriz Pedro, Charles McGraw, Chester Hayes, Chuck Roberson, Claudio Brook, Gary Merrill, Jack Oakie, Jay Novello, Joe Haworth, John Banner, Julie London, Leroy 'Satchel' Paige, Max Slaten, Mike Kellin, Mike Luna, Robert Mitchum, Tom Lea, Víctor Manuel

Antérieurement en 2022
 

L'aventurier du Rio Grande

Télévision : 27 février 2022 à 21:00-22:35 sur Arte

film : western

Après avoir tué l'assassin de son père, Martin Brady s'est réfugié au Mexique. Devenu le garde du corps du politicien Cipriano Castro, il est envoyé au Texas, l'Etat qu'il a dû fuir, afin d'y chercher un convoi d'armes. En chemin, il se casse la jambe et se retrouve ainsi bloqué à Puerto, un village à proximité de la frontière. Le fourgon prend la route sans lui, subit un détournement. De son côté, Martin, profitant de son repos forcé, contacte le capitaine de la milice locale, un vieil ami de son père, qui lui certifie que son cas peut s'arranger. Mais à peine rétabli, Martin, pour venger l'un de ses amis qui vient de mourir, commet à nouveau un crime... - Critique : | Genre : western sentimental. A l’ouest, il y a toujours des pépites à redécouvrir. Dans L’Aventurier du Rio Grande (1959), de Robert Parrish, pas de poursuite infernale ni d’héroïsme. Le cinéaste a toujours été fier de ce western aux teintes mélancoliques où un porte-flingue à la jambe cassée (on voit Robert Mitchum tomber de cheval !), partagé entre deux rives et deux vies, connaît une renaissance morale. Le rôle fut refusé par Henry Fonda et Gregory Peck. Tant mieux, Robert Mitchum, qui aima d’emblée ce personnage d’individualiste un peu las, est étonnant : tendre, presque sentimental. Ce qui ne l’empêcha pas de prendre de sérieuses cuites sur le tournage avec les potes qu’il avait engagés. Car il était aussi coproducteur…

Année : 1959

De : Robert Parrish

Avec : Albert Dekker, Anthony Caruso, Armendáriz Pedro, Charles McGraw, Chester Hayes, Chuck Roberson, Claudio Brook, Gary Merrill, Jack Oakie, Jay Novello, Joe Haworth, John Banner, Julie London, Leroy 'Satchel' Paige, Max Slaten, Mike Kellin, Mike Luna, Robert Mitchum, Tom Lea, Víctor Manuel