Télévision : 2 juin 2021 à 01:55-03:10 sur France 4
Chorégraphique
Après le succès mondial de "Pixel", où Mourad Merzouki explorait la projection du mouvement dans un espace en trois dimensions, le chorégraphe prend son envol dans "Vertikal" en s'appuyant sur un dispositif aérien où il défie les lois de la gravité et de l'apesanteur contre des murailles mobiles. Il affranchit ses dix danseurs de leur relation fondatrice au sol et les projettent dans les airs pour permettre une nouvelle exploration de l'espace sur la musique d'Armand Amar. Entre cirque, danse et hip hop, Mourad Merzouki construit un conte étrange où des femmes et des hommes s'enlacent, s'envolent et rasent le sol, comme pour mieux se libérer des ces étranges chaines élastiques qui les suspendent.
Année : 2019
De : Mohamed Athamma
Télévision : 11 mai 2021 à 22:25-23:00 sur France 4
Chorégraphique
Après le succès mondial de «Pixel», où Mourad Merzouki explorait la projection du mouvement dans un espace en trois dimensions, le chorégraphe prend son envol dans «Vertikal» en s'appuyant sur un dispositif aérien où il défie les lois de la gravité et de l'apesanteur contre des murailles mobiles. Il affranchit ses dix danseurs de leur relation fondatrice au sol et les projettent dans les airs pour permettre une nouvelle exploration de l'espace sur la musique d'Armand Amar. Entre cirque, danse et hip hop, Mourad Merzouki construit un conte étrange où des femmes et des hommes s'enlacent, s'envolent et rasent le sol, comme pour mieux se libérer des ces étranges chaines élastiques qui les suspendent.
Année : 2019
De : Mohamed Athamma
Télévision : 26 mai 2020 à 01:30-02:40 sur France 2
Chorégraphique
Après le succès mondial de «Pixel», où Mourad Merzouki explorait la projection du mouvement dans un espace en trois dimensions, le chorégraphe prend son envol dans «Vertikal» en s'appuyant sur un dispositif aérien où il défie les lois de la gravité et de l'apesanteur contre des murailles mobiles. Il affranchit ses dix danseurs de leur relation fondatrice au sol et les projettent dans les airs pour permettre une nouvelle exploration de l'espace sur la musique d'Armand Amar. Entre cirque, danse et hip hop, Mourad Merzouki construit un conte étrange où des femmes et des hommes s'enlacent, s'envolent et rasent le sol, comme pour mieux se libérer des ces étranges chaines élastiques qui les suspendent.
Année : 2019
De : Mohamed Athamma
Télévision : 15 juin 2019 à 23:20-00:35 sur France 5
Chorégraphique
Après le succès mondial de «Pixel», où Mourad Merzouki explorait la projection du mouvement dans un espace en trois dimensions, le chorégraphe prend son envol dans «Vertikal» en s'appuyant sur un dispositif aérien où il défie les lois de la gravité et de l'apesanteur contre des murailles mobiles. Il affranchit ses dix danseurs de leur relation fondatrice au sol et les projettent dans les airs pour permettre une nouvelle exploration de l'espace sur la musique d'Armand Amar. Entre cirque, danse et hip hop, Mourad Merzouki construit un conte étrange où des femmes et des hommes s'enlacent, s'envolent et rasent le sol, comme pour mieux se libérer des ces étranges chaines élastiques qui les suspendent.
Année : 2019
De : Mohamed Athamma
Télévision : 22 juillet 2018 à 20:55-23:00 sur Numéro 23
film : comédie dramatique
Dans un village reculé, des femmes musulmanes se révoltent contre les hommes, assis sur leurs privilèges. Le discours en faveur des libertés est une partition qui semble, soudain, proche de la rengaine. Critique : | Genre : révolte en jupons. Dans la touffeur d'un pays musulman, des femmes usent leur santé, porteuses d'eau gravissant et descendant la montagne, pour la grande satisfaction des hommes, assis sur leurs privilèges. La révolte viendra et sera joyeuse ! Radu Mihaileanu (Le Concert) a de nouveau séduit le public avec ce film plein de musique, de personnages truculents. Mais, malgré ses bonnes intentions, cette Source des femmes a du mal à nous enchanter. Tourné dans le décor unique d'un village rattaché à nul pays (pour concerner tout le monde et ne froisser personne), le film fait monter le débat sur les libertés comme une mayonnaise. Il s'agit de tout dire, de tout expliquer. On peut en tout cas reconnaître à cette fable une vraie générosité, très maternelle. Signe que le réalisateur s'est placé sincèrement du côté des femmes, et des actrices, qui semblent s'amuser beaucoup. — Frédéric Strauss
Année : 2011
Avec : Radu Mihaileanu, Leïla Bekhti, Hafsia Herzi, Biyouna, Sabrina Ouazani, Saleh Bakri, Hiam Abbass, Mohamed Majd, Amal Atrach, Armand Amar, Radu Mihaileanu, Alain-Michel Blanc, Radu Mihaileanu, Catherine Ramberg
Télévision : 25 juin 2018 à 15:05-16:55 sur Canal +
film : drame
Paris, 1941. Deux jeunes frères juifs fuient en zone libre. Une adaptation réaliste et bouleversante du roman de Joseph Joffo. Nécessaire contre l’oubli. Critique : | Genre : belle mémoire. La famille Joffo est heureuse. Roman, coiffeur à Paris, et Anna, son épouse, sont fiers de leurs enfants et couvent les deux derniers, Maurice et Joseph, toujours écoliers. Tous sont fiers d’être juifs. Mais nous sommes fin 1941 et les parents pressentent que le pire est à venir. Ils poussent Joseph et Maurice à fuir seuls vers la zone libre… Après celle de Jacques Doillon, en 1975, c’est la deuxième adaptation de cette histoire vraie que Joseph Joffo relata, une fois adulte, dans un roman qui connut un succès éclatant. Pourquoi un remake ? Avec ce film populaire au sens noble, Christian Duguay répond : pour raviver la mémoire du plus grand nombre, et surtout celle de la jeune génération, pour laquelle « antisémitisme » et « déportation » ne sont que des mots dans les livres d’histoire. Sa mise en scène ample magnifie les paysages que traversent les deux gamins et colle à leurs visages aux aguets. Certaines séquences sont tendues et bouleversantes, en grande partie grâce à Patrick Bruel, en figure paternelle dont les traits se creusent, sous le poids du malheur. Dorian Le Clech et Batyste Fleurial, les deux jeunes interprètes, sont formidables, également : ils semblent grandir, mûrir, comme leurs personnages, au fil de leur fuite. On n’oubliera pas le moment où, à l’annonce de la libération de Paris, Joseph peut enfin hurler « Je suis juif ! ». Pendant deux heures, le film n’a fait que tendre vers ce cri libérateur. Cette fierté retrouvée.
Année : 2017
Avec : Dorian Le Clech, Batyste Fleurial, Patrick Bruel, Elsa Zylberstein, Christian Clavier, César Domboy, Kev Adams, Ilian Bergala, Bernard Campan, Emile Berling, Jocelyne Desverchère, Etienne Chicot, Christian Duguay, Armand Amar, Christian Duguay, Benoît Guichard, Joseph Joffo, Jonathan Allouche, Alexandra Geismar, Christian Duguay, Benoît Guichard, Franck Schwarz, Christophe Graillot
Télévision : 7 juin 2018 à 10:15-12:00 sur Canal +
film : drame
Paris, 1941. Deux jeunes frères juifs fuient en zone libre. Une adaptation réaliste et bouleversante du roman de Joseph Joffo. Nécessaire contre l’oubli. Critique : | Genre : belle mémoire. La famille Joffo est heureuse. Roman, coiffeur à Paris, et Anna, son épouse, sont fiers de leurs enfants et couvent les deux derniers, Maurice et Joseph, toujours écoliers. Tous sont fiers d’être juifs. Mais nous sommes fin 1941 et les parents pressentent que le pire est à venir. Ils poussent Joseph et Maurice à fuir seuls vers la zone libre… Après celle de Jacques Doillon, en 1975, c’est la deuxième adaptation de cette histoire vraie que Joseph Joffo relata, une fois adulte, dans un roman qui connut un succès éclatant. Pourquoi un remake ? Avec ce film populaire au sens noble, Christian Duguay répond : pour raviver la mémoire du plus grand nombre, et surtout celle de la jeune génération, pour laquelle « antisémitisme » et « déportation » ne sont que des mots dans les livres d’histoire. Sa mise en scène ample magnifie les paysages que traversent les deux gamins et colle à leurs visages aux aguets. Certaines séquences sont tendues et bouleversantes, en grande partie grâce à Patrick Bruel, en figure paternelle dont les traits se creusent, sous le poids du malheur. Dorian Le Clech et Batyste Fleurial, les deux jeunes interprètes, sont formidables, également : ils semblent grandir, mûrir, comme leurs personnages, au fil de leur fuite. On n’oubliera pas le moment où, à l’annonce de la libération de Paris, Joseph peut enfin hurler « Je suis juif ! ». Pendant deux heures, le film n’a fait que tendre vers ce cri libérateur. Cette fierté retrouvée.
Année : 2017
Avec : Christian Duguay, Dorian Le Clech, Batyste Fleurial, Patrick Bruel, Elsa Zylberstein, Christian Clavier, César Domboy, Kev Adams, Ilian Bergala, Armand Amar, Christian Duguay, Benoît Guichard, Christian Duguay, Benoît Guichard, Joseph Joffo, Jonathan Allouche, Alexandra Geismar, Franck Schwarz, Christophe Graillot
Télévision : 5 juin 2018 à 23:55-01:45 sur Canal +
film : drame
Paris, 1941. Deux jeunes frères juifs fuient en zone libre. Une adaptation réaliste et bouleversante du roman de Joseph Joffo. Nécessaire contre l’oubli. Critique : | Genre : belle mémoire. La famille Joffo est heureuse. Roman, coiffeur à Paris, et Anna, son épouse, sont fiers de leurs enfants et couvent les deux derniers, Maurice et Joseph, toujours écoliers. Tous sont fiers d’être juifs. Mais nous sommes fin 1941 et les parents pressentent que le pire est à venir. Ils poussent Joseph et Maurice à fuir seuls vers la zone libre… Après celle de Jacques Doillon, en 1975, c’est la deuxième adaptation de cette histoire vraie que Joseph Joffo relata, une fois adulte, dans un roman qui connut un succès éclatant. Pourquoi un remake ? Avec ce film populaire au sens noble, Christian Duguay répond : pour raviver la mémoire du plus grand nombre, et surtout celle de la jeune génération, pour laquelle « antisémitisme » et « déportation » ne sont que des mots dans les livres d’histoire. Sa mise en scène ample magnifie les paysages que traversent les deux gamins et colle à leurs visages aux aguets. Certaines séquences sont tendues et bouleversantes, en grande partie grâce à Patrick Bruel, en figure paternelle dont les traits se creusent, sous le poids du malheur. Dorian Le Clech et Batyste Fleurial, les deux jeunes interprètes, sont formidables, également : ils semblent grandir, mûrir, comme leurs personnages, au fil de leur fuite. On n’oubliera pas le moment où, à l’annonce de la libération de Paris, Joseph peut enfin hurler « Je suis juif ! ». Pendant deux heures, le film n’a fait que tendre vers ce cri libérateur. Cette fierté retrouvée.
Année : 2017
Avec : Christian Duguay, Dorian Le Clech, Batyste Fleurial, Patrick Bruel, Elsa Zylberstein, Christian Clavier, César Domboy, Kev Adams, Ilian Bergala, Armand Amar, Christian Duguay, Benoît Guichard, Christian Duguay, Benoît Guichard, Joseph Joffo, Jonathan Allouche, Alexandra Geismar, Franck Schwarz, Christophe Graillot
Télévision : 3 juin 2018 à 22:40-00:50 sur Numéro 23
film de guerre
1942. Quatre tirailleurs du Maghreb rejoignent les rangs de l'armée pour libérer l'Europe. Une page d'histoire que Bouchareb met au jour dans un beau geste de dignité retrouvée. Critique : | Genre : libérateurs oubliés. Etre français, c'est quoi ? Etre un « bougnoule » prêt à mourir pour la France, par exemple. Une page d'histoire occultée, que Rachid Bouchareb a exhumée dans un beau geste de dignité retrouvée. Ce sont donc au moins cent trente mille « indigènes » d'Afrique du Nord et d'Afrique noire qui ont combattu contre les nazis. La caméra suit quatre hommes venus du Maghreb, qui s'engagent en 1943 pour sauver « la mère patrie ». Ces « indigènes », qui parlent arabe entre eux, affrontent des différences de traitement injustes. Indigènes est aussi une sorte d'Il faut sauver le soldat Ryan à la française, avec des scènes de bataille, manoeuvres d'envergure ou combats isolés. Le réalisateur filme au plus près des soldats, de leur frayeur et de leur violence. Rien ne symbolise mieux leur lutte que le dernier tiers du film : seuls survivants de leur bataillon, les quatre et leur sergent blessé atteignent un village fantomatique d'Alsace. L'atmosphère fébrile d'attente rappelle le roman de Julien Gracq Un balcon en forêt. Deux soldats maghrébins harassés avalent la soupe fumante apportée par une vieille ménagère. Belle séquence à l'image du film : ni plus ni moins que la remise en cause d'une image d'Epinal. — Jacques Morice
Année : 2006
Avec : Rachid Bouchareb, Jamel Debbouze, Samy Naceri, Roschdy Zem, Sami Bouajila, Bernard Blancan, Mathieu Simonet, Antoine Chappey, Aurélie Eltvedt, Armand Amar, Khaled, Rachid Bouchareb, Olivier Lorelle, Dominique Douret, Patrick Blossier
Télévision : 3 juin 2018 à 22:40-00:49 sur Numéro 23
film de guerre
1942. Quatre tirailleurs du Maghreb rejoignent les rangs de l'armée pour libérer l'Europe. Une page d'histoire que Bouchareb met au jour dans un beau geste de dignité retrouvée. Critique : | Genre : libérateurs oubliés. Etre français, c'est quoi ? Etre un « bougnoule » prêt à mourir pour la France, par exemple. Une page d'histoire occultée, que Rachid Bouchareb a exhumée dans un beau geste de dignité retrouvée. Ce sont donc au moins cent trente mille « indigènes » d'Afrique du Nord et d'Afrique noire qui ont combattu contre les nazis. La caméra suit quatre hommes venus du Maghreb, qui s'engagent en 1943 pour sauver « la mère patrie ». Ces « indigènes », qui parlent arabe entre eux, affrontent des différences de traitement injustes. Indigènes est aussi une sorte d'Il faut sauver le soldat Ryan à la française, avec des scènes de bataille, manoeuvres d'envergure ou combats isolés. Le réalisateur filme au plus près des soldats, de leur frayeur et de leur violence. Rien ne symbolise mieux leur lutte que le dernier tiers du film : seuls survivants de leur bataillon, les quatre et leur sergent blessé atteignent un village fantomatique d'Alsace. L'atmosphère fébrile d'attente rappelle le roman de Julien Gracq Un balcon en forêt. Deux soldats maghrébins harassés avalent la soupe fumante apportée par une vieille ménagère. Belle séquence à l'image du film : ni plus ni moins que la remise en cause d'une image d'Epinal. — Jacques Morice
Année : 2006
Avec : Rachid Bouchareb, Jamel Debbouze, Samy Naceri, Roschdy Zem, Sami Bouajila, Bernard Blancan, Mathieu Simonet, Antoine Chappey, Aurélie Eltvedt, Armand Amar, Khaled, Rachid Bouchareb, Olivier Lorelle, Dominique Douret, Patrick Blossier
Télévision : 6 mai 2018 à 20:55-22:55 sur Numéro 23
film de guerre
1942. Quatre tirailleurs du Maghreb rejoignent les rangs de l'armée pour libérer l'Europe. Une page d'histoire que Bouchareb met au jour dans un beau geste de dignité retrouvée. Critique : | Genre : libérateurs oubliés. Etre français, c'est quoi ? Etre un « bougnoule » prêt à mourir pour la France, par exemple. Une page d'histoire occultée, que Rachid Bouchareb a exhumée dans un beau geste de dignité retrouvée. Ce sont donc au moins cent trente mille « indigènes » d'Afrique du Nord et d'Afrique noire qui ont combattu contre les nazis. La caméra suit quatre hommes venus du Maghreb, qui s'engagent en 1943 pour sauver « la mère patrie ». Ces « indigènes », qui parlent arabe entre eux, affrontent des différences de traitement injustes. Indigènes est aussi une sorte d'Il faut sauver le soldat Ryan à la française, avec des scènes de bataille, manoeuvres d'envergure ou combats isolés. Le réalisateur filme au plus près des soldats, de leur frayeur et de leur violence. Rien ne symbolise mieux leur lutte que le dernier tiers du film : seuls survivants de leur bataillon, les quatre et leur sergent blessé atteignent un village fantomatique d'Alsace. L'atmosphère fébrile d'attente rappelle le roman de Julien Gracq Un balcon en forêt. Deux soldats maghrébins harassés avalent la soupe fumante apportée par une vieille ménagère. Belle séquence à l'image du film : ni plus ni moins que la remise en cause d'une image d'Epinal. — Jacques Morice
Année : 2006
Avec : Jamel Debbouze, Thibault de Montalembert, Assaad Bouab, Philippe Beglia, Samy Naceri, Roschdy Zem, Sami Bouajila, Bernard Blancan, Mathieu Simonet, Antoine Chappey, Aurélie Eltvedt, Benoît Giros, Rachid Bouchareb, Armand Amar, Khaled, Rachid Bouchareb, Olivier Lorelle, Dominique Douret, Patrick Blossier