Télévision : 4 novembre à 23:20-01:50 sur W9
film d'action
Le 24 décembre 1987, John McClane, policier à New York, rejoint sa femme à Los Angeles, au siège de l'imposante société japonaise où elle mène une brillante carrière. Alors que se déroule la petite fête de fin d'année, une douzaine d'hommes surarmés et très sûrs d'eux investissent l'immeuble, coupent tout moyen de communication avec l'extérieur et mettent en joue les employés, après avoir abattu le patron, qui leur avait refusé l'accès au coffre. McClane, qui s'est caché à temps, n'est pas du bois dont on fait les victimes consentantes. Ses adversaires ne vont pas tarder à s'en apercevoir. Habilement, il cherche d'une part à renseigner la police sur l'identité et le nombre des assaillants, d'autre part à les éliminer un à un, en les isolant du groupe... - Critique : Grandeur et déclin, John McTiernan connaît cela, cinéaste talentueux qui a quasiment anobli le film d’action avant d’être condamné à un an de prison (de 2013 à 2014) pour son implication dans une affaire d’écoutes illégales. Premier opus d’une tétralogie devenue fameuse (Die Hard), Piège de cristal est le plus rigoureux. On y suit une partie captivante de cache-cache mortel dans une forteresse de verre aux issues bloquées, où un groupe de malfaiteurs a pris tout le monde en otage. Embringué malgré lui dans cette galère, John McClane, un flic ordinaire qui s’apprêtait à passer Noël avec femme et enfants, est contraint d’intervenir seul. « Réfléchis ! » se répète-t-il sans cesse. Avec cette injonction, Bruce Willis inaugure son style, fait d’humour décalé et de puissance souple. Rien de gratuit ni de racoleur dans la mise en scène. Amateur de scénarios « claustrophobiques » (Predator, À la poursuite d’Octobre rouge), John McTiernan agit à l’unisson de son personnage. Il démontre un vrai talent dans le cadrage et l’art d’explorer un espace clos de fond en comble. À l’aube des années 1990, il donnait là de l’altitude au genre en lui offrant un nouveau modèle, à la fois percutant, humain et ironique.
Année : 1988
De : McTiernan John
Avec : Andreas Wisniewski, Bonnie Bedelia, Bruce Willis, Bruno Doyon, Clarence Gilyard jr, De'voreaux White, James Shigeta, Joey Plewa, Paul Gleason, Reginald Veljohnson, Rickman Alan, William Atherton
Télévision : 28 octobre à 21:10-23:30 sur W9
film d'action
Le 24 décembre 1987, John McClane, policier à New York, rejoint sa femme à Los Angeles, au siège de l'imposante société japonaise où elle mène une brillante carrière. Alors que se déroule la petite fête de fin d'année, une douzaine d'hommes surarmés et très sûrs d'eux investissent l'immeuble, coupent tout moyen de communication avec l'extérieur et mettent en joue les employés, après avoir abattu le patron, qui leur avait refusé l'accès au coffre. McClane, qui s'est caché à temps, n'est pas du bois dont on fait les victimes consentantes. Ses adversaires ne vont pas tarder à s'en apercevoir. Habilement, il cherche d'une part à renseigner la police sur l'identité et le nombre des assaillants, d'autre part à les éliminer un à un, en les isolant du groupe... - Critique : Grandeur et déclin, John McTiernan connaît cela, cinéaste talentueux qui a quasiment anobli le film d’action avant d’être condamné à un an de prison (de 2013 à 2014) pour son implication dans une affaire d’écoutes illégales. Premier opus d’une tétralogie devenue fameuse (Die Hard), Piège de cristal est le plus rigoureux. On y suit une partie captivante de cache-cache mortel dans une forteresse de verre aux issues bloquées, où un groupe de malfaiteurs a pris tout le monde en otage. Embringué malgré lui dans cette galère, John McClane, un flic ordinaire qui s’apprêtait à passer Noël avec femme et enfants, est contraint d’intervenir seul. « Réfléchis ! » se répète-t-il sans cesse. Avec cette injonction, Bruce Willis inaugure son style, fait d’humour décalé et de puissance souple. Rien de gratuit ni de racoleur dans la mise en scène. Amateur de scénarios « claustrophobiques » (Predator, À la poursuite d’Octobre rouge), John McTiernan agit à l’unisson de son personnage. Il démontre un vrai talent dans le cadrage et l’art d’explorer un espace clos de fond en comble. À l’aube des années 1990, il donnait là de l’altitude au genre en lui offrant un nouveau modèle, à la fois percutant, humain et ironique.
Année : 1988
De : McTiernan John
Avec : Andreas Wisniewski, Bonnie Bedelia, Bruce Willis, Bruno Doyon, Clarence Gilyard jr, De'voreaux White, James Shigeta, Joey Plewa, Paul Gleason, Reginald Veljohnson, Rickman Alan, William Atherton
Prime Video : 20 octobre
Après que Bond a aidé un officier soviétique à traverser le rideau de fer pour passer à l'Ouest, il découvre avec stupeur que celui-ci a été retrouvé et kidnappé. La piste le mène sur les traces d'une belle violoncelliste, Kara, qui va l'entraîner dans une suite de situations dangereuses, avec comme paroxysme une base militaire en Afghanistan où il doit stopper un trafic d'armes.
De : John Glen
Avec : Timothy Dalton, Maryam d'Abo, Joe Don Baker, Art Malik, John Rhys-Davies, Jeroen Krabbé, Andreas Wisniewski