Netflix : 29 février 2024
Déconstruction du casse de la banque de Roumanie perpétré en 1959 par des gangsters à qui l'État ordonnera ensuite de rejouer leurs rôles dans une reconstitution filmée.
De : Alexandru Solomon
Netflix : 9 septembre 2023
Déconstruction du casse de la banque de Roumanie perpétré en 1959 par des gangsters à qui l'État ordonnera ensuite de rejouer leurs rôles dans une reconstitution filmée.
De : Alexandru Solomon
Netflix : 6 mai 2023
Déconstruction du casse de la banque de Roumanie perpétré en 1959 par des gangsters à qui l'État ordonnera ensuite de rejouer leurs rôles dans une reconstitution filmée.
De : Alexandru Solomon
Netflix : 3 mars 2021
Déconstruction du casse de la banque de Roumanie perpétré en 1959 par des gangsters à qui l'État ordonnera ensuite de rejouer leurs rôles dans une reconstitution filmée.
De : Alexandru Solomon
Télévision : 15 avril 2018 à 05:05-06:00 sur Arte
documentaire : lettres
La Roumanie de Norman Manea, Gabriela Adamesteanu, Mircea Cartarescu et Florin Lazarescu - Quatre écrivains roumains aux parcours et aux styles variés dessinent un portrait surprenant de leur pays, de l'exilé septuagénaire Norman Manea au représentant de la nouvelle vague littéraire roumaine Florin Lazarescu, en passant par l'écrivaine et journaliste politique Gabriela Adamesteanu et par le célèbre Mircea Cartarescu, pour qui «être Roumain signifie être berger des ruines». Leur oeuvre décrit leur pays, jeune nation qui se cherche encore, dans la douleur : inquiète, déçue par son image à l'étranger, déprimée par son histoire récente, du fascisme au stalinisme, irritée par sa position périphérique en Europe. Critique : Le pari réussi de ce documentaire : revisiter l'histoire d'une jeune nation roumaine qui se cherche encore et toujours en entrelaçant les parcours de quatre écrivains appartenant à trois générations différentes. Né en 1936 en Bucovine, Norman Manea est déporté à l'âge de 5 ans avec sa famille dans un camp de concentration en Ukraine. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, l'enfant juif se sent comme « un vieillard de 9 ans ». On le retrouve, soixante-dix ans plus tard, exilé à New York d'où il livre une vision des plus justes sur un siècle roumain miné par le fascisme et le rouleau compresseur communiste. Puis, l'ex-journaliste politique Gabriela Adamesteanu (née en 1942) se rappelle ses années étudiantes lors du dégel post-stalinien et la profonde désillusion qui s'en est suivie. C'est enfin au tour des plus jeunes : sous la plume de Mircea Cartarescu, 59 ans, les ruines et les HLM de Bucarest deviennent des décors oniriques d'où resurgissent les démons de l'Histoire. Considéré comme l'un des écrivains les plus prometteurs de la nouvelle vague roumaine, Florin Lazarescu, 41 ans, a, comme son aîné, vécu le soulèvement de 1989 contre Ceausescu comme un show télé. Témoins privilégiés des soubresauts de l'Histoire, ces quatre auteurs ont tous à leur manière vécu dans le mythe de l'Occident. A travers leurs récits, les visites guidées dans Bucarest... se dévoile non pas une littérature d'évasion — comme celle présentée dans le numéro de L'Europe des écrivains consacré à l'Islande — mais une littérature d'évadés. Où tout est question d'émancipation, de fuite, fût-elle mentale. — Yohav Oremiatzki
Année : 2015
De : Alexandru Solomon