Netflix : 19 janvier 2020
À Marseille, des adolescents passent leur été sur la côte à flirter et à plonger des falaises jusqu'à ce que la police repère leurs activités illicites.
De : Dominique Cabrera
Avec : Aïssa Maïga, Lola Créton, Alain Demaria, Kamel Kadri, Moussa Maaskri, Linda Lassoued, Agnès Regolo, Cyril Brunet
Télévision : 29 juin 2018 à 10:10-11:40 sur Canal +
film : drame
Au pied de villas marseillaises, des minots s’élancent d’une corniche dans la mer. Un film sensuel et poétique, desservi par un thriller maladroit. Critique : | Genre : Marseille sensuel. Paris a ses poulbots. Marseille, ses minots. Retrouver la saveur du mythe tout en se tenant au plus près de la cité phocéenne qu’elle affectionne comme personne, tel est le vœu de Dominique Cabrera. Le roman de Maylis de Kérangal lui sert de tremplin, au sens propre comme au figuré. Elle filme Suzanne, une lycéenne d’un milieu aisé, qui observe de sa terrasse, fascinée, une bande de garçons et de filles sautant dans la mer, depuis la corniche. Elle les approche et se fait accepter d’eux. Le cœur du film est cette corniche, bout de territoire magique, balcon magnifique sur la mer. Un lieu qui fait corps avec les personnages, qui les habite et qu’ils habitent, pour ainsi dire. Le boulevard, la muraille de rochers, l’eau bleue sont le théâtre de leur vie ; et le saut, une épreuve apportant beauté, frisson, gloire. Tout cela, la cinéaste le capte très bien, en fait un tableau avec du relief, sensuel, impressionniste, riche de couleurs et de sensations fortes. Le traitement du trafic mafieux et de l’enquête policière est en revanche plus maladroit. Corniche Kennedy vaut plus comme documentaire poétique que comme fiction. Et pour l’alchimie qui rapproche les trois jeunes mis en avant : Lola Créton, déjà remarquée dans Un amour de jeunesse, de Mia Hansen-Løve, et deux acteurs non professionnels, épatants. Kamel Kadri, gracile, taciturne, et Alain Demaria, bloc de tendresse et de maturité feinte, un vrai minot, une révélation.
Année : 2016
Avec : Dominique Cabrera, Lola Créton, Aïssa Maïga, Moussa Maaskri, Kamel Kadri, Alain Demaria, Mélissa Guilbert, Hamza Baggour, Franck Cavanna, Béatrice Thiriet, Dominique Cabrera, Maylis de Kerangal, Isabelle Razavet
Télévision : 4 juin 2018 à 10:10-11:40 sur Canal +
film : drame
Au pied de villas marseillaises, des minots s’élancent d’une corniche dans la mer. Un film sensuel et poétique, desservi par un thriller maladroit. Critique : | Genre : Marseille sensuel. Paris a ses poulbots. Marseille, ses minots. Retrouver la saveur du mythe tout en se tenant au plus près de la cité phocéenne qu’elle affectionne comme personne, tel est le vœu de Dominique Cabrera. Le roman de Maylis de Kérangal lui sert de tremplin, au sens propre comme au figuré. Elle filme Suzanne, une lycéenne d’un milieu aisé, qui observe de sa terrasse, fascinée, une bande de garçons et de filles sautant dans la mer, depuis la corniche. Elle les approche et se fait accepter d’eux. Le cœur du film est cette corniche, bout de territoire magique, balcon magnifique sur la mer. Un lieu qui fait corps avec les personnages, qui les habite et qu’ils habitent, pour ainsi dire. Le boulevard, la muraille de rochers, l’eau bleue sont le théâtre de leur vie ; et le saut, une épreuve apportant beauté, frisson, gloire. Tout cela, la cinéaste le capte très bien, en fait un tableau avec du relief, sensuel, impressionniste, riche de couleurs et de sensations fortes. Le traitement du trafic mafieux et de l’enquête policière est en revanche plus maladroit. Corniche Kennedy vaut plus comme documentaire poétique que comme fiction. Et pour l’alchimie qui rapproche les trois jeunes mis en avant : Lola Créton, déjà remarquée dans Un amour de jeunesse, de Mia Hansen-Løve, et deux acteurs non professionnels, épatants. Kamel Kadri, gracile, taciturne, et Alain Demaria, bloc de tendresse et de maturité feinte, un vrai minot, une révélation.
Année : 2016
Avec : Dominique Cabrera, Lola Créton, Aïssa Maïga, Moussa Maaskri, Kamel Kadri, Alain Demaria, Mélissa Guilbert, Hamza Baggour, Franck Cavanna, Béatrice Thiriet, Dominique Cabrera, Maylis de Kerangal, Isabelle Razavet
DVD/Blu-ray : 6 mars 2018
Année : 2016
De : Dominique Cabrera
Avec : Aïssa Maïga, Lola Créton, Alain Demaria, Kamel Kadri, Moussa Maaskri, Linda Lassoued
Télévision : 16 février 2018 à 00:30-02:00 sur Canal +
film : drame
Au pied de villas marseillaises, des minots s’élancent d’une corniche dans la mer. Un film sensuel et poétique, desservi par un thriller maladroit. Critique : Paris a ses poulbots ; Marseille, ses minots. Retrouver la saveur du mythe tout en se tenant au plus près de la cité phocéenne qu'elle affectionne comme personne, tel est le voeu de Dominique Cabrera. Le roman de Maylis de Kérangal lui sert de tremplin, au sens propre comme au figuré. Elle filme Suzanne, une lycéenne d'un milieu aisé, qui observe de sa terrasse, fascinée, une bande de garçons et de filles sautant dans la mer, depuis la corniche. Elle les approche et se fait accepter d'eux. Le coeur du film est cette corniche, bout de territoire magique, balcon magnifique sur la mer. Un lieu qui fait corps avec les personnages, qui les habite et qu'ils habitent, pour ainsi dire. Le boulevard, la muraille de rochers, l'eau bleue sont le théâtre de leur vie ; et le saut, une épreuve apportant beauté, frisson, gloire. Tout cela, la cinéaste le capte très bien, en fait un tableau avec du relief, sensuel, impressionniste, riche de couleurs et de sensations fortes. Le traitement du trafic mafieux et de l'enquête policière est en revanche plus maladroit. Corniche Kennedy vaut plus comme documentaire poétique que comme fiction. Et pour l'alchimie qui rapproche les trois jeunes mis en avant : Lola Créton, déjà remarquée dans Un amour de jeunesse, de Mia Hansen-Love, et deux acteurs non professionnels, épatants. Kamel Kadri, gracile, taciturne, et Alain Demaria, bloc de tendresse et de maturité feinte, un vrai minot, une révélation. — Jacques Morice
Année : 2016
Télévision : 12 février 2018 à 10:25-11:55 sur Canal +
film : drame
Au pied de villas marseillaises, des minots s’élancent d’une corniche dans la mer. Un film sensuel et poétique, desservi par un thriller maladroit. Critique : Paris a ses poulbots ; Marseille, ses minots. Retrouver la saveur du mythe tout en se tenant au plus près de la cité phocéenne qu'elle affectionne comme personne, tel est le voeu de Dominique Cabrera. Le roman de Maylis de Kérangal lui sert de tremplin, au sens propre comme au figuré. Elle filme Suzanne, une lycéenne d'un milieu aisé, qui observe de sa terrasse, fascinée, une bande de garçons et de filles sautant dans la mer, depuis la corniche. Elle les approche et se fait accepter d'eux. Le coeur du film est cette corniche, bout de territoire magique, balcon magnifique sur la mer. Un lieu qui fait corps avec les personnages, qui les habite et qu'ils habitent, pour ainsi dire. Le boulevard, la muraille de rochers, l'eau bleue sont le théâtre de leur vie ; et le saut, une épreuve apportant beauté, frisson, gloire. Tout cela, la cinéaste le capte très bien, en fait un tableau avec du relief, sensuel, impressionniste, riche de couleurs et de sensations fortes. Le traitement du trafic mafieux et de l'enquête policière est en revanche plus maladroit. Corniche Kennedy vaut plus comme documentaire poétique que comme fiction. Et pour l'alchimie qui rapproche les trois jeunes mis en avant : Lola Créton, déjà remarquée dans Un amour de jeunesse, de Mia Hansen-Love, et deux acteurs non professionnels, épatants. Kamel Kadri, gracile, taciturne, et Alain Demaria, bloc de tendresse et de maturité feinte, un vrai minot, une révélation. — Jacques Morice
Année : 2016
Télévision : 1er février 2018 à 01:50-03:20 sur Canal +
film : drame
Au pied de villas marseillaises, des minots s’élancent d’une corniche dans la mer. Un film sensuel et poétique, desservi par un thriller maladroit. Critique : Paris a ses poulbots ; Marseille, ses minots. Retrouver la saveur du mythe tout en se tenant au plus près de la cité phocéenne qu'elle affectionne comme personne, tel est le voeu de Dominique Cabrera. Le roman de Maylis de Kérangal lui sert de tremplin, au sens propre comme au figuré. Elle filme Suzanne, une lycéenne d'un milieu aisé, qui observe de sa terrasse, fascinée, une bande de garçons et de filles sautant dans la mer, depuis la corniche. Elle les approche et se fait accepter d'eux. Le coeur du film est cette corniche, bout de territoire magique, balcon magnifique sur la mer. Un lieu qui fait corps avec les personnages, qui les habite et qu'ils habitent, pour ainsi dire. Le boulevard, la muraille de rochers, l'eau bleue sont le théâtre de leur vie ; et le saut, une épreuve apportant beauté, frisson, gloire. Tout cela, la cinéaste le capte très bien, en fait un tableau avec du relief, sensuel, impressionniste, riche de couleurs et de sensations fortes. Le traitement du trafic mafieux et de l'enquête policière est en revanche plus maladroit. Corniche Kennedy vaut plus comme documentaire poétique que comme fiction. Et pour l'alchimie qui rapproche les trois jeunes mis en avant : Lola Créton, déjà remarquée dans Un amour de jeunesse, de Mia Hansen-Love, et deux acteurs non professionnels, épatants. Kamel Kadri, gracile, taciturne, et Alain Demaria, bloc de tendresse et de maturité feinte, un vrai minot, une révélation. — Jacques Morice
Année : 2016
Télévision : 19 janvier 2018 à 10:30-12:00 sur Canal +
film : drame
Au pied de villas marseillaises, des minots s’élancent d’une corniche dans la mer. Un film sensuel et poétique, desservi par un thriller maladroit. Critique : Paris a ses poulbots ; Marseille, ses minots. Retrouver la saveur du mythe tout en se tenant au plus près de la cité phocéenne qu'elle affectionne comme personne, tel est le voeu de Dominique Cabrera. Le roman de Maylis de Kérangal lui sert de tremplin, au sens propre comme au figuré. Elle filme Suzanne, une lycéenne d'un milieu aisé, qui observe de sa terrasse, fascinée, une bande de garçons et de filles sautant dans la mer, depuis la corniche. Elle les approche et se fait accepter d'eux. Le coeur du film est cette corniche, bout de territoire magique, balcon magnifique sur la mer. Un lieu qui fait corps avec les personnages, qui les habite et qu'ils habitent, pour ainsi dire. Le boulevard, la muraille de rochers, l'eau bleue sont le théâtre de leur vie ; et le saut, une épreuve apportant beauté, frisson, gloire. Tout cela, la cinéaste le capte très bien, en fait un tableau avec du relief, sensuel, impressionniste, riche de couleurs et de sensations fortes. Le traitement du trafic mafieux et de l'enquête policière est en revanche plus maladroit. Corniche Kennedy vaut plus comme documentaire poétique que comme fiction. Et pour l'alchimie qui rapproche les trois jeunes mis en avant : Lola Créton, déjà remarquée dans Un amour de jeunesse, de Mia Hansen-Love, et deux acteurs non professionnels, épatants. Kamel Kadri, gracile, taciturne, et Alain Demaria, bloc de tendresse et de maturité feinte, un vrai minot, une révélation. — Jacques Morice
Année : 2016
DVD/Blu-ray : 6 juin 2017
Année : 2016
De : Dominique Cabrera
Avec : Aïssa Maïga, Lola Créton, Alain Demaria, Kamel Kadri, Moussa Maaskri, Linda Lassoued
Cinéma : 18 janvier 2017
Année : 2016
De : Dominique Cabrera
Avec : Lola Creton, Aïssa Maïga, Moussa Maaskri, Kamel Kadri, Alain Demaria