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Transformers : Rise of the Beasts

Télévision : 18 avril à 09:58-12:02 sur Canal +

film de science-fiction

New York en 1994. Menés par leur leader Optimus Prime, les Autobots s'acclimatent peu à peu à la vie sur Terre. Ils voient un jour arriver des Maximals, des Transformers-animaux qui ont fui leur planète pour échapper à Unicron, une entité cosmique géante qui absorbe des astres. Unicron se dirige justement vers la Terre et envoie en première ligne ses sbires, les Terrorcons. Pour gagner cette nouvelle guerre, les Transformers vont devoir lutter sans merci, épaulés par Noah Diaz, un ancien expert en électronique dans l'armée aujourd'hui sans emploi, et Elena Wallace, une jeune archéologue en manque de considération... - Critique : Il n’y a guère qu’à une projection de Transformers qu’on peut voir une foule d’adultes ravis de se presser dans la salle, pop-corn et petits robots en plastique pas recyclé à la main. Oui, car assister à une séance presse de Transformers : Rise of the Beasts, c’est se voir offrir deux figurines des robots qui se bagarreront à l’écran pendant les cent vingt-sept prochaines minutes. Comme ça, aucune ambiguïté sur le fait que le film n’existe que pour vendre du pétrole raffiné. Le démiurge créateur de la saga Transformers reste bien le marchand de jouets Hasbro. Qui, dans ce sixième opus (septième, si l’on compte le long métrage consacré à Bumblebee, la Coccinelle Volkswagen jaune), se régale avec une foule de nouveaux produits dérivés en puissance : après les robots-autos et les robots-dinos débarquent les robots-animaux. Car ce film est un « reboot » (son récit ne prend pas en compte celui des précédents), qui découvre une nouvelle race d’extraterrestres, mi-bêtes sauvages mi-machines, les Maximals. Et tant qu’à faire, une nouvelle espèce de méchants, les Terrorcons – lesquels demeurent en tout point semblables aux Decepticons des films antérieurs. Côté scénario, tout ce petit monde cherche une clé de trans-, télé-, inter-, muta- portation (on a déjà oublié) pour sauver l’Univers, et un humain se retrouve embarqué dans l’aventure – fut un temps, c’était Shia LaBeouf, auquel succède le non moins charismatique Anthony Ramos. Sa présence n’enchante pas les Transformers, mais un petit homme « c’est pratique pour se faufiler »… C’est un vrai dialogue du film. Exit la bêtise nanardesque des volets 4 et 5 (et leurs placements de produit éhontés), les incohérences ont ici moins de panache. Tout comme la mise en scène appliquée du réalisateur de Creed II, d’ailleurs. On n’a pas toujours – pour ne pas dire jamais – été tendre avec Michael Bay, mais il faut bien reconnaître qu’il nous manque un peu. Parce qu’entre deux explosions, on pouvait lui accorder un certain sens de l’esbroufe et des plans grandiloquents. Dans ce film, tout est bien plus conventionnel, fonctionnel, balisé, pour un vague divertissement immédiatement oublié une fois les portes du cinéma franchies – on n’a pas pris les figurines pour le rappeler à notre bon souvenir. Attendez, on doit juste vous prévenir : ce Transformers laisse envisager une rencontre avec la franchise G.I. Joe… Hasbro tout-puissant !

Année : 2023

De : Caple Steven

Avec : Aidan Devine, Anthony Ramos, Dean Scott, Dominique Fishback, Frank Marrs, Jason D Avalos, Kelly Michael, Leni Parker, Lucas Huarancca, Luna Lauren, Sarah Stiles, Tobe Nwigwe

Récemment en avril
 

Transformers : Rise of the Beasts

Télévision : 15 avril à 13:23-15:27 sur Canal +

film de science-fiction

New York en 1994. Menés par leur leader Optimus Prime, les Autobots s'acclimatent peu à peu à la vie sur Terre. Ils voient un jour arriver des Maximals, des Transformers-animaux qui ont fui leur planète pour échapper à Unicron, une entité cosmique géante qui absorbe des astres. Unicron se dirige justement vers la Terre et envoie en première ligne ses sbires, les Terrorcons. Pour gagner cette nouvelle guerre, les Transformers vont devoir lutter sans merci, épaulés par Noah Diaz, un ancien expert en électronique dans l'armée aujourd'hui sans emploi, et Elena Wallace, une jeune archéologue en manque de considération... - Critique : Il n’y a guère qu’à une projection de Transformers qu’on peut voir une foule d’adultes ravis de se presser dans la salle, pop-corn et petits robots en plastique pas recyclé à la main. Oui, car assister à une séance presse de Transformers : Rise of the Beasts, c’est se voir offrir deux figurines des robots qui se bagarreront à l’écran pendant les cent vingt-sept prochaines minutes. Comme ça, aucune ambiguïté sur le fait que le film n’existe que pour vendre du pétrole raffiné. Le démiurge créateur de la saga Transformers reste bien le marchand de jouets Hasbro. Qui, dans ce sixième opus (septième, si l’on compte le long métrage consacré à Bumblebee, la Coccinelle Volkswagen jaune), se régale avec une foule de nouveaux produits dérivés en puissance : après les robots-autos et les robots-dinos débarquent les robots-animaux. Car ce film est un « reboot » (son récit ne prend pas en compte celui des précédents), qui découvre une nouvelle race d’extraterrestres, mi-bêtes sauvages mi-machines, les Maximals. Et tant qu’à faire, une nouvelle espèce de méchants, les Terrorcons – lesquels demeurent en tout point semblables aux Decepticons des films antérieurs. Côté scénario, tout ce petit monde cherche une clé de trans-, télé-, inter-, muta- portation (on a déjà oublié) pour sauver l’Univers, et un humain se retrouve embarqué dans l’aventure – fut un temps, c’était Shia LaBeouf, auquel succède le non moins charismatique Anthony Ramos. Sa présence n’enchante pas les Transformers, mais un petit homme « c’est pratique pour se faufiler »… C’est un vrai dialogue du film. Exit la bêtise nanardesque des volets 4 et 5 (et leurs placements de produit éhontés), les incohérences ont ici moins de panache. Tout comme la mise en scène appliquée du réalisateur de Creed II, d’ailleurs. On n’a pas toujours – pour ne pas dire jamais – été tendre avec Michael Bay, mais il faut bien reconnaître qu’il nous manque un peu. Parce qu’entre deux explosions, on pouvait lui accorder un certain sens de l’esbroufe et des plans grandiloquents. Dans ce film, tout est bien plus conventionnel, fonctionnel, balisé, pour un vague divertissement immédiatement oublié une fois les portes du cinéma franchies – on n’a pas pris les figurines pour le rappeler à notre bon souvenir. Attendez, on doit juste vous prévenir : ce Transformers laisse envisager une rencontre avec la franchise G.I. Joe… Hasbro tout-puissant !

Année : 2023

De : Caple Steven

Avec : Aidan Devine, Anthony Ramos, Dean Scott, Dominique Fishback, Frank Marrs, Jason D Avalos, Kelly Michael, Leni Parker, Lucas Huarancca, Luna Lauren, Sarah Stiles, Tobe Nwigwe