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Mardi dernier
 

Fast & Furious X

Télévision : 16 avril à 15:40-17:56 sur Canal +

film d'action

Les années ont passé. Dom Toretto et les siens vivent une existence paisible. Ce calme est mis à mal par l'apparition de Dante, qui s'avère être le fils d'Hernan Reyes, un baron de la drogue brésilienne. Lorsque Dom a précipité Hernan d'un pont, son fils a observé la scène et veut désormais se venger de lui et des siens. Douze années se sont écoulées depuis cet évènement tragique pour Dante. Il a accumulé tellement de haine qu'il compte détruire tous ceux qui se trouveront sur sa route pour atteindre Dom et sa famille. Pour parvenir à ses fins, il a ciblé la personne la plus importante de la vie de Toretto, son jeune fils... - Critique : Aux dernières nouvelles, la conclusion de Fast & Furious, franchise démarrée voilà bientôt un quart de siècle, devrait finalement prendre la forme d’une trilogie, dont Fast & Furious X constitue le premier volet. Avec un budget titanesque de 340 millions de dollars, ce qui en fait l’un des longs métrages les plus chers de l’histoire du cinéma. Tout commence par un flashback, avec des images de la scène d’action la plus mémorable de la saga, qui en consacrait la dimension cartoonesque : une chambre forte tractée à vive allure par deux voitures, dans Fast & Furious 5 (Justin Lin, 2011). Ce point culminant était, alors, l’aboutissement d’un vrai scénario – qui valait ce qu’il valait. Cet opus 10 donne plutôt la sensation d’une fête foraine, où les attractions successives (courses-poursuites, fusillades, bagarres), à peine reliées entre elles, défieraient les lois de la gravité en pure perte. Ici, le morceau de bravoure arrive rapidement, sans préliminaires scénaristiques : une bombe sphérique d’une tonne, mi-boule de démolition, mi-bille de flipper, dévale les collines romaines vers la place Saint-Pierre, tandis que les véhicules des héros tâchent d’en modifier la trajectoire. Ce n’est sans doute pas un hasard si les Fast & Furious les plus aboutis possèdent une signature : le faiseur à l’ancienne Rob Cohen (épisode 1), l’auteur d’horreur James Wan (épisode 7), l’ancien cascadeur David Leitch (pour le spin-off Hobbs & Shaw). Que le volant ait été, cette fois, confié à l’impersonnel Louis Leterrier, à la filmographie médiocre depuis Le Transporteur (2002), n’augurait rien de bon. De cette époque sous le patronage de Luc Besson, le réalisateur a gardé un goût pour les plans-séquences tape-à-l’œil, plein de trucages numériques, durant les séquences d’action. Un autre signe trahit la perte de vitesse de la série. Les nouveaux personnages, qui ont permis un temps sa régénération (Dwayne Johnson, Jason Statham), se révèlent de moins en moins puissants. Ils sont, de plus, joués par des comédiens faiblards : l’ex-catcheur John Cena, l’ex-mannequin Alan Ritchson. Même Jason Momoa, qui faisait forte impression en brute mutique dans Game of Thrones, se ridiculise dans un numéro clownesque de simili-Joker (version Heath Ledger). « Plus réussi est le méchant, plus réussi sera le film », disait Hitchcock. L’adage fonctionne aussi avec des « moins ».

Année : 2023

De : Louis Leterrier

Avec : Brie Larson, Cena John, Charlize Theron, Chris 'Ludacris, Jason Momoa, Jason Statham, Jordana Brewster, Michelle Rodriguez, Nathalie Emmanuel, Sung Kang, Tyrese Gibson, Vin Diesel

Dimanche dernier
 

Les rois maudits 1972

Télévision : 14 avril à 21:00-22:50 sur La Chaîne Parlementaire

série historique

Le lys et le lion. Saison:1 - Episode:6 - Edouard III, le fils d'Isabelle, a ceint la couronne d'Angleterre après l'assassinat de son père, Edouard II. Il fait immédiatement arrêter et pendre le commanditaire du régicide, lord Mortimer, et remet de l'ordre dans le royaume. En France, Charles IV le Bel succède à Philippe le Long. Mais le nouveau souverain ne vivra pas assez longtemps pour voir son épouse mettre au monde son héritier. Après ce drame royal, Philippe de Valois songe à la régence. Mais, devant la dépouille du roi, l'évêque anglais Orleton vient la revendiquer au nom d'Edouard III, pour la reine Isabelle, soeur du défunt souverain et fille de Philippe le Bel... - Critique : Soudain, la voix de Lawrence d’Arabie vient chatouiller notre oreille. Jean Piat, qui double Peter O’ Toole en version française incarne ici – tout en carmin – Robert d’Artois, truculent intrigant. C’est Le Roi de fer, premier épisode des Rois maudits, petit chef-d’œuvre de télévision française signé Claude Barma (le père de Catherine), remis à l’honneur cinquante ans plus tard par l’émission Rembob’INA. Décors minimalistes – pour ne pas dire tentures sombres – et acteurs cabotins toujours au centre du cadre, qui s’adressent parfois à la caméra : c’est une autre télé qui s’invente sous nos yeux, pendant une heure et quarante minutes. Dans ce premier épisode, on juge les Templiers, dont le maître, Jacques de Molay, s’apprête à maudire le roi de France… Entraînant tout une série de péripéties. La série qui inspira “Game of Thrones” Histoires de cœur, pouvoirs, traîtres et mensonges. Est-ce que Les Rois maudits ne serait pas le soap originel ? George R.R. Martin n’a pas de mots assez forts pour qualifier l’œuvre de Maurice Druon dont ce feuilleton est adapté. Elle a évidemment inspiré Games of Thrones, et quand ce Roi de fer s’ouvre sur une présentation claire et exhaustive de ses très nombreux personnages, on se dit qu’il y avait une idée à prendre.

Année : 1972

Avec : Brione Benoist, Christian Barbier, Claude Giraud, Françoise Burgi, Geneviève Casile, Georges Aubert, Gilles Béhat, Jean Chevrier, Jean Lanier, Jean-Louis Broust, Michel Auger, Piat Jean

Récemment en avril
 

Les rois maudits 1972

Télévision : 13 avril à 14:06-15:48 sur La Chaîne Parlementaire

série historique

La louve de France. Saison:1 - Episode:5 - Après Philippe le Bel et Louis X, Philippe le Long meurt à son tour, victime de l'eau empoisonnée des sources du royaume de France. La révolte des Pastoureaux, mais aussi des Juifs et des lépreux, est noyée dans le sang. Charles IV monte sur le trône. La soeur du roi, Isabelle, épouse d'Edouard II d'Angleterre, réclame la couronne pour son fils, le futur Edouard III, petit-fils en ligne directe de Philippe le Bel. Elle se heurte aux Pairs, qui, à cette occasion, actualisent la "loi salique", interdisant à toute femme de monter sur le trône. Lord Roger Mortimer, amant de la souveraine, fait assassiner son époux déposé par les barons en révolte... - Critique : Soudain, la voix de Lawrence d’Arabie vient chatouiller notre oreille. Jean Piat, qui double Peter O’ Toole en version française incarne ici – tout en carmin – Robert d’Artois, truculent intrigant. C’est Le Roi de fer, premier épisode des Rois maudits, petit chef-d’œuvre de télévision française signé Claude Barma (le père de Catherine), remis à l’honneur cinquante ans plus tard par l’émission Rembob’INA. Décors minimalistes – pour ne pas dire tentures sombres – et acteurs cabotins toujours au centre du cadre, qui s’adressent parfois à la caméra : c’est une autre télé qui s’invente sous nos yeux, pendant une heure et quarante minutes. Dans ce premier épisode, on juge les Templiers, dont le maître, Jacques de Molay, s’apprête à maudire le roi de France… Entraînant tout une série de péripéties. La série qui inspira “Game of Thrones” Histoires de cœur, pouvoirs, traîtres et mensonges. Est-ce que Les Rois maudits ne serait pas le soap originel ? George R.R. Martin n’a pas de mots assez forts pour qualifier l’œuvre de Maurice Druon dont ce feuilleton est adapté. Elle a évidemment inspiré Games of Thrones, et quand ce Roi de fer s’ouvre sur une présentation claire et exhaustive de ses très nombreux personnages, on se dit qu’il y avait une idée à prendre.

Année : 1972

Avec : André Luguet, Antoine Baud, Brione Benoist, Chazel André, François Darbon, Geneviève Casile, Gilles Béhat, Hélène Duc, Jean Chevrier, Jean-Louis Broust, Jean-Luc Moreau, Piat Jean

Récemment en avril
 

Les rois maudits 1972

Télévision : 7 avril à 21:01-22:45 sur La Chaîne Parlementaire

série historique

La louve de France. Saison:1 - Episode:5 - Après Philippe le Bel et Louis X, Philippe le Long meurt à son tour, victime de l'eau empoisonnée des sources du royaume de France. La révolte des Pastoureaux, mais aussi des Juifs et des lépreux, est noyée dans le sang. Charles IV monte sur le trône. La soeur du roi, Isabelle, épouse d'Edouard II d'Angleterre, réclame la couronne pour son fils, le futur Edouard III, petit-fils en ligne directe de Philippe le Bel. Elle se heurte aux Pairs, qui, à cette occasion, actualisent la "loi salique", interdisant à toute femme de monter sur le trône. Lord Roger Mortimer, amant de la souveraine, fait assassiner son époux déposé par les barons en révolte... - Critique : Soudain, la voix de Lawrence d’Arabie vient chatouiller notre oreille. Jean Piat, qui double Peter O’ Toole en version française incarne ici – tout en carmin – Robert d’Artois, truculent intrigant. C’est Le Roi de fer, premier épisode des Rois maudits, petit chef-d’œuvre de télévision française signé Claude Barma (le père de Catherine), remis à l’honneur cinquante ans plus tard par l’émission Rembob’INA. Décors minimalistes – pour ne pas dire tentures sombres – et acteurs cabotins toujours au centre du cadre, qui s’adressent parfois à la caméra : c’est une autre télé qui s’invente sous nos yeux, pendant une heure et quarante minutes. Dans ce premier épisode, on juge les Templiers, dont le maître, Jacques de Molay, s’apprête à maudire le roi de France… Entraînant tout une série de péripéties. La série qui inspira “Game of Thrones” Histoires de cœur, pouvoirs, traîtres et mensonges. Est-ce que Les Rois maudits ne serait pas le soap originel ? George R.R. Martin n’a pas de mots assez forts pour qualifier l’œuvre de Maurice Druon dont ce feuilleton est adapté. Elle a évidemment inspiré Games of Thrones, et quand ce Roi de fer s’ouvre sur une présentation claire et exhaustive de ses très nombreux personnages, on se dit qu’il y avait une idée à prendre.

Année : 1973

Avec : André Luguet, Antoine Baud, Brione Benoist, Chazel André, François Darbon, Geneviève Casile, Gilles Béhat, Hélène Duc, Jean Chevrier, Jean-Louis Broust, Jean-Luc Moreau, Piat Jean

Récemment en avril
 

Les rois maudits 1972

Télévision : 7 avril à 21:01-22:44 sur La Chaîne Parlementaire

série historique

La louve de France. Saison:1 - Episode:5 - Après Philippe le Bel et Louis X, Philippe le Long meurt à son tour, victime de l'eau empoisonnée des sources du royaume de France. La révolte des Pastoureaux, mais aussi des Juifs et des lépreux, est noyée dans le sang. Charles IV monte sur le trône. La soeur du roi, Isabelle, épouse d'Edouard II d'Angleterre, réclame la couronne pour son fils, le futur Edouard III, petit-fils en ligne directe de Philippe le Bel. Elle se heurte aux Pairs, qui, à cette occasion, actualisent la "loi salique", interdisant à toute femme de monter sur le trône. Lord Roger Mortimer, amant de la souveraine, fait assassiner son époux déposé par les barons en révolte... - Critique : Soudain, la voix de Lawrence d’Arabie vient chatouiller notre oreille. Jean Piat, qui double Peter O’ Toole en version française incarne ici – tout en carmin – Robert d’Artois, truculent intrigant. C’est Le Roi de fer, premier épisode des Rois maudits, petit chef-d’œuvre de télévision française signé Claude Barma (le père de Catherine), remis à l’honneur cinquante ans plus tard par l’émission Rembob’INA. Décors minimalistes – pour ne pas dire tentures sombres – et acteurs cabotins toujours au centre du cadre, qui s’adressent parfois à la caméra : c’est une autre télé qui s’invente sous nos yeux, pendant une heure et quarante minutes. Dans ce premier épisode, on juge les Templiers, dont le maître, Jacques de Molay, s’apprête à maudire le roi de France… Entraînant tout une série de péripéties. La série qui inspira “Game of Thrones” Histoires de cœur, pouvoirs, traîtres et mensonges. Est-ce que Les Rois maudits ne serait pas le soap originel ? George R.R. Martin n’a pas de mots assez forts pour qualifier l’œuvre de Maurice Druon dont ce feuilleton est adapté. Elle a évidemment inspiré Games of Thrones, et quand ce Roi de fer s’ouvre sur une présentation claire et exhaustive de ses très nombreux personnages, on se dit qu’il y avait une idée à prendre.

Année : 1972

Avec : André Luguet, Antoine Baud, Brione Benoist, Chazel André, François Darbon, Geneviève Casile, Gilles Béhat, Hélène Duc, Jean Chevrier, Jean-Louis Broust, Jean-Luc Moreau, Piat Jean

Récemment en avril
 

Fast & Furious X

Télévision : 7 avril à 09:29-11:45 sur Canal +

film d'action

Les années ont passé. Dom Toretto et les siens vivent une existence paisible. Ce calme est mis à mal par l'apparition de Dante, qui s'avère être le fils d'Hernan Reyes, un baron de la drogue brésilienne. Lorsque Dom a précipité Hernan d'un pont, son fils a observé la scène et veut désormais se venger de lui et des siens. Douze années se sont écoulées depuis cet évènement tragique pour Dante. Il a accumulé tellement de haine qu'il compte détruire tous ceux qui se trouveront sur sa route pour atteindre Dom et sa famille. Pour parvenir à ses fins, il a ciblé la personne la plus importante de la vie de Toretto, son jeune fils... - Critique : Aux dernières nouvelles, la conclusion de Fast & Furious, franchise démarrée voilà bientôt un quart de siècle, devrait finalement prendre la forme d’une trilogie, dont Fast & Furious X constitue le premier volet. Avec un budget titanesque de 340 millions de dollars, ce qui en fait l’un des longs métrages les plus chers de l’histoire du cinéma. Tout commence par un flashback, avec des images de la scène d’action la plus mémorable de la saga, qui en consacrait la dimension cartoonesque : une chambre forte tractée à vive allure par deux voitures, dans Fast & Furious 5 (Justin Lin, 2011). Ce point culminant était, alors, l’aboutissement d’un vrai scénario – qui valait ce qu’il valait. Cet opus 10 donne plutôt la sensation d’une fête foraine, où les attractions successives (courses-poursuites, fusillades, bagarres), à peine reliées entre elles, défieraient les lois de la gravité en pure perte. Ici, le morceau de bravoure arrive rapidement, sans préliminaires scénaristiques : une bombe sphérique d’une tonne, mi-boule de démolition, mi-bille de flipper, dévale les collines romaines vers la place Saint-Pierre, tandis que les véhicules des héros tâchent d’en modifier la trajectoire. Ce n’est sans doute pas un hasard si les Fast & Furious les plus aboutis possèdent une signature : le faiseur à l’ancienne Rob Cohen (épisode 1), l’auteur d’horreur James Wan (épisode 7), l’ancien cascadeur David Leitch (pour le spin-off Hobbs & Shaw). Que le volant ait été, cette fois, confié à l’impersonnel Louis Leterrier, à la filmographie médiocre depuis Le Transporteur (2002), n’augurait rien de bon. De cette époque sous le patronage de Luc Besson, le réalisateur a gardé un goût pour les plans-séquences tape-à-l’œil, plein de trucages numériques, durant les séquences d’action. Un autre signe trahit la perte de vitesse de la série. Les nouveaux personnages, qui ont permis un temps sa régénération (Dwayne Johnson, Jason Statham), se révèlent de moins en moins puissants. Ils sont, de plus, joués par des comédiens faiblards : l’ex-catcheur John Cena, l’ex-mannequin Alan Ritchson. Même Jason Momoa, qui faisait forte impression en brute mutique dans Game of Thrones, se ridiculise dans un numéro clownesque de simili-Joker (version Heath Ledger). « Plus réussi est le méchant, plus réussi sera le film », disait Hitchcock. L’adage fonctionne aussi avec des « moins ».

Année : 2023

De : Louis Leterrier

Avec : Brie Larson, Cena John, Charlize Theron, Chris 'Ludacris, Jason Momoa, Jason Statham, Jordana Brewster, Michelle Rodriguez, Nathalie Emmanuel, Sung Kang, Tyrese Gibson, Vin Diesel

Récemment en avril
 

Les rois maudits 1972

Télévision : 6 avril à 14:01-15:48 sur La Chaîne Parlementaire

série historique

La loi des mâles. Saison:1 - Episode:4 - La mort de Louis X le Hutin aiguise les ambitions des proches de la couronne et les prétendants au trône ne manquent pas. Aidé par sa belle-mère, le comte Philippe de Poitiers prend la régence du royaume. A ce titre, il dispose du droit de faire élire le pape de son choix. Mais, il doit également déjouer les manoeuvres de son oncle, Charles de Valois. Repliée sur son deuil, Clémence de Hongrie, devenue "la reine blanche", met au monde un fils, qui, sous le nom de Jean Ier, devient l'héritier légitime de la couronne. Mais Mahaut d'Artois fait empoisonner l'enfant, afin que son gendre, Philippe de Poitiers, puisse monter sur le trône... - Critique : Soudain, la voix de Lawrence d’Arabie vient chatouiller notre oreille. Jean Piat, qui double Peter O’ Toole en version française incarne ici – tout en carmin – Robert d’Artois, truculent intrigant. C’est Le Roi de fer, premier épisode des Rois maudits, petit chef-d’œuvre de télévision française signé Claude Barma (le père de Catherine), remis à l’honneur cinquante ans plus tard par l’émission Rembob’INA. Décors minimalistes – pour ne pas dire tentures sombres – et acteurs cabotins toujours au centre du cadre, qui s’adressent parfois à la caméra : c’est une autre télé qui s’invente sous nos yeux, pendant une heure et quarante minutes. Dans ce premier épisode, on juge les Templiers, dont le maître, Jacques de Molay, s’apprête à maudire le roi de France… Entraînant tout une série de péripéties. La série qui inspira “Game of Thrones” Histoires de cœur, pouvoirs, traîtres et mensonges. Est-ce que Les Rois maudits ne serait pas le soap originel ? George R.R. Martin n’a pas de mots assez forts pour qualifier l’œuvre de Maurice Druon dont ce feuilleton est adapté. Elle a évidemment inspiré Games of Thrones, et quand ce Roi de fer s’ouvre sur une présentation claire et exhaustive de ses très nombreux personnages, on se dit qu’il y avait une idée à prendre.

Année : 1972

Avec : Brione Benoist, Christian Bertola, Claude Brosset, Florence Brière, Geneviève Casile, Gilles Béhat, Hélène Duc, Jean Amos, Jean Deschamps, José Maria Flotats, Lejeune Monique, Piat Jean

Récemment en avril
 

Les rois maudits 1972

Télévision : 6 avril à 14:01-15:45 sur La Chaîne Parlementaire

série historique

La loi des mâles. Saison:1 - Episode:4 - La mort de Louis X le Hutin aiguise les ambitions des proches de la couronne et les prétendants au trône ne manquent pas. Aidé par sa belle-mère, le comte Philippe de Poitiers prend la régence du royaume. A ce titre, il dispose du droit de faire élire le pape de son choix. Mais, il doit également déjouer les manoeuvres de son oncle, Charles de Valois. Repliée sur son deuil, Clémence de Hongrie, devenue "la reine blanche", met au monde un fils, qui, sous le nom de Jean Ier, devient l'héritier légitime de la couronne. Mais Mahaut d'Artois fait empoisonner l'enfant, afin que son gendre, Philippe de Poitiers, puisse monter sur le trône... - Critique : Soudain, la voix de Lawrence d’Arabie vient chatouiller notre oreille. Jean Piat, qui double Peter O’ Toole en version française incarne ici – tout en carmin – Robert d’Artois, truculent intrigant. C’est Le Roi de fer, premier épisode des Rois maudits, petit chef-d’œuvre de télévision française signé Claude Barma (le père de Catherine), remis à l’honneur cinquante ans plus tard par l’émission Rembob’INA. Décors minimalistes – pour ne pas dire tentures sombres – et acteurs cabotins toujours au centre du cadre, qui s’adressent parfois à la caméra : c’est une autre télé qui s’invente sous nos yeux, pendant une heure et quarante minutes. Dans ce premier épisode, on juge les Templiers, dont le maître, Jacques de Molay, s’apprête à maudire le roi de France… Entraînant tout une série de péripéties. La série qui inspira “Game of Thrones” Histoires de cœur, pouvoirs, traîtres et mensonges. Est-ce que Les Rois maudits ne serait pas le soap originel ? George R.R. Martin n’a pas de mots assez forts pour qualifier l’œuvre de Maurice Druon dont ce feuilleton est adapté. Elle a évidemment inspiré Games of Thrones, et quand ce Roi de fer s’ouvre sur une présentation claire et exhaustive de ses très nombreux personnages, on se dit qu’il y avait une idée à prendre.

Année : 1973

Avec : Brione Benoist, Christian Bertola, Claude Brosset, Florence Brière, Geneviève Casile, Gilles Béhat, Hélène Duc, Jean Amos, Jean Deschamps, José Maria Flotats, Lejeune Monique, Piat Jean

Récemment en avril
 

Fast & Furious X

Télévision : 5 avril à 08:15-10:31 sur Canal +

film d'action

Les années ont passé. Dom Toretto et les siens vivent une existence paisible. Ce calme est mis à mal par l'apparition de Dante, qui s'avère être le fils d'Hernan Reyes, un baron de la drogue brésilienne. Lorsque Dom a précipité Hernan d'un pont, son fils a observé la scène et veut désormais se venger de lui et des siens. Douze années se sont écoulées depuis cet évènement tragique pour Dante. Il a accumulé tellement de haine qu'il compte détruire tous ceux qui se trouveront sur sa route pour atteindre Dom et sa famille. Pour parvenir à ses fins, il a ciblé la personne la plus importante de la vie de Toretto, son jeune fils... - Critique : Aux dernières nouvelles, la conclusion de Fast & Furious, franchise démarrée voilà bientôt un quart de siècle, devrait finalement prendre la forme d’une trilogie, dont Fast & Furious X constitue le premier volet. Avec un budget titanesque de 340 millions de dollars, ce qui en fait l’un des longs métrages les plus chers de l’histoire du cinéma. Tout commence par un flashback, avec des images de la scène d’action la plus mémorable de la saga, qui en consacrait la dimension cartoonesque : une chambre forte tractée à vive allure par deux voitures, dans Fast & Furious 5 (Justin Lin, 2011). Ce point culminant était, alors, l’aboutissement d’un vrai scénario – qui valait ce qu’il valait. Cet opus 10 donne plutôt la sensation d’une fête foraine, où les attractions successives (courses-poursuites, fusillades, bagarres), à peine reliées entre elles, défieraient les lois de la gravité en pure perte. Ici, le morceau de bravoure arrive rapidement, sans préliminaires scénaristiques : une bombe sphérique d’une tonne, mi-boule de démolition, mi-bille de flipper, dévale les collines romaines vers la place Saint-Pierre, tandis que les véhicules des héros tâchent d’en modifier la trajectoire. Ce n’est sans doute pas un hasard si les Fast & Furious les plus aboutis possèdent une signature : le faiseur à l’ancienne Rob Cohen (épisode 1), l’auteur d’horreur James Wan (épisode 7), l’ancien cascadeur David Leitch (pour le spin-off Hobbs & Shaw). Que le volant ait été, cette fois, confié à l’impersonnel Louis Leterrier, à la filmographie médiocre depuis Le Transporteur (2002), n’augurait rien de bon. De cette époque sous le patronage de Luc Besson, le réalisateur a gardé un goût pour les plans-séquences tape-à-l’œil, plein de trucages numériques, durant les séquences d’action. Un autre signe trahit la perte de vitesse de la série. Les nouveaux personnages, qui ont permis un temps sa régénération (Dwayne Johnson, Jason Statham), se révèlent de moins en moins puissants. Ils sont, de plus, joués par des comédiens faiblards : l’ex-catcheur John Cena, l’ex-mannequin Alan Ritchson. Même Jason Momoa, qui faisait forte impression en brute mutique dans Game of Thrones, se ridiculise dans un numéro clownesque de simili-Joker (version Heath Ledger). « Plus réussi est le méchant, plus réussi sera le film », disait Hitchcock. L’adage fonctionne aussi avec des « moins ».

Année : 2023

De : Louis Leterrier

Avec : Brie Larson, Cena John, Charlize Theron, Chris 'Ludacris, Jason Momoa, Jason Statham, Jordana Brewster, Michelle Rodriguez, Nathalie Emmanuel, Sung Kang, Tyrese Gibson, Vin Diesel