Télévision : mardi 30 avril à 13:35-15:47 sur Canal +
film fantastique
Lorsqu'une tempête menace un navire de naufrage, une jeune sirène, Ariel, parvient à sauver de la noyade le prince Eric. Pourtant, son père, le roi Triton, lui avait formellement interdit toute interaction avec le monde terrestre. Ariel tombe aussitôt sous le charme d'Eric et décide de tout faire pour pouvoir vivre son amour avec lui. Ursula, la sorcière des mers, lui propose un pacte diabolique pour lui permettre de vivre sur la terre ferme en transformant sa nageoire en jambes. Mais cette proposition a un prix puisqu'elle met en danger non seulement l'existence d'Ariel, mais également le royaume de son père... - Critique : Depuis quatre ans, Disney se dit que ce n’est pas la mer à boire d’aller à la pêche aux entrées sans avoir besoin de se renouveler : il suffit de prendre un grand classique animé du catalogue et d’en faire un remake en live action. Sauf que ce n’est pas si simple. La Petite Sirène en prises de vues réelles était censée remonter le niveau de cette vague de recyclage fort peu convaincante jusqu’à présent, allant de la pure catastrophe Mulan à la relative réussite de La Belle et la Bête. Mais Ariel ne lavera pas l’affront, et cette bluette d’un kitsch assommant, noyée sous les effets spéciaux numériques du pire effet, pourrait bien être le Disney de trop. Pauvre Halle Bailey, plutôt mignonne dans le rôle-titre : sa carnation, qui fit couler beaucoup d’encre, est, de loin, la plus jolie couleur de cet océan de mauvais goût entre mauve artificiel et vert agressif de sa queue de poisson. Plaqué sur le scénario du film de 1989, ce remake trouve le moyen d’en oublier le rythme et l’humour (même Polochon et Sébastien le crabe sont fades) pour s’allonger (cinquante-deux minutes de rab) en un pénible opéra aquatique qui oublie même de critiquer le sexisme du conte. Dans la version animée, la sorcière des mers, Ursula, volait la voix d’Ariel avec une lucidité acide et critique — une fille est plus attractive quand elle se tait… Ici, Melissa McCarthy n’a pas la force d’ajouter une larme de second degré à ses vociférations, trop occupée à tenter de détrôner la Glenn Close des 101 Dalmatiens et empêtrée dans des tonnes de tentacules numériques et autres tempêtes apocalyptiques à vous décoller jusqu’à la dernière écaille. Jonah Hauer-King, lui, réussit la prouesse d’être un prince Éric moins consistant que son homologue dessiné. Et on préfère laisser Javier Bardem sous l’océan car le ridicule n’est pas loin lorsqu’il sort la tête de l’eau avec sa couronne de roi Triton. Seule envie au sortir de ce remake boursouflé ? Se rincer les yeux en revoyant le classique animé, toujours pimpant trente-quatre ans après sa sortie.
Année : 2023
Avec : Alexander Jessica, Art Malik, Halle Bailey, Javier Bardem, Joey Pizzi, Jonah Hauer-King, Jude Akuwudike, Kajsa Mohammar, Lin-Manuel Miranda, Lorena Andrea, Melissa McCarthy, Noma Dumezweni, Simone Ashley, Tara Nicole Hughes
Télévision : 22 avril à 08:15-10:27 sur Canal +
film fantastique
Lorsqu'une tempête menace un navire de naufrage, une jeune sirène, Ariel, parvient à sauver de la noyade le prince Eric. Pourtant, son père, le roi Triton, lui avait formellement interdit toute interaction avec le monde terrestre. Ariel tombe aussitôt sous le charme d'Eric et décide de tout faire pour pouvoir vivre son amour avec lui. Ursula, la sorcière des mers, lui propose un pacte diabolique pour lui permettre de vivre sur la terre ferme en transformant sa nageoire en jambes. Mais cette proposition a un prix puisqu'elle met en danger non seulement l'existence d'Ariel, mais également le royaume de son père... - Critique : Depuis quatre ans, Disney se dit que ce n’est pas la mer à boire d’aller à la pêche aux entrées sans avoir besoin de se renouveler : il suffit de prendre un grand classique animé du catalogue et d’en faire un remake en live action. Sauf que ce n’est pas si simple. La Petite Sirène en prises de vues réelles était censée remonter le niveau de cette vague de recyclage fort peu convaincante jusqu’à présent, allant de la pure catastrophe Mulan à la relative réussite de La Belle et la Bête. Mais Ariel ne lavera pas l’affront, et cette bluette d’un kitsch assommant, noyée sous les effets spéciaux numériques du pire effet, pourrait bien être le Disney de trop. Pauvre Halle Bailey, plutôt mignonne dans le rôle-titre : sa carnation, qui fit couler beaucoup d’encre, est, de loin, la plus jolie couleur de cet océan de mauvais goût entre mauve artificiel et vert agressif de sa queue de poisson. Plaqué sur le scénario du film de 1989, ce remake trouve le moyen d’en oublier le rythme et l’humour (même Polochon et Sébastien le crabe sont fades) pour s’allonger (cinquante-deux minutes de rab) en un pénible opéra aquatique qui oublie même de critiquer le sexisme du conte. Dans la version animée, la sorcière des mers, Ursula, volait la voix d’Ariel avec une lucidité acide et critique — une fille est plus attractive quand elle se tait… Ici, Melissa McCarthy n’a pas la force d’ajouter une larme de second degré à ses vociférations, trop occupée à tenter de détrôner la Glenn Close des 101 Dalmatiens et empêtrée dans des tonnes de tentacules numériques et autres tempêtes apocalyptiques à vous décoller jusqu’à la dernière écaille. Jonah Hauer-King, lui, réussit la prouesse d’être un prince Éric moins consistant que son homologue dessiné. Et on préfère laisser Javier Bardem sous l’océan car le ridicule n’est pas loin lorsqu’il sort la tête de l’eau avec sa couronne de roi Triton. Seule envie au sortir de ce remake boursouflé ? Se rincer les yeux en revoyant le classique animé, toujours pimpant trente-quatre ans après sa sortie.
Année : 2023
Avec : Alexander Jessica, Art Malik, Halle Bailey, Javier Bardem, Joey Pizzi, Jonah Hauer-King, Jude Akuwudike, Kajsa Mohammar, Lin-Manuel Miranda, Lorena Andrea, Melissa McCarthy, Noma Dumezweni, Simone Ashley, Tara Nicole Hughes
Télévision : 22 avril à 08:10-10:21 sur Canal +
film fantastique
Lorsqu'une tempête menace un navire de naufrage, une jeune sirène, Ariel, parvient à sauver de la noyade le prince Eric. Pourtant, son père, le roi Triton, lui avait formellement interdit toute interaction avec le monde terrestre. Ariel tombe aussitôt sous le charme d'Eric et décide de tout faire pour pouvoir vivre son amour avec lui. Ursula, la sorcière des mers, lui propose un pacte diabolique pour lui permettre de vivre sur la terre ferme en transformant sa nageoire en jambes. Mais cette proposition a un prix puisqu'elle met en danger non seulement l'existence d'Ariel, mais également le royaume de son père... - Critique : Depuis quatre ans, Disney se dit que ce n’est pas la mer à boire d’aller à la pêche aux entrées sans avoir besoin de se renouveler : il suffit de prendre un grand classique animé du catalogue et d’en faire un remake en live action. Sauf que ce n’est pas si simple. La Petite Sirène en prises de vues réelles était censée remonter le niveau de cette vague de recyclage fort peu convaincante jusqu’à présent, allant de la pure catastrophe Mulan à la relative réussite de La Belle et la Bête. Mais Ariel ne lavera pas l’affront, et cette bluette d’un kitsch assommant, noyée sous les effets spéciaux numériques du pire effet, pourrait bien être le Disney de trop. Pauvre Halle Bailey, plutôt mignonne dans le rôle-titre : sa carnation, qui fit couler beaucoup d’encre, est, de loin, la plus jolie couleur de cet océan de mauvais goût entre mauve artificiel et vert agressif de sa queue de poisson. Plaqué sur le scénario du film de 1989, ce remake trouve le moyen d’en oublier le rythme et l’humour (même Polochon et Sébastien le crabe sont fades) pour s’allonger (cinquante-deux minutes de rab) en un pénible opéra aquatique qui oublie même de critiquer le sexisme du conte. Dans la version animée, la sorcière des mers, Ursula, volait la voix d’Ariel avec une lucidité acide et critique — une fille est plus attractive quand elle se tait… Ici, Melissa McCarthy n’a pas la force d’ajouter une larme de second degré à ses vociférations, trop occupée à tenter de détrôner la Glenn Close des 101 Dalmatiens et empêtrée dans des tonnes de tentacules numériques et autres tempêtes apocalyptiques à vous décoller jusqu’à la dernière écaille. Jonah Hauer-King, lui, réussit la prouesse d’être un prince Éric moins consistant que son homologue dessiné. Et on préfère laisser Javier Bardem sous l’océan car le ridicule n’est pas loin lorsqu’il sort la tête de l’eau avec sa couronne de roi Triton. Seule envie au sortir de ce remake boursouflé ? Se rincer les yeux en revoyant le classique animé, toujours pimpant trente-quatre ans après sa sortie.
Année : 2023
Avec : Alexander Jessica, Art Malik, Halle Bailey, Javier Bardem, Joey Pizzi, Jonah Hauer-King, Jude Akuwudike, Kajsa Mohammar, Lin-Manuel Miranda, Lorena Andrea, Melissa McCarthy, Noma Dumezweni, Simone Ashley, Tara Nicole Hughes
Télévision : 17 avril à 13:34-15:47 sur Canal +
film fantastique
Lorsqu'une tempête menace un navire de naufrage, une jeune sirène, Ariel, parvient à sauver de la noyade le prince Eric. Pourtant, son père, le roi Triton, lui avait formellement interdit toute interaction avec le monde terrestre. Ariel tombe aussitôt sous le charme d'Eric et décide de tout faire pour pouvoir vivre son amour avec lui. Ursula, la sorcière des mers, lui propose un pacte diabolique pour lui permettre de vivre sur la terre ferme en transformant sa nageoire en jambes. Mais cette proposition a un prix puisqu'elle met en danger non seulement l'existence d'Ariel, mais également le royaume de son père... - Critique : Depuis quatre ans, Disney se dit que ce n’est pas la mer à boire d’aller à la pêche aux entrées sans avoir besoin de se renouveler : il suffit de prendre un grand classique animé du catalogue et d’en faire un remake en live action. Sauf que ce n’est pas si simple. La Petite Sirène en prises de vues réelles était censée remonter le niveau de cette vague de recyclage fort peu convaincante jusqu’à présent, allant de la pure catastrophe Mulan à la relative réussite de La Belle et la Bête. Mais Ariel ne lavera pas l’affront, et cette bluette d’un kitsch assommant, noyée sous les effets spéciaux numériques du pire effet, pourrait bien être le Disney de trop. Pauvre Halle Bailey, plutôt mignonne dans le rôle-titre : sa carnation, qui fit couler beaucoup d’encre, est, de loin, la plus jolie couleur de cet océan de mauvais goût entre mauve artificiel et vert agressif de sa queue de poisson. Plaqué sur le scénario du film de 1989, ce remake trouve le moyen d’en oublier le rythme et l’humour (même Polochon et Sébastien le crabe sont fades) pour s’allonger (cinquante-deux minutes de rab) en un pénible opéra aquatique qui oublie même de critiquer le sexisme du conte. Dans la version animée, la sorcière des mers, Ursula, volait la voix d’Ariel avec une lucidité acide et critique — une fille est plus attractive quand elle se tait… Ici, Melissa McCarthy n’a pas la force d’ajouter une larme de second degré à ses vociférations, trop occupée à tenter de détrôner la Glenn Close des 101 Dalmatiens et empêtrée dans des tonnes de tentacules numériques et autres tempêtes apocalyptiques à vous décoller jusqu’à la dernière écaille. Jonah Hauer-King, lui, réussit la prouesse d’être un prince Éric moins consistant que son homologue dessiné. Et on préfère laisser Javier Bardem sous l’océan car le ridicule n’est pas loin lorsqu’il sort la tête de l’eau avec sa couronne de roi Triton. Seule envie au sortir de ce remake boursouflé ? Se rincer les yeux en revoyant le classique animé, toujours pimpant trente-quatre ans après sa sortie.
Année : 2023
Avec : Alexander Jessica, Art Malik, Halle Bailey, Javier Bardem, Joey Pizzi, Jonah Hauer-King, Jude Akuwudike, Kajsa Mohammar, Lin-Manuel Miranda, Lorena Andrea, Melissa McCarthy, Noma Dumezweni, Simone Ashley, Tara Nicole Hughes
Télévision : 15 avril à 23:49-00:42 sur France 3
documentaire société
Depuis plusieurs semaines, la situation en Haïti est devenue intenable. Les bandes criminelles, qui contrôlent presque tous les quartiers de Port-au-Prince, ainsi que les routes qui y mènent, s'en prennent aux sites stratégiques du pays : académie de police, aéroport et plusieurs prisons. Ce déchaînement de violence intervient à la suite d'une action coordonnée des gangs, sous la direction de Jimmy Chérizier, surnommé "Barbecue", dont les assauts répétés ont eu raison du gouvernement du Premier ministre Ariel Henry. Plusieurs milliers de personnes ont fui leur maison, et l'accès aux services sociaux de base est plus périlleux que jamais, aggravant davantage un quotidien déjà précaire. Pour comprendre les drames qui déchirent le pays aujourd'hui, il est indispensable de se pencher sur son histoire.
Disney+ : 5 mars
Ariel, une sirène fascinée par l'univers des humains, défie l'interdiction de son père de rester sous la surface. Lors d'une tempête, elle sauve le prince de ses rêves. Elle conclut un pacte avec la sorcière des mers : des jambes en échange de sa queue de sirène et de sa jolie voix. Ariel entame une course contre la montre pour conquérir le cœur de son prince et sauver le royaume de son père.
De : Ron Clements, John Musker
Avec : Jodi Benson, Samuel E Wright, Pat Carroll, Christopher Daniel Barnes, Kenneth Mars, Buddy Hackett, Jason Marin
Disney+ : 5 mars
La série relate les aventures d'Ariel et de ses amis Polochon, Sébastien et d'autres personnages du film La Petite Sirène ainsi qu'avec d'autres personnages créés spécifiquement pour la série. Il s'agit de la première série télévisée Disney à être tirée d'un film majeur.
Avec : Jodi Benson, Jim Cummings, Samuel E Wright, Kenneth Mars, Danny Cooksey, Mary Kay Bergman, Maurice LaMarche
Disney+ : 5 mars
Tiana, Vaiana, Blanche Neige, Raiponce et Ariel sont transportées dans un mystérieux château où elles s'embarquent dans une grande aventure. Dès leur arrivée, elles découvrent que Gaston compte prendre le contrôle de tous les royaumes. Les princesses doivent s'allier pour relever les défis que dissimulent les murs du château et protéger leurs royaumes de Gaston. Triompheront-elles grâce à leur courage, leur vivacité d'esprit et leur amitié ?
De : Michael D Black
Avec : Jodi Benson, Auli'i Cravalho, Mandy Moore, Anika Noni Rose, Katherine Von Till, Richard White, Jo Anne Worley