De l'héroïne à bas prix commence à circuler en Italie. Le gouvernement étant incapable de réagir, Vincenzo Muccioli ouvre un centre de traitement pour jeunes toxicomanes.
Malgré les accusations qui pèsent contre lui, Muccioli reçoit le soutien indéfectible du public, dont de nombreuses victimes de la crise de l'héroïne.
À mesure que sa renommée et son pouvoir grandissent, Muccioli perd le contrôle direct d'un San Patrignano en expansion. La communauté peine à endiguer l'épidémie de SIDA.
La mort de Natalia est suivie d'une deuxième, puis d'un acte d'une cruauté impitoyable. C'est alors que le chauffeur de Muccioli lance une accusation accablante.
Les procès liés au meurtre de Roberto Maranzano touchent à leur fin, laissant Muccioli épuisé et brisé. Sa santé se dégrade de manière spectaculaire.