Kantaro s'empresse de terminer la première mission terrain de sa carrière de commercial... pour mieux savourer ensuite un fantasme visqueux au suave nom d'anmitsu.
Par une chaleur torride, Kantaro n’hésite pas à enfiler un sous-vêtement thermique avant de laisser fondre dans sa bouche extasiée un kakigori glacé fait maison.
Au péril de sa double vie de commercial et blogueur gourmand, Kantaro se jette dans un intense triathlon des mamekans, dont chaque étape prodigue un plaisir plus exquis.
Malgré une escapade sensuelle au paradis du parfait aux pêches, Kantaro décroche le titre de meilleur vendeur du mois, au grand dam de Takarabe, très mauvais perdant.
Chargé de la formation d'un commercial lamentable, Kantaro doit trouver le moyen de s'en débarrasser s'il veut une chance de goûter les divins hotcakes qu'il convoite.
Kantaro fait diversion au milieu d'une querelle pour inviter un mangaka à découvrir l'harmonie des saveurs occidentales et japonaises dans une crème bavaroise au matcha.
Dans un café français, un savarin décadent allège miraculeusement la pénible conversation qu'entretenaient Dobashi et son patron sur leurs aspirations professionnelles.
Baby-sitter improvisé, Kantaro tente d'adoucir la langue venimeuse du fils de son patron avec une jolie boîte de délicieuses friandises.
Privé de sucre lors de la visite de sa mère, une dentiste rigide, Kantaro s'échappe pour obtenir sa dose d'éclairs, brisant tous les interdits dans une débauche de crème.
Malgré les tentations se présentant pendant ses heures supplémentaires, Kantaro reste fidèle au voluptueux pudding au caramel sur lequel il avait d'abord jeté son dévolu.
Kantaro décide d'enseigner à Takarabe l'importance de se faire plaisir en l'invitant à une digression mystique au nirvana du chocolat.
La pression monte lorsque Kantaro, enseveli sous une avalanche de travail, pense ne pas trouver le temps de s’éclipser pour déguster un Mont-Blanc aux marrons frais.