Yves Angelo : passages TV et dernières sorties Netflix

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Antérieurement en 2022
 

Le collier rouge

Télévision : 6 janvier 2022 à 21:10-22:30 sur France 3

film : drame

En 1919, Morlac, un héros de la guerre, est retenu prisonnier au fond d'une caserne déserte. Devant la porte de sa cellule, son chien aboie jour et nuit. Non loin de là, dans la campagne du Berry, Valentine, une paysanne cultivée, espère sa libération. Lantier, un juge aristocrate marqué par le conflit, est chargé de cette affaire. Les interrogatoires avec l'accusé se transforment en conversations. Morlac lui raconte sa guerre, de la Champagne à Salonique dans l'armée d'Orient, du front à la fraternisation dans les tranchées au son de l'Internationale. Dans ses voyages et collé à ses basques, il y avait toujours, Guillaume, le chien fidèle... - Critique : Mis au cachot, un héros de la guerre de 14-18 (Nicolas Duvauchelle) refuse de voir la femme qu’il aimait. Un mystère qu’il revient à un juge militaire (François Cluzet) de résoudre en interrogeant le soldat. Avec des comédiens formidables, ce face-à-face voit malheureusement son intensité diluée dans les flash-back. Mais le chef opérateur Yves Angelo donne à cette adaptation du roman de Jean-Christophe Rufin une atmosphère séduisante, avec une image qui rappelle les photos en couleurs des frères Lumière…

Année : 2018

De : Jean Becker

Avec : Frans Boyer, François Cluzet, Gilles Vandeweerd, Jean-Quentin Châtelain, Maurane, Nicolas Duvauchelle, Sugaipov Surho, Verbeeck Sophie

Antérieurement en 2020
 

Le colonel Chabert

Télévision : 5 mai 2020 à 13:50-15:40 sur France 2

Drame

Le colonel Chabert a officiellement perdu la vie dans la furieuse mêlée de la bataille d'Eylau, en 1807, contre les troupes russo-prussiennes. Sa veuve a épousé le comte Ferraud, bien en cour sous la Restauration, qui souhaite ardemment devenir pair de France. Cependant, un vieux clochard tient absolument à rencontrer Derville, l'avoué de la comtesse. Celui-ci, intrigué, finit par lui accorder un rendez-vous à une heure tardive. Et l'«épouvantail», comme le surnomme le clerc de l'étude, raconte sa prodigieuse épopée : il est le colonel Chabert, survivant miraculé de la bataille. Il a mis dix années à revenir sur les rives de la Seine. A présent, il souhaite retrouver son foyer et son épouse...

Année : 1994

De : Yves Angelo

Avec : Gérard Depardieu, Fanny Ardant, Fabrice Luchini, Daniel Prévost, André Dussollier, Claude Rich, Romane Bohringer, Olivier Saladin, Valérie Bettencourt, Eric Elmosnino, Maxime Leroux, Julie Depardieu

Antérieurement en 2018
 

Au plus près du soleil

Netflix : 15 septembre 2018

Quand une magistrate refuse de se retirer d'une affaire impliquant la mère biologique de son fils, son mari décide de rencontrer la jeune femme en secret.

De : Yves Angelo

Avec : Sylvie Testud, Grégory Gadebois, Mathilde Bisson, Zacharie Chasseriaud, John Arnold, Pascal Ternisien, Thomas Doret, Rodolphe Congé, Florence Janas, Stéphane Colombe

Antérieurement en 2018
 

Ouvert la nuit

Télévision : 27 mai 2018 à 02:15-03:50 sur Canal +

film : comédie dramatique

Alors que sa troupe a décidé de faire grève, un directeur de théâtre parisien part toute une nuit à la recherche d'argent et d'un singe… Mi-Alberto Sordi, mi-Patrick Modiano, Edouard Baer signe une ode mélancolique aux intermittents du cœur et du spectacle. Critique : | Genre : Paris pour toujours. Au théâtre ou au cinéma, depuis une quinzaine d’années, Edouard Baer fait le même numéro. Des mises en abyme loufoques et brouillonnes de saltimbanque (lui-même) en plein remue-méninges. Qu’il planche sur un concept d’émission (La Bostella, 2000) ou s’amuse à faire jouer à Jean Rochefort un faux Jean Rochefort (Akoibon, 2005). Son nouvel alter ego se nomme Luigi (comme le héros de l’un de ses spectacles de cabaret, La Folle et Véritable Vie de Luigi Prizzoti) et dirige avec une joyeuse désinvolture un théâtre au rond-point des Champs-Elysées, à l’endroit même où l’acteur a jadis tenu son Grand Mezze, avec François Rollin. Dans ce road-movie nocturne, on erre de bar chic en troquet popu, de Montreuil aux quais de Seine, en compagnie d’un Luigi plus préoccupé de faire découvrir la vie à une jeune stagiaire pétrie de cer­titudes (Sabrina Ouazani) que par les « dix ou vingt mille balles » qu’il doit récupérer auprès de sa mécène pour payer sa troupe, en grève à la veille de la première… Cette idée de traversée de Paris, Baer l’a empruntée à son mentor, Jean-François Bizot, qu’il a suivi plus d’une nuit de bringue quand ce dernier lui a donné sa chance à Radio Nova, à l’aube des années 1990. Hymne à la tchatche, à l’imprévu, au hasard des rencontres, à cette capacité qu’a la nuit d’abolir les frontières entre les gens et les classes, le film est aussi une déclaration d’amour à la Ville lumière, filmée avec fougue et sans clichés.

Année : 2016

Avec : Edouard Baer, Edouard Baer, Sabrina Ouazani, Audrey Tautou, Patrick Boshart, Atmen Kelif, Jean-Michel Lahmi, Grégory Gadebois, Marie-Ange Casta, Edouard Baer, Benoît Graffin, Emmanuel de Chauvigny, Yves Angelo

Antérieurement en 2018
 

Primaire

Télévision : 7 mai 2018 à 23:40-01:25 sur Canal +

film : drame

Sa mission d’enseignante, Florence l’investit au point de se perdre. Jusqu’à ce que son implication pour un petit garçon délaissé fasse vaciller sa vocation. Critique : Sa mission d’enseignante, Florence l’investit au point de se perdre. Jusqu’à ce que son implication pour un petit garçon délaissé fasse vaciller sa vocation.

Année : 2016

Avec : Sara Forestier, Vincent Elbaz, Patrick d'Assumçao, Guilaine Londez, Olivia Côte, Laure Calamy, Denis Sebbah, Ghillas Bendjoudi, Philippe Miller, Yann Coridian, Hélène Angel, Hélène Angel, Yves Angelo, Nicolas de Boiscuillé, Hélène Angel

Antérieurement en 2017
 

Malabar Princess

Télévision : 27 décembre 2017 à 20:55-22:30 sur France 4

film : comédie dramatique

Tom, en pension chez son grand-père montagnard (Jacques Villeret, brave gars du terroir), tente de retrouver sa maman disparue. Tout, dans cette histoire gentillette, est plombé par un excès de sentimentalisme poussif. Critique : Film de Gilles Legrand (France, 2004). Scénario : G. Legrand, Maire-Aude Murail. Image : Yves Angelo. Musique : René Aubry, Andrea Sedlackova. 90 mn. Avec Jacques Villeret, Jules-Angelo Bigarnet, Michèle Laroque, Claude Brasseur, Clovis Cornillac. Genre : plein air. Il y a longtemps, la montagne lui a pris sa maman. Elle a « disparu », et Tom, une dizaine d'années, ne peut s'y résoudre. Alors, en pension chez son grand-père Gaspard, au pied du mont Blanc, Tom fait tout pour la retrouver. Aux bêtises qu'il accumule s'ajoute un grand secret, en rapport avec le fameux Malabar Princess, avion crashé sur le mont Blanc dans les années 50. Cette histoire sentimentale et oxygénée, Papé alpestre et gamin perturbé et urbain (excellent Jules-Angelo Bigarnet), avec ses personnages secondaires attitrés, de la gentille institutrice au garagiste grognon (Claude Brasseur dans un numéro rural de vieux copain truculent), suit gentiment les sentiers balisés du mélo familial. Cécile Mury

Année : 2003

Antérieurement en 2017
 

Germinal

Télévision : 2 novembre 2017 à 01:20-03:55 sur Arte

film : drame

Monument de la littérature française, mis en scène par un monument du cinéma français (de papa). On croit à la sincérité de Claude Berri. On croit moins, hélas, à son talent épique et lyrique. - Critique : Film de Claude Berri (France, 1993). Scénario : C. Berri, Arlette Langmann, d'après Zola. Image : Yves Angelo. Musique : Jean-Louis Roques. 155 mn. Avec Renaud : Lantier. Gérard Depardieu : Maheu. Miou-Miou : la Maheude. Genre : petit Zola illustré. Il l'a dit et répété : dans une autre vie, Claude Berri aurait aimé être Etienne Lantier. A priori, c'est plutôt sympathique, un cinéaste qui ose dépenser cent soixante cinq millions de francs pour rappeler aux pauvres que les riches ne leur feront jamais de cadeau. Un type qui, en ces temps où la misère monte et l'indifférence à la misère aussi, rappelle que la classe ouvrière doit lutter, lutter encore et ne jamais cesser de lutter, afin que les lendemains qui chantent se pointent, enfin. A de brefs moments, on ressent, d'ailleurs, un petit frisson : notamment quand Berri filme la sortie des « jaunes », conspués par les grévistes. Frisson, oui. Embrasement, non. Parce qu'il manque au cinéaste les deux qualités essentielles pour réussir une épopée : le souffle et le lyrisme. En fait, tout se joue lorsque apparaît Bonnemort. Sous les traits du vieux mineur - soigneusement noircis par la maquilleuse -, on reconnaît vite le cher Jean Carmet. Et là, de deux choses l'une : si l'on oublie Carmet pour ne plus voir que Bonnemort, on accepte, alors, l'imagerie sagement efficace de Berri. Ou bien on ne voit que Carmet : Carmet déguisé en vieux mineur malade, plutôt bien déguisé, d'ailleurs, mais déguisé tout de même. Et dans ce cas, le film verse lentement, mais sûrement, dans l'artifice. Et dans l'académisme. Pierre Murat

Année : 1993

Antérieurement en 2017
 

Germinal

Télévision : 15 octobre 2017 à 20:55-23:30 sur Arte

film : drame

Monument de la littérature française, mis en scène par un monument du cinéma français (de papa). On croit à la sincérité de Claude Berri. On croit moins, hélas, à son talent épique et lyrique. - Critique : Film de Claude Berri (France, 1993). Scénario : C. Berri, Arlette Langmann, d'après Zola. Image : Yves Angelo. Musique : Jean-Louis Roques. 155 mn. Avec Renaud : Lantier. Gérard Depardieu : Maheu. Miou-Miou : la Maheude. Genre : petit Zola illustré. Il l'a dit et répété : dans une autre vie, Claude Berri aurait aimé être Etienne Lantier. A priori, c'est plutôt sympathique, un cinéaste qui ose dépenser cent soixante cinq millions de francs pour rappeler aux pauvres que les riches ne leur feront jamais de cadeau. Un type qui, en ces temps où la misère monte et l'indifférence à la misère aussi, rappelle que la classe ouvrière doit lutter, lutter encore et ne jamais cesser de lutter, afin que les lendemains qui chantent se pointent, enfin. A de brefs moments, on ressent, d'ailleurs, un petit frisson : notamment quand Berri filme la sortie des « jaunes », conspués par les grévistes. Frisson, oui. Embrasement, non. Parce qu'il manque au cinéaste les deux qualités essentielles pour réussir une épopée : le souffle et le lyrisme. En fait, tout se joue lorsque apparaît Bonnemort. Sous les traits du vieux mineur - soigneusement noircis par la maquilleuse -, on reconnaît vite le cher Jean Carmet. Et là, de deux choses l'une : si l'on oublie Carmet pour ne plus voir que Bonnemort, on accepte, alors, l'imagerie sagement efficace de Berri. Ou bien on ne voit que Carmet : Carmet déguisé en vieux mineur malade, plutôt bien déguisé, d'ailleurs, mais déguisé tout de même. Et dans ce cas, le film verse lentement, mais sûrement, dans l'artifice. Et dans l'académisme. Pierre Murat

Année : 1993

Antérieurement en 2017
 

Germinal

Télévision : 15 octobre 2017 à 20:55-23:25 sur Arte

film : drame

Monument de la littérature française, mis en scène par un monument du cinéma français (de papa). On croit à la sincérité de Claude Berri. On croit moins, hélas, à son talent épique et lyrique. - Critique : Film de Claude Berri (France, 1993). Scénario : C. Berri, Arlette Langmann, d'après Zola. Image : Yves Angelo. Musique : Jean-Louis Roques. 155 mn. Avec Renaud : Lantier. Gérard Depardieu : Maheu. Miou-Miou : la Maheude. Genre : petit Zola illustré. Il l'a dit et répété : dans une autre vie, Claude Berri aurait aimé être Etienne Lantier. A priori, c'est plutôt sympathique, un cinéaste qui ose dépenser cent soixante cinq millions de francs pour rappeler aux pauvres que les riches ne leur feront jamais de cadeau. Un type qui, en ces temps où la misère monte et l'indifférence à la misère aussi, rappelle que la classe ouvrière doit lutter, lutter encore et ne jamais cesser de lutter, afin que les lendemains qui chantent se pointent, enfin. A de brefs moments, on ressent, d'ailleurs, un petit frisson : notamment quand Berri filme la sortie des « jaunes », conspués par les grévistes. Frisson, oui. Embrasement, non. Parce qu'il manque au cinéaste les deux qualités essentielles pour réussir une épopée : le souffle et le lyrisme. En fait, tout se joue lorsque apparaît Bonnemort. Sous les traits du vieux mineur - soigneusement noircis par la maquilleuse -, on reconnaît vite le cher Jean Carmet. Et là, de deux choses l'une : si l'on oublie Carmet pour ne plus voir que Bonnemort, on accepte, alors, l'imagerie sagement efficace de Berri. Ou bien on ne voit que Carmet : Carmet déguisé en vieux mineur malade, plutôt bien déguisé, d'ailleurs, mais déguisé tout de même. Et dans ce cas, le film verse lentement, mais sûrement, dans l'artifice. Et dans l'académisme. Pierre Murat

Année : 1993