Télévision : 18 janvier 2023 à 21:00-22:30 sur France 5
magazine littéraire
Karine Tuil publie "Kaddish pour un amour", chez Gallimard. Adèle Van Reeth, elle, est invitée pour "Inconsolable", paru chez Gallimard. A leurs côtés, la philosophe Vinciane Despret présente "Les Morts à l'oeuvre", paru aux éditions La Découverte, et Amandine Dhée "Sortir au jour", publié à La Contre Allée.
Télévision : 30 août 2021 à 06:30-07:00 sur Arte
Magazine culturel
Comment adopter le point de vue de l'animal, en pensant comme lui, sans tomber dans l'anthropomorphisme ? Que valent nos notions de territoire et de conflit, dans le monde animal ? En quoi le vivant peut-il inspirer nos vies ? Éléments de réponses avec Vinciane Despret, philosophe des sciences et Jessica Serra, ethologue.
Année : 2020
Présenté par : Raphaël Enthoven
Télévision : 12 juillet 2021 à 01:25-02:55 sur France 4
Magazine littéraire
Marie-Monique Robin publie "La Fabrique des pandémies", chez La Découverte. Elle y explique comment la destruction des écosystèmes favorise la multiplication des zoonoses. Didier Van Cauwelaert évoque quant à lui "Le Pouvoir des animaux", qu'il publie chez Albin Michel. Et avec Christophe Bataille et Vinciane Despret.
Année : 2021
Avec : Marie-Monique Robin, Didier van, Christophe Bataille, Vinciane Despret
Présenté par : François Busnel
Télévision : 7 juillet 2021 à 20:50-22:20 sur France 5
Magazine littéraire
Marie-Monique Robin publie "La Fabrique des pandémies", chez La Découverte. Elle y explique comment la destruction des écosystèmes favorise la multiplication des zoonoses. Didier Van Cauwelaert évoque quant à lui "Le Pouvoir des animaux", qu'il publie chez Albin Michel. Et avec Christophe Bataille et Vinciane Despret.
Année : 2021
Avec : Marie-Monique Robin, Didier van, Christophe Bataille, Vinciane Despret
Présenté par : François Busnel
Télévision : 5 mai 2018 à 07:40-08:40 sur Arte
documentaire : sciences et technique
Au commencement étaient les aurochs. Puis vint le temps de la domestication. En régentant la vie sexuelle des bovins, l'être humain a pu améliorer l'espèce. Le XXe siècle, avec son agriculture industrielle, donne un coup d'accélérateur au phénomène, notamment grâce à l'insémination artificielle. Ainsi naissent un star-system et des maladies de la consanguinité. Au début des années 2000, une nouvelle étape est franchie avec le séquençage du génome d'une vache. Désormais, les éleveurs, guidés par des algorithmes, cherchent à acquérir le sperme du mâle génétiquement idéal pour leurs femelles. Capables de décrypter le génome des bovins, les scientifiques ont ensuite imaginé le modifier. C'est ainsi qu'en Argentine, vit Rosita, une vache porteuse de deux gènes de femmes censés reproduire les propriétés du lait maternel humain. Critique : Au commencement était l’aurochs, 2 mètres au garrot, des cornes à empaler nos ancêtres façon brochettes. Le jour où l’on s’aperçut que la femelle donnait un lait goûteux, l’animal fut mis au pas. Terminées, les joyeuses parties de pattes en l’air, sa vie sexuelle sera désormais régentée. Et c’est cela que retrace ce documentaire, aussi didactique que léché : le long processus de transformation, par la sélection des reproducteurs puis par la génétique, de l’antique aurochs en machine à pisser du lait. D’ordinaire, cette affaire de soumission d’un animal aux désirs des hommes et de manipulation du vivant — l’insémination artificielle permet aujourd’hui d’obtenir la génisse de ses rêves, sans cornes, à longs pis et petits sabots… — donne lieu à des pamphlets écœurés. Jean-Christophe Ribot pose plutôt un regard clinique sur l’histoire de la vache. Il confie à l’écrivain Jean-Christophe Bailly et à la philosophe Vinciane Despret le soin d’interroger cette conception du monde où « les animaux deviennent des espèces de machines à fabriquer d’autres machines ». A l’instar de Jocko Besné, super-reproducteur qui donna naissance à quatre cent mille femelles hyper productives dans une soixantaine de pays… sans jamais voir une vache de sa vie.
Année : 2016
Télévision : 7 avril 2018 à 22:20-23:20 sur Arte
documentaire : sciences et technique
Au commencement étaient les aurochs. Puis vint le temps de la domestication. En régentant la vie sexuelle des bovins, l'être humain a pu améliorer l'espèce. Le XXe siècle, avec son agriculture industrielle, donne un coup d'accélérateur au phénomène, notamment grâce à l'insémination artificielle. Ainsi naissent un star-system et des maladies de la consanguinité. Au début des années 2000, une nouvelle étape est franchie avec le séquençage du génome d'une vache. Désormais, les éleveurs, guidés par des algorithmes, cherchent à acquérir le sperme du mâle génétiquement idéal pour leurs femelles. Capables de décrypter le génome des bovins, les scientifiques ont ensuite imaginé le modifier. C'est ainsi qu'en Argentine, vit Rosita, une vache porteuse de deux gènes de femmes censés reproduire les propriétés du lait maternel humain. Critique : Au commencement était l'aurochs, 2 mètres au garrot, des cornes à empaler nos ancêtres façon brochettes. Le jour où l'on s'aperçut que la femelle donnait un lait fort goûtu, l'animal fut mis au pas. Terminées, les joyeuses parties de pattes en l'air, sa vie sexuelle sera désormais fermement régentée. Et c'est cela que retrace ce documentaire, aussi didactique que léché : le long processus de transformation, par la sélection des reproducteurs puis par la génétique, de l'antique aurochs en machine à pisser du lait. D'ordinaire, cette affaire de soumission totale d'un animal aux désirs des hommes et de manipulation du vivant — l'insémination artificielle permet aujourd'hui d'obtenir la génisse de ses rêves, sans cornes, à longs pis et petits sabots... — donne lieu à des pamphlets écoeurés. Jean-Christophe Ribot pose plutôt un regard clinique sur l'histoire de la vache. Il confie toutefois (trop succinctement à notre goût) à l'écrivain Jean-Christophe Bailly et à la philosophe Vinciane Despret le soin de prendre de la hauteur et d'interroger cette curieuse conception du monde où « les animaux deviennent des espèces de machines à fabriquer d'autres machines ». A l'instar de Jocko Besné, super-reproducteur qui donna naissance à quatre cent mille filles hyper productives dans une soixantaine de pays... sans jamais voir une vache de sa vie. — Marc Belpois
Année : 2016
Télévision : 7 avril 2018 à 22:20-23:15 sur Arte
documentaire : sciences et technique
Au commencement étaient les aurochs. Puis vint le temps de la domestication. En régentant la vie sexuelle des bovins, l'être humain a pu améliorer l'espèce. Le XXe siècle, avec son agriculture industrielle, donne un coup d'accélérateur au phénomène, notamment grâce à l'insémination artificielle. Ainsi naissent un star-system et des maladies de la consanguinité. Au début des années 2000, une nouvelle étape est franchie avec le séquençage du génome d'une vache. Désormais, les éleveurs, guidés par des algorithmes, cherchent à acquérir le sperme du mâle génétiquement idéal pour leurs femelles. Capables de décrypter le génome des bovins, les scientifiques ont ensuite imaginé le modifier. C'est ainsi qu'en Argentine, vit Rosita, une vache porteuse de deux gènes de femmes censés reproduire les propriétés du lait maternel humain. Critique : Au commencement était l'aurochs, 2 mètres au garrot, des cornes à empaler nos ancêtres façon brochettes. Le jour où l'on s'aperçut que la femelle donnait un lait fort goûtu, l'animal fut mis au pas. Terminées, les joyeuses parties de pattes en l'air, sa vie sexuelle sera désormais fermement régentée. Et c'est cela que retrace ce documentaire, aussi didactique que léché : le long processus de transformation, par la sélection des reproducteurs puis par la génétique, de l'antique aurochs en machine à pisser du lait. D'ordinaire, cette affaire de soumission totale d'un animal aux désirs des hommes et de manipulation du vivant — l'insémination artificielle permet aujourd'hui d'obtenir la génisse de ses rêves, sans cornes, à longs pis et petits sabots... — donne lieu à des pamphlets écoeurés. Jean-Christophe Ribot pose plutôt un regard clinique sur l'histoire de la vache. Il confie toutefois (trop succinctement à notre goût) à l'écrivain Jean-Christophe Bailly et à la philosophe Vinciane Despret le soin de prendre de la hauteur et d'interroger cette curieuse conception du monde où « les animaux deviennent des espèces de machines à fabriquer d'autres machines ». A l'instar de Jocko Besné, super-reproducteur qui donna naissance à quatre cent mille filles hyper productives dans une soixantaine de pays... sans jamais voir une vache de sa vie. — Marc Belpois
Année : 2016