Thierry Arbogast : passages TV

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Antérieurement en 2018
 

Babylon A D

Télévision : 21 mai 2018 à 23:25-01:20 sur W9

film de science-fiction

L’ex-enfant terrible du jeune cinéma français adapte l’écrivain mystico-punk, nouvel espoir de la littérature SF. Le thriller apocalyptique annoncé se révèle un honnête film d’action et d’anticipation taillé pour le box-office américain avec Vin Diesel dans le rôle d'un mercenaire sans merci. Critique : | Genre : action sans scénario. Kassovitz-Dantec. L'ex-enfant terrible du cinéma français adapte l'écrivain mystico-punk, ancien espoir de la littérature SF. Mais le thriller apocalyptique annoncé, « film de guérilla », selon Kasso, se révèle un honnête film d'action et d'anticipation taillé pour le box-office américain, où le réalisateur montre qu'il n'a pas perdu la main en matière d'action pure. Avec Vin Diesel et son éternel regard de bovidé dans le rôle de Toorop, mercenaire missionné pour escorter, de la Russie au Canada, l'innocente Aurora, messie blond auquel Mélanie Thierry prête ses traits parfaits. Pour protéger la belle de la bête, soeur Michelle Yeoh veille avec son kung-fu punitif. Côté scénario, en revanche, c'est la bérézina. Synthétisées en un peu plus de une heure trente, les six cents pages de Babylon Babies deviennent une tambouille millénariste indigeste. — Jérémie Couston

Année : 2008

Avec : Vin Diesel, Mélanie Thierry, Michelle Yeoh, Lambert Wilson, Gérard Depardieu, Charlotte Rampling, Mark Strong, Jérôme Le Banner, Atli Orvarsson, Eric Besnard, Joseph Simas, Maurice G Dantec, Paul Cross, Thierry Arbogast, Mathieu Kassovitz, Mathieu Kassovitz

Antérieurement en 2018
 

Astérix aux Jeux olympiques

Télévision : 10 mai 2018 à 21:00-23:15 sur TF1

film : comédie

Le Gaulois futé part en Grèce pour participer aux jeux Olympiques. Les mimiques et les élucubrations de Benoît Poelvoorde mises à part, il n'y a pas grand-chose à sauver dans cette superproduction qui ne manque pourtant de rien. Critique : | Genre : gauloiserie bêtasse. Le casting est si pharaonique qu'on préfère pointer les absents (tiens, il n'y a pas Jean Dujardin...). Ce spectacle est moins désopilant que le deuxième opus, signé Alain Chabat, le meilleur de la série. Avec l'appui d'Albert Uderzo, Langmann a voulu revenir à une adaptation plus fidèle. Fini, donc, le délire et les digressions de Jamel Debbouze. L'action est resserrée dans un stade olympique plutôt moche. Il devrait y avoir du sport, mais le rythme est plan-plan. Conforme à sa marionnette des Guignols, incapable donc de caricaturer ce qui l'est déjà, Alain Delon, alias César, n'est jamais drôle. Clovis Cornillac (Astérix) et Gérard Depardieu (Obélix) sont relégués au second plan. Reste l'incontrôlable Benoît Poelvoorde, qui, en Brutus, parvient à faire rire, moins grâce à ses répliques qu'à ses mimiques dignes de Tex Avery. Le film puise dans un patrimoine bien français (une chanson de Johnny...) ou convoque des sportifs (Zidane, Tony Parker...) encore plus bankables que les acteurs. On dirait un Noël de parvenus. — Jacmorix

Année : 2008

Avec : Frédéric Forestier, Thomas Langmann, Gérard Depardieu, Clovis Cornillac, Stéphane Rousseau, Benoît Poelvoorde, Alain Delon, Vanessa Hessler, Jean-Pierre Cassel, Bouli Lanners, Frédéric Talgorn, Alexandre Charlot, Franck Magnier, Thomas Langmann, Olivier Dazat, René Goscinny, Albert Uderzo, Aline Bonetto, Thierry Arbogast, Franck Dubosc, José Garcia, Sim, Adriana Karembeu, Michael Schumacher, Frédéric Forestier, Thomas Langmann, René Goscinny, Albert Uderzo, Aline Bonetto, Thierry Arbogast

Antérieurement en 2018
 

Babylon A D

Télévision : 29 avril 2018 à 21:00-22:50 sur W9

film de science-fiction

L’ex-enfant terrible du jeune cinéma français adapte l’écrivain mystico-punk, nouvel espoir de la littérature SF. Le thriller apocalyptique annoncé se révèle un honnête film d’action et d’anticipation taillé pour le box-office américain avec Vin Diesel dans le rôle d'un mercenaire sans merci. Critique : | Genre : action sans scénario. Kassovitz-Dantec. L'ex-enfant terrible du cinéma français adapte l'écrivain mystico-punk, ancien espoir de la littérature SF. Mais le thriller apocalyptique annoncé, « film de guérilla », selon Kasso, se révèle un honnête film d'action et d'anticipation taillé pour le box-office américain, où le réalisateur montre qu'il n'a pas perdu la main en matière d'action pure. Avec Vin Diesel et son éternel regard de bovidé dans le rôle de Toorop, mercenaire missionné pour escorter, de la Russie au Canada, l'innocente Aurora, messie blond auquel Mélanie Thierry prête ses traits parfaits. Pour protéger la belle de la bête, soeur Michelle Yeoh veille avec son kung-fu punitif. Côté scénario, en revanche, c'est la bérézina. Synthétisées en un peu plus de une heure trente, les six cents pages de Babylon Babies deviennent une tambouille millénariste indigeste. — Jérémie Couston

Année : 2008

Avec : Vin Diesel, Mélanie Thierry, Michelle Yeoh, Lambert Wilson, Gérard Depardieu, Charlotte Rampling, Mark Strong, Jérôme Le Banner, Atli Orvarsson, Eric Besnard, Joseph Simas, Maurice G Dantec, Paul Cross, Thierry Arbogast, Mathieu Kassovitz, Mathieu Kassovitz

Antérieurement en 2018
 

Ma saison préférée

Télévision : 31 janvier 2018 à 13:35-15:45 sur Arte

film : drame

Un homme qui se sait perdant. Sa sœur qui le découvre. Et leur mère qui meurt. Téchiné n'aime que les éclopés de la vie. Catherine Deneuve et Daniel Auteuil sont formidables. Critique : Film d'André Téchiné (France, 1993). Scénario : A. Téchiné et Pascal Bonitzer. Image : Thierry Arbogast. Musique : Philippe Sarde. 125 mn. Avec Catherine Deneuve : Emilie. Daniel Auteuil : Antoine. Marthe Villalonga : Berthe. Genre : âme soeur. La cinquantaine à l'horizon, un frère et sa grande soeur se retrouvent après quelques années de brouille autour du lit de leur mère mourante. Lui est spécialiste du cerveau, viscéralement solitaire et gentiment fêlé. Elle est notaire, mère de famille et au bord d'un gouffre qui ne dit pas son nom... Ma saison préférée est à André Téchiné ce que Love Streams est à Cassavetes : une sorte de comédie du remariage appliquée à la relation frère-soeur. Un comédie très fêlée, bien sûr, pour ne pas dire déchirante. Car si Antoine (Auteuil) « récupère » enfin son Emilie (Deneuve), depuis toujours admirée, mais longtemps « kidnappée » par la vie, c'est que cette dernière le rejoint contre toute attente du côté des perdants, des blessés. Leurs retrouvailles auront tout à la fois un goût de paradis retrouvé et de cendres, l'amour fusionnel d'antan, sans ombres ni taches, restant hors de portée. Jamais Téchiné n'a exprimé avec autant d'intensité le mélange d'attraction et de répulsion, de dégoût et de nostalgie que lui inspire la famille, anciens et enfants réunis. Mais s'il montre ici (presque) tous les âges de la vie, c'est pour mieux suggérer leur confusion et leur emmêlement : Antoine/Auteuil traîne son enfance comme une casserole, et Emilie/Deneuve ose enfin une crise d'adolescence, après celle de sa fille. Entre le deuil interminable des illusions et l'éternel retour des utopies juvéniles, Téchiné se garde bien de caractériser les différents cycles de la vie. Au contraire, son film défie superbement les saisons. Louis Guichard

Année : 1993

Antérieurement en 2018
 

Ma saison préférée

Télévision : 23 janvier 2018 à 13:35-15:50 sur Arte

film : drame

Un homme qui se sait perdant. Sa sœur qui le découvre. Et leur mère qui meurt. Téchiné n'aime que les éclopés de la vie. Catherine Deneuve et Daniel Auteuil sont formidables. Critique : Film d'André Téchiné (France, 1993). Scénario : A. Téchiné et Pascal Bonitzer. Image : Thierry Arbogast. Musique : Philippe Sarde. 125 mn. Avec Catherine Deneuve : Emilie. Daniel Auteuil : Antoine. Marthe Villalonga : Berthe. Genre : âme soeur. La cinquantaine à l'horizon, un frère et sa grande soeur se retrouvent après quelques années de brouille autour du lit de leur mère mourante. Lui est spécialiste du cerveau, viscéralement solitaire et gentiment fêlé. Elle est notaire, mère de famille et au bord d'un gouffre qui ne dit pas son nom... Ma saison préférée est à André Téchiné ce que Love Streams est à Cassavetes : une sorte de comédie du remariage appliquée à la relation frère-soeur. Un comédie très fêlée, bien sûr, pour ne pas dire déchirante. Car si Antoine (Auteuil) « récupère » enfin son Emilie (Deneuve), depuis toujours admirée, mais longtemps « kidnappée » par la vie, c'est que cette dernière le rejoint contre toute attente du côté des perdants, des blessés. Leurs retrouvailles auront tout à la fois un goût de paradis retrouvé et de cendres, l'amour fusionnel d'antan, sans ombres ni taches, restant hors de portée. Jamais Téchiné n'a exprimé avec autant d'intensité le mélange d'attraction et de répulsion, de dégoût et de nostalgie que lui inspire la famille, anciens et enfants réunis. Mais s'il montre ici (presque) tous les âges de la vie, c'est pour mieux suggérer leur confusion et leur emmêlement : Antoine/Auteuil traîne son enfance comme une casserole, et Emilie/Deneuve ose enfin une crise d'adolescence, après celle de sa fille. Entre le deuil interminable des illusions et l'éternel retour des utopies juvéniles, Téchiné se garde bien de caractériser les différents cycles de la vie. Au contraire, son film défie superbement les saisons. Louis Guichard

Année : 1993

Antérieurement en 2018
 

Ma saison préférée

Télévision : 8 janvier 2018 à 20:50-22:55 sur Arte

film : drame

Un homme qui se sait perdant. Sa sœur qui le découvre. Et leur mère qui meurt. Téchiné n'aime que les éclopés de la vie. Catherine Deneuve et Daniel Auteuil sont formidables. Critique : Film d'André Téchiné (France, 1993). Scénario : A. Téchiné et Pascal Bonitzer. Image : Thierry Arbogast. Musique : Philippe Sarde. 125 mn. Avec Catherine Deneuve : Emilie. Daniel Auteuil : Antoine. Marthe Villalonga : Berthe. Genre : âme soeur. La cinquantaine à l'horizon, un frère et sa grande soeur se retrouvent après quelques années de brouille autour du lit de leur mère mourante. Lui est spécialiste du cerveau, viscéralement solitaire et gentiment fêlé. Elle est notaire, mère de famille et au bord d'un gouffre qui ne dit pas son nom... Ma saison préférée est à André Téchiné ce que Love Streams est à Cassavetes : une sorte de comédie du remariage appliquée à la relation frère-soeur. Un comédie très fêlée, bien sûr, pour ne pas dire déchirante. Car si Antoine (Auteuil) « récupère » enfin son Emilie (Deneuve), depuis toujours admirée, mais longtemps « kidnappée » par la vie, c'est que cette dernière le rejoint contre toute attente du côté des perdants, des blessés. Leurs retrouvailles auront tout à la fois un goût de paradis retrouvé et de cendres, l'amour fusionnel d'antan, sans ombres ni taches, restant hors de portée. Jamais Téchiné n'a exprimé avec autant d'intensité le mélange d'attraction et de répulsion, de dégoût et de nostalgie que lui inspire la famille, anciens et enfants réunis. Mais s'il montre ici (presque) tous les âges de la vie, c'est pour mieux suggérer leur confusion et leur emmêlement : Antoine/Auteuil traîne son enfance comme une casserole, et Emilie/Deneuve ose enfin une crise d'adolescence, après celle de sa fille. Entre le deuil interminable des illusions et l'éternel retour des utopies juvéniles, Téchiné se garde bien de caractériser les différents cycles de la vie. Au contraire, son film défie superbement les saisons. Louis Guichard

Année : 1993