Soleil Vert :

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Antérieurement en 2022
 

Soleil vert

Télévision : 19 octobre 2022 à 13:35-15:15 sur Arte

film de science-fiction

New York, en 2022. Les ressources naturelles sont épuisées. La situation est d'autant plus dramatique que la surpopulation, dans la métropole, est impossible à endiguer. Partout règnent la misère et la famine. Les quarante millions de New-Yorkais subsistent principalement grâce aux nourritures synthétiques... - Critique : Œuvre majeure sur le réchauffement climatique, sorti aux États-Unis en 1973 alors que l’écologie montait en puissance, Soleil vert raconte l’enquête d’un policier sur l’assassinat d’un notable, conclue par une révélation aussi fracassante que celle de La Planète des singes de 1968 — autre monument de la SF avec Charlton Heston. Richard Fleischer déroule un fil rouge de film noir dans un décor d’anticipation : New York, nimbé d’un smog jaunâtre, en… 2022 ! Comme dans ses polars de série B des années 1940-1950, le cinéaste combine intrigue solide et violence sèche — des émeutiers sont évacués à la pelleteuse. Les idées visionnaires foisonnent. Si la borne d’arcade tient du rétrofuturisme — il s’agit de Computer Space (1971), l’un des premiers jeux vidéo de l’histoire —, le cinéaste préfigure, mine de rien, la réalité virtuelle. Ainsi de ce vieil homme (bouleversant Edward G. Robinson, dans son dernier rôle) allongé dans un dôme projetant les images du monde d’avant (fleurs, forêts, poissons), désormais disparu. Ou qui déguste, la larme à l’œil, une pièce de bœuf, version carnée de la madeleine de Proust. Un demi-siècle plus tard, le réchauffement s’accentue, la biodiversité s’effondre. Tant que les multinationales et les gouvernements n’auront pas compris la nécessité de dévier la trajectoire de l’humanité, le soleil vert brillera à l’horizon.

Année : 1973

De : Joe Canutt, Richard Fleischer

Avec : Charlton Heston, Connors Chuck, Edward G, Joseph Cotten, Leonard Stone, Lincoln Kilpatrick, Mike Henry, Paula Kelly, Peters Brock, Roy Jenson, Stephen Young, Taylor-Young Leigh

Antérieurement en 2022
 

Soleil vert et alerte rouge : quand Hollywood ...

Télévision : 10 octobre 2022 à 22:30-23:25 sur Arte

documentaire cinéma

Une Amérique plongée dans une canicule permanente, où la nature a disparu. Pour la plupart sans domicile, ses habitants ne reçoivent pour s'alimenter que d'étranges biscuits à base de plancton, distribués par une entreprise tentaculaire. En 1973, "Soleil vert", de Richard Fleischer, avec Charlton Heston, est le premier film de science-fiction à évoquer non pas une menace exogène (attaque de martiens, guerre nucléaire), mais une catastrophe climatique et environnementale dont l'homme est le seul responsable. Vrai plaidoyer écologique, le film a également marqué les débuts de la conscience environnementale sur le grand écran et fait à sa suite de nombreux émules à Hollywood. Mais depuis cinquante ans, quelles leçons en ont été tirées ?

Antérieurement en 2022
 

Soleil vert

Télévision : 10 octobre 2022 à 20:50-22:30 sur Arte

film de science-fiction

New York, en 2022. Les ressources naturelles sont épuisées. La situation est d'autant plus dramatique que la surpopulation, dans la métropole, est impossible à endiguer. Partout règnent la misère et la famine. Les quarante millions de New-Yorkais subsistent principalement grâce aux nourritures synthétiques... - Critique : Œuvre majeure sur le réchauffement climatique, sorti aux États-Unis en 1973 alors que l’écologie montait en puissance, Soleil vert raconte l’enquête d’un policier sur l’assassinat d’un notable, conclue par une révélation aussi fracassante que celle de La Planète des singes de 1968 — autre monument de la SF avec Charlton Heston. Le cinéaste déroule un fil rouge de film noir dans un décor d’anticipation : New York en 2022, nimbé d’un smog jaunâtre. Comme dans ses polars de série B des années 1940-1950, il combine intrigue solide et violence sèche — des émeutiers évacués à la pelleteuse. Les idées visionnaires foisonnent. Si la borne d’arcade tient du rétrofuturisme — il s’agit de Computer Space (1971), l’un des premiers jeux vidéo de l’histoire —, le cinéaste préfigure, mine de rien, la réalité virtuelle. Ainsi de ce vieil homme (bouleversant Edward G. Robinson, dans son dernier rôle) allongé dans un dôme projetant les images du monde d’avant (fleurs, forêts, poissons), désormais disparu. Ou qui déguste, la larme à l’œil, une pièce de bœuf, version carnée de la madeleine de Proust. Un demi-siècle plus tard, le réchauffement s’accentue, la biodiversité s’effondre. Tant que les multinationales et les gouvernements n’auront pas compris la nécessité de dévier la trajectoire de l’humanité, le soleil vert brillera à l’horizon.

Année : 1973

De : Joe Canutt, Richard Fleischer

Avec : Charlton Heston, Connors Chuck, Edward G, Joseph Cotten, Leonard Stone, Lincoln Kilpatrick, Mike Henry, Paula Kelly, Peters Brock, Roy Jenson, Stephen Young, Taylor-Young Leigh

Antérieurement en 2018
 

Arès

Télévision : 8 juin 2018 à 00:10-01:25 sur Canal +

film : fantastique

En 2035, Paris se passionne pour des combats où s'affrontent des lutteurs dopés jusqu'à l'os… Film de genre « à l'américaine », qui évoque l'ambiance de Soleil vert, de Richard Fleischer. Efficace et brillant. Critique : Le réalisateur et son équipe ont l’intelligence de miser sur l’ambiance et non sur la technologie : des tentes de sans-abri un peu partout, une lumière poisseuse, des panneaux publicitaires géants sur la tour Eiffel, et nous voilà dans le Paris de 2035, d’autant plus effrayant que vraisemblable… Les combats télévisés entre monstres bodybuildés sont devenus la distraction favorite des dix millions de chômeurs, et comme toutes les drogues ont été légalisées, les laboratoires pharmaceutiques ont remplacé un Etat défaillant. Un produit toxique porté par un champion spectaculaire assure une pub et des ventes monstrueuses. Après avoir (secrètement) fait mourir plus de trois cents cobayes, un groupe a trouvé le « patient zéro » : le seul à pouvoir résister à la substance qu’il a inventée. Pour sauver sa sœur, Arès, combattant déchu devenu flic, accepte de remonter sur le ring, au péril de sa vie… On ne sait pas faire ce genre de films en France, dit-on. Mais si ! A condition d’avoir la passion du film de genre, le sens du rythme et une véritable habileté pour mêler stéréotypes et petits cailloux cinéphiliques… D’ailleurs, sous l’apparence d’un polar moderne et violent se cache un bon vieux mélo, avec ses personnages caractéristiques : le héros faussement salaud, les deux sœurs orphelines et le super traître. Sans oublier quelques seconds rôles comme on savait les écrire, jadis, remis au goût du jour : la flic androgyne et sexy (Hélène Fillières), le travelo généreux qui court après des « mercis » qu’on lui refuse (Micha Lescot)… C’est fait aux petits oignons.

Année : 2016

Avec : Jean-Patrick Benes, Ola Rapace, Eva Lallier, Hélène Fillières, Micha Lescot, Thierry Hancisse, Ruth Vega Fernandez, Louis-Do de Lencquesaing, Elina Solomon, Alexandra Cortes, Jean-Patrick Benes, Allan Mauduit

Antérieurement en 2018
 

Arès

Télévision : 11 mars 2018 à 01:35-02:55 sur Canal +

film : fantastique

En 2035, Paris se passionne pour des combats où s'affrontent des lutteurs dopés jusqu'à l'os… Film de genre « à l'américaine », qui évoque l'ambiance de Soleil vert, de Richard Fleischer. Efficace et brillant. Critique : Le réalisateur et son équipe ont l'intelligence de miser sur l'ambiance et non sur la technologie : des tentes de sans-abris un peu partout, une lumière poisseuse, des panneaux publicitaires géants sur la tour Eiffel, et nous voilà dans le Paris de 2035, d'autant plus effrayant que vraisemblable, proche du New York décrit par Richard Fleischer dans Soleil vert... Les combats télévisés entre monstres bodybuildés sont devenus la distraction favorite des dix millions de chômeurs, et comme toutes les drogues ont été légalisées, les laboratoires pharmaceutiques ont remplacé un Etat défaillant. Un produit toxique porté par un champion spectaculaire assure une pub et des ventes monstrueuses. Après avoir (secrètement) fait mourir plus de trois cents cobayes, un groupe a trouvé le « patient zéro » : le seul à pouvoir résister à la substance qu'il a inventée. Pour sauver sa soeur, Arès, combattant déchu devenu flic, accepte de remonter sur le ring, au risque de sa vie... On ne sait pas faire ce genre de films en France, dit-on. Mais si ! A condition d'avoir la passion du film de genre, le sens du rythme et une vraie habileté à mêler stéréotypes et petits cailloux cinéphiliques (Arès se nomme Kowalski, comme Marlon Brando dans Un tramway nommé Désir, Clint Eastwood dans Gran Torino et un des personnages de Blade Runner)... D'ailleurs, sous l'apparence d'un polar moderne et violent se cache un beau vieux mélo, avec ses personnages caractéristiques : le héros faussement salaud, les deux soeurs orphelines et le super traître. Sans oublier quelques seconds rôles comme on savait les écrire, jadis, remis au goût du jour : la flic androgyne et sexy (Hélène Fillières), le travelo généreux qui court après des « mercis » qu'on lui refuse (Micha Lescot)... C'est fait aux petits oignons. — Pierre Murat

Année : 2016

Antérieurement en 2018
 

Arès

Télévision : 11 mars 2018 à 01:30-02:50 sur Canal +

film : fantastique

En 2035, Paris se passionne pour des combats où s'affrontent des lutteurs dopés jusqu'à l'os… Film de genre « à l'américaine », qui évoque l'ambiance de Soleil vert, de Richard Fleischer. Efficace et brillant. Critique : Le réalisateur et son équipe ont l'intelligence de miser sur l'ambiance et non sur la technologie : des tentes de sans-abris un peu partout, une lumière poisseuse, des panneaux publicitaires géants sur la tour Eiffel, et nous voilà dans le Paris de 2035, d'autant plus effrayant que vraisemblable, proche du New York décrit par Richard Fleischer dans Soleil vert... Les combats télévisés entre monstres bodybuildés sont devenus la distraction favorite des dix millions de chômeurs, et comme toutes les drogues ont été légalisées, les laboratoires pharmaceutiques ont remplacé un Etat défaillant. Un produit toxique porté par un champion spectaculaire assure une pub et des ventes monstrueuses. Après avoir (secrètement) fait mourir plus de trois cents cobayes, un groupe a trouvé le « patient zéro » : le seul à pouvoir résister à la substance qu'il a inventée. Pour sauver sa soeur, Arès, combattant déchu devenu flic, accepte de remonter sur le ring, au risque de sa vie... On ne sait pas faire ce genre de films en France, dit-on. Mais si ! A condition d'avoir la passion du film de genre, le sens du rythme et une vraie habileté à mêler stéréotypes et petits cailloux cinéphiliques (Arès se nomme Kowalski, comme Marlon Brando dans Un tramway nommé Désir, Clint Eastwood dans Gran Torino et un des personnages de Blade Runner)... D'ailleurs, sous l'apparence d'un polar moderne et violent se cache un beau vieux mélo, avec ses personnages caractéristiques : le héros faussement salaud, les deux soeurs orphelines et le super traître. Sans oublier quelques seconds rôles comme on savait les écrire, jadis, remis au goût du jour : la flic androgyne et sexy (Hélène Fillières), le travelo généreux qui court après des « mercis » qu'on lui refuse (Micha Lescot)... C'est fait aux petits oignons. — Pierre Murat

Année : 2016

Antérieurement en 2018
 

Arès

Télévision : 19 février 2018 à 01:10-02:25 sur Canal +

film : fantastique

En 2035, Paris se passionne pour des combats où s'affrontent des lutteurs dopés jusqu'à l'os… Film de genre « à l'américaine », qui évoque l'ambiance de Soleil vert, de Richard Fleischer. Efficace et brillant. Critique : Le réalisateur et son équipe ont l'intelligence de miser sur l'ambiance et non sur la technologie : des tentes de sans-abris un peu partout, une lumière poisseuse, des panneaux publicitaires géants sur la tour Eiffel, et nous voilà dans le Paris de 2035, d'autant plus effrayant que vraisemblable, proche du New York décrit par Richard Fleischer dans Soleil vert... Les combats télévisés entre monstres bodybuildés sont devenus la distraction favorite des dix millions de chômeurs, et comme toutes les drogues ont été légalisées, les laboratoires pharmaceutiques ont remplacé un Etat défaillant. Un produit toxique porté par un champion spectaculaire assure une pub et des ventes monstrueuses. Après avoir (secrètement) fait mourir plus de trois cents cobayes, un groupe a trouvé le « patient zéro » : le seul à pouvoir résister à la substance qu'il a inventée. Pour sauver sa soeur, Arès, combattant déchu devenu flic, accepte de remonter sur le ring, au risque de sa vie... On ne sait pas faire ce genre de films en France, dit-on. Mais si ! A condition d'avoir la passion du film de genre, le sens du rythme et une vraie habileté à mêler stéréotypes et petits cailloux cinéphiliques (Arès se nomme Kowalski, comme Marlon Brando dans Un tramway nommé Désir, Clint Eastwood dans Gran Torino et un des personnages de Blade Runner)... D'ailleurs, sous l'apparence d'un polar moderne et violent se cache un beau vieux mélo, avec ses personnages caractéristiques : le héros faussement salaud, les deux soeurs orphelines et le super traître. Sans oublier quelques seconds rôles comme on savait les écrire, jadis, remis au goût du jour : la flic androgyne et sexy (Hélène Fillières), le travelo généreux qui court après des « mercis » qu'on lui refuse (Micha Lescot)... C'est fait aux petits oignons. — Pierre Murat

Année : 2016

Antérieurement en 2018
 

Arès

Télévision : 28 janvier 2018 à 00:15-01:30 sur Canal +

film : fantastique

En 2035, Paris se passionne pour des combats où s'affrontent des lutteurs dopés jusqu'à l'os… Film de genre « à l'américaine », qui évoque l'ambiance de Soleil vert, de Richard Fleischer. Efficace et brillant. Critique : Le réalisateur et son équipe ont l'intelligence de miser sur l'ambiance et non sur la technologie : des tentes de sans-abris un peu partout, une lumière poisseuse, des panneaux publicitaires géants sur la tour Eiffel, et nous voilà dans le Paris de 2035, d'autant plus effrayant que vraisemblable, proche du New York décrit par Richard Fleischer dans Soleil vert... Les combats télévisés entre monstres bodybuildés sont devenus la distraction favorite des dix millions de chômeurs, et comme toutes les drogues ont été légalisées, les laboratoires pharmaceutiques ont remplacé un Etat défaillant. Un produit toxique porté par un champion spectaculaire assure une pub et des ventes monstrueuses. Après avoir (secrètement) fait mourir plus de trois cents cobayes, un groupe a trouvé le « patient zéro » : le seul à pouvoir résister à la substance qu'il a inventée. Pour sauver sa soeur, Arès, combattant déchu devenu flic, accepte de remonter sur le ring, au risque de sa vie... On ne sait pas faire ce genre de films en France, dit-on. Mais si ! A condition d'avoir la passion du film de genre, le sens du rythme et une vraie habileté à mêler stéréotypes et petits cailloux cinéphiliques (Arès se nomme Kowalski, comme Marlon Brando dans Un tramway nommé Désir, Clint Eastwood dans Gran Torino et un des personnages de Blade Runner)... D'ailleurs, sous l'apparence d'un polar moderne et violent se cache un beau vieux mélo, avec ses personnages caractéristiques : le héros faussement salaud, les deux soeurs orphelines et le super traître. Sans oublier quelques seconds rôles comme on savait les écrire, jadis, remis au goût du jour : la flic androgyne et sexy (Hélène Fillières), le travelo généreux qui court après des « mercis » qu'on lui refuse (Micha Lescot)... C'est fait aux petits oignons. — Pierre Murat

Année : 2016