Seuil :

Créez gratuitement votre compte Evernext pour être averti de toutes les actualités de Seuil.

Créer mon compte

Lundi dernier
 

LCP le mag

Télévision : 25 mars à 14:30-15:00 sur La Chaîne Parlementaire

magazine politique

Jeux olympiques : champions à tout prix. 100 ans après les derniers Jeux olympiques d'été en France, les sportifs ont rendez-vous à Paris. Et pourtant rares sont les athlètes olympiques qui vivent de leur sport. Aux Jeux olympiques de Rio en 2016, 40% d'entre eux vivaient sous le seuil de pauvreté. Alors la France a pris un engagement : pas un seul athlète de la délégation française sous le seuil de pauvreté.

Vendredi dernier
 

Indiana Jones et le cadran de la destinée

Télévision : 22 mars à 13:21-15:49 sur Canal +

film d'aventures

Au moment de prendre sa retraite universitaire pour des raisons politiques, le célèbre professeur Indiana Jones reçoit la visite de sa filleule, Helena Shaw. Celle-ci est à la recherche du fameux cadran d'Archimède que son père a remis à Jones et qu'elle parvient à lui subtiliser avant de s'enfuir. Plus de 25 ans après avoir empêché Jürgen Voller, un nazi, de s'en emparer, Indiana Jones doit se résoudre à se lancer à la poursuite de sa filleule et du cadran pour éviter qu'il ne tombe entre de mauvaises mains. Mais Jürgen Voller ne l'entend pas de cette oreille, lui qui espère remonter le temps afin de changer le destin du monde... - Critique : On l’attendait, et on le redoutait. Dans quel état allait-on retrouver notre archéologue préféré, après un quatrième volet calamiteux en 2008 (Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal) et un changement de réalisateur (James Mangold remplace cette fois Steven Spielberg aux commandes de la saga) ? Comment Harrison Ford, désormais octogénaire, allait-il pouvoir porter l’écrasant fardeau de son personnage fétiche ? La réponse repose sur un excitant paradoxe : le héros de notre enfance accepte à la fois de vieillir… et de rajeunir. Le temps d’un enthousiasmant prologue situé en 1944 dans un château truffé de nazis, Indy nous est en effet rendu dans toute sa gloire d’antan, coriace et sexy, période Aventuriers de l’Arche perdue. À le voir échapper à mille morts, sauter d’une voiture à un side-car, puis dans un train en marche, se débrouiller pour vaincre un bataillon entier à lui tout seul (sans rien perdre de son charme désinvolte) tout en dérobant le mystérieux « cadran » du titre aux larbins de Hitler, on a l’impression de découvrir un excellent épisode inédit, retrouvé au fond d’un placard. Même rythme, même humour, même univers façon BD ligne claire. Cette « reconstitution » du jeune Harrison Ford, grâce à une technologie numérique spectaculaire et à peine perceptible (un soupçon de patine façon jeu vidéo empêche d’y croire tout à fait), n’est que le premier cadeau que nous réserve cette généreuse aventure, très fidèle à l’esprit de la saga originelle, avec un supplément de connivence affectueuse et un brin de dérision mélancolique. Où l’on retrouve, en 1969, un professeur Jones nettement moins fringant, vieil ours désormais au seuil de la retraite. Et voilà que dans la vie du héros ronchon débarque soudain sa filleule Helena (Phoebe Waller-Bridge, malicieuse à souhait). Elle cherche le fameux cadran, inventé dans l’Antiquité par Archimède. Objet de toutes les convoitises, cet instrument permet de revisiter le passé. Et donc de le faire dérailler. C’est en tout cas le rêve de l’infâme scientifique nazi Jürgen Voller (Mads Mikkelsen, le parfait superméchant) : changer le cours de la Seconde Guerre mondiale… De courses-poursuites mémorables en multiples clins d’œil aux films précédents, Harrison Ford porte toujours aussi bien le chapeau, et le mythe prend un grand coup de fouet.

Année : 2023

Avec : Allen Karen, Antonio Banderas, Boyd Holbrook, Ethann Bergua-Isidore, Harrison Ford, John Rhys-Davies, Mads Mikkelsen, Olivier Richters, Phoebe Waller-Bridge, Shaunette Renée, Thomas Kretschmann, Toby Jones

Récemment en mars
 

La grande librairie

Télévision : 20 mars à 21:05-22:38 sur France 5

magazine littéraire

Augustin Trapenard reçoit Jean-Paul Dubois pour "L'Origine des larmes, paru aux éditions de L'Olivier, Lydie Salvayre pour "Depuis toujours nous aimons les dimanches", publié au Seuil, Maxime Rovere pour "Le Livre de l'amour infini", édité chez Flammarion, et Gaëlle Josse pour "A quoi songent-ils, ceux que le sommeil fuit ?", paru aux éditions Noir sur Blanc.

Récemment en mars
 

Fruits amers : L'exploitation des saisonniers ...

Télévision : 19 mars à 22:40-00:10 sur Arte

documentaire société

La grande distribution cherche sans cesse à rogner sur les prix des fournisseurs, dont ceux des fruits et légumes. Si le fonctionnement du marché profite largement aux grands groupes, notamment aux géants de l'agroalimentaire, il paupérise une grande part des agriculteurs, qui manifestent aujourd'hui leur colère de l'Allemagne à l'Italie en passant par la France, pays où 20% d'entre eux vivent sous le seuil de pauvreté. Le constat a été largement dénoncé en début d'année 2024, mais ceux sur qui repose la survie du système, au prix d'une exploitation massive, restent la plupart du temps invisibles : des saisonniers, hommes et femmes, migrants sans papiers dans leur grande majorité. Employés le plus souvent illégalement, payés en dessous des minimums horaires, ils louent leurs bras de récolte en récolte.

Récemment en mars
 

A mon seul désir

Télévision : 17 mars à 02:45-04:40 sur Canal +

film : drame

Pour améliorer sa situation financière, Aurore, une jeune caissière, décide de passer la porte d'un club de strip-tease. Sur place, elle découvre un monde de strass et de paillettes aux côtés de Mia et d'autres jeunes femmes plus expérimentées. Très vite, l'appât du gain l'amène à vouloir en découvrir plus sur les coulisses de son nouveau métier. L'argent facile s'amasse à tel point qu'Aurore parvient à gagner une année de loyer en quelques semaines. Elle prend goût à sa nouvelle vie et, comme certaines de ses collègues, commence à voir des clients en dehors du travail. Mais cette prise de risque a un coût et elle va vite le découvrir... - Critique : À l’heure de la « porn culture », s’intéresser à un club de strip-tease peut sembler désuet. La réalisatrice le sait, et le fait qu’elle l’assume est à mettre à son crédit. Célébrer non la jouissance mais le désir et sa mise en scène, tel est l’enjeu du film. Deux jeunes femmes aiguillonnent l’histoire. L’une est Aurore (Louise Chevillotte), étudiante jusque-là studieuse, qui, par curiosité, franchit un jour le seuil d’un club. D’abord pour voir, comme simple spectatrice, avant de proposer ses services sur la mini-scène. L’autre, c’est Mia (Zita Hanrot), apprentie comédienne, qui travaille déjà sur place en attendant mieux. Le film décrit d’abord les soirées dans le club, les différents numéros, entre pole dance, solo et mini-show à plusieurs, où les filles jouent volontiers avec les fantasmes stéréotypés, non loin du new burlesque. La caméra s’immisce aussi dans les coulisses, pour capter la vie de ce groupe semblable à une troupe de théâtre ou de music-hall. Se dessinent des portrait de femmes, menues ou girondes, de tous âges, d’horizons divers. Un cocon tendre et vivant, où la sororité trouve tout son sens. Entrain, gaieté, sensualité dominent le film. Sans candeur — quelques moments glauques témoignent bien des risques encourus. Mais ce qui prime, c’est le pouvoir de la séduction et de l’exhibitionnisme, la puissance d’émancipation de ces femmes. La réalisatrice ne juge pas, se tient au-dessus de la morale, en s’éparpillant peut-être un peu, en se perdant dans le général. À mon seul désir est beaucoup plus troublant lorsque le film se recentre sur Aurore et Mia et sur leur attirance réciproque. Qui bascule vers une liaison. Dès lors, le jeu devient plus torride, avec des scènes érotiques aussi réussies que réfléchies. Le désir qui circule, entre les personnages, entre les actrices et la réalisatrice, tout cela transparaît de manière frémissante à l’écran. Impossible ici de ne pas saluer les performances de Zita Hanrot et Louise Chevillotte, toutes deux formidables, palpitantes en effeuilleuses comme en amoureuses. Rien que pour elles, leur audace et leur liberté, le film mérite d’être vu.

Année : 2022

Avec : Casablanc Pedro, Fuhrer Céline, Laure Giappiconi, Louise Chevillotte, Melvil Poupaud, Romy Alizée, Sieme Miladi, Sipan Mouradian, Thimotée Robart, Tokou Bogui, Yuliya Abiss, Zita Hanrot

Récemment en mars
 

LCP le mag

Télévision : 15 mars à 16:01-16:27 sur La Chaîne Parlementaire

magazine politique

Jeux olympiques : champions à tout prix. 100 ans après les derniers Jeux olympiques d'été en France, les sportifs ont rendez-vous à Paris. Et pourtant rares sont les athlètes olympiques qui vivent de leur sport. Aux Jeux olympiques de Rio en 2016, 40% d'entre eux vivaient sous le seuil de pauvreté. Alors la France a pris un engagement : pas un seul athlète de la délégation française sous le seuil de pauvreté.

Récemment en mars
 

LCP le mag

Télévision : 15 mars à 16:00-16:30 sur La Chaîne Parlementaire

magazine politique

Jeux olympiques : champions à tout prix. 100 après les derniers Jeux olympiques d'été en France, les sportifs ont rendez-vous à Paris. Et pourtant rares sont les athlètes olympiques qui vivent de leur sport. Aux Jeux olympiques de Rio en 2016, 40% d'entre eux vivaient sous le seuil de pauvreté. Alors la France a pris un engagement : pas un seul athlète de la délégation française sous le seuil de pauvreté.

Récemment en mars
 

Indiana Jones et le cadran de la destinée

Télévision : 13 mars à 13:27-15:56 sur Canal +

film d'aventures

Au moment de prendre sa retraite universitaire pour des raisons politiques, le célèbre professeur Indiana Jones reçoit la visite de sa filleule, Helena Shaw. Celle-ci est à la recherche du fameux cadran d'Archimède que son père a remis à Jones et qu'elle parvient à lui subtiliser avant de s'enfuir. Plus de 25 ans après avoir empêché Jürgen Voller, un nazi, de s'en emparer, Indiana Jones doit se résoudre à se lancer à la poursuite de sa filleule et du cadran pour éviter qu'il ne tombe entre de mauvaises mains. Mais Jürgen Voller ne l'entend pas de cette oreille, lui qui espère remonter le temps afin de changer le destin du monde... - Critique : On l’attendait, et on le redoutait. Dans quel état allait-on retrouver notre archéologue préféré, après un quatrième volet calamiteux en 2008 (Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal) et un changement de réalisateur (James Mangold remplace cette fois Steven Spielberg aux commandes de la saga) ? Comment Harrison Ford, désormais octogénaire, allait-il pouvoir porter l’écrasant fardeau de son personnage fétiche ? La réponse repose sur un excitant paradoxe : le héros de notre enfance accepte à la fois de vieillir… et de rajeunir. Le temps d’un enthousiasmant prologue situé en 1944 dans un château truffé de nazis, Indy nous est en effet rendu dans toute sa gloire d’antan, coriace et sexy, période Aventuriers de l’Arche perdue. À le voir échapper à mille morts, sauter d’une voiture à un side-car, puis dans un train en marche, se débrouiller pour vaincre un bataillon entier à lui tout seul (sans rien perdre de son charme désinvolte) tout en dérobant le mystérieux « cadran » du titre aux larbins de Hitler, on a l’impression de découvrir un excellent épisode inédit, retrouvé au fond d’un placard. Même rythme, même humour, même univers façon BD ligne claire. Cette « reconstitution » du jeune Harrison Ford, grâce à une technologie numérique spectaculaire et à peine perceptible (un soupçon de patine façon jeu vidéo empêche d’y croire tout à fait), n’est que le premier cadeau que nous réserve cette généreuse aventure, très fidèle à l’esprit de la saga originelle, avec un supplément de connivence affectueuse et un brin de dérision mélancolique. Où l’on retrouve, en 1969, un professeur Jones nettement moins fringant, vieil ours désormais au seuil de la retraite. Et voilà que dans la vie du héros ronchon débarque soudain sa filleule Helena (Phoebe Waller-Bridge, malicieuse à souhait). Elle cherche le fameux cadran, inventé dans l’Antiquité par Archimède. Objet de toutes les convoitises, cet instrument permet de revisiter le passé. Et donc de le faire dérailler. C’est en tout cas le rêve de l’infâme scientifique nazi Jürgen Voller (Mads Mikkelsen, le parfait superméchant) : changer le cours de la Seconde Guerre mondiale… De courses-poursuites mémorables en multiples clins d’œil aux films précédents, Harrison Ford porte toujours aussi bien le chapeau, et le mythe prend un grand coup de fouet.

Année : 2023

Avec : Allen Karen, Antonio Banderas, Boyd Holbrook, Ethann Bergua-Isidore, Harrison Ford, John Rhys-Davies, Mads Mikkelsen, Olivier Richters, Phoebe Waller-Bridge, Shaunette Renée, Thomas Kretschmann, Toby Jones

Récemment en février
 

Au prix du sang

Netflix : 28 février

Au seuil de la mort, Manolo se confie à son fils, toujours hanté par une mystérieuse Hongroise, Ildiko, dont il est tombé amoureux en pleine guerre civile espagnole. Mais celle-ci le rejette et se lie à l'un des chefs des brigades internationales, Oriol. Manolo, fou de jalousie, s'engage sur les chemins de la trahison...

De : Roland Joffé

Avec : Charlie Cox, Dougray Scott, Wes Bentley, Rodrigo Santoro, Jordi Mollà, Derek Jacobi, Ana Torrent

Récemment en février
 

Beyond The Sky

Prime Video : 12 février

Témoin à l'âge de 7 ans d'une violente dispute entre ses parents, Chris Norton n'a jamais voulu reconnaître la version du père : sa mère aurait été enlevée par des extraterrestres sur le seuil de sa maison. Pour Chris, il s'agit d'une affabulation destinée à masquer une banale réalité : la fuite du domicile conjugal. Devenu adulte, Chris se rend à une convention des ovnis au Nouveau-Mexique, bien décidé à débusquer les impostures et les phénomènes psychologiques de faux-souvenirs. Mais sa rencontre avec Emily, une jeune artiste locale qui sculpte des « dreamcatchers », va ébranler son attitude de non-croyant.

De : Fulvio Sestito

Avec : Ryan Carnes, Jordan Danger, Don Stark, Dee Wallace, Michael Benyaer, Peter Stormare, Danielle Burgio

Récemment en décembre
 

Debout au coeur de la crise - DVD

DVD/Blu-ray : 8 décembre 2023

Editeur : RDM Vidéo

Année : 2014

De : Philip Dupuis, Anne de Réparaz