Serine Ayari : passages TV

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Antérieurement en 2023
 

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Télévision : 12 juillet 2023 à 02:09-03:50 sur Canal +

film : drame

Deux garçons de 13 ans, Léo et Rémi, sont inséparables. Ils passent pratiquement tous les jours ensemble et dorment parfois chez Rémi. Mais un évènement va bouleverser cette relation. Lors de leur rentrée au collège, un groupe de jeunes filles souhaitent savoir si les garçons sont en couple. C'est un véritable choc pour Léo et un coup de frein pour leur amitié. A la suite de cet incident, l'enfant va se remettre en question ainsi que la relation qui le lie à Rémi. Il s'éloigne de son ami de toujours, laissant celui-ci dans l'incompréhension. Jusqu'au jour où Léo décide de se rapprocher de la mère de son ami afin de trouver du soutien... - Critique : Le joli est-il l’ennemi du beau ? Vous avez une heure quarante-cinq, soit la durée de Close, deuxième long métrage de Lukas Dhont, 30 ans, récompensé par un Grand Prix au dernier Festival de Cannes (ex-aequo avec Stars at Noon, de Claire Denis). Après Girl, portrait d’une jeune fille en transition, Caméra d’or en 2018, le Belge confirme son goût pour les titres réduits à l’essentiel (une syllabe, un programme) et la douceur qui trompe son monde, façon loup déguisé en mère-grand – c’est pour mieux te faire pleurer, mon enfant. Dans sa première partie, la plus réussie, Close (« proche », en français) chronique le meurtre à bas bruit, ordinairement homophobe, d’une amitié idéale. Presque frères, Léo (Eden Dambrine) et Rémi (Gustav De Waele), 13 ans, partagent tout, batailles imaginaires et épées de bois, admiration réciproque, courses folles dans les champs de fleurs aux couleurs divines, chuchotis rieurs sur l’oreiller. L’amour ? Un jour peut-être, ou peut-être pas, ce n’est pas dit, ce n’est pas la question. Leur arrivée en sixième signe l’avis d’expulsion du paradis : deux gars qui se tiennent la main dans la cour de récré, ça fait « pédales », merci d’adopter les codes genrés appliqués par la majorité. Même si c’est parfois formulé sans malveillance (« Vous êtes ensemble ? », interroge simplement une collégienne dans une scène formidable), Léo, gêné, obtempère illico, intègre l’équipe de hockey sur glace, activité virile s’il en est, et s’éloigne progressivement de Rémi. Derrière son festival de rayons de soleil sur ravissants marmots, Close convainc tant qu’il s’en tient à une autopsie de la tendresse masculine en milieu scolaire. Nettement moins lorsqu’il bascule dans la tragédie et abandonne Léo à la solitude, au remords et à un unique et répétitif principe de mise en scène, entièrement centré sur les activités physiques du gamin – travail aux champs et sport, ad libitum, se faire mal pour oublier l’autre douleur. S’il montre l’ambition louable de s’en remettre aux images plutôt qu’à des dialogues explicatifs, Lukas Dhont n’échappe pas à la lourdeur symbolique – un poignet cassé, puis réparé, en devient par exemple sursignifiant. Il délaye son mélo photogénique, fasciné par la souffrance muette de son jeune héros, dont il scrute le visage et souligne chaque regard jusqu’à la dernière seconde. Pour dévier un peu de l’itinéraire balisé, il faut s’en remettre aux actrices, Léa Drucker, et, surtout la bouleversante Émilie Dequenne, qui ne laisseront personne les yeux secs.

Année : 2022

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Herman van Slambrouck, Igor van, Iven Deduytschaver, Kevin Janssens, Léa Drucker, Léon Bataille, Marc Weiss, Robin Keyaert, Serine Ayari, Émilie Dequenne

Antérieurement en 2023
 

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Télévision : 22 juin 2023 à 10:24-12:06 sur Canal +

film : drame

Deux garçons de 13 ans, Léo et Rémi, sont inséparables. Ils passent pratiquement tous les jours ensemble et dorment parfois chez Rémi. Mais un évènement va bouleverser cette relation. Lors de leur rentrée au collège, un groupe de jeunes filles souhaitent savoir si les garçons sont en couple. C'est un véritable choc pour Léo et un coup de frein pour leur amitié. A la suite de cet incident, l'enfant va se remettre en question ainsi que la relation qui le lie à Rémi. Il s'éloigne de son ami de toujours, laissant celui-ci dans l'incompréhension. Jusqu'au jour où Léo décide de se rapprocher de la mère de son ami afin de trouver du soutien... - Critique : Le joli est-il l’ennemi du beau ? Vous avez une heure quarante-cinq, soit la durée de Close, deuxième long métrage de Lukas Dhont, 30 ans, récompensé par un Grand Prix au dernier Festival de Cannes (ex-aequo avec Stars at Noon, de Claire Denis). Après Girl, portrait d’une jeune fille en transition, Caméra d’or en 2018, le Belge confirme son goût pour les titres réduits à l’essentiel (une syllabe, un programme) et la douceur qui trompe son monde, façon loup déguisé en mère-grand – c’est pour mieux te faire pleurer, mon enfant. Dans sa première partie, la plus réussie, Close (« proche », en français) chronique le meurtre à bas bruit, ordinairement homophobe, d’une amitié idéale. Presque frères, Léo (Eden Dambrine) et Rémi (Gustav De Waele), 13 ans, partagent tout, batailles imaginaires et épées de bois, admiration réciproque, courses folles dans les champs de fleurs aux couleurs divines, chuchotis rieurs sur l’oreiller. L’amour ? Un jour peut-être, ou peut-être pas, ce n’est pas dit, ce n’est pas la question. Leur arrivée en sixième signe l’avis d’expulsion du paradis : deux gars qui se tiennent la main dans la cour de récré, ça fait « pédales », merci d’adopter les codes genrés appliqués par la majorité. Même si c’est parfois formulé sans malveillance (« Vous êtes ensemble ? », interroge simplement une collégienne dans une scène formidable), Léo, gêné, obtempère illico, intègre l’équipe de hockey sur glace, activité virile s’il en est, et s’éloigne progressivement de Rémi. Derrière son festival de rayons de soleil sur ravissants marmots, Close convainc tant qu’il s’en tient à une autopsie de la tendresse masculine en milieu scolaire. Nettement moins lorsqu’il bascule dans la tragédie et abandonne Léo à la solitude, au remords et à un unique et répétitif principe de mise en scène, entièrement centré sur les activités physiques du gamin – travail aux champs et sport, ad libitum, se faire mal pour oublier l’autre douleur. S’il montre l’ambition louable de s’en remettre aux images plutôt qu’à des dialogues explicatifs, Lukas Dhont n’échappe pas à la lourdeur symbolique – un poignet cassé, puis réparé, en devient par exemple sursignifiant. Il délaye son mélo photogénique, fasciné par la souffrance muette de son jeune héros, dont il scrute le visage et souligne chaque regard jusqu’à la dernière seconde. Pour dévier un peu de l’itinéraire balisé, il faut s’en remettre aux actrices, Léa Drucker, et, surtout la bouleversante Émilie Dequenne, qui ne laisseront personne les yeux secs.

Année : 2022

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Herman van Slambrouck, Igor van, Iven Deduytschaver, Kevin Janssens, Léa Drucker, Léon Bataille, Marc Weiss, Robin Keyaert, Serine Ayari, Émilie Dequenne

Antérieurement en 2023
 

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Télévision : 13 juin 2023 à 22:40-00:21 sur Canal +

film : drame

Deux garçons de 13 ans, Léo et Rémi, sont inséparables. Ils passent pratiquement tous les jours ensemble et dorment parfois chez Rémi. Mais un évènement va bouleverser cette relation. Lors de leur rentrée au collège, un groupe de jeunes filles souhaitent savoir si les garçons sont en couple. C'est un véritable choc pour Léo et un coup de frein pour leur amitié. A la suite de cet incident, l'enfant va se remettre en question ainsi que la relation qui le lie à Rémi. Il s'éloigne de son ami de toujours, laissant celui-ci dans l'incompréhension. Jusqu'au jour où Léo décide de se rapprocher de la mère de son ami afin de trouver du soutien... - Critique : Le joli est-il l’ennemi du beau ? Vous avez une heure quarante-cinq, soit la durée de Close, deuxième long métrage de Lukas Dhont, 30 ans, récompensé par un Grand Prix au dernier Festival de Cannes (ex-aequo avec Stars at Noon, de Claire Denis). Après Girl, portrait d’une jeune fille en transition, Caméra d’or en 2018, le Belge confirme son goût pour les titres réduits à l’essentiel (une syllabe, un programme) et la douceur qui trompe son monde, façon loup déguisé en mère-grand – c’est pour mieux te faire pleurer, mon enfant. Dans sa première partie, la plus réussie, Close (« proche », en français) chronique le meurtre à bas bruit, ordinairement homophobe, d’une amitié idéale. Presque frères, Léo (Eden Dambrine) et Rémi (Gustav De Waele), 13 ans, partagent tout, batailles imaginaires et épées de bois, admiration réciproque, courses folles dans les champs de fleurs aux couleurs divines, chuchotis rieurs sur l’oreiller. L’amour ? Un jour peut-être, ou peut-être pas, ce n’est pas dit, ce n’est pas la question. Leur arrivée en sixième signe l’avis d’expulsion du paradis : deux gars qui se tiennent la main dans la cour de récré, ça fait « pédales », merci d’adopter les codes genrés appliqués par la majorité. Même si c’est parfois formulé sans malveillance (« Vous êtes ensemble ? », interroge simplement une collégienne dans une scène formidable), Léo, gêné, obtempère illico, intègre l’équipe de hockey sur glace, activité virile s’il en est, et s’éloigne progressivement de Rémi. Derrière son festival de rayons de soleil sur ravissants marmots, Close convainc tant qu’il s’en tient à une autopsie de la tendresse masculine en milieu scolaire. Nettement moins lorsqu’il bascule dans la tragédie et abandonne Léo à la solitude, au remords et à un unique et répétitif principe de mise en scène, entièrement centré sur les activités physiques du gamin – travail aux champs et sport, ad libitum, se faire mal pour oublier l’autre douleur. S’il montre l’ambition louable de s’en remettre aux images plutôt qu’à des dialogues explicatifs, Lukas Dhont n’échappe pas à la lourdeur symbolique – un poignet cassé, puis réparé, en devient par exemple sursignifiant. Il délaye son mélo photogénique, fasciné par la souffrance muette de son jeune héros, dont il scrute le visage et souligne chaque regard jusqu’à la dernière seconde. Pour dévier un peu de l’itinéraire balisé, il faut s’en remettre aux actrices, Léa Drucker, et, surtout la bouleversante Émilie Dequenne, qui ne laisseront personne les yeux secs.

Année : 2022

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Herman van Slambrouck, Igor van, Iven Deduytschaver, Kevin Janssens, Léa Drucker, Léon Bataille, Marc Weiss, Robin Keyaert, Serine Ayari, Émilie Dequenne

Antérieurement en 2023
 

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Télévision : 13 juin 2023 à 22:40-00:20 sur Canal +

film : drame

Deux garçons de 13 ans, Léo et Rémi, sont inséparables. Ils passent pratiquement tous les jours ensemble et dorment parfois chez Rémi. Mais un évènement va bouleverser cette relation. Lors de leur rentrée au collège, un groupe de jeunes filles souhaitent savoir si les garçons sont en couple. C'est un véritable choc pour Léo et un coup de frein pour leur amitié. A la suite de cet incident, l'enfant va se remettre en question ainsi que la relation qui le lie à Rémi. Il s'éloigne de son ami de toujours, laissant celui-ci dans l'incompréhension. Jusqu'au jour où Léo décide de se rapprocher de la mère de son ami afin de trouver du soutien... - Critique : Le joli est-il l’ennemi du beau ? Vous avez une heure quarante-cinq, soit la durée de Close, deuxième long métrage de Lukas Dhont, 30 ans, récompensé par un Grand Prix au dernier Festival de Cannes (ex-aequo avec Stars at Noon, de Claire Denis). Après Girl, portrait d’une jeune fille en transition, Caméra d’or en 2018, le Belge confirme son goût pour les titres réduits à l’essentiel (une syllabe, un programme) et la douceur qui trompe son monde, façon loup déguisé en mère-grand – c’est pour mieux te faire pleurer, mon enfant. Dans sa première partie, la plus réussie, Close (« proche », en français) chronique le meurtre à bas bruit, ordinairement homophobe, d’une amitié idéale. Presque frères, Léo (Eden Dambrine) et Rémi (Gustav De Waele), 13 ans, partagent tout, batailles imaginaires et épées de bois, admiration réciproque, courses folles dans les champs de fleurs aux couleurs divines, chuchotis rieurs sur l’oreiller. L’amour ? Un jour peut-être, ou peut-être pas, ce n’est pas dit, ce n’est pas la question. Leur arrivée en sixième signe l’avis d’expulsion du paradis : deux gars qui se tiennent la main dans la cour de récré, ça fait « pédales », merci d’adopter les codes genrés appliqués par la majorité. Même si c’est parfois formulé sans malveillance (« Vous êtes ensemble ? », interroge simplement une collégienne dans une scène formidable), Léo, gêné, obtempère illico, intègre l’équipe de hockey sur glace, activité virile s’il en est, et s’éloigne progressivement de Rémi. Derrière son festival de rayons de soleil sur ravissants marmots, Close convainc tant qu’il s’en tient à une autopsie de la tendresse masculine en milieu scolaire. Nettement moins lorsqu’il bascule dans la tragédie et abandonne Léo à la solitude, au remords et à un unique et répétitif principe de mise en scène, entièrement centré sur les activités physiques du gamin – travail aux champs et sport, ad libitum, se faire mal pour oublier l’autre douleur. S’il montre l’ambition louable de s’en remettre aux images plutôt qu’à des dialogues explicatifs, Lukas Dhont n’échappe pas à la lourdeur symbolique – un poignet cassé, puis réparé, en devient par exemple sursignifiant. Il délaye son mélo photogénique, fasciné par la souffrance muette de son jeune héros, dont il scrute le visage et souligne chaque regard jusqu’à la dernière seconde. Pour dévier un peu de l’itinéraire balisé, il faut s’en remettre aux actrices, Léa Drucker, et, surtout la bouleversante Émilie Dequenne, qui ne laisseront personne les yeux secs.

Année : 2022

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Herman van Slambrouck, Igor van, Iven Deduytschaver, Kevin Janssens, Léa Drucker, Léon Bataille, Marc Weiss, Robin Keyaert, Serine Ayari, Émilie Dequenne

Antérieurement en 2023
 

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Télévision : 13 juin 2023 à 01:47-03:28 sur Canal +

film : drame

Deux garçons de 13 ans, Léo et Rémi, sont inséparables. Ils passent pratiquement tous les jours ensemble et dorment parfois chez Rémi. Mais un évènement va bouleverser cette relation. Lors de leur rentrée au collège, un groupe de jeunes filles souhaitent savoir si les garçons sont en couple. C'est un véritable choc pour Léo et un coup de frein pour leur amitié. A la suite de cet incident, l'enfant va se remettre en question ainsi que la relation qui le lie à Rémi. Il s'éloigne de son ami de toujours, laissant celui-ci dans l'incompréhension. Jusqu'au jour où Léo décide de se rapprocher de la mère de son ami afin de trouver du soutien... - Critique : Le joli est-il l’ennemi du beau ? Vous avez une heure quarante-cinq, soit la durée de Close, deuxième long métrage de Lukas Dhont, 30 ans, récompensé par un Grand Prix au dernier Festival de Cannes (ex-aequo avec Stars at Noon, de Claire Denis). Après Girl, portrait d’une jeune fille en transition, Caméra d’or en 2018, le Belge confirme son goût pour les titres réduits à l’essentiel (une syllabe, un programme) et la douceur qui trompe son monde, façon loup déguisé en mère-grand – c’est pour mieux te faire pleurer, mon enfant. Dans sa première partie, la plus réussie, Close (« proche », en français) chronique le meurtre à bas bruit, ordinairement homophobe, d’une amitié idéale. Presque frères, Léo (Eden Dambrine) et Rémi (Gustav De Waele), 13 ans, partagent tout, batailles imaginaires et épées de bois, admiration réciproque, courses folles dans les champs de fleurs aux couleurs divines, chuchotis rieurs sur l’oreiller. L’amour ? Un jour peut-être, ou peut-être pas, ce n’est pas dit, ce n’est pas la question. Leur arrivée en sixième signe l’avis d’expulsion du paradis : deux gars qui se tiennent la main dans la cour de récré, ça fait « pédales », merci d’adopter les codes genrés appliqués par la majorité. Même si c’est parfois formulé sans malveillance (« Vous êtes ensemble ? », interroge simplement une collégienne dans une scène formidable), Léo, gêné, obtempère illico, intègre l’équipe de hockey sur glace, activité virile s’il en est, et s’éloigne progressivement de Rémi. Derrière son festival de rayons de soleil sur ravissants marmots, Close convainc tant qu’il s’en tient à une autopsie de la tendresse masculine en milieu scolaire. Nettement moins lorsqu’il bascule dans la tragédie et abandonne Léo à la solitude, au remords et à un unique et répétitif principe de mise en scène, entièrement centré sur les activités physiques du gamin – travail aux champs et sport, ad libitum, se faire mal pour oublier l’autre douleur. S’il montre l’ambition louable de s’en remettre aux images plutôt qu’à des dialogues explicatifs, Lukas Dhont n’échappe pas à la lourdeur symbolique – un poignet cassé, puis réparé, en devient par exemple sursignifiant. Il délaye son mélo photogénique, fasciné par la souffrance muette de son jeune héros, dont il scrute le visage et souligne chaque regard jusqu’à la dernière seconde. Pour dévier un peu de l’itinéraire balisé, il faut s’en remettre aux actrices, Léa Drucker, et, surtout la bouleversante Émilie Dequenne, qui ne laisseront personne les yeux secs.

Année : 2022

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Herman van Slambrouck, Igor van, Iven Deduytschaver, Kevin Janssens, Léa Drucker, Léon Bataille, Marc Weiss, Robin Keyaert, Serine Ayari, Émilie Dequenne

Antérieurement en 2023
 

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Télévision : 26 mai 2023 à 00:03-01:44 sur Canal +

film : drame

Deux garçons de 13 ans, Léo et Rémi, sont inséparables. Ils passent pratiquement tous les jours ensemble et dorment parfois chez Rémi. Mais un évènement va bouleverser cette relation. Lors de leur rentrée au collège, un groupe de jeunes filles souhaitent savoir si les garçons sont en couple. C'est un véritable choc pour Léo et un coup de frein pour leur amitié. A la suite de cet incident, l'enfant va se remettre en question ainsi que la relation qui le lie à Rémi. Il s'éloigne de son ami de toujours, laissant celui-ci dans l'incompréhension. Jusqu'au jour où Léo décide de se rapprocher de la mère de son ami afin de trouver du soutien... - Critique : Le joli est-il l’ennemi du beau ? Vous avez une heure quarante-cinq, soit la durée de Close, deuxième long métrage de Lukas Dhont, 30 ans, récompensé par un Grand Prix au dernier Festival de Cannes (ex-aequo avec Stars at Noon, de Claire Denis). Après Girl, portrait d’une jeune fille en transition, Caméra d’or en 2018, le Belge confirme son goût pour les titres réduits à l’essentiel (une syllabe, un programme) et la douceur qui trompe son monde, façon loup déguisé en mère-grand – c’est pour mieux te faire pleurer, mon enfant. Dans sa première partie, la plus réussie, Close (« proche », en français) chronique le meurtre à bas bruit, ordinairement homophobe, d’une amitié idéale. Presque frères, Léo (Eden Dambrine) et Rémi (Gustav De Waele), 13 ans, partagent tout, batailles imaginaires et épées de bois, admiration réciproque, courses folles dans les champs de fleurs aux couleurs divines, chuchotis rieurs sur l’oreiller. L’amour ? Un jour peut-être, ou peut-être pas, ce n’est pas dit, ce n’est pas la question. Leur arrivée en sixième signe l’avis d’expulsion du paradis : deux gars qui se tiennent la main dans la cour de récré, ça fait « pédales », merci d’adopter les codes genrés appliqués par la majorité. Même si c’est parfois formulé sans malveillance (« Vous êtes ensemble ? », interroge simplement une collégienne dans une scène formidable), Léo, gêné, obtempère illico, intègre l’équipe de hockey sur glace, activité virile s’il en est, et s’éloigne progressivement de Rémi. Derrière son festival de rayons de soleil sur ravissants marmots, Close convainc tant qu’il s’en tient à une autopsie de la tendresse masculine en milieu scolaire. Nettement moins lorsqu’il bascule dans la tragédie et abandonne Léo à la solitude, au remords et à un unique et répétitif principe de mise en scène, entièrement centré sur les activités physiques du gamin – travail aux champs et sport, ad libitum, se faire mal pour oublier l’autre douleur. S’il montre l’ambition louable de s’en remettre aux images plutôt qu’à des dialogues explicatifs, Lukas Dhont n’échappe pas à la lourdeur symbolique – un poignet cassé, puis réparé, en devient par exemple sursignifiant. Il délaye son mélo photogénique, fasciné par la souffrance muette de son jeune héros, dont il scrute le visage et souligne chaque regard jusqu’à la dernière seconde. Pour dévier un peu de l’itinéraire balisé, il faut s’en remettre aux actrices, Léa Drucker, et, surtout la bouleversante Émilie Dequenne, qui ne laisseront personne les yeux secs.

Année : 2022

Avec : Eden Dambrine, Gustav De Waele, Herman van Slambrouck, Igor van, Iven Deduytschaver, Kevin Janssens, Léa Drucker, Léon Bataille, Marc Weiss, Robin Keyaert, Serine Ayari, Émilie Dequenne

Antérieurement en 2021
 

Arcomik, parlez moi d'amour avec humour

Télévision : 17 septembre 2021 à 23:45-01:35 sur France 4

Divertissement

Alex Vizorek propose de vivre une histoire d'humour pas comme les autres lors d'une soirée où il parle, certes d'amour, mais pas seulement, avec ses invités : Anne Roumanoff, Michel Boujenah, Guillermo Guiz, Elodie Poux, Nadia Roz, Caroline Estremo, Kody, Serine Ayari, Eric et Quentin, Pablo Mira, Morgane Cadignan, Blonds and Blonds and Blonds.

Année : 2021

Avec : Anne Roumanoff, Michel Boujenah, Guillermo Guiz, Elodie Poux, Nadia Roz, Caroline Estremo, Kody, Serine Ayari, Eric et, Pablo Mira, Morgane Cadignan, Blonds and

Présenté par : Alex Vizorek

Antérieurement en 2021
 

Arcomik, parlez moi d'amour avec humour

Télévision : 10 septembre 2021 à 22:35-00:25 sur France 4

Divertissement

Alex Vizorek propose de vivre une histoire d'humour pas comme les autres lors d'une soirée où il parle, certes d'amour, mais pas seulement, avec ses invités : Anne Roumanoff, Michel Boujenah, Guillermo Guiz, Elodie Poux, Nadia Roz, Caroline Estremo, Kody, Serine Ayari, Eric et Quentin, Pablo Mira, Morgane Cadignan, Blonds and Blonds and Blonds.

Année : 2021

Avec : Anne Roumanoff, Michel Boujenah, Guillermo Guiz, Elodie Poux, Nadia Roz, Caroline Estremo, Kody, Serine Ayari, Eric et, Pablo Mira, Morgane Cadignan, Blonds and

Présenté par : Alex Vizorek

Antérieurement en 2021
 

Arcomik, parlez moi d'amour avec humour

Télévision : 3 septembre 2021 à 21:10-23:00 sur France 4

Divertissement

Alex Vizorek propose de vivre une histoire d'humour pas comme les autres lors d'une soirée où il parle, certes d'amour, mais pas seulement, avec ses invités : Anne Roumanoff, Michel Boujenah, Guillermo Guiz, Elodie Poux, Nadia Roz, Caroline Estremo, Kody, Serine Ayari, Eric et Quentin, Pablo Mira, Morgane Cadignan, Blonds and Blonds and Blonds.

Année : 2021

Avec : Anne Roumanoff, Michel Boujenah, Guillermo Guiz, Elodie Poux, Nadia Roz, Caroline Estremo, Kody, Serine Ayari, Eric et, Pablo Mira, Morgane Cadignan, Blonds and

Présenté par : Alex Vizorek

Antérieurement en 2021
 

Arcomik, parlez moi d'amour avec humour

Télévision : 19 avril 2021 à 21:05-22:55 sur France 4

Divertissement

Pour offrir aux artistes une scène, et au public un spectacle, France Télévisions et le Festival stéphanois Arcomik décalé en raison de la crise sanitaire, proposent "Parlez-moi d'amour avec humour", Ce spectacle présenté par Alex Vizorek, a été enregistrée au centre de Congrès de Saint-Étienne avec la présence de seize artistes : Blond and Blond and Blond, Guillermo Guiz, Anne Roumanoff, Michel Boujenah, Élodie Poux, Pablo Mira, Éric et Quentin, Kody, Morgane Cadignan, Nadia Roz. C'est également la première intervention télévisée française pour les artistes Serine Ayari, et Caroline Estremo.

Année : 2021

Présenté par : Alex Vizorek

Antérieurement en 2021
 

Arcomik, parlez moi d'amour avec humour

Télévision : 26 mars 2021 à 23:05-00:55 sur France 2

Divertissement

Pour offrir aux artistes une scène, et au public un spectacle, France Télévisions et le Festival stéphanois Arcomik décalé en raison de la crise sanitaire, proposent "Parlez-moi d'amour avec humour", Ce spectacle présenté par Alex Vizorek, a été enregistrée au centre de Congrès de Saint-Étienne avec la présence de seize artistes : Blond and Blond and Blond, Guillermo Guiz, Anne Roumanoff, Michel Boujenah, Élodie Poux, Pablo Mira, Éric et Quentin, Kody, Morgane Cadignan, Nadia Roz. C'est également la première intervention télévisée française pour les artistes Serine Ayari, et Caroline Estremo.

Année : 2021