Serge Joncour : passages TV

Créez gratuitement votre compte Evernext pour être averti de toutes les actualités de Serge Joncour.

Créer mon compte

Antérieurement en 2018
 

La grande librairie

Télévision : 28 novembre 2018 à 20:50-22:20 sur France 5

Magazine littéraire

«La Grande Librairie» accueille cette semaine Frédéric Lenoir, qui publie «La sagesse expliquée à ceux qui la cherchent», ouvrage philosophique. Dans «Chien-loup», Serge Joncour interroge la part animale des êtres hyper-connectés. Catherine Meurisse signe «Les grands espaces», une balade intime dans la campagne du Poitou, qu'elle a connue enfant. Catherine Poulain emmène le lecteur en Provence, au côté des saisonniers, dans «Le Coeur blanc». Frans de Waal, primatologue, complète la liste des invités avec «La Dernière Etreinte», plongée dans le monde fabuleux des émotions animales. A Paris, François Busnel rencontre Richard Powers au pied du plus vieil arbre de la capitale, dans le Ve arrondissement, pour son livre «L'Arbre Monde».

Année : 2018

Avec : Frédéric Lenoir, Serge Joncour, Catherine Meurisse, Catherine Poulain, Frans de Waal

Présenté par : François Busnel

Antérieurement en 2018
 

Elle s'appelait Sarah

Télévision : 6 mai 2018 à 21:05-23:10 sur C8

film : drame

Une journaliste américaine qui vit en France enquête sur une petite fille qui, jadis, a survécu à la rafle du Vél'd’Hiv’… Film d’une pudeur extrême, à l’exacte frontière entre bons et beaux sentiments. Scott Thomas est superbe, comme d’habitude. Critique : | Genre : l’ombre du passé. Jadis, en un jour où la police française parquait les Juifs au Vél’ d’Hiv, la petite Sarah a fait le mauvais choix, et ne s’en est pas remise. Des années plus tard, en voulant la tirer de l’oubli, Julia, une journaliste américaine, fait le bon, au risque de tout détruire autour d’elle… C’est donc, inspiré par le roman de Tatiana de Rosnay, un film sur la culpabilité. Et le pardon qu’on se refuse à soi-même, mais qu’on espère toujours des autres. Le réalisateur n’arrive pas à éviter l’artifice du scénario : ping-pong incessant et artificiel entre le passé et le présent. Chaque fois qu’il change d’époque, néanmoins, il repart à la recherche de l’émotion perdue, qu’il retrouve à force de pudeur et de retenue sans aucun débordement lacrymal… Le film est un mélo, un vrai, puisqu’il repose, comme le veut le genre, sur une faute dont chacun ne peut ou ne veut se défaire. C’est aussi un « film du samedi soir », avec ses drames, ses sacrifices et ses outrances, aussi invraisemblables qu’indispensables — le vieux fils qui apprend la vérité sur cette mère qu’il croyait connaître. Bref, on est dans un cinéma humaniste à l’ancienne, à la frontière exacte entre bons et grands sentiments.

Année : 2010

Avec : Gilles Paquet-Brenner, Kristin Scott Thomas, Mélusine Mayance, Niels Arestrup, Frédéric Pierrot, Aidan Quinn, Arben Bajraktaraj, Gisèle Casadesus, Michel Duchaussoy, Max Richter, Serge Joncour, Gilles Paquet-Brenner, Tatiana de Rosnay, Dominique Frot, James Gerard, Charlotte Poutrel, Natasha Mashkevich

Antérieurement en 2018
 

Elle s'appelait Sarah

Télévision : 6 mai 2018 à 21:00-23:10 sur C8

film : drame

Une journaliste américaine qui vit en France enquête sur une petite fille qui, jadis, a survécu à la rafle du Vél'd’Hiv’… Film d’une pudeur extrême, à l’exacte frontière entre bons et beaux sentiments. Scott Thomas est superbe, comme d’habitude. Critique : | Genre : l'ombre du passé. Jadis, en un jour où la police française parquait les Juifs au Vél' d'Hiv, la petite Sarah a fait le mauvais choix, dont elle ne s'est pas remise. Des années plus tard, en voulant la tirer de l'oubli, Julia, une journaliste américaine, fait le bon, au risque de tout détruire autour d'elle... C'est donc, inspiré par le roman de Tatiana de Rosnay, un film sur la culpabilité que chacun éprouve devant ses actes. Et le pardon qu'on se refuse à soi-même, mais qu'on espère toujours des autres. Le réalisateur n'arrive pas à éviter l'artifice du scénario : ping-pong incessant et artificiel entre passé et présent. Chaque fois qu'il change d'époque, néanmoins, il repart à la recherche de l'émotion perdue, qu'il retrouve à force de pudeur et de retenue : aucun débordement lacrymal... Le film est un mélo, un vrai. C'est aussi un « film du samedi soir », avec ses drames, ses sacrifices et ses outrances, aussi invraisemblables qu'indispensables (le vieux fils qui apprend la ­vérité sur cette mère qu'il croyait connaître). Bref, on est dans un cinéma humaniste à l'ancienne, à la frontière exacte entre bons et grands sentiments. — Pierre Murat

Année : 2010

Avec : Gilles Paquet-Brenner, Kristin Scott Thomas, Mélusine Mayance, Niels Arestrup, Frédéric Pierrot, Aidan Quinn, Arben Bajraktaraj, Gisèle Casadesus, Michel Duchaussoy, Max Richter, Serge Joncour, Gilles Paquet-Brenner, Tatiana de Rosnay, Dominique Frot, James Gerard, Charlotte Poutrel, Natasha Mashkevich