Télévision : 27 novembre 2022 à 21:10-22:58 sur C8
film : drame
En mai 1940. Les troupes allemandes ont envahi la France. Dans un petit village du Nord, Julien Maroyeur décide de fuir avec son épouse, Monique, enceinte, et leur fillette, comme nombre de ses compatriotes. Tandis que la jeune femme trouve une place assise dans le compartiment d'un train, Julien doit se contenter d'un wagon à bestiaux. Il y fait la connaissance d'Anna Kupfer, une Juive allemande qui tente elle aussi d'échapper aux vainqueurs. Le lendemain, au réveil, Julien s'aperçoit que le train a été "coupé" en deux et que, séparé des siens, il fait route vers La Rochelle, en compagnie de la belle et mystérieuse Anna... - Critique : Pierre Granier-Deferre avait déjà adapté avec bonheur deux « romans de mœurs » de Georges Simenon, Le Chat et La Veuve Couderc. Il avait su porter à son apogée une nouvelle qualité française fondée non seulement sur le dialogue, mais aussi sur la construction méthodique d’une atmosphère. Le Train bénéficie de ce savoir-faire et n’est jamais aussi prenant que lorsqu’il cerne au plus près les deux acteurs principaux du drame. Ceux-ci se définissent moins par eux-mêmes que par la relation qui les lie. L’Histoire (l’Occupation) devient alors la toile de fond, omniprésente mais assourdie, de la tragédie intime de Julien (électricien français) et d’Anna (allemande, juive et riche), tous deux au carrefour de leur existence. Romy Schneider a l’élégance et le mystère de son personnage. Jean-Louis Trintignant est époustouflant de justesse, de mesure, donnant corps à un personnage d’une formidable humanité.
Année : 1973
Avec : Anne Wiazemsky, Arrighi Nike, Franco Mazzieri, Jean Lescot, Jean-Louis Trintignant, Maurice Biraud, Paul Amiot, Paul Le, Roger Ibanez, Romy Schneider, Régine, Serge Marquand
Télévision : 12 juillet 2022 à 13:35-15:15 sur Arte
film : drame
En mai 1940. Les troupes allemandes ont envahi la France. Dans un petit village du Nord, Julien Maroyeur décide de fuir avec son épouse, Monique, enceinte, et leur fillette, comme nombre de ses compatriotes. Tandis que la jeune femme trouve une place assise dans le compartiment d'un train, Julien doit se contenter d'un wagon à bestiaux. Il y fait la connaissance d'Anna Kupfer, une Juive allemande qui tente elle aussi d'échapper aux vainqueurs. Le lendemain, au réveil, Julien s'aperçoit que le train a été "coupé" en deux et que, séparé des siens, il fait route vers La Rochelle, en compagnie de la belle et mystérieuse Anna... - Critique : Pierre Granier-Deferre avait déjà adapté avec bonheur deux « romans de mœurs » de Georges Simenon, Le Chat et La Veuve Couderc. Il avait su porter à son apogée une nouvelle qualité française fondée non seulement sur le dialogue, mais aussi sur la construction méthodique d’une atmosphère. Le Train bénéficie de ce savoir-faire et n’est jamais aussi prenant que lorsqu’il cerne au plus près les deux acteurs principaux du drame. Ceux-ci se définissent moins par eux-mêmes que par la relation qui les lie. L’Histoire (l’Occupation) devient alors la toile de fond, omniprésente mais assourdie, de la tragédie intime de Julien (électricien français) et d’Anna (allemande, juive et riche), tous deux au carrefour de leur existence. Romy Schneider a l’élégance et le mystère de son personnage. Jean-Louis Trintignant est époustouflant de justesse, de mesure, donnant corps à un personnage d’une formidable humanité.
Année : 1973
Avec : Anne Wiazemsky, Arrighi Nike, Franco Mazzieri, Jean Lescot, Jean-Louis Trintignant, Maurice Biraud, Paul Amiot, Paul Le, Roger Ibanez, Romy Schneider, Régine, Serge Marquand
Télévision : 1er juillet 2022 à 13:30-15:15 sur Arte
film : drame
En mai 1940. Les troupes allemandes ont envahi la France. Dans un petit village du Nord, Julien Maroyeur décide de fuir avec son épouse, Monique, enceinte, et leur fillette, comme nombre de ses compatriotes. Tandis que la jeune femme trouve une place assise dans le compartiment d'un train, Julien doit se contenter d'un wagon à bestiaux. Il y fait la connaissance d'Anna Kupfer, une Juive allemande qui tente elle aussi d'échapper aux vainqueurs. Le lendemain, au réveil, Julien s'aperçoit que le train a été "coupé" en deux et que, séparé des siens, il fait route vers La Rochelle, en compagnie de la belle et mystérieuse Anna... - Critique : Pierre Granier-Deferre avait déjà adapté avec bonheur deux « romans de mœurs » de Georges Simenon, Le Chat et La Veuve Couderc. Il avait su porter à son apogée une nouvelle qualité française fondée non seulement sur le dialogue, mais aussi sur la construction méthodique d’une atmosphère. Le Train bénéficie de ce savoir-faire et n’est jamais aussi prenant que lorsqu’il cerne au plus près les deux acteurs principaux du drame. Ceux-ci se définissent moins par eux-mêmes que par la relation qui les lie. L’Histoire (l’Occupation) devient alors la toile de fond, omniprésente mais assourdie, de la tragédie intime de Julien (électricien français) et d’Anna (allemande, juive et riche), tous deux au carrefour de leur existence. Romy Schneider a l’élégance et le mystère de son personnage. Jean-Louis Trintignant est époustouflant de justesse, de mesure, donnant corps à un personnage d’une formidable humanité.
Année : 1973
Avec : Anne Wiazemsky, Arrighi Nike, Franco Mazzieri, Jean Lescot, Jean-Louis Trintignant, Maurice Biraud, Paul Amiot, Paul Le, Roger Ibanez, Romy Schneider, Régine, Serge Marquand
Télévision : 20 juin 2021 à 21:07-22:56 sur C8
Drame
Bertrand Malair reprend en main les destinées des "Magasins". Maniaque et tyrannique, il effraie le personnel et plus particulièrement Louis Coline, sous-chef du service de publicité. Louis se laisse peu à peu fasciner par la puissante personnalité de son patron et en vient à tout lui sacrifier...
Année : 1981
De : Pierre Granier
Avec : Michel Piccoli, Gérard Lanvin, Nathalie Baye, Jean-Pierre Kalfon, Jean-François Balmer, Pierre Michaël, Madeleine Cheminat, Dominique Blanchar, Victor Garrivier, Jacques Boudet, Ariane Lartéguy, Nicolas Vogel, André Chaumeau, Dominique Zardi, Humbert Balsan, Elisabeth Catroux, Sophie Deschamps, Pierre Gatineau, Kathy Kriegel, Dominique Lablanche, Yves Morgan-Jones, Joseph Niambi-Moé, Christophe Odent, Christian Pereira, Suzy Rambaud, Philippe Roussel, Anne Serard
Télévision : 18 juillet 2018 à 17:20-19:05 sur C8
téléfilm policier
Maigret et l'enfant de choeur - Dans un faubourg d'une ville de province, un enfant de choeur, le jeune Etienne, raconte à la police qu'il a été témoin d'un meurtre en allant servir la messe du matin à l'église proche de son domicile. Mais la police ne trouve ni cadavre ni témoin. Seul Maigret prend au sérieux le témoignage de l'enfant... Critique : Série de téléfilms. Réalisation : Pierre Granier-Deferre (Fr/Bel, 1997). D'après Georges Simenon. 91 mn. Rediffusion. Avec Bruno Cremer : Maigret. Stanislas Crevillén : Etienne. Anne Roussel : Hélène. Ginette Garcin : Denise. Le commissaire à l'aura flegmatique s'offre ce soir un coup de nostalgie : sous les traits du petit Etienne, enfant de choeur un rien turbulent qui vient lui raconter des histoires de cadavres, il se revoit quarante ans plus tôt dans la même blanche aube. Rare moment où Jules Maigret se penche sur son passé et laisse perler de sa hiératique personne quelques notes sentimentales... Pour cela, peut-être, il accorde plus d'attention que ses pairs au récit rocambolesque du gamin : un cadavre sur le chemin de l'église, dans une rue tranquille, aussitôt disparu après avoir été vu ! L'enquête, un peu longuette, passe au crible les habitudes des riverains. S'ensuit une galerie de portraits, du couple de grands bourgeois dont la femme est volage aux vieilles filles à l'univers très, très personnel, en passant par le juge à la retraite confit dans sa solitude d'homosexuel. Tout cela ne déborde pas d'originalité. Mais l'on peut quand même trouver du charme à ce téléfilm grâce à la subtile interprétation de Bruno Cremer, qui campe un commissaire Maigret un peu remué... Pour une fois.
Avec : Bruno Crémer, Stanislas Crevillén, Anne Roussel, Jean Martin, Philippe Duclos, Steve Kalfa, Ginette Garcin, Sylvie Granotier
Télévision : 18 juillet 2018 à 17:15-19:05 sur C8
téléfilm policier
Maigret et l'enfant de choeur - Dans un faubourg d'une ville de province, un enfant de choeur, le jeune Etienne, raconte à la police qu'il a été témoin d'un meurtre en allant servir la messe du matin à l'église proche de son domicile. Mais la police ne trouve ni cadavre ni témoin. Seul Maigret prend au sérieux le témoignage de l'enfant... Critique : Série de téléfilms. Réalisation : Pierre Granier-Deferre (Fr/Bel, 1997). D'après Georges Simenon. 91 mn. Rediffusion. Avec Bruno Cremer : Maigret. Stanislas Crevillén : Etienne. Anne Roussel : Hélène. Ginette Garcin : Denise. Le commissaire à l'aura flegmatique s'offre ce soir un coup de nostalgie : sous les traits du petit Etienne, enfant de choeur un rien turbulent qui vient lui raconter des histoires de cadavres, il se revoit quarante ans plus tôt dans la même blanche aube. Rare moment où Jules Maigret se penche sur son passé et laisse perler de sa hiératique personne quelques notes sentimentales... Pour cela, peut-être, il accorde plus d'attention que ses pairs au récit rocambolesque du gamin : un cadavre sur le chemin de l'église, dans une rue tranquille, aussitôt disparu après avoir été vu ! L'enquête, un peu longuette, passe au crible les habitudes des riverains. S'ensuit une galerie de portraits, du couple de grands bourgeois dont la femme est volage aux vieilles filles à l'univers très, très personnel, en passant par le juge à la retraite confit dans sa solitude d'homosexuel. Tout cela ne déborde pas d'originalité. Mais l'on peut quand même trouver du charme à ce téléfilm grâce à la subtile interprétation de Bruno Cremer, qui campe un commissaire Maigret un peu remué... Pour une fois.
Avec : Bruno Crémer, Stanislas Crevillén, Anne Roussel, Jean Martin, Philippe Duclos, Steve Kalfa, Ginette Garcin, Sylvie Granotier
Télévision : 16 octobre 2017 à 20:55-22:25 sur France 5
film : drame
Depuis que Clémence a tué le chat bien-aimé de Julien, ils ne se parlent plus. Drame cinglant, fidèle à la cruauté du roman de Simenon. Gabin et Signoret s'affrontent magistralement. - Critique :
| Genre : les histoires d'amour finissent mal, en général.
Autrefois, il y avait une jolie trapéziste et un avenant typographe, deux jeunes mariés amoureux. Vingt-cinq ans plus tard, le bonheur conjugal s'est dissous dans la gnôle et le vinaigre, Clémence et Julien se sont changés en ennemis jurés. Depuis que Clémence, imbibée et jalouse, a tué le chat bien-aimé de Julien, ils ne se parlent plus.
Au coeur d'une banlieue jadis riante, une maison sombre lentement, navire à la dérive au milieu du vacarme des chantiers. Dans ce dérisoire camp retranché, les souvenirs se mêlent au présent avec une fétide lenteur. Fidèle à la cruauté poisseuse du roman de Simenon, Pierre Granier-Deferre jette des fragments de récit comme autant de bris de verre sous les pas du spectateur. Une interprétation férocement pessimiste de la passion, dont il ne reste, au crépuscule d'une vie de couple, que la dépouille glacée. Gabin et Signoret s'affrontent magistralement. — Cécile Mury
Année : 1971
Télévision : 16 octobre 2017 à 20:55-22:20 sur France 5
film : drame
Depuis que Clémence a tué le chat bien-aimé de Julien, ils ne se parlent plus. Drame cinglant, fidèle à la cruauté du roman de Simenon. Gabin et Signoret s'affrontent magistralement. - Critique :
| Genre : les histoires d'amour finissent mal, en général.
Autrefois, il y avait une jolie trapéziste et un avenant typographe, deux jeunes mariés amoureux. Vingt-cinq ans plus tard, le bonheur conjugal s'est dissous dans la gnôle et le vinaigre, Clémence et Julien se sont changés en ennemis jurés. Depuis que Clémence, imbibée et jalouse, a tué le chat bien-aimé de Julien, ils ne se parlent plus.
Au coeur d'une banlieue jadis riante, une maison sombre lentement, navire à la dérive au milieu du vacarme des chantiers. Dans ce dérisoire camp retranché, les souvenirs se mêlent au présent avec une fétide lenteur. Fidèle à la cruauté poisseuse du roman de Simenon, Pierre Granier-Deferre jette des fragments de récit comme autant de bris de verre sous les pas du spectateur. Une interprétation férocement pessimiste de la passion, dont il ne reste, au crépuscule d'une vie de couple, que la dépouille glacée. Gabin et Signoret s'affrontent magistralement. — Cécile Mury
Année : 1971
Télévision : 16 octobre 2017 à 20:51-20:55 sur France 5
magazine du cinéma
Passionné de cinéma, Dominique Besnehard dévoile souvenirs et anecdotes liés aux films du patrimoine cinématographique français et étranger. Il présente «Le Chat», réalisé par Pierre Granier-Deferre en 1971.
Présenté par : Dominique Besnehard
Télévision : 13 mars 2017 à 22:30-00:10 sur Gulli
téléfilm dramatique
Aurélie - Aurélie a 9 ans et fait le bonheur de son entourage. Pleine de vie, elle semble faire preuve d'une imagination débridée. Dans la cour de l'école, elle fait partie des meneuses. Bavarde, drôle, sportive, elle ne paraît jamais fatiguée. Pourtant, Aurélie ne peut fixer son attention sur une seule et même activité bien longtemps. Son esprit est en perpétuelle quête d'un nouveau sujet d'occupation. Aurélie sait à peine lire et écrire. Elle souffre d'un trouble du comportement appelé hyperkinésie. Son hyperactivité incontrôlable lui ferme la voie des études. Conscient du problème, Victor Novak, le nouvel instituteur remplaçant, essaie de sensibiliser l'administration au cas de cette élève particulière...
Année : 2001
De : Roger Kahane
Avec : Gérard Klein, Marie Béraud, Eric Bonicatto, Mama Prassinos, Suzanne Legrand, Arjuna Andrade, Pierre Granier, Serge Dupuy
Télévision : 6 mars 2017 à 20:50-22:30 sur Gulli
téléfilm dramatique
Aurélie - Aurélie a 9 ans et fait le bonheur de son entourage. Pleine de vie, elle semble faire preuve d'une imagination débridée. Dans la cour de l'école, elle fait partie des meneuses. Bavarde, drôle, sportive, elle ne paraît jamais fatiguée. Pourtant, Aurélie ne peut fixer son attention sur une seule et même activité bien longtemps. Son esprit est en perpétuelle quête d'un nouveau sujet d'occupation. Aurélie sait à peine lire et écrire. Elle souffre d'un trouble du comportement appelé hyperkinésie. Son hyperactivité incontrôlable lui ferme la voie des études. Conscient du problème, Victor Novak, le nouvel instituteur remplaçant, essaie de sensibiliser l'administration au cas de cette élève particulière...
Année : 2001
De : Roger Kahane
Avec : Gérard Klein, Marie Béraud, Eric Bonicatto, Mama Prassinos, Suzanne Legrand, Arjuna Andrade, Pierre Granier, Serge Dupuy