Octave Mirbeau :

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Antérieurement en 2022
 

Journal d'une femme de chambre

Télévision : 14 octobre 2022 à 01:26-02:59 sur Canal +

film : drame

Au début du XXe siècle, Célestine, une jeune bonne, accepte une place en province, dans la riche demeure des Lanlaire. Immédiatement en butte à l'autorité maniaque de sa patronne et au lutinage de monsieur, elle passe ses journées à courir dans les escaliers et ses nuits à se souvenir de ses emplois précédents, notamment auprès d'un jeune bourgeois poitrinaire, au bord de la mer. Célestine étouffe à grand peine la rébellion qui gronde en elle. Joseph, l'homme à tout faire des Lanlaire, à l'abord bourru, commence à lui manifester de l'intérêt. Violemment antisémite, plus cupide qu'il ne le laisse paraître, il fait à Célestine une étrange proposition... - Critique : « Il n’y a pas de mauvaises places, il n’y a que de mauvais maîtres. » Placée chez une famille bourgeoise de province, Célestine, une jeune domestique, doit affronter Madame, vipère mesquine, et Monsieur, adepte du droit de cuissage. Tout près rôde Joseph, le jardinier rustre que seule anime sa haine des Juifs… Après Renoir et Buñuel, Benoit Jacquot s’empare du roman d’Octave Mirbeau, publié en 1900. Inégalité des sexes, brutalité du monde du travail, tentation extrémiste des petites gens : le passé l’intéresse comme le reflet cruel de la modernité. À la fois cynique et attachante, Célestine a beau être une victime, elle a le panache insolent des soubrettes de Molière et la fragilité dangereuse des mal-aimés. La satire vise les mœurs de cette bourgeoisie qui n’apprécie la valeur des objets qu’à l’aune de ce qu’ils ont coûté. « Une tragédie burlesque, aux confins de l’atrocité et de la farce », disait André Bazin de l’adaptation de Jean Renoir. Cela vaut aussi pour celle-ci, dont la mise en scène élégante et classique dérive peu à peu vers un onirisme noir.

Année : 2015

De : Benoît Jacquot

Avec : Adriana Asti, Aurélia Petit, Clotilde Mollet, Dominique Reymond, Hervé Pierre, Joséphine Derenne, Léa Seydoux, Mélodie Valemberg, Patrick d'Assumçao, Rosette, Vincent Lacoste, Vincent Lindon

Antérieurement en 2022
 

Journal d'une femme de chambre

Télévision : 14 octobre 2022 à 01:25-02:58 sur Canal +

film : drame

Au début du XXe siècle, Célestine, une jeune bonne, accepte une place en province, dans la riche demeure des Lanlaire. Immédiatement en butte à l'autorité maniaque de sa patronne et au lutinage de monsieur, elle passe ses journées à courir dans les escaliers et ses nuits à se souvenir de ses emplois précédents, notamment auprès d'un jeune bourgeois poitrinaire, au bord de la mer. Célestine étouffe à grand peine la rébellion qui gronde en elle. Joseph, l'homme à tout faire des Lanlaire, à l'abord bourru, commence à lui manifester de l'intérêt. Violemment antisémite, plus cupide qu'il ne le laisse paraître, il fait à Célestine une étrange proposition... - Critique : « Il n’y a pas de mauvaises places, il n’y a que de mauvais maîtres. » Placée chez une famille bourgeoise de province, Célestine, une jeune domestique, doit affronter Madame, vipère mesquine, et Monsieur, adepte du droit de cuissage. Tout près rôde Joseph, le jardinier rustre que seule anime sa haine des Juifs… Après Renoir et Buñuel, Benoit Jacquot s’empare du roman d’Octave Mirbeau, publié en 1900. Inégalité des sexes, brutalité du monde du travail, tentation extrémiste des petites gens : le passé l’intéresse comme le reflet cruel de la modernité. À la fois cynique et attachante, Célestine a beau être une victime, elle a le panache insolent des soubrettes de Molière et la fragilité dangereuse des mal-aimés. La satire vise les mœurs de cette bourgeoisie qui n’apprécie la valeur des objets qu’à l’aune de ce qu’ils ont coûté. « Une tragédie burlesque, aux confins de l’atrocité et de la farce », disait André Bazin de l’adaptation de Jean Renoir. Cela vaut aussi pour celle-ci, dont la mise en scène élégante et classique dérive peu à peu vers un onirisme noir.

Année : 2015

Avec : Adriana Asti, Aurélia Petit, Clotilde Mollet, Dominique Reymond, Hervé Pierre, Joséphine Derenne, Léa Seydoux, Mélodie Valemberg, Patrick d'Assumçao, Rosette, Vincent Lacoste, Vincent Lindon

Antérieurement en 2022
 

Journal d'une femme de chambre

Télévision : 8 août 2022 à 21:12-22:59 sur C8

film : drame

Au début du XXe siècle, Célestine, une jeune bonne, accepte une place en province, dans la riche demeure des Lanlaire. Immédiatement en butte à l'autorité maniaque de sa patronne et au lutinage de monsieur, elle passe ses journées à courir dans les escaliers et ses nuits à se souvenir de ses emplois précédents, notamment auprès d'un jeune bourgeois poitrinaire, au bord de la mer. Célestine étouffe à grand peine la rébellion qui gronde en elle. Joseph, l'homme à tout faire des Lanlaire, à l'abord bourru, commence à lui manifester de l'intérêt. Violemment antisémite, plus cupide qu'il ne le laisse paraître, il fait à Célestine une étrange proposition... - Critique : « Il n’y a pas de mauvaises places, il n’y a que de mauvais maîtres. » Placée chez une famille bourgeoise de province, Célestine, une jeune domestique, doit affronter Madame, vipère mesquine, et Monsieur, adepte du droit de cuissage. Tout près rôde Joseph, le jardinier rustre que seule anime sa haine des Juifs… Après Renoir et Buñuel, Benoit Jacquot s’empare du roman d’Octave Mirbeau, publié en 1900. Inégalité des sexes, brutalité du monde du travail, tentation extrémiste des petites gens : le passé l’intéresse comme le reflet cruel de la modernité. À la fois cynique et attachante, Célestine a beau être une victime, elle a le panache insolent des soubrettes de Molière et la fragilité dangereuse des mal-aimés. La satire vise les mœurs de cette bourgeoisie qui n’apprécie la valeur des objets qu’à l’aune de ce qu’ils ont coûté. « Une tragédie burlesque, aux confins de l’atrocité et de la farce », disait André Bazin de l’adaptation de Jean Renoir. Cela vaut aussi pour celle-ci, dont la mise en scène élégante et classique dérive peu à peu vers un onirisme noir.

Année : 2015

De : Benoît Jacquot

Avec : Adriana Asti, Aurélia Petit, Clotilde Mollet, Dominique Reymond, Hervé Pierre, Joséphine Derenne, Léa Seydoux, Mélodie Valemberg, Patrick d'Assumçao, Rosette, Vincent Lacoste, Vincent Lindon

Antérieurement en 2022
 

Journal d'une femme de chambre

Télévision : 8 août 2022 à 21:10-22:50 sur C8

film : drame

Au début du XXe siècle, Célestine, une jeune bonne, accepte une place en province, dans la riche demeure des Lanlaire. Immédiatement en butte à l'autorité maniaque de sa patronne et au lutinage de monsieur, elle passe ses journées à courir dans les escaliers et ses nuits à se souvenir de ses emplois précédents, notamment auprès d'un jeune bourgeois poitrinaire, au bord de la mer. Célestine étouffe à grand peine la rébellion qui gronde en elle. Joseph, l'homme à tout faire des Lanlaire, à l'abord bourru, commence à lui manifester de l'intérêt. Violemment antisémite, plus cupide qu'il ne le laisse paraître, il fait à Célestine une étrange proposition... - Critique : « Il n’y a pas de mauvaises places, il n’y a que de mauvais maîtres. » Placée chez une famille bourgeoise de province, Célestine, une jeune domestique, doit affronter Madame, vipère mesquine, et Monsieur, adepte du droit de cuissage. Tout près rôde Joseph, le jardinier rustre que seule anime sa haine des Juifs… Après Renoir et Buñuel, Benoit Jacquot s’empare du roman d’Octave Mirbeau, publié en 1900. Inégalité des sexes, brutalité du monde du travail, tentation extrémiste des petites gens : le passé l’intéresse comme le reflet cruel de la modernité. À la fois cynique et attachante, Célestine a beau être une victime, elle a le panache insolent des soubrettes de Molière et la fragilité dangereuse des mal-aimés. La satire vise les mœurs de cette bourgeoisie qui n’apprécie la valeur des objets qu’à l’aune de ce qu’ils ont coûté. « Une tragédie burlesque, aux confins de l’atrocité et de la farce », disait André Bazin de l’adaptation de Jean Renoir. Cela vaut aussi pour celle-ci, dont la mise en scène élégante et classique dérive peu à peu vers un onirisme noir.

Année : 2015

De : Benoît Jacquot

Avec : Adriana Asti, Aurélia Petit, Clotilde Mollet, Dominique Reymond, Hervé Pierre, Joséphine Derenne, Léa Seydoux, Mélodie Valemberg, Patrick d'Assumçao, Rosette, Vincent Lacoste, Vincent Lindon

Antérieurement en 2018
 

Contes et nouvelles du XIXe siècle

Télévision : 6 juin 2018 à 00:55-02:00 sur Numéro 23

série dramatique

Un gentilhomme - Saison : 2 - Episode : 6 - Charles Varnat, un jeune écrivain vivant dans le plus grand dénuement, est engagé comme secrétaire particulier d'un gentilhomme normand, le marquis d'Amblezy. Son nouveau maître tient les rênes de la région. Il domine les pauvres et les riches, emploie comme garde-chasse un ancien braconnier et abat tous ceux qui se permettent de le contrer. Varnat, outré par l'odieuse conduite du marquis avec sa femme, se rapproche de l'épouse délaissée. Le coup d'Etat du 16 mai 1877 attise les ambitions politiques d'Amblezy qui s'y rallie. Il lui faut gagner les élections locales et il utilise Varnat dans ce but... Critique : Derrière un délicat gilet de soie, l'indigent plumitif masque sa détresse. A deux doigts de la disette, Charles reçoit enfin la lettre d'embauche tant attendue. Convoqué par le marquis d'Amblezy, le jeune nègre littéraire va devenir le secrétaire d'un rude hobereau normand. Liant sa destinée à celle de l'opportuniste marquis, le scribe malléable devra supporter bassesses et humiliations. Roman inachevé, Un gentilhomme devait revêtir la forme d'une ample fresque politique, entre le coup d'Etat de Mac-Mahon et les premières années du xxe siècle. Publiés en 1920, trois ans après la disparition d'Octave Mirbeau, les trois chapitres de ce récit posthume opposent la servilité d'un petit scribouillard aux calculs d'un insaisissable ­potentat local. Exploitant la veine satirique et sociale, Laurent Heynemann parvient à rendre crédibles ces luttes d'influences dans la IIIe ­République balbutiante. Parmi les tenants de l'ordre clérical et ­militaire, dressé contre la « bande à Gambetta », le marquis d'Ambrezy bénéficie de la puissance comminatoire de Daniel Russo.En prolétaire de l'écriture, Yannick Renier oscille entre mauvaise conscience et avidité : l'exact dilemme vécu par Octave Mirbeau, à ses débuts. — Hélène Rochette

De : Laurent Heynemann

Avec : Daniel Russo, Yannick Renier, Christophe Vandevelde, Philippe Uchan, Philippe Rigot, Anne Caillon, Gaëlle Bona, François Rostain

Antérieurement en 2018
 

La turbulence Rodin

Télévision : 27 mai 2018 à 17:35-18:30 sur Arte

documentaire : beaux-arts

Longtemps incompris, Auguste Rodin a inscrit son oeuvre à l'avant-garde de son époque, qui connaissait pourtant un bouillonnement artistique magistral. Critique : A l'occasion du centenaire de la mort d'Auguste Rodin (1840-1917), Arte ouvre une soirée qui lui est largement consacrée avec ce bon documentaire à vocation pédagogique. La Turbulence Rodin retrace avec beaucoup de soin le parcours de l'artiste dont il éclaire la production, l'inscrivant dans la France de son temps pour nous faire mesurer l'ampleur de son apport comme de sa modernité . Si l'on n'y trouve pas l'audace stylistique dont fait montre Et Rodin créa La Porte de l'enfer (à 23h40), Claire Duguet et Leslie Grunberg ont habilement contourné les écueils du récit biographique, en soumettant l'évocation de la vie du sculpteur à celle, plus passionnante, de son oeuvre. De même ont-ils été particulièrement bien inspirés de se passer de la parole d'historiens et de critiques d'art d'aujourd'hui, pour retenir des phrases de Claude Monet, d'Octave Mirbeau, de Rainer Maria Rilke, ou des fragments d'échanges de l'artiste avec Camille Claudel. Leur film y gagne en puissance d'évocation sans y perdre en érudition. Ultime preuve de sa qualité : ayant vu La Turbulence Rodin, on est curieux d'en apprendre plus, tant il ouvre plus de portes qu'il n'en ferme, n'épuisant pas plus le spectateur que le sujet traité. — François Ekchajzer

Année : 2017

De : Claire Duguet

Antérieurement en 2018
 

Contes et nouvelles du XIXe siècle

Télévision : 11 mai 2018 à 23:05-00:05 sur Numéro 23

série dramatique

Un gentilhomme - Saison : 2 - Episode : 6 - Charles Varnat, un jeune écrivain vivant dans le plus grand dénuement, est engagé comme secrétaire particulier d'un gentilhomme normand, le marquis d'Amblezy. Son nouveau maître tient les rênes de la région. Il domine les pauvres et les riches, emploie comme garde-chasse un ancien braconnier et abat tous ceux qui se permettent de le contrer. Varnat, outré par l'odieuse conduite du marquis avec sa femme, se rapproche de l'épouse délaissée. Le coup d'Etat du 16 mai 1877 attise les ambitions politiques d'Amblezy qui s'y rallie. Il lui faut gagner les élections locales et il utilise Varnat dans ce but... Critique : Derrière un délicat gilet de soie, l'indigent plumitif masque sa détresse. A deux doigts de la disette, Charles reçoit enfin la lettre d'embauche tant attendue. Convoqué par le marquis d'Amblezy, le jeune nègre littéraire va devenir le secrétaire d'un rude hobereau normand. Liant sa destinée à celle de l'opportuniste marquis, le scribe malléable devra supporter bassesses et humiliations. Roman inachevé, Un gentilhomme devait revêtir la forme d'une ample fresque politique, entre le coup d'Etat de Mac-Mahon et les premières années du xxe siècle. Publiés en 1920, trois ans après la disparition d'Octave Mirbeau, les trois chapitres de ce récit posthume opposent la servilité d'un petit scribouillard aux calculs d'un insaisissable ­potentat local. Exploitant la veine satirique et sociale, Laurent Heynemann parvient à rendre crédibles ces luttes d'influences dans la IIIe ­République balbutiante. Parmi les tenants de l'ordre clérical et ­militaire, dressé contre la « bande à Gambetta », le marquis d'Ambrezy bénéficie de la puissance comminatoire de Daniel Russo.En prolétaire de l'écriture, Yannick Renier oscille entre mauvaise conscience et avidité : l'exact dilemme vécu par Octave Mirbeau, à ses débuts. — Hélène Rochette

De : Laurent Heynemann

Avec : Daniel Russo, Yannick Renier, Christophe Vandevelde, Philippe Uchan, Philippe Rigot, Anne Caillon, Gaëlle Bona, François Rostain