Mika : dernières sorties Netflix et passages TV

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Demain
 

The Voice, la plus belle voix

Télévision : samedi 30 mars à 21:10-23:40 sur TF1

divertissement

S'ils étaient 60 000 au casting, seuls les 100 meilleurs peuvent se présenter face aux coachs Mika, Vianney, Zazie et Bigflo & Oli. Chacun d'entre eux lutte pour faire sa place et intégrer les différentes équipes. Un des candidats choisis par Bigflo & Oli, Ugo Cicoletta, a la particularité d'avoir participé au casting deux ans auparavant.

Récemment en mars
 

La Scandinavie arctique

Télévision : 18 mars à 16:35-17:20 sur Arte

documentaire nature

Quand revient la nuit. Chaque année, autour du 21 juin, la Scandinavie se met en effervescence pour célébrer le solstice d'été. En Finlande, au nord du cercle polaire, un festival créé par les frères Aki et Mika Kaurismäki donne rendez-vous aux cinéphiles du monde entier sous le soleil de minuit, qui ne se couche presque jamais. Les rennes, les élans et les ours bruns profitent de l'abondance de nourriture.

Récemment en mars
 

La vie secrète des chats

Télévision : 17 mars à 09:20-10:35 sur RMC Story

documentaire animalier

Chats de gouttière vs. chats de race. Saison:3 - Episode:9 - Le périple commence en Haute-Savoie avec Gloria, une ragdoll à la beauté indéniable, mais dont les autres qualités sautent moins aux yeux de ses propriétaires : Karine et son fils Mika. Choupette est le sacré de Birmanie le plus fashion et le plus connu au monde : c'est celui de feu Karl Lagerfeld. Dans le Nord, enquête sur une sombre affaire de boule de poils. Qui parmi le scottish fold, le scottish straight et le chat de gouttière est coupable ? Ensuite, rencontre avec Richard et Angela, deux Anglais fans d'abyssins et propriétaires du doyen de la saison : Montague, 15 ans.

Année : 2019

Récemment en mars
 

The Voice, la plus belle voix

Télévision : 16 mars à 21:10-23:45 sur TF1

divertissement

Les nombreux candidats qui se présentent face aux coachs, Zazie, Vianney, Mika et Bigflo & Oli, doivent faire face à leur exigence de plus en plus élevée. C'est notamment le cas de Ninon, la Montpellieraine, dont la fausse note a fait sursauter Mika, qui n'a pas hésité à le lui faire remarquer.

Récemment en mars
 

Merci pour le chocolat

Télévision : 15 mars à 21:08-22:48 sur France 5

film policier

A Lausanne, André Polonski, célèbre pianiste, et Marie-Claire - dite Mika - Muller, PDG des chocolats Muller, redeviennent mari et femme après un premier mariage raté. Entretemps, le virtuose a épousé une certaine Lisbeth, qui lui a donné un fils, Guillaume, avant de se tuer dans un accident de voiture. Alors qu'André et Mika entament leur seconde vie conjugale, Jeanne Pollet, une jeune pianiste, apprend qu'à sa naissance, elle a failli être échangée avec Guillaume. Curieuse, la jeune femme décide de rendre une petite visite aux Polonski. Elle est accueillie à bras ouverts. André lui propose même de la faire travailler en vue du concours. Très vite, Jeanne est intriguée par le comportement de Mika... - Critique : Comment ferait-on sans lui ? Claude Chabrol, 70 ans, cinquante-deux films au compteur, est le seul cinéaste de sa génération ­ celle de la Nouvelle Vague ­ à continuer à nous fixer un rendez-vous quasi annuel. Mieux, deux ou trois fois par décennie, ce rendez-vous dépasse le simple agrément de retrouvailles pépères, pour atteindre au Graal de tout spectateur de cinéma : une fête de l'ambiguïté et de la manipulation, un pur plaisir de jeu.Derrière son titre débonnaire comme une politesse de maison de retraite, Merci pour le chocolat appartient à cette catégorie-là, celle de La Cérémonie, par exemple. Pas seulement parce que Claude Chabrol retrouve la coscénariste de ce film (Caroline Eliacheff) et adapte un roman (de Charlotte Armstrong) à tonalité criminelle. Plutôt parce qu'il semble avoir concentré dans ce nouvel opus tout ce qui l'inspire le plus depuis longtemps déjà : le mal, le faux et... Isabelle Huppert.Une fois encore, l'interprète de Violette Nozière et d'Une affaire de femmes écope d'une partition de première classe. Un prénom tendrement lacté, Mika, pour un personnage méchamment intrigant : cette héritière d'une grande famille de chocolatiers suisses, domiciliée à Lausanne, est un casse-tête fait femme. Qu'elle se remarie ­ la toute première scène ­ avec le grand pianiste André Polonski (Jacques Dutronc), qu'elle dirige un conseil d'administration au siège de sa société ou qu'elle prépare du bon chocolat chaud dans la cuisine de son castel, sous l'oeil de sa bonne, l'affable Mika a toujours l'air d'en faire un peu trop, comme au théâtre. Ce surjeu permanent, assorti de reparties discrètement aberrantes, d'exclamations désuètes et de maladresse notoire (renverser le chocolat sur la moquette pure laine, par exemple), n'est pas seulement d'une surprenante drôlerie. Il résonne comme une menace. Une menace dont Mika serait à la fois la source et la cible.Avec cette dame cousue de fil blanc (la dame, pas le rôle), qui aimante irrésistiblement l'oeil et l'oreille, on est en pleine spécialité chabrolienne : du cinéma de personnages encore plus que du cinéma d'intrigue. De fait, l'histoire de Merci pour le chocolat tiendrait au dos d'une tablette et, surtout, se résume peu ou prou au passé des protagonistes. D'abord, une jeune et jolie Jeanne fait irruption dans la maison et dans la vie de Mika et de son mari. Cette brune pleine d'aplomb et d'ambition, qui se destine à la carrière de pianiste, vient d'apprendre qu'elle a failli être échangée le jour de sa naissance avec Guillaume Polonski, le falot fiston du musicien virtuose. Ensuite, on com- prend que la mère de Guillaume est morte lorsque ce dernier avait 6 ans, dans un accident de voiture, à l'occasion d'un passage en Suisse, chez Mika...Si cette intrigue est ténue et, pour tout dire, cousine de celle du premier téléfilm policier venu, Chabrol n'a pas son pareil pour nous persuader du contraire. Objectivement exempt de rebondissement majeur (avant le dénouement), Merci pour le chocolat donne sans cesse l'illusion délicieuse que quelque chose d'exceptionnel se trame ou est sur le point de se produire. Merci pour la mise en scène donc, et pour tous ces détails incongrus sur lesquels le cinéaste se garde bien de s'attarder, mais qu'on ne peut s'empêcher d'ausculter avidement comme autant d'indices, de prémices... Cela va de la forme phallique du thermos plein de chocolat que Mika promène partout dans sa demeure à la toile d'araignée en crochet qu'elle tisse à ses moments perdus...Et comme toujours chez Chabrol, ce sont les acteurs qui véhiculent, chacun dans son registre, les signaux les plus savoureux, ou les plus effrayants. Savante « absence » de Jacques Dutronc, dans le rôle de l'artiste qui ne peut s'ouvrir qu'à sa semblable, Jeanne, l'élève surdouée ; alarmante immaturité du rejeton Polonski (Rodolphe Pauly), dangereusement couvé par Mika ; témérité exagérément indiscrète de Jeanne (Anna Mouglalis, une révélation) ; cascades de lapsus de sa mère (Brigitte Catillon)...Le cas d'Isabelle Huppert est à part. Au-delà de sa performance, son personnage touche à la quintessence de la comédie humaine observée par Chabrol depuis quarante ans. Mika n'est qu'un masque ambulant. Comme la plupart des figures chabroliennes, cette grande bourgeoise joue (mal) le rôle que la société lui a assigné.Mais contrairement aux autres, elle n'a nulle identité de rechange ou de secours, même chimérique, à substituer à cette mascarade. Pis, elle bute sur le terrible constat (assez inédit chez Chabrol) que tout le monde n'est pas logé à la même enseigne, c'est-à-dire réduit, comme elle, à « faire semblant ». Et cela donne un tour vertigineux à la chute du film.La chute, c'est bien le mot, car au terme d'un drôle de suspense, riche en fausses pistes désinvoltes, cette histoire de préméditation meurtrière débouche abruptement sur « quelque chose ». Quelque chose de si simple et de si énorme que d'autres cinéastes s'efforceraient tant bien que mal d'en estomper la part d'invraisemblance. Chabrol, lui, fait l'inverse : il accentue soudain la dimension délirante de son scénario, et envoie balader toute contrainte de réalisme, selon une logique du « ça passe ou ça casse ». Ça passe. Tellement bien, même, qu'on se demande tout à coup si l'on ne vient pas d'assister à quelque film fantastique... Ce qui est tout de même assez fort de café pour une simple histoire de chocolat -Louis Guichard

Année : 2000

Avec : Alain Véronique, Anna Mouglalis, Brigitte Catillon, François Germond, Isabelle Huppert, Isolde Barth, Jacqueline Burnand, Jacques Dutronc, Lydia Andrei, Mathieu Simonet, Michel Robin, Rodolphe Pauly

Récemment en mars
 
Récemment en février
 

Ninja Assassin

Netflix : 29 février

Raizo, jeune ninja orphelin, a été entraîné à tuer par le clan Ozunu. Peu après l'exécution de celle qu'il aime (elle a trahi le clan), Raizo est en proie au doute, et quitte alors le clan afin de préparer sa vengeance... Des années plus tard, à Berlin, Raizo tombe sur l'agent d'Europol Mika Coretti qui, après avoir levé le voile sur une affaire politique mettant en cause une mystérieuse organisation asiatique, est devenue la cible du clan Ozunu. Traqués, tous deux se lancent dans une dangereuse course-poursuite...

De : James McTeigue

Avec : Rain, Naomie Harris, Sung Kang, Randall Duk Kim, Rick Yune, Yuki Iwamoto, Sho Kosugi

Récemment en janvier