Télévision : 30 janvier à 23:46-01:41 sur France 4
théâtre : pièce de théâtre
Elwood, sympathique doux dingue, ne quitte jamais son ami imaginaire, un lapin blanc d'1,90 mètres qu'il a nommé Harvey. Il ne passe pas inaperçu et ne cesse de chahuter la très policée bourgeoisie à laquelle il appartient...
De : Laurent Pelly, Stéphane Lebard
Avec : Agathe L'huillier, Christine Brücher, Emmanuel Daumas, Grégory Faive, Jacques Gamblin, Katell Jan, Kevin Sinesi, Lydie Pruvot, Pierre Aussedat, Thomas Condemine
Télévision : 14 janvier à 21:00-22:55 sur France 4
théâtre : pièce de théâtre
Elwood, sympathique doux dingue, ne quitte jamais son ami imaginaire, un lapin blanc d'1,90 mètres qu'il a nommé Harvey. Il ne passe pas inaperçu et ne cesse de chahuter la très policée bourgeoisie à laquelle il appartient...
De : Laurent Pelly, Stéphane Lebard
Avec : Agathe L'huillier, Christine Brücher, Emmanuel Daumas, Grégory Faive, Jacques Gamblin, Katell Jan, Kevin Sinesi, Lydie Pruvot, Pierre Aussedat, Thomas Condemine
Cinéma : 2 mars 2019
Editeur : Pathé Live
Année : 2019
De : Laurent Pelly
Avec : Pretty Yende, Stephanie Blythe, Javier Camarena
Cinéma : 28 avril 2018
Année : 2018
De : Laurent Pelly
Avec : Joyce DiDonato, Alice Coote, Stephanie Blythe, Kathleen Kim, Laurent Naouri
Télévision : 8 avril 2018 à 02:25-04:40 sur France 3
opéra bouffe
Fridolin, le prince héritier, veut éponger ses dettes en épousant Cunégonde, certes affreuse, mais dont la conséquente dot lui serait fort utile. C'est alors que la sorcière Coloquinte transforme un potager en cour royale. Une carotte devient roi, le Roi Carotte, un fieffé fanfaron, idiot et dictatorial. Les (més) aventures ne font que commencer, mais fort heureusement, la fin du conte verra la Carotte chassée du pouvoir, le retour en grâce de Fridolin, et ses noces avec sa dulcinée, la belle Rosée du Soir... Critique : Peu joué depuis sa création (sa coûteuse version originale durait six heures), Le Roi Carotte est un « opéra-bouffe-féerie » composé par Jacques Offenbach sur un livret de Victorien Sardou. Cette fantaisie satirico-potagère teintée de merveilleux a resurgi fin 2015 à l'Opéra de Lyon, sous les bons auspices du metteur en scène Laurent Pelly et de sa complice Agathe Mélinand. L'argument ? Déterrée (et animée) par la sorcière Coloquinte, une carotte hargneuse chipe son trône au roi Fridolin XXIV, secouru par un génie ambivalent, une délicieuse princesse et un ex-ministre champion du retournement de veste. Le suspense étant réduit, précisons que ça se termine en julienne de carotte, et dans l'allégresse générale. Belle et drôle, la scénographie de Chantal Thomas enchante, avec ces grandes armoires-bibliothèques qui ouvrent des portes entre les mondes, ces apparitions d'objets géants qui bouleversent nos points de repère, et ce goût du détail absurde qui fait de chaque scène un inépuisable réservoir de surprises visuelles. Musicalement, le spectacle se révèle tout aussi réjouissant, grâce à l'Orchestre de l'Opéra de Lyon, la direction nette et pleine d'allant de Victor Aviat, des choeurs très impliqués et une distribution vocale aux petits oignons. — Sophie Bourdais
Télévision : 8 avril 2018 à 02:20-04:37 sur France 3
opéra bouffe
Fridolin, le prince héritier, veut éponger ses dettes en épousant Cunégonde, certes affreuse, mais dont la conséquente dot lui serait fort utile. C'est alors que la sorcière Coloquinte transforme un potager en cour royale. Une carotte devient roi, le Roi Carotte, un fieffé fanfaron, idiot et dictatorial. Les (més) aventures ne font que commencer, mais fort heureusement, la fin du conte verra la Carotte chassée du pouvoir, le retour en grâce de Fridolin, et ses noces avec sa dulcinée, la belle Rosée du Soir... Critique : Peu joué depuis sa création (sa coûteuse version originale durait six heures), Le Roi Carotte est un « opéra-bouffe-féerie » composé par Jacques Offenbach sur un livret de Victorien Sardou. Cette fantaisie satirico-potagère teintée de merveilleux a resurgi fin 2015 à l'Opéra de Lyon, sous les bons auspices du metteur en scène Laurent Pelly et de sa complice Agathe Mélinand. L'argument ? Déterrée (et animée) par la sorcière Coloquinte, une carotte hargneuse chipe son trône au roi Fridolin XXIV, secouru par un génie ambivalent, une délicieuse princesse et un ex-ministre champion du retournement de veste. Le suspense étant réduit, précisons que ça se termine en julienne de carotte, et dans l'allégresse générale. Belle et drôle, la scénographie de Chantal Thomas enchante, avec ces grandes armoires-bibliothèques qui ouvrent des portes entre les mondes, ces apparitions d'objets géants qui bouleversent nos points de repère, et ce goût du détail absurde qui fait de chaque scène un inépuisable réservoir de surprises visuelles. Musicalement, le spectacle se révèle tout aussi réjouissant, grâce à l'Orchestre de l'Opéra de Lyon, la direction nette et pleine d'allant de Victor Aviat, des choeurs très impliqués et une distribution vocale aux petits oignons. — Sophie Bourdais
Télévision : 2 avril 2018 à 02:10-04:30 sur France 3
opéra bouffe
Fridolin, le prince héritier, veut éponger ses dettes en épousant Cunégonde, certes affreuse, mais dont la conséquente dot lui serait fort utile. C'est alors que la sorcière Coloquinte transforme un potager en cour royale. Une carotte devient roi, le Roi Carotte, un fieffé fanfaron, idiot et dictatorial. Les (més) aventures ne font que commencer, mais fort heureusement, la fin du conte verra la Carotte chassée du pouvoir, le retour en grâce de Fridolin, et ses noces avec sa dulcinée, la belle Rosée du Soir... Critique : Peu joué depuis sa création (sa coûteuse version originale durait six heures), Le Roi Carotte est un « opéra-bouffe-féerie » composé par Jacques Offenbach sur un livret de Victorien Sardou. Cette fantaisie satirico-potagère teintée de merveilleux a resurgi fin 2015 à l'Opéra de Lyon, sous les bons auspices du metteur en scène Laurent Pelly et de sa complice Agathe Mélinand. L'argument ? Déterrée (et animée) par la sorcière Coloquinte, une carotte hargneuse chipe son trône au roi Fridolin XXIV, secouru par un génie ambivalent, une délicieuse princesse et un ex-ministre champion du retournement de veste. Le suspense étant réduit, précisons que ça se termine en julienne de carotte, et dans l'allégresse générale. Belle et drôle, la scénographie de Chantal Thomas enchante, avec ces grandes armoires-bibliothèques qui ouvrent des portes entre les mondes, ces apparitions d'objets géants qui bouleversent nos points de repère, et ce goût du détail absurde qui fait de chaque scène un inépuisable réservoir de surprises visuelles. Musicalement, le spectacle se révèle tout aussi réjouissant, grâce à l'Orchestre de l'Opéra de Lyon, la direction nette et pleine d'allant de Victor Aviat, des choeurs très impliqués et une distribution vocale aux petits oignons. — Sophie Bourdais
Télévision : 25 mars 2018 à 00:45-04:00 sur France 3
opéra bouffe
Fridolin, le prince héritier, veut éponger ses dettes en épousant Cunégonde, certes affreuse, mais dont la conséquente dot lui serait fort utile. C'est alors que la sorcière Coloquinte transforme un potager en cour royale. Une carotte devient roi, le Roi Carotte, un fieffé fanfaron, idiot et dictatorial. Les (més) aventures ne font que commencer, mais fort heureusement, la fin du conte verra la Carotte chassée du pouvoir, le retour en grâce de Fridolin, et ses noces avec sa dulcinée, la belle Rosée du Soir... Critique : Peu joué depuis sa création (sa coûteuse version originale durait six heures), Le Roi Carotte est un « opéra-bouffe-féerie » composé par Jacques Offenbach sur un livret de Victorien Sardou. Cette fantaisie satirico-potagère teintée de merveilleux a resurgi fin 2015 à l'Opéra de Lyon, sous les bons auspices du metteur en scène Laurent Pelly et de sa complice Agathe Mélinand. L'argument ? Déterrée (et animée) par la sorcière Coloquinte, une carotte hargneuse chipe son trône au roi Fridolin XXIV, secouru par un génie ambivalent, une délicieuse princesse et un ex-ministre champion du retournement de veste. Le suspense étant réduit, précisons que ça se termine en julienne de carotte, et dans l'allégresse générale. Belle et drôle, la scénographie de Chantal Thomas enchante, avec ces grandes armoires-bibliothèques qui ouvrent des portes entre les mondes, ces apparitions d'objets géants qui bouleversent nos points de repère, et ce goût du détail absurde qui fait de chaque scène un inépuisable réservoir de surprises visuelles. Musicalement, le spectacle se révèle tout aussi réjouissant, grâce à l'Orchestre de l'Opéra de Lyon, la direction nette et pleine d'allant de Victor Aviat, des choeurs très impliqués et une distribution vocale aux petits oignons. — Sophie Bourdais