L'Homme nouveau :

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Antérieurement en 2022
 

URSS : l'empire rouge

Télévision : 25 octobre 2022 à 20:55-21:45 sur Arte

documentaire histoire

De "l'homme nouveau" à la Grande Terreur. Saison:1 - Episode:1 - Voilà tout juste un siècle, en 1922, l'Union soviétique était créée. Pour répondre aux besoins de cet immense territoire, Staline met en place un système de collectivisation des fermes et amorce une industrialisation accélérée. Il en résulte, entre autres, une famine qui fait des millions de morts en Ukraine et des camps du Goulag où s'échinent des milliers de travailleurs forcés. Avec la période des grandes purges, l'URSS franchit un nouveau cap. Entre 1937 et 1938, quelque 600 000 personnes sont exécutées. Quant au pacte germano-soviétique de 1939, il marque le début d'une importante politique d'expansion, notamment en Pologne et dans les pays Baltes.

Année : 2022

Antérieurement en 2017
 

Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des ...

Télévision : 22 octobre 2017 à 14:30-16:00 sur La Chaîne Parlementaire

film : comédie

Hommage tendre et moqueur à une mère militante au PC et à ceux qui vendaient L'Humanité en attendant un monde meilleur venu de l'Est. Balasko est épatante. - Critique : Film de Jean-Jacques Zilbermann (France, 1993). Scénario : J.-J. Zilbermann et Nicolas Boukhrief. Image : Bruno Delbonnel. Musique : Serge Franklin. 105 mn. Avec Josiane Balasko : Irène. Maurice Bénichou : Bernard. Catherine Hiegel : Régine. Victor Nieznanov : Ivan. Jérémy Davis : Petit Léon. Jean-François Derec : Charlot. Genre : comédie nostalgique. Septembre 1958 : de Gaulle s'apprête à soumettre la constitution de la Ve Répu-blique au référendum. Irène, mère de famille, milite avec ardeur pour le parti communiste et pour la victoire du « non ». Sa passion politique agace Bernard, son mari, qui en est jaloux. L'arrivée en ville des choeurs de l'armée Rouge va bouleverser cette « guerre froide » domestique... Dès le titre, Jean-Jacques Zilbermann rend un hommage tendre et moqueur à sa mère, militante au PC. Et à toutes ces petites gens qui vendaient L'Humanité au coin des rues et croyaient avec ferveur que l'Homme nouveau était en train de naître, quelque part à l'Est. Josiane Balasko, en figure de proue de cette évocation nostalgique, est épatante, mi-pasionaria, mi-popote. En guise d'évasion, sa romance avec un baryton soviétique est à la fois -cocasse et émouvante. Et tant pis pour les quelques personnages secondaires peu étudiés ou caricaturaux (le Russe jovial, la militante bornée...) ! Zilbermann a réussi un film plein de charme, affectueux mais pas complaisant, qui se feuillette comme un album de photos de famille. On peut s'attendrir, s'ennuyer ou reconnaître quelqu'un, c'est selon, puisque, de toute façon, tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes... Cécile Mury

Année : 1993

Antérieurement en 2017
 

Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des ...

Télévision : 22 octobre 2017 à 01:00-02:30 sur La Chaîne Parlementaire

film : comédie

Hommage tendre et moqueur à une mère militante au PC et à ceux qui vendaient L'Humanité en attendant un monde meilleur venu de l'Est. Balasko est épatante. - Critique : Film de Jean-Jacques Zilbermann (France, 1993). Scénario : J.-J. Zilbermann et Nicolas Boukhrief. Image : Bruno Delbonnel. Musique : Serge Franklin. 105 mn. Avec Josiane Balasko : Irène. Maurice Bénichou : Bernard. Catherine Hiegel : Régine. Victor Nieznanov : Ivan. Jérémy Davis : Petit Léon. Jean-François Derec : Charlot. Genre : comédie nostalgique. Septembre 1958 : de Gaulle s'apprête à soumettre la constitution de la Ve Répu-blique au référendum. Irène, mère de famille, milite avec ardeur pour le parti communiste et pour la victoire du « non ». Sa passion politique agace Bernard, son mari, qui en est jaloux. L'arrivée en ville des choeurs de l'armée Rouge va bouleverser cette « guerre froide » domestique... Dès le titre, Jean-Jacques Zilbermann rend un hommage tendre et moqueur à sa mère, militante au PC. Et à toutes ces petites gens qui vendaient L'Humanité au coin des rues et croyaient avec ferveur que l'Homme nouveau était en train de naître, quelque part à l'Est. Josiane Balasko, en figure de proue de cette évocation nostalgique, est épatante, mi-pasionaria, mi-popote. En guise d'évasion, sa romance avec un baryton soviétique est à la fois -cocasse et émouvante. Et tant pis pour les quelques personnages secondaires peu étudiés ou caricaturaux (le Russe jovial, la militante bornée...) ! Zilbermann a réussi un film plein de charme, affectueux mais pas complaisant, qui se feuillette comme un album de photos de famille. On peut s'attendrir, s'ennuyer ou reconnaître quelqu'un, c'est selon, puisque, de toute façon, tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes... Cécile Mury

Année : 1993

Antérieurement en 2017
 

Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des ...

Télévision : 14 octobre 2017 à 17:00-18:30 sur La Chaîne Parlementaire

film : comédie

Hommage tendre et moqueur à une mère militante au PC et à ceux qui vendaient L'Humanité en attendant un monde meilleur venu de l'Est. Balasko est épatante. - Critique : Film de Jean-Jacques Zilbermann (France, 1993). Scénario : J.-J. Zilbermann et Nicolas Boukhrief. Image : Bruno Delbonnel. Musique : Serge Franklin. 105 mn. Avec Josiane Balasko : Irène. Maurice Bénichou : Bernard. Catherine Hiegel : Régine. Victor Nieznanov : Ivan. Jérémy Davis : Petit Léon. Jean-François Derec : Charlot. Genre : comédie nostalgique. Septembre 1958 : de Gaulle s'apprête à soumettre la constitution de la Ve Répu-blique au référendum. Irène, mère de famille, milite avec ardeur pour le parti communiste et pour la victoire du « non ». Sa passion politique agace Bernard, son mari, qui en est jaloux. L'arrivée en ville des choeurs de l'armée Rouge va bouleverser cette « guerre froide » domestique... Dès le titre, Jean-Jacques Zilbermann rend un hommage tendre et moqueur à sa mère, militante au PC. Et à toutes ces petites gens qui vendaient L'Humanité au coin des rues et croyaient avec ferveur que l'Homme nouveau était en train de naître, quelque part à l'Est. Josiane Balasko, en figure de proue de cette évocation nostalgique, est épatante, mi-pasionaria, mi-popote. En guise d'évasion, sa romance avec un baryton soviétique est à la fois -cocasse et émouvante. Et tant pis pour les quelques personnages secondaires peu étudiés ou caricaturaux (le Russe jovial, la militante bornée...) ! Zilbermann a réussi un film plein de charme, affectueux mais pas complaisant, qui se feuillette comme un album de photos de famille. On peut s'attendrir, s'ennuyer ou reconnaître quelqu'un, c'est selon, puisque, de toute façon, tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes... Cécile Mury

Année : 1993

De : Jean-Jacques Zilbermann

Avec : Josiane Balasko, Jacques Herlin, André Oumansky, Patrick Burgel, Maurice Bénichou, Jeremy Davis, Catherine Hiegel, Jean-François Dérec, Victor Nieznanov, Alexandre Piskariov, Alexis Maslov, Christine Dejoux

Antérieurement en 2017
 

Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des ...

Télévision : 8 octobre 2017 à 20:30-22:00 sur La Chaîne Parlementaire

film : comédie

Hommage tendre et moqueur à une mère militante au PC et à ceux qui vendaient L'Humanité en attendant un monde meilleur venu de l'Est. Balasko est épatante. - Critique : Film de Jean-Jacques Zilbermann (France, 1993). Scénario : J.-J. Zilbermann et Nicolas Boukhrief. Image : Bruno Delbonnel. Musique : Serge Franklin. 105 mn. Avec Josiane Balasko : Irène. Maurice Bénichou : Bernard. Catherine Hiegel : Régine. Victor Nieznanov : Ivan. Jérémy Davis : Petit Léon. Jean-François Derec : Charlot. Genre : comédie nostalgique. Septembre 1958 : de Gaulle s'apprête à soumettre la constitution de la Ve Répu-blique au référendum. Irène, mère de famille, milite avec ardeur pour le parti communiste et pour la victoire du « non ». Sa passion politique agace Bernard, son mari, qui en est jaloux. L'arrivée en ville des choeurs de l'armée Rouge va bouleverser cette « guerre froide » domestique... Dès le titre, Jean-Jacques Zilbermann rend un hommage tendre et moqueur à sa mère, militante au PC. Et à toutes ces petites gens qui vendaient L'Humanité au coin des rues et croyaient avec ferveur que l'Homme nouveau était en train de naître, quelque part à l'Est. Josiane Balasko, en figure de proue de cette évocation nostalgique, est épatante, mi-pasionaria, mi-popote. En guise d'évasion, sa romance avec un baryton soviétique est à la fois -cocasse et émouvante. Et tant pis pour les quelques personnages secondaires peu étudiés ou caricaturaux (le Russe jovial, la militante bornée...) ! Zilbermann a réussi un film plein de charme, affectueux mais pas complaisant, qui se feuillette comme un album de photos de famille. On peut s'attendrir, s'ennuyer ou reconnaître quelqu'un, c'est selon, puisque, de toute façon, tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes... Cécile Mury

Année : 1993

De : Jean-Jacques Zilbermann

Avec : Josiane Balasko, Jacques Herlin, André Oumansky, Patrick Burgel, Maurice Bénichou, Jeremy Davis, Catherine Hiegel, Jean-François Dérec, Victor Nieznanov, Alexandre Piskariov, Alexis Maslov, Christine Dejoux

Antérieurement en 2017
 

Les complices d'Hitler

Télévision : 11 août 2017 à 21:45-22:40 sur RMC Découverte

documentaire

Schirach, le meneur de la jeunesse - Dans les régimes dictatoriaux, la politique envers la jeunesse fait l'objet de tous les soins des détenteurs du pouvoir. Baldur von Schirach se sert de la jeunesse allemande pour construire l'édifice du pouvoir. Ainsi, l'enseignement de l'histoire suit un cours inversé, partant du IIIe Reich pour remonter vers le passé, qui sert d'alibi à la supériorité de l'«homme nouveau» et à démontrer que la fondation de cet empire était inéluctable.

Année : 1998

De : Guido Knopp