Joshua Mazé : passages TV et dernières sorties Netflix

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Antérieurement en 2021
 

Lou Journal infime

Télévision : 8 décembre 2021 à 01:33-03:13 sur Canal +

Comédie

Lou s'invente des mondes imaginaires pour rendre sa vie plus belle. Elle voudrait qu'Emma, sa maman, refasse enfin sa vie. Et pourquoi pas avec Richard le nouveau voisin ? De son côté, Lou craque pour le beau Tristan. C'est le temps des premiers amours, des premiers émois. Bref, l'adolescence...

Année : 2014

De : Julien Neel

Avec : Lola Lasseron, Ludivine Sagnier, Kyan Khojandi, Nathalie Baye, Julie Ferrier, Eden Hoch, Joshua Mazé, Lily Taieb, François Rollin, Marc Syrigas, Pierre Rousselet, Virgile Hurard, Léa Nataf, Téo Yacoub, Sacha Vassort, Anne Agbadou-Masson, Winston Ong, Pierre Mathis

Antérieurement en 2021
 

Lou Journal infime

Netflix : 1er mai 2021

À 12 ans, Lou passe ses journées à manger des plats tout prêts, à jouer avec son chat et à espionner son beau voisin. Mais sa mère tombe amoureuse, et tout change !

De : Julien Neel

Avec : Ludivine Sagnier, Kyan Khojandi, Lola Lasseron, Nathalie Baye, Julie Ferrier, Léa Nataf, Lily Taïeb, Eden Hoch, Joshua Mazé, Lily Taieb, Virgile Hurard

Antérieurement en 2020
 

Maman a tort

Télévision : 10 mai 2020 à 21:05-22:55 sur France 4

Comédie dramatique

Anouk, 14 ans, a hâte d'effectuer son stage d'observation de troisième dans la compagnie d'assurances où travaille sa mère Cyrielle. Mais dès le premier jour, l'adolescente se voit confier le rangement d'un placard rempli de dossiers. Une tâche qu'elle trouve ingrate et sans aucun interêt. Pire, au fil de cette semaine d'immersion, Anouk découvre brutalement un autre visage de sa mère, celle d'une femme froide et insensible à la détresse d'une jeune mère de famille endettée qui risque d'être expulsée du jour au lendemain. La jeune fille est alors confrontée au monde adulte de l'entreprise, avec ses petits arrangements et ses grandes lâchetés...

Année : 2016

De : Marc Fitoussi

Avec : Emilie Dequenne, Jeanne Jestin, Annie Grégorio, Camille Chamoux, Nelly Antignac, Jean-François Cayrey, Joshua Mazé, Louvia Bachelier, Lucie Fagedet, Sabrina Ouazani, Grégoire Ludig

Antérieurement en 2020
 

Lou Journal infime

Netflix : 30 avril 2020

À 12 ans, Lou passe ses journées à manger des plats tout prêts, à jouer avec son chat et à espionner son beau voisin. Mais sa mère tombe amoureuse, et tout change !

De : Julien Neel

Avec : Ludivine Sagnier, Kyan Khojandi, Lola Lasseron, Nathalie Baye, Julie Ferrier, Eden Hoch, Joshua Mazé, Lily Taieb, Léa Nataf, Virgile Hurard

Antérieurement en 2020
 

Lou Journal infime

Télévision : 31 mars 2020 à 01:25-03:05 sur Canal +

Comédie

Lou s'invente des mondes imaginaires pour rendre sa vie plus belle. Elle voudrait qu'Emma, sa maman qui lui consacre tout son temps, refasse enfin sa vie. Au fil des années, la jeune femme a perdu espoir de rencontrer un autre homme. Elle est toujours d'humeur mélancolique. Et cela ne s'arrange pas quand sa grand-mère, toujours ronchon, vient les voir. Lou voudrait que cela change. Emma aime bien Richard le nouveau voisin. Cela pourrait être le début d'une belle histoire. De son côté, Lou panique dès qu'elle voit Tristan. C'est le temps des premiers amours, des premiers émois. Bref, l'adolescence...

Année : 2014

De : Julien Neel

Avec : Lola Lasseron, Ludivine Sagnier, Kyan Khojandi, Nathalie Baye, Julie Ferrier, Eden Hoch, Joshua Mazé, Lily Taieb, François Rollin, Marc Syrigas, Pierre Rousselet, Virgile Hurard

Antérieurement en 2019
 

Lou Journal infime

Télévision : 6 novembre 2019 à 01:50-03:30 sur Canal +

Comédie

Lou s'invente des mondes imaginaires pour rendre sa vie plus belle. Elle voudrait qu'Emma, sa maman qui lui consacre tout son temps, refasse enfin sa vie. Au fil des années, la jeune femme a perdu espoir de rencontrer un autre homme. Elle est toujours d'humeur mélancolique. Et cela ne s'arrange pas quand sa grand-mère, toujours ronchon, vient les voir. Lou voudrait que cela change. Emma aime bien Richard le nouveau voisin. Cela pourrait être le début d'une belle histoire. De son côté, Lou panique dès qu'elle voit Tristan. C'est le temps des premiers amours, des premiers émois. Bref, l'adolescence...

Année : 2014

De : Julien Neel

Avec : Lola Lasseron, Ludivine Sagnier, Kyan Khojandi, Nathalie Baye, Julie Ferrier, Eden Hoch, Joshua Mazé, Lily Taieb, François Rollin, Marc Syrigas, Pierre Rousselet, Virgile Hurard

Antérieurement en 2018
 

Lou Journal infime

Télévision : 3 juillet 2018 à 20:55-22:30 sur France 4

film : comédie

Une ado vit seule avec sa mère, toutes deux rêveuses et farfelues. Adaptation ciné (avec de "vrais" acteurs et beaucoup de gadgets poético-kitsch) de la célèbre BD. Critique : | Genre : auto-adaptation. Lou, l’héroïne de la BD culte de Julien Neel, débarque au cinéma, interprétée par une mignonne inconnue, Lola Lasseron. L’auteur s’est chargé de l’adaptation et de la mise en scène, mêlant ses albums pour créer ce joli petit conte poético-kitsch, encombré de gadgets et de bibelots vintage. L’histoire toute mimi d’une préado blondinette qui vit seule avec sa maman farfelue (Ludivine Sagnier, totalement lunaire). Les voilà qui s’éveillent à l’amour, chacune de son côté, dans une variante pseudo-seventies d’Amélie Poulain — option tourne-disque et macramé. On préfère les petites séquences animées, pastiches originaux et tendrement ironiques de mangas SF japonais…

Année : 2014

Avec : Julien Neel, Lola Lasseron, Ludivine Sagnier, Kyan Khojandi, Nathalie Baye, Julie Ferrier, Eden Hoch, Joshua Mazé, Lily Taïeb, Julien Di Caro, Julien Neel, Marc Syrigas, Julien Neel

Antérieurement en 2017
 

Maman a tort

Télévision : 5 octobre 2017 à 10:20-12:10 sur Canal +

film : comédie dramatique

Une jeune fille de 14 ans, qui fait son stage de troisième obligatoire dans l'entreprise de sa mère, découvre la dureté des rapport sociaux et les terribles répercussions d'une économie uniquement fondée sur le chiffre. Un film sensible, drôle et intelligent, qui accorde une belle confiance à sa jeune héroïne. - Critique :

Anouk, 14 ans, est furieuse contre son père, qui n'a pas assuré. Il lui avait garanti un stage à la télévision — ce fameux stage d'observation obligatoire de troisième —, mais le projet s'est avéré foireux. Pour remédier à cette mésaventure de dernière minute, la maman (Emilie Dequenne), séparée du père, se propose de la prendre dans la compagnie d'assurances où elle travaille, mais dans un autre service. Malgré tout, elles sont amenées à partager quelques moments ensemble, le matin et le soir, lors des trajets en RER, le midi à la cantine. Elles se croisent, aussi, dans les couloirs et l'ascenseur. Anouk voit sa maman parler avec des collègues, subir sa hiérarchie. Dans ce cadre professionnel, ce n'est plus tout à fait la maman qu'elle connaît.

Marc Fitoussi (Copacabana, La Ritournelle), scénariste en plus d'être cinéaste, a eu là une bonne idée, dont il tire finement profit. Il crée une situation troublante en mélangeant ce qui est d'ordinaire séparé : sphères privée et professionnelle. Il le fait en épousant la plupart du temps le point de vue de sa jeune héroïne, Anouk, perspicace, raisonnée, curieuse. Il est rare qu'un cinéaste accorde une telle confiance à ce type de personnage et de jeune actrice (Jeanne Jestin, aussi juste dans la réserve que dans la pétulance). Les récits totalement enjolivés que la jeune demoiselle fait de son sta-ge à sa meilleure copine, ou ses aléas sentimentaux avec un autre stagiaire, mignon, rencontré à la cantine, se rattachent plus au teen-movie. Même là, le cinéaste se démarque, par son sens du détail, son goût de l'allusion, loin de toute démonstration.

L'enjeu principal, c'est bien le monde de l'entreprise. La vie de bureau avec ses codes et son théâtre. Personne ne sait ainsi très bien quoi faire d'Anouk. Elle échoue finalement dans le service de deux prétentieuses vachardes (numéro impayable des duettistes Nelly Antignac et Camille Chamoux) qui lui demandent de vider entièrement un cagibi pour l'aménager autrement. Plus fâcheux : elle découvre que sa mère, poussée à faire du chiffre et sous pression comme tant d'autres, s'est arrangée pour qu'une cliente ne soit pas indemnisée. Du coup, c'est tout le lien mère-fille qui s'en trouve chamboulé. Et qui incite Anouk — mûre, certes, mais candide et pas encore l'adulte qu'elle croit être — à se lancer dans une action secrète, afin que justice soit rendue.

Le film est à la fois cruel et plein de charme. La légèreté dont le cinéaste était coutumier jusque-là n'a pas complètement disparu. Maman a tort voisine autant avec la fable qu'avec la chronique sociale. Il s'y glisse, pourtant, mine de rien, une ambition sociétale nouvelle. Quelle valeur du travail transmet-on à nos enfants ? Quid de nos compromissions possibles, de la violence économique dont ils hériteront ? Le pétage de plomb carabiné d'une employée à la cantine, le cri d'une jeune fille dans une fête, la signature d'une tête de mort sur un mur le confirment : le film de Marc Fitoussi est bien une comédie, mais dramatique. — Jacques Morice

Année : 2016

De : Marc Fitoussi

Avec : Emilie Dequenne, Jeanne Jestin, Annie Grégorio, Camille Chamoux, Nelly Antignac, Jean-François Cayrey, Joshua Mazé, Louvia Bachelier, Lucie Fagedet, Sabrina Ouazani, Grégoire Ludig

Antérieurement en 2017
 

Maman a tort

Télévision : 5 octobre 2017 à 10:20-12:05 sur Canal +

film : comédie dramatique

Une jeune fille de 14 ans, qui fait son stage de troisième obligatoire dans l'entreprise de sa mère, découvre la dureté des rapport sociaux et les terribles répercussions d'une économie uniquement fondée sur le chiffre. Un film sensible, drôle et intelligent, qui accorde une belle confiance à sa jeune héroïne. - Critique :

Anouk, 14 ans, est furieuse contre son père, qui n'a pas assuré. Il lui avait garanti un stage à la télévision — ce fameux stage d'observation obligatoire de troisième —, mais le projet s'est avéré foireux. Pour remédier à cette mésaventure de dernière minute, la maman (Emilie Dequenne), séparée du père, se propose de la prendre dans la compagnie d'assurances où elle travaille, mais dans un autre service. Malgré tout, elles sont amenées à partager quelques moments ensemble, le matin et le soir, lors des trajets en RER, le midi à la cantine. Elles se croisent, aussi, dans les couloirs et l'ascenseur. Anouk voit sa maman parler avec des collègues, subir sa hiérarchie. Dans ce cadre professionnel, ce n'est plus tout à fait la maman qu'elle connaît.

Marc Fitoussi (Copacabana, La Ritournelle), scénariste en plus d'être cinéaste, a eu là une bonne idée, dont il tire finement profit. Il crée une situation troublante en mélangeant ce qui est d'ordinaire séparé : sphères privée et professionnelle. Il le fait en épousant la plupart du temps le point de vue de sa jeune héroïne, Anouk, perspicace, raisonnée, curieuse. Il est rare qu'un cinéaste accorde une telle confiance à ce type de personnage et de jeune actrice (Jeanne Jestin, aussi juste dans la réserve que dans la pétulance). Les récits totalement enjolivés que la jeune demoiselle fait de son sta-ge à sa meilleure copine, ou ses aléas sentimentaux avec un autre stagiaire, mignon, rencontré à la cantine, se rattachent plus au teen-movie. Même là, le cinéaste se démarque, par son sens du détail, son goût de l'allusion, loin de toute démonstration.

L'enjeu principal, c'est bien le monde de l'entreprise. La vie de bureau avec ses codes et son théâtre. Personne ne sait ainsi très bien quoi faire d'Anouk. Elle échoue finalement dans le service de deux prétentieuses vachardes (numéro impayable des duettistes Nelly Antignac et Camille Chamoux) qui lui demandent de vider entièrement un cagibi pour l'aménager autrement. Plus fâcheux : elle découvre que sa mère, poussée à faire du chiffre et sous pression comme tant d'autres, s'est arrangée pour qu'une cliente ne soit pas indemnisée. Du coup, c'est tout le lien mère-fille qui s'en trouve chamboulé. Et qui incite Anouk — mûre, certes, mais candide et pas encore l'adulte qu'elle croit être — à se lancer dans une action secrète, afin que justice soit rendue.

Le film est à la fois cruel et plein de charme. La légèreté dont le cinéaste était coutumier jusque-là n'a pas complètement disparu. Maman a tort voisine autant avec la fable qu'avec la chronique sociale. Il s'y glisse, pourtant, mine de rien, une ambition sociétale nouvelle. Quelle valeur du travail transmet-on à nos enfants ? Quid de nos compromissions possibles, de la violence économique dont ils hériteront ? Le pétage de plomb carabiné d'une employée à la cantine, le cri d'une jeune fille dans une fête, la signature d'une tête de mort sur un mur le confirment : le film de Marc Fitoussi est bien une comédie, mais dramatique. — Jacques Morice

Année : 2016

De : Marc Fitoussi

Avec : Emilie Dequenne, Jeanne Jestin, Annie Grégorio, Camille Chamoux, Nelly Antignac, Jean-François Cayrey, Joshua Mazé, Louvia Bachelier, Lucie Fagedet, Sabrina Ouazani, Grégoire Ludig

Antérieurement en 2017
 

Maman a tort

Télévision : 30 septembre 2017 à 08:00-09:50 sur Canal +

film : comédie dramatique

Une jeune fille de 14 ans, qui fait son stage de troisième obligatoire dans l'entreprise de sa mère, découvre la dureté des rapport sociaux et les terribles répercussions d'une économie uniquement fondée sur le chiffre. Un film sensible, drôle et intelligent, qui accorde une belle confiance à sa jeune héroïne. - Critique :

Anouk, 14 ans, est furieuse contre son père, qui n'a pas assuré. Il lui avait garanti un stage à la télévision — ce fameux stage d'observation obligatoire de troisième —, mais le projet s'est avéré foireux. Pour remédier à cette mésaventure de dernière minute, la maman (Emilie Dequenne), séparée du père, se propose de la prendre dans la compagnie d'assurances où elle travaille, mais dans un autre service. Malgré tout, elles sont amenées à partager quelques moments ensemble, le matin et le soir, lors des trajets en RER, le midi à la cantine. Elles se croisent, aussi, dans les couloirs et l'ascenseur. Anouk voit sa maman parler avec des collègues, subir sa hiérarchie. Dans ce cadre professionnel, ce n'est plus tout à fait la maman qu'elle connaît.

Marc Fitoussi (Copacabana, La Ritournelle), scénariste en plus d'être cinéaste, a eu là une bonne idée, dont il tire finement profit. Il crée une situation troublante en mélangeant ce qui est d'ordinaire séparé : sphères privée et professionnelle. Il le fait en épousant la plupart du temps le point de vue de sa jeune héroïne, Anouk, perspicace, raisonnée, curieuse. Il est rare qu'un cinéaste accorde une telle confiance à ce type de personnage et de jeune actrice (Jeanne Jestin, aussi juste dans la réserve que dans la pétulance). Les récits totalement enjolivés que la jeune demoiselle fait de son sta-ge à sa meilleure copine, ou ses aléas sentimentaux avec un autre stagiaire, mignon, rencontré à la cantine, se rattachent plus au teen-movie. Même là, le cinéaste se démarque, par son sens du détail, son goût de l'allusion, loin de toute démonstration.

L'enjeu principal, c'est bien le monde de l'entreprise. La vie de bureau avec ses codes et son théâtre. Personne ne sait ainsi très bien quoi faire d'Anouk. Elle échoue finalement dans le service de deux prétentieuses vachardes (numéro impayable des duettistes Nelly Antignac et Camille Chamoux) qui lui demandent de vider entièrement un cagibi pour l'aménager autrement. Plus fâcheux : elle découvre que sa mère, poussée à faire du chiffre et sous pression comme tant d'autres, s'est arrangée pour qu'une cliente ne soit pas indemnisée. Du coup, c'est tout le lien mère-fille qui s'en trouve chamboulé. Et qui incite Anouk — mûre, certes, mais candide et pas encore l'adulte qu'elle croit être — à se lancer dans une action secrète, afin que justice soit rendue.

Le film est à la fois cruel et plein de charme. La légèreté dont le cinéaste était coutumier jusque-là n'a pas complètement disparu. Maman a tort voisine autant avec la fable qu'avec la chronique sociale. Il s'y glisse, pourtant, mine de rien, une ambition sociétale nouvelle. Quelle valeur du travail transmet-on à nos enfants ? Quid de nos compromissions possibles, de la violence économique dont ils hériteront ? Le pétage de plomb carabiné d'une employée à la cantine, le cri d'une jeune fille dans une fête, la signature d'une tête de mort sur un mur le confirment : le film de Marc Fitoussi est bien une comédie, mais dramatique. — Jacques Morice

Année : 2016

De : Marc Fitoussi

Avec : Emilie Dequenne, Jeanne Jestin, Annie Grégorio, Camille Chamoux, Nelly Antignac, Jean-François Cayrey, Joshua Mazé, Louvia Bachelier, Lucie Fagedet, Sabrina Ouazani, Grégoire Ludig