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Demain

Dune : deuxième partie

Télévision : samedi 5 octobre à 09:07-11:48 sur Canal +

film de science-fiction

Déterminé à venger la mort de son père, victime d'un complot ourdi par l'empereur Shaddam IV et les Harkonnen, Paul désire profiter de sa proximité avec les Fremen pour mener son plan à bien et ainsi laver l'honneur de la Maison Atréides, dont il est désormais l'unique héritier. De sombres prémonitions le placent toutefois bien vite face à un cruel dilemme, puisqu'il prend conscience qu'il devra payer un lourd tribut s'il choisit de partir en guerre contre ses ennemis. Malgré ses inquiétantes visions, Paul décide de s'unir à Chani et aux Fremen pour tenter de mettre un terme aux agissements de l'empereur et ainsi libérer Arrakis... - Critique : Deux ans et demi après nous avoir laissés en suspens comme à la fin d’un épisode de série, Denis Villeneuve reprend pile où il s’était arrêté : dans les dunes d’Arrakis. Le jeune Paul Atréides (Timothée Chalamet) et sa mère Jessica (Rebecca Ferguson), dont le clan vient d’être massacré par ses ennemis Harkonnen, cheminent à présent au côté des Fremen, la population autochtone et rebelle de cette planète de sable… Une citation en pré-générique, « Le pouvoir sur l’Épice est le pouvoir sur toute chose », expédie les enjeux du livre-monde de Frank Herbert — par ailleurs clairement exposés dans le premier volet de l’adaptation, ce qui n’était pas une mince affaire. Il s’agit d’aller de l’avant, donc, dans cette suite sommée d’en mettre plein les mirettes et qui condense, en 2h46, l’ascension vengeresse de Paul, alias Usul, alias Muad’Dib, tout à la fois héritier Atréides, guerrier Fremen et messie malgré lui. Les belles images, Villeneuve sait faire, au point que d’aucuns lui ont reproché ses motifs d’architecte ou de cinéaste-décorateur. Il n’empêche, on retrouve ici sa patte épatante de créateur d’univers, de palais, vaisseaux et machines, entre organique et mécanique. Creusée dans la roche, la planque ocre des Fremen, avec son lac souterrain contenant l’eau recyclée des défunts, en constitue un exemple saisissant, de même que l’antre aux mille nuances de noir des sadiques Harkonnen. Bien entendu, Dune : deuxième partie, en jette, qui fait tomber du ciel les tueurs en armures (comme un écho fugace à l’averse de chiens morts dans le Daaaaaalí ! de Quentin Dupieux) ou danser les amoureux dans le désert, lorsque Chani (Zendaya) enseigne au novice comment marcher sans attirer les vers géants. Lesquels, très réussis, se chevauchent tels des mustangs, des TGV ou des chars d’assaut, selon les besoins, c’est à la fois impressionnant et pratique. Mimi Chalamet ? Un Paul Atréides, un poil plus mûr Blockbuster de luxe, le film aligne presque autant de stars que de grains de sable. Florence Pugh débarque en fille de l’Empereur rompue à la politique, Léa Seydoux en aristocrate également affiliée aux Bene Gesserit (l’ordre de comploteuses cosmiques dirigé par la Réverende Mère Charlotte Rampling), quand Austin Butler, la boule à zéro après la banane d’Elvis, campe le sociopathe chargé de mettre Arrakis au pas. De quoi produire du spectacle, à commencer par un combat de gladiateurs en noir et blanc chez ces dingos d’Harkonnen, et moult circonvolutions à défaut de vrais personnages, faute de temps pour exister. Le récit s’en trouve alourdi de mille possibles fantomatiques, dont on pressent que certains ont succombé au montage, tandis que d’autres adviendront dans une indispensable autant qu’inévitable troisième partie. Et mimi Chalamet, alors ? Silhouette de roseau et mèches folles, il porte sans faillir le fardeau de Paul Atréides, un poil plus mûr, plus dur, tandis que Rebecca Ferguson déploie toute la rouerie et l’ambiguïté de Lady Jessica dans la promotion acharnée de son messie de fils. C’est cette idée d’une prophétie construite de toutes pièces par les Bene Gesserit qui fascine et, à la fois, nous laisse sur notre faim. Toutes ces sorcières régissant des mondes sur des millénaires auraient mérité de voler la vedette aux scènes d’action. Regardez en vidéo l’avis de nos critiques

Année : 2024

Avec : Austin Butler, Charlotte Rampling, Christopher Walken, Dave Bautista, Florence Pugh, Javier Bardem, Josh Brolin, Léa Seydoux, Rebecca Ferguson, Stellan Skarsgård, Timothée Chalamet, Zendaya

Aujourd'hui

Dune : deuxième partie

Télévision : vendredi 4 octobre à 21:11-23:51 sur Canal +

film de science-fiction

Déterminé à venger la mort de son père, victime d'un complot ourdi par l'empereur Shaddam IV et les Harkonnen, Paul désire profiter de sa proximité avec les Fremen pour mener son plan à bien et ainsi laver l'honneur de la Maison Atréides, dont il est désormais l'unique héritier. De sombres prémonitions le placent toutefois bien vite face à un cruel dilemme, puisqu'il prend conscience qu'il devra payer un lourd tribut s'il choisit de partir en guerre contre ses ennemis. Malgré ses inquiétantes visions, Paul décide de s'unir à Chani et aux Fremen pour tenter de mettre un terme aux agissements de l'empereur et ainsi libérer Arrakis... - Critique : Deux ans et demi après nous avoir laissés en suspens comme à la fin d’un épisode de série, Denis Villeneuve reprend pile où il s’était arrêté : dans les dunes d’Arrakis. Le jeune Paul Atréides (Timothée Chalamet) et sa mère Jessica (Rebecca Ferguson), dont le clan vient d’être massacré par ses ennemis Harkonnen, cheminent à présent au côté des Fremen, la population autochtone et rebelle de cette planète de sable… Une citation en pré-générique, « Le pouvoir sur l’Épice est le pouvoir sur toute chose », expédie les enjeux du livre-monde de Frank Herbert — par ailleurs clairement exposés dans le premier volet de l’adaptation, ce qui n’était pas une mince affaire. Il s’agit d’aller de l’avant, donc, dans cette suite sommée d’en mettre plein les mirettes et qui condense, en 2h46, l’ascension vengeresse de Paul, alias Usul, alias Muad’Dib, tout à la fois héritier Atréides, guerrier Fremen et messie malgré lui. Les belles images, Villeneuve sait faire, au point que d’aucuns lui ont reproché ses motifs d’architecte ou de cinéaste-décorateur. Il n’empêche, on retrouve ici sa patte épatante de créateur d’univers, de palais, vaisseaux et machines, entre organique et mécanique. Creusée dans la roche, la planque ocre des Fremen, avec son lac souterrain contenant l’eau recyclée des défunts, en constitue un exemple saisissant, de même que l’antre aux mille nuances de noir des sadiques Harkonnen. Bien entendu, Dune : deuxième partie, en jette, qui fait tomber du ciel les tueurs en armures (comme un écho fugace à l’averse de chiens morts dans le Daaaaaalí ! de Quentin Dupieux) ou danser les amoureux dans le désert, lorsque Chani (Zendaya) enseigne au novice comment marcher sans attirer les vers géants. Lesquels, très réussis, se chevauchent tels des mustangs, des TGV ou des chars d’assaut, selon les besoins, c’est à la fois impressionnant et pratique. Mimi Chalamet ? Un Paul Atréides, un poil plus mûr Blockbuster de luxe, le film aligne presque autant de stars que de grains de sable. Florence Pugh débarque en fille de l’Empereur rompue à la politique, Léa Seydoux en aristocrate également affiliée aux Bene Gesserit (l’ordre de comploteuses cosmiques dirigé par la Réverende Mère Charlotte Rampling), quand Austin Butler, la boule à zéro après la banane d’Elvis, campe le sociopathe chargé de mettre Arrakis au pas. De quoi produire du spectacle, à commencer par un combat de gladiateurs en noir et blanc chez ces dingos d’Harkonnen, et moult circonvolutions à défaut de vrais personnages, faute de temps pour exister. Le récit s’en trouve alourdi de mille possibles fantomatiques, dont on pressent que certains ont succombé au montage, tandis que d’autres adviendront dans une indispensable autant qu’inévitable troisième partie. Et mimi Chalamet, alors ? Silhouette de roseau et mèches folles, il porte sans faillir le fardeau de Paul Atréides, un poil plus mûr, plus dur, tandis que Rebecca Ferguson déploie toute la rouerie et l’ambiguïté de Lady Jessica dans la promotion acharnée de son messie de fils. C’est cette idée d’une prophétie construite de toutes pièces par les Bene Gesserit qui fascine et, à la fois, nous laisse sur notre faim. Toutes ces sorcières régissant des mondes sur des millénaires auraient mérité de voler la vedette aux scènes d’action. Regardez en vidéo l’avis de nos critiques

Année : 2024

Avec : Austin Butler, Charlotte Rampling, Christopher Walken, Dave Bautista, Florence Pugh, Javier Bardem, Josh Brolin, Léa Seydoux, Rebecca Ferguson, Stellan Skarsgård, Timothée Chalamet, Zendaya

Aujourd'hui

Dune : deuxième partie

Télévision : vendredi 4 octobre à 21:10-23:51 sur Canal +

film de science-fiction

Déterminé à venger la mort de son père, victime d'un complot ourdi par l'empereur Shaddam IV et les Harkonnen, Paul désire profiter de sa proximité avec les Fremen pour mener son plan à bien et ainsi laver l'honneur de la Maison Atréides, dont il est désormais l'unique héritier. De sombres prémonitions le placent toutefois bien vite face à un cruel dilemme, puisqu'il prend conscience qu'il devra payer un lourd tribut s'il choisit de partir en guerre contre ses ennemis. Malgré ses inquiétantes visions, Paul décide de s'unir à Chani et aux Fremen pour tenter de mettre un terme aux agissements de l'empereur et ainsi libérer Arrakis... - Critique : Deux ans et demi après nous avoir laissés en suspens comme à la fin d’un épisode de série, Denis Villeneuve reprend pile où il s’était arrêté : dans les dunes d’Arrakis. Le jeune Paul Atréides (Timothée Chalamet) et sa mère Jessica (Rebecca Ferguson), dont le clan vient d’être massacré par ses ennemis Harkonnen, cheminent à présent au côté des Fremen, la population autochtone et rebelle de cette planète de sable… Une citation en pré-générique, « Le pouvoir sur l’Épice est le pouvoir sur toute chose », expédie les enjeux du livre-monde de Frank Herbert — par ailleurs clairement exposés dans le premier volet de l’adaptation, ce qui n’était pas une mince affaire. Il s’agit d’aller de l’avant, donc, dans cette suite sommée d’en mettre plein les mirettes et qui condense, en 2h46, l’ascension vengeresse de Paul, alias Usul, alias Muad’Dib, tout à la fois héritier Atréides, guerrier Fremen et messie malgré lui. Les belles images, Villeneuve sait faire, au point que d’aucuns lui ont reproché ses motifs d’architecte ou de cinéaste-décorateur. Il n’empêche, on retrouve ici sa patte épatante de créateur d’univers, de palais, vaisseaux et machines, entre organique et mécanique. Creusée dans la roche, la planque ocre des Fremen, avec son lac souterrain contenant l’eau recyclée des défunts, en constitue un exemple saisissant, de même que l’antre aux mille nuances de noir des sadiques Harkonnen. Bien entendu, Dune : deuxième partie, en jette, qui fait tomber du ciel les tueurs en armures (comme un écho fugace à l’averse de chiens morts dans le Daaaaaalí ! de Quentin Dupieux) ou danser les amoureux dans le désert, lorsque Chani (Zendaya) enseigne au novice comment marcher sans attirer les vers géants. Lesquels, très réussis, se chevauchent tels des mustangs, des TGV ou des chars d’assaut, selon les besoins, c’est à la fois impressionnant et pratique. Mimi Chalamet ? Un Paul Atréides, un poil plus mûr Blockbuster de luxe, le film aligne presque autant de stars que de grains de sable. Florence Pugh débarque en fille de l’Empereur rompue à la politique, Léa Seydoux en aristocrate également affiliée aux Bene Gesserit (l’ordre de comploteuses cosmiques dirigé par la Réverende Mère Charlotte Rampling), quand Austin Butler, la boule à zéro après la banane d’Elvis, campe le sociopathe chargé de mettre Arrakis au pas. De quoi produire du spectacle, à commencer par un combat de gladiateurs en noir et blanc chez ces dingos d’Harkonnen, et moult circonvolutions à défaut de vrais personnages, faute de temps pour exister. Le récit s’en trouve alourdi de mille possibles fantomatiques, dont on pressent que certains ont succombé au montage, tandis que d’autres adviendront dans une indispensable autant qu’inévitable troisième partie. Et mimi Chalamet, alors ? Silhouette de roseau et mèches folles, il porte sans faillir le fardeau de Paul Atréides, un poil plus mûr, plus dur, tandis que Rebecca Ferguson déploie toute la rouerie et l’ambiguïté de Lady Jessica dans la promotion acharnée de son messie de fils. C’est cette idée d’une prophétie construite de toutes pièces par les Bene Gesserit qui fascine et, à la fois, nous laisse sur notre faim. Toutes ces sorcières régissant des mondes sur des millénaires auraient mérité de voler la vedette aux scènes d’action. Regardez en vidéo l’avis de nos critiques

Année : 2024

Avec : Austin Butler, Charlotte Rampling, Christopher Walken, Dave Bautista, Florence Pugh, Javier Bardem, Josh Brolin, Léa Seydoux, Rebecca Ferguson, Stellan Skarsgård, Timothée Chalamet, Zendaya

Récemment en septembre

Dune : Première partie

Netflix : 19 septembre

L'histoire de Paul Atreides, jeune homme aussi doué que brillant, voué à connaître un destin hors du commun qui le dépasse totalement. Car, s'il veut préserver l'avenir de sa famille et de son peuple, il devra se rendre sur Dune, la planète la plus dangereuse de l'Univers. Mais aussi la seule à même de fournir la ressource la plus précieuse capable de décupler la puissance de l'Humanité. Tandis que des forces maléfiques se disputent le contrôle de cette planète, seuls ceux qui parviennent à dominer leur peur pourront survivre…

De : Denis Villeneuve

Avec : Timothée Chalamet, Rebecca Ferguson, Oscar Isaac, Jason Momoa, Stellan Skarsgård, Stephen McKinley Henderson, Josh Brolin