Gillo Pontecorvo : dernières sorties DVD/Blu-ray et passages TV

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Antérieurement en 2023
 

Queimada

Télévision : 8 mai 2023 à 22:30-00:20 sur Arte

film : drame

Au début du XIXe siècle. Sir William Walker débarque à Queimada, une île des Antilles placée sous domination espagnole. Officiellement, il est là pour son plaisir. En réalité, il a été chargé par le gouvernement britannique de mettre fin au monopole commercial du royaume ibérique. Il manipule habilement un Noir, José Dolores, et un métis, Teddy, qu'il persuade pas à pas d'instaurer un gouvernement libre. Les indigènes croient faire leur révolution. Teddy devient gouverneur de l'île et signe avec l'Angleterre un traité avantageux. Dix ans plus tard, Walker est de retour. Mais sa nouvelle mission est d'un tout autre ordre...

Année : 1969

De : Gillo Pontecorvo

Avec : Alejandro Obregón, Carlo Palmucci, Dana Ghia, Evaristo Márquez, Giampiero Albertini, Joseph P Persaud, Marlon Brando, Norman Hill, Renato Salvatori, Thomas Lyons, Valeria Ferran Wanani, Álvaro Medrano

Antérieurement en 2021
 

La Bataille d'Alger (Combo Blu-ray + DVD) - ...

DVD/Blu-ray : 27 octobre 2021

Editeur : Studiocanal

Année : 1966

De : Gillo Pontecorvo

Avec : Brahim Haggiag, Jean Martin, Saadi Yacef, Samia Kerbash, Fusia El Kader, Ugo Paletti, Mohamed Ben Kassen

Antérieurement en 2021
 

Queimada (2 DVD + Livret) - Blu-ray

DVD/Blu-ray : 21 septembre 2021

Editeur : Rimini Editions

Année : 1969

De : Gillo Pontecorvo

Avec : Marlon Brando, Evaristo Márquez, Renato Salvatori, Dana Ghia, Valeria Ferran Wanani, Giampiero Albertini, Carlo Palmucci, Norman Hill

Antérieurement en 2021
 

Queimada (2 DVD + Livret) - DVD

DVD/Blu-ray : 21 septembre 2021

Editeur : Rimini Editions

Année : 1969

De : Gillo Pontecorvo

Avec : Marlon Brando, Evaristo Márquez, Renato Salvatori, Dana Ghia, Valeria Ferran Wanani, Giampiero Albertini, Carlo Palmucci, Norman Hill

Antérieurement en 2018
 

Le fils de Saul

Télévision : 6 juin 2018 à 01:00-02:45 sur Arte

film : drame

A Auschwitz, Saul découvre un enfant en vie au milieu des morts. Le héros en gros plan, l’enfer en hors champ : la prouesse du film, mais aussi sa limite. Critique : | Genre : visage sur fond d'Auschwitz. Saul est un prisonnier juif d'Auschwitz affecté aux Sonderkommandos, groupes de forçats en sursis contraints de conduire les nouveaux arrivants à la chambre à gaz puis de transporter leurs cadavres aux fours crématoires. En découvrant un enfant agonisant, il affirme qu'il s'agit de son fils et, quand celui-ci finit par expirer, s'obstine à trouver un rabbin pour dire une prière. Il y a donc une double fiction (celle du film et celle, peut-être, du personnage) au sein même de ce réel des camps réputé irreprésentable — se souvenir des polémiques virulentes à propos de Kapo (1961), de Gillo Pontecorvo, La Liste de Schindler (1993), de Steven Spielberg, ou La vie est belle (1997), de Roberto Benigni. Le parti pris de László Nemes consiste à éviter de mettre en scène frontalement l'horreur : il filme avant tout le visage de son personnage en gros plan. C'est dans le hors champ que l'enfer se déchaîne, suggéré par une bande-son peuplée de gémissements et de bruits de coups. En se tenant scrupuleusement à ce procédé jusqu'aux ultimes secondes, Nemes réalise un travail avant tout irréprochable. C'est à la fois sa prouesse et sa limite. Car Le Fils de Saul renvoie chaque spectateur à ses propres contradictions. A son désir, malgré tout, de regarder ce qui ne peut sans doute être vu qu'à travers quatre photos floues prises secrètement à Auschwitz-Birkenau en 1944 (et évoquées dans le film) par un certain Alex, Juif grec mort dans le camp, témoignage dérisoire et majeur qui ne montre presque rien et dit absolument tout. — Bruno Icher

Année : 2015

Avec : László Nemes, Géza Röhrig, Levente Molnár, Urs Rechn, Jerzy Walczak, Sándor Zsótér, Marcin Czarnik, Amitai Kedar, Attila Fritz, László Melis, László Nemes, Clara Royer

Antérieurement en 2018
 

Le fils de Saul

Télévision : 23 mai 2018 à 20:55-22:40 sur Arte

film : drame

A Auschwitz, Saul découvre un enfant en vie au milieu des morts. Le héros en gros plan, l’enfer en hors champ : la prouesse du film, mais aussi sa limite. Critique : | Genre : visage sur fond d'Auschwitz. Saul est un prisonnier juif d'Auschwitz affecté aux Sonderkommandos, groupes de forçats en sursis contraints de conduire les nouveaux arrivants à la chambre à gaz puis de transporter leurs cadavres aux fours crématoires. En découvrant un enfant agonisant, il affirme qu'il s'agit de son fils et, quand celui-ci finit par expirer, s'obstine à trouver un rabbin pour dire une prière. Il y a donc une double fiction (celle du film et celle, peut-être, du personnage) au sein même de ce réel des camps réputé irreprésentable — se souvenir des polémiques virulentes à propos de Kapo (1961), de Gillo Pontecorvo, La Liste de Schindler (1993), de Steven Spielberg, ou La vie est belle (1997), de Roberto Benigni. Le parti pris de László Nemes consiste à éviter de mettre en scène frontalement l'horreur : il filme avant tout le visage de son personnage en gros plan. C'est dans le hors champ que l'enfer se déchaîne, suggéré par une bande-son peuplée de gémissements et de bruits de coups. En se tenant scrupuleusement à ce procédé jusqu'aux ultimes secondes, Nemes réalise un travail avant tout irréprochable. C'est à la fois sa prouesse et sa limite. Car Le Fils de Saul renvoie chaque spectateur à ses propres contradictions. A son désir, malgré tout, de regarder ce qui ne peut sans doute être vu qu'à travers quatre photos floues prises secrètement à Auschwitz-Birkenau en 1944 (et évoquées dans le film) par un certain Alex, Juif grec mort dans le camp, témoignage dérisoire et majeur qui ne montre presque rien et dit absolument tout. — Bruno Icher

Année : 2015

Avec : Géza Röhrig, Levente Molnár, Urs Rechn, Jerzy Walczak, Sándor Zsótér, Marcin Czarnik, Amitai Kedar, Attila Fritz, László Melis, Clara Royer, László Nemes, László Nemes