Francis Cosne : passages TV

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Antérieurement en 2018
 

Indomptable Angélique

Télévision : 8 mai 2018 à 22:50-00:30 sur 6ter

film

Plus que jamais déterminée à retrouver son mari, le sombre Joffrey de Peyrac, Angélique quitte la cour du Roi-Soleil et embarque sur la galère que commande l'obligeant Vivonne. Elle commence à écumer les ports méditerranéens, un à un. La malchance qui s'attache à ses pas la jette dans une mutinerie de galériens, puis dans une attaque de barbaresques. La belle marquise se retrouve à l'eau. D'Escrainville, un secourable corsaire, la repêche et tente d'obtenir immédiatement le prix de ses services. Angélique se refuse. Qu'à cela ne tienne ! Elle connaîtra, à fond de cale, les affres du supplice des chats affamés... Critique : Film français de Bernard Borderie (1967). Préc. diffusion : juillet 89. Angélique : Michèle Mercier. Joffrey de Peyrac : Robert Hossein. Vivonne : Christian Rode. Escrainbille : Roger Pigaut. Coriano : Bruno Dietrich. Jason : Ettore Manni. Savary : Pasquale Martino. Fiche technique. Scénario : Pascal Jardin, Bernard Borderie et Francis Cosne, d'après le roman d'Anne et Serge Golon. Dialogues : P. Jardin. Images : Henri Persin. Décors : Robert Giordani. Montage : Christian Gaudin. Musique : Michel Magne. Critique parue dans Télérama 930. Durée annoncée : 105 mn. Le genre. Aventures historiques. L'histoire. Angélique quitte la cour de Louis XIV pour rechercher son mari, Joffrey de Peyrac (dont on sait maintenant qu'il est vivant) dans les ports de la Méditerranée. Embarquée sur la galère de Vivonne, qui l'a connue à Versailles, elle est prise dans une révolte de galériens, après une attaque des navires barbaresques. S'étant jetée à l'eau, elle est recueillie par le corsaire d'Escrainville. Celui-ci, après avoir cherché à la violer, la fait mettre à fond de cale. Ce que j'en pense. Anne et Serge Golon avaient recréé le panorama historique du Bassin méditérranéen du XVIIe siècle, sillonné par les navires de commerce, de guerre, les bateaux-pirates, et où les Turcs et la civilisation musulmane s'opposaient au monde chrétien. Avec Bernard Borderie, c'est là que les choses se gâtèrent complètement. Faute de moyens suffisants sans doute, faute d'imagination cinématographique aussi, il s'est contenté des clichés de films de pirates (pâle imitation du cinéma hollywoodien) et a surtout insisté sur les situations troubles, où Angélique n'est plus qu'un beau corps menacé du fouet, de la torture, de la violence sexuelle. Le sadisme des personnages masculins exercé sur la «femme-objet» prête à sourire. En 1967, Michèle Mercier s'agitait dans des voiles flottants pour ne pas effaroucher la censure. Jacques Siclier

Année : 1967

Avec : Robert Hossein, Roger Pigaut, Michèle Mercier, Michel Magne, Ettore Manni, Pascal Jardin, Bruno Dietrich, Sieghardt Rupp, Christian Rode, Bernard Borderie, Pasquale Martino, Francis Cosne, Anne Golon, Serge Golon, Robert Giordani, Henri Persin

Antérieurement en 2018
 

Angélique et le sultan

Télévision : 8 mai 2018 à 21:00-22:50 sur 6ter

film

Le sort s'acharne sur la marquise des Anges, que toute la Méditerranée se dispute. Le corsaire d'Escrainville la conduit une nouvelle fois au marché aux esclaves d'Alger, où elle est exposée parmi les pièces de choix. L'homme de confiance du sultan du Maroc, Mezzo-Morte, se dit qu'elle constituerait à coup sûr le plus bel ornement du harem de son maître et l'achète sans discuter. Pendant ce temps, Joffrey de Peyrac, toujours sur les traces de sa bien-aimée, est emprisonné à Alger, après avoir été capturé par les Barbaresques. Il réussit à s'évader, tandis qu'Angélique ne résiste qu'à grand-peine aux sollicitations du sultan. Osman, le grand maître du harem, la fait fouetter... Critique : Film français de Bernard Borderie (1968). Précédente diffusion : juillet 87. Angélique : Michèle Mercier. Joffrey de Peyrac : Robert Hossein. Osman Ferradji : Jean-Claude Pascal. Le sultan : Aly Ben Ayed. Colin Paturel : Helmut Schneider. Escrainville : Roger Pigaut. Fiche technique. Scénario : Bernard Borderie, Pascal Jardin et Francis Cosne, d'après un roman d'Anne et Serge Golon. Dialogues : B. Borderie, P. Jardin et F. Cosne. Images : Henri Persin. Décors : Robert Giordani. Montage : Christian Gaudin. Musique : Michel Magne. Critique parue dans Télérama 973. Durée annoncée : 100 mn. Le genre. Aventures historiques. L'histoire. Enlevée par d'Escrainville, Angélique est amenée à Alger, où elle est de nouveau vendue comme esclave. Elle est achetée par Mezzo-Morte, pourvoyeur du harem du sultan du Maroc. Joffrey de Peyrac, qui a retrouvé sa trace, est capturé par les Barbaresques et enfermé dans la prison d'Alger. Il s'en évade. Angélique résiste au sultan, mais elle est en danger. Ce que j'en pense. On est en plein exotisme pseudo-hollywoodien : Alger la blanche, sables du désert, sultan cruel, mystère du harem. Objet de la concupiscence masculine, Angélique passe de main en main, se bat pour échapper au viol et à divers sévices. On la voit fouettée en place publique comme dans les petits films des circuits érotiques des années 50-60. Bernard Borderie, à bout de souffle, a réalisé le film le plus médiocre, le plus affligeant de la série. Ce fut, heureusement, grâce à une conclusion hâtive, le dernier de la série. Nous en voilà enfin débarrassés. Pour combien de temps ? Jacques Siclier

Année : 1967

Avec : Jacques Santi, Robert Hossein, Roger Pigaut, Michèle Mercier, Helmut Schneider, Jean-Claude Pascal, Aly Ben Ayed, Michel Magne, Arturo Dominici, Bernard Borderie, Pascal Jardin, Francis Cosne, Henri Persin

Antérieurement en 2018
 

Angélique et le roy

Télévision : 1er mai 2018 à 22:25-00:25 sur 6ter

film d'aventures

Rappelée à la cour, Angélique est chargée d'une mission diplomatique auprès d'un ambassadeur perse. Entre deux étreintes, elle se mêle également de l'affaire des poisons. Une Lara Croft en crinoline... Critique : Film de Bernard Borderie (Fr./It./All., 1965). Scénario : Alain Decaux, B. Borderie, Francis Cosne. 105 mn. Avec Michèle Mercier. Genre : historico-fripon. A peine veuve du maréchal Plessis-Bellières, Angélique est mandée par Louis XIV pour une mission des plus délicates : amadouer Bachtiary Bey, l'ambassadeur de Perse. Le mâle levantin tombe sous le charme... Nanar d'« époque », cette troisième aventure dans les jupons de la blonde Angélique ravira comme toujours les amateurs de second degré. Vignette érotique années 60, Michèle Mercier se dénude et se rhabille : voilà toute l'action. Une poupée chiffonnée, lutinée, rudoyée par une ­kyrielle de soupirants libidineux et rigolos, parmi lesquels le roy en personne, armé de son Y, moustache coquine et permanente impeccable. Le pompon revient tout de même à Sami Frey, déguisé en autruche des Mille et Une Nuits, version orientale ultra kitsch de Mon truc en plumes. C.M.

Année : 1965

Avec : Bernard Borderie, Michèle Mercier, Jacques Toja, Sami Frey, Jean Rochefort, Fred Williams, Claude Giraud, Robert Hossein, Estella Blain, Michel Magne, Pascal Jardin, Bernard Borderie, Alain Decaux, Francis Cosne, Anne Golon, Serge Golon, Henri Persin

Antérieurement en 2018
 

Indomptable Angélique

Télévision : 1er mai 2018 à 21:00-22:25 sur 6ter

film

Plus que jamais déterminée à retrouver son mari, le sombre Joffrey de Peyrac, Angélique quitte la cour du Roi-Soleil et embarque sur la galère que commande l'obligeant Vivonne. Elle commence à écumer les ports méditerranéens, un à un. La malchance qui s'attache à ses pas la jette dans une mutinerie de galériens, puis dans une attaque de barbaresques. La belle marquise se retrouve à l'eau. D'Escrainville, un secourable corsaire, la repêche et tente d'obtenir immédiatement le prix de ses services. Angélique se refuse. Qu'à cela ne tienne ! Elle connaîtra, à fond de cale, les affres du supplice des chats affamés... Critique : Film français de Bernard Borderie (1967). Préc. diffusion : juillet 89. Angélique : Michèle Mercier. Joffrey de Peyrac : Robert Hossein. Vivonne : Christian Rode. Escrainbille : Roger Pigaut. Coriano : Bruno Dietrich. Jason : Ettore Manni. Savary : Pasquale Martino. Fiche technique. Scénario : Pascal Jardin, Bernard Borderie et Francis Cosne, d'après le roman d'Anne et Serge Golon. Dialogues : P. Jardin. Images : Henri Persin. Décors : Robert Giordani. Montage : Christian Gaudin. Musique : Michel Magne. Critique parue dans Télérama 930. Durée annoncée : 105 mn. Le genre. Aventures historiques. L'histoire. Angélique quitte la cour de Louis XIV pour rechercher son mari, Joffrey de Peyrac (dont on sait maintenant qu'il est vivant) dans les ports de la Méditerranée. Embarquée sur la galère de Vivonne, qui l'a connue à Versailles, elle est prise dans une révolte de galériens, après une attaque des navires barbaresques. S'étant jetée à l'eau, elle est recueillie par le corsaire d'Escrainville. Celui-ci, après avoir cherché à la violer, la fait mettre à fond de cale. Ce que j'en pense. Anne et Serge Golon avaient recréé le panorama historique du Bassin méditérranéen du XVIIe siècle, sillonné par les navires de commerce, de guerre, les bateaux-pirates, et où les Turcs et la civilisation musulmane s'opposaient au monde chrétien. Avec Bernard Borderie, c'est là que les choses se gâtèrent complètement. Faute de moyens suffisants sans doute, faute d'imagination cinématographique aussi, il s'est contenté des clichés de films de pirates (pâle imitation du cinéma hollywoodien) et a surtout insisté sur les situations troubles, où Angélique n'est plus qu'un beau corps menacé du fouet, de la torture, de la violence sexuelle. Le sadisme des personnages masculins exercé sur la «femme-objet» prête à sourire. En 1967, Michèle Mercier s'agitait dans des voiles flottants pour ne pas effaroucher la censure. Jacques Siclier

Année : 1967

Avec : Robert Hossein, Roger Pigaut, Michèle Mercier, Michel Magne, Ettore Manni, Pascal Jardin, Bruno Dietrich, Sieghardt Rupp, Christian Rode, Bernard Borderie, Pasquale Martino, Francis Cosne, Anne Golon, Serge Golon, Robert Giordani, Henri Persin

Antérieurement en 2018
 

Angélique et le roy

Télévision : 24 avril 2018 à 21:00-23:00 sur 6ter

film d'aventures

Rappelée à la cour, Angélique est chargée d'une mission diplomatique auprès d'un ambassadeur perse. Entre deux étreintes, elle se mêle également de l'affaire des poisons. Une Lara Croft en crinoline... Critique : Film de Bernard Borderie (Fr./It./All., 1965). Scénario : Alain Decaux, B. Borderie, Francis Cosne. 105 mn. Avec Michèle Mercier. Genre : historico-fripon. A peine veuve du maréchal Plessis-Bellières, Angélique est mandée par Louis XIV pour une mission des plus délicates : amadouer Bachtiary Bey, l'ambassadeur de Perse. Le mâle levantin tombe sous le charme... Nanar d'« époque », cette troisième aventure dans les jupons de la blonde Angélique ravira comme toujours les amateurs de second degré. Vignette érotique années 60, Michèle Mercier se dénude et se rhabille : voilà toute l'action. Une poupée chiffonnée, lutinée, rudoyée par une ­kyrielle de soupirants libidineux et rigolos, parmi lesquels le roy en personne, armé de son Y, moustache coquine et permanente impeccable. Le pompon revient tout de même à Sami Frey, déguisé en autruche des Mille et Une Nuits, version orientale ultra kitsch de Mon truc en plumes. C.M.

Année : 1965