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Killers of the Flower Moon

Télévision : vendredi 19 avril à 21:10-00:31 sur Canal +

film : drame historique

Durant les années 1920, dans l'Oklahoma, le peuple amérindien Osage a fait fortune grâce à ses terres qui regorgent de gisements de pétrole. Cette abondance d'or noir attise la convoitise des prospecteurs blancs qui souhaitent s'accaparer une part de ce juteux filon. Au fil des mois, plusieurs membres de la tribu sont assassinés. Faute d'enquête sérieuse sur ces homicides, de nombreux Indiens prennent peur et fuient la réserve pour s'installer en ville, à l'image de Mollie et de son époux blanc, Ernest Burkhart. Ce n'est que lorsque Mollie fera directement appel au président Coolidge que le FBI sera envoyé sur place pour enquêter... - Critique : La tragédie des Indiens osage a connu une parenthèse enchantée, digne d’une fable. Si incroyable qu’on pourrait la croire sortie de l’esprit de Quentin Tarantino, qui n’aime rien tant que réinventer l’histoire pour réparer des injustices de masse. Chassé du Kansas à la fin du XIXᵉ siècle au profit des colons blancs, ce peuple amérindien fut relégué dans un coin aride de l’Oklahoma. Une terre stérile de laquelle, ô miracle !, ont jailli un beau jour des geysers d’or noir. Grâce à ce gisement de pétrole, qui fut le plus important des États-Unis, les Indiens osage devinrent extraordinairement riches. Tels des nababs, ils possédaient de vastes propriétés, employaient des domestiques blancs et paradaient en ville dans les automobiles les plus rutilantes. C’est précisément ce tableau fabuleux que l’on découvre au début du film, en même temps qu’Ernest Burkhart (Leonardo DiCaprio). À sa descente du train, ce petit Blanc, revenu de la guerre au lendemain de l’armistice de 1918, a l’air un peu ahuri par le spectacle surréel s’offrant devant lui. Ce pseudo-héros (il ne portait pas d’armes, seulement les ustensiles du cuistot) est attendu par son oncle, William Hale (Robert De Niro), qui le reçoit dans son grand manoir. Riche fermier qui a fait fortune dans l’élevage du bétail, le vieil homme fait montre d’une bonhomie taquineuse. Il prend son temps pour expliquer la situation de la région, présenter la civilisation osage, qu’il dit admirer et dont il se sent proche. Preuve de son attachement, il a appris leur langue, assiste à leurs fêtes et leur fait toutes sortes de dons, s’affichant comme leur mascotte. Au cours de l’entretien, l’oncle recommande d’ailleurs chaudement à son neveu de se trouver une belle « millionnaire rouge », ce qui lui assurerait une excellente situation. Docile, Ernest la trouve assez vite, grâce à son activité de chauffeur de taxi. C’est en la transportant à plusieurs reprises qu’il fait sa connaissance. Elle s’appelle Molly Kyle (Lily Gladstone), elle a un port de reine, une parole de cheffe sage. À côté d’elle, le nouvel arrivant semble fruste, mal dégrossi mais il est touché. Elle le sent. Grâce à elle, il s’amende et va s’enrichir. Pas seulement financièrement, espère-t-on. Cette histoire d’amour aberrant est le cœur vibrant mais masqué de cette fresque. Masqué car, entre-temps, le mal est apparu et s’est installé au premier plan. La richesse des osage suscitant les convoitises et ravivant des colères, la communauté est peu à peu frappée par une série de meurtres atroces. C’est ce « règne de la terreur » au début des années 1920, tout un pan d’histoire enfouie, que l’écrivain journaliste David Grann a déterré dans son enquête magistrale, La Note américaine, ouvrage décisif à l’origine du film. Les multiples ramifications (historiques, criminelles, policières, économiques) de Killers of the Flower Moon font qu’il dépasse le genre strict du western pour devenir, entre autres, un film de mafia, spécialité de Martin Scorsese. Mais assez loin de la violence incontrôlable, baroque, bestiale, des Affranchis. Car les crimes sont ici montrés de manière sèche. Et surtout, le « parrain » local est nettement plus calculateur, démoniaque, machiavélique. Il s’agit de William Hale, celui-là même qu’on présentait plus haut comme l’oncle bonhomme. Dans ce rôle d’ordure accomplie dissimulée sous l’apparence du bien, Robert De Niro livre une grande performance. Supérieure sans doute à celle de Leonardo DiCaprio, qui a tendance à surjouer et se répéter, exposant le même masque grimaçant à la Brando. À sa décharge, le personnage qu’il incarne est un homme aveuglé, enlisé dans sa bêtise, piégé comme un enfant terrifié. Le mouvement du film consiste à le faire accéder in extremis à une forme de lucidité, mais trop tard pour lui. Le long processus aboutit à la naissance tragique d’une conscience, synonyme, en l’occurrence, de mauvaise conscience. Malgré sa durée un peu décourageante, Killers of the Flower Moon est un film captivant de bout en bout, sans être électrique ni survolté, comme Casino. Son rythme fluide et enveloppant le rapproche d’un classicisme à la Clint Eastwood. C’est par son ampleur thématique, sa peinture familiale (Molly et ses sœurs), ses relances de l’action par de nouveaux enjeux — comme l’investigation policière menée par le FBI naissant, dans le dernier tiers —, qu’il passionne. Tout en virant peu à peu au crépuscule et à l’obscurité, à mesure que la conspiration prend des allures dantesques. Le gisement d’or noir rime avec gisants. L’enfer est ici la mort à petit feu, le lent empoisonnement, la descente progressive vers les ténèbres. Reste alors un terrible gâchis : celui d’un immense amour à la fois vécu, manqué et massacré.

Année : 2023

Avec : Brendan Fraser, Cara Jade Myers, Jason Isbell, Jesse Plemons, John Lithgow, Leonardo DiCaprio, Lily Gladstone, Michael Arnold, Robert De, Scott Shepherd, Tantoo Cardinal, Tatanka Means, William Belleau

Hier
 

Un monde parfait

Télévision : 17 avril à 13:35-15:55 sur Arte

film policier

En 1963, à quelques jours de la visite du président Kennedy à Dallas. Butch Haynes, dont la réputation de criminel est solidement établie, s'évade d'un pénitencier texan en compagnie de Terry Pugh. Pour assurer leur fuite, les deux hommes prennent en otage un petit garçon de 8 ans, Phillip Perry. A leurs trousses, un policier, le ranger Red Garnett, épaulé par une jeune criminologue, Sally Gerber. Butch, qui ne supporte plus la violence de son compagnon de cavale, l'abat lorsque celui-ci veut abuser de l'enfant. Il reste seul avec Phillip. Une relation de confiance et d'amitié s'instaure entre eux. Ils prennent la direction de l'Alaska, où le gangster veut retrouver son père... - Critique : Évadés d’un pénitencier, Butch et Terry kidnappent un enfant pour protéger leur cavale… La beauté solaire et froissée de ce film vient d’un certain regard. Comme Butch prend la peine de s’agenouiller devant le petit Phillip pour lui parler d’égal à égal, Clint Eastwood filme à hauteur d’enfant. Chacun à leur manière, ses héros cherchent des yeux un père impossible. Le thème est classique, mais Un monde parfait envoie valser tous les clichés. Phillip n’est pas un de ces gamins roublards qui vous assènent leurs répliques toutes cuites. C’est un ovni mystérieux, dont les émetteurs réagissent avant tout au silence. Butch, le hors-la-loi, vit dans une innocence poétique malgré ses crimes. Enfin, Red Garnett, le faible ranger, renouvelle l’image du flic selon Eastwood, jusqu’alors cantonné dans le registre dur de l’inspecteur Harry. La cavale initiatique de ces trois âmes blessées se déroule juste avant l’assassinat de Kennedy. L’histoire individuelle rivalise avec l’histoire nationale, sous l’emprise d’une seule force : l’émotion brute.

Année : 1993

Avec : Belinda Flowers, Bradley Whitford, Clint Eastwood, Hewitt Paul, Jennifer Griffin, Keith Szarabajka, Kevin Costner, Laura Dern, Leo Burmester, Leslie Flowers, Ray McKinnon, T J Lowther

Dimanche dernier
 

Clint Eastwood, la dernière légende

Télévision : 14 avril à 23:15-00:35 sur Arte

documentaire cinéma

Un visage anguleux sillonné par les rides, le regard froncé sous le chapeau, souligné par un rictus reconnaissable entre mille : cette image appartient désormais à l'imaginaire collectif. Si elle semble immémoriale, elle est en réalité moins figée qu'il n'y paraît. Du gentil cow-boy de ses débuts télévisés au mercenaire cynique des westerns de Sergio Leone, du flic tordu de "Dirty Harry" au photographe romantique de "Sur la route de Madison", et jusqu'au vieil homme de ses derniers films, Clint Eastwood a incarné un éventail surprenant de personnages, tout en restant lui-même. Son parcours est à son image : en mouvement, ouvert aux chemins de traverse, libre et riche de multiples facettes.

Dimanche dernier
 

Un monde parfait

Télévision : 14 avril à 21:00-23:15 sur Arte

film policier

En 1963, à quelques jours de la visite du président Kennedy à Dallas. Butch Haynes, dont la réputation de criminel est solidement établie, s'évade d'un pénitencier texan en compagnie de Terry Pugh. Pour assurer leur fuite, les deux hommes prennent en otage un petit garçon de 8 ans, Phillip Perry. A leurs trousses, un policier, le ranger Red Garnett, épaulé par une jeune criminologue, Sally Gerber. Butch, qui ne supporte plus la violence de son compagnon de cavale, l'abat lorsque celui-ci veut abuser de l'enfant. Il reste seul avec Phillip. Une relation de confiance et d'amitié s'instaure entre eux. Ils prennent la direction de l'Alaska, où le gangster veut retrouver son père... - Critique : Évadés d’un pénitencier, Butch et Terry kidnappent un enfant pour protéger leur cavale… La beauté solaire et froissée de ce film vient d’un certain regard. Comme Butch prend la peine de s’agenouiller devant le petit Phillip pour lui parler d’égal à égal, Clint Eastwood filme à hauteur d’enfant. Chacun à leur manière, ses héros cherchent des yeux un père impossible. Le thème est classique, mais Un monde parfait envoie valser tous les clichés. Phillip n’est pas un de ces gamins roublards qui vous assènent leurs répliques toutes cuites. C’est un ovni mystérieux, dont les émetteurs réagissent avant tout au silence. Butch, le hors-la-loi, vit dans une innocence poétique malgré ses crimes. Enfin, Red Garnett, le faible ranger, renouvelle l’image du flic selon Eastwood, jusqu’alors cantonné dans le registre dur de l’inspecteur Harry. La cavale initiatique de ces trois âmes blessées se déroule juste avant l’assassinat de Kennedy. L’histoire individuelle rivalise avec l’histoire nationale, sous l’emprise d’une seule force : l’émotion brute.

Année : 1993

Avec : Belinda Flowers, Bradley Whitford, Clint Eastwood, Hewitt Paul, Jennifer Griffin, Keith Szarabajka, Kevin Costner, Laura Dern, Leo Burmester, Leslie Flowers, Ray McKinnon, T J Lowther

Vendredi dernier
 

Pendez-les haut et court (Édition Collection ...

DVD/Blu-ray : 12 avril

Editeur : Sidonis Calysta

Année : 1968

De : Ted Post

Avec : Clint Eastwood, Inger Stevens, Ed Begley, Pat Hingle, Ben Johnson, Charles McGraw, Ruth White, Bruce Dern, Dennis Hopper

Vendredi dernier
 

L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux

Télévision : 12 avril à 21:05-00:10 sur Chérie 25

film : drame

Victime d'un accident de cheval qui l'a laissée gravement handicapée et a coûté la vie à sa meilleure amie, Grace MacLean, 13 ans, s'enferme dans son chagrin. Pilgrim, son cheval, impliqué dans l'accident, est devenu, lui aussi, très difficile à approcher. La mère de Grace, Annie, s'oppose obstinément à sa mise à mort. Quittant New York pour le Montana, elle rencontre Tom Booker, un expert en dressage de chevaux, qu'elle convainc - péniblement - de rééduquer l'animal. L'expérience, longue et difficile, semble porter ses fruits. Petit à petit, Pilgrim retrouve son équilibre. Grace, qui le croyait perdu, reprend elle-même goût à la vie. Parallèlement, Annie tombe sous le charme de Tom... - Critique : L’histoire imaginée par Nicholas Evans était censée faire pleurer Margot. Un cheval blessé. Une adolescente amputée d’une jambe. Une mère autoritaire, à l’amour maladroit. Un père absent. Tout ce petit monde finalement sauvé par une sorte de guérisseur du Montana, sage, simple et bon. L’étonnant, c’est que Robert Redford soit parvenu à métamorphoser ce roman-photo vaguement « new age » en drame au classicisme somptueux, au lyrisme tranquille. Un film qui retrouve les caractéristiques du cinéma américain de jadis. Le cinéma de John Ford, par exemple, avec son sens de l’espace et la beauté des sentiments. Clint Eastwood avait, lui aussi, tiré d’un roman insignifiant un film romanesque, intimiste celui-là. Sur la route de Madison avait fait pleurer toute la France, hormis quelques coeurs secs. Les deux films reflètent parfaitement, en fait, la mentalité de leur auteur. Il y a un masochisme permanent dans les films d’Eastwood, notion totalement étrangère au monde selon Redford. Même leur critique de la société américaine est différente. Le premier ne jure que par le solitaire qui vit à l’écart du groupe ; le second, par le groupe qui peut (qui doit !) aider le solitaire... La mode actuelle donnerait plutôt raison à Eastwood. Ce qui n’implique pas forcément que Redford soit dans l’erreur. Et il le prouve avec ce film magnifique où tous les personnages sont contemplés avec une indulgence rieuse, une tendresse dénuée de mièvrerie. De toute évidence, le personnage principal, c’est Annie, la mère. Parce qu’elle évolue tout au long du film. Et aussi parce qu’elle prend des décisions. Ne pas faire abattre, après l’accident, Pilgrim, le cheval de Grace, comme si elle pressentait un lien ténu entre la survie de l’animal et celle de son enfant, également murés dans leur effroi. Contre l’avis général, elle s’en va, au fin fond du Montana, à la recherche d’un mec bizarre qui a la réputation de « murmurer à l’oreille des chevaux » pour mieux les guérir. Bien sûr, parce qu’Annie est interprétée par Kristin Scott Thomas et le guérisseur, Tom Booker, par Robert Redford, on devine bien que ces deux-là seront attirés l’un par l’autre. Mais c’est tout l’art d’un metteur en scène que de maintenir l’inattendu au coeur du prévisible. La naissance du sentiment amoureux entre cette Anglaise de New York légèrement snob et ce solitaire qui, en souvenir d’un amour perdu, écoute Dvorák et Beethoven est filmée avec une sensibilité et une drôlerie constantes. C’est peu à peu qu’ils progressent l’un vers l’autre. A leur rythme, ils s’apprennent, ils s’apprivoisent. Entre eux se nouent des rapports de comédie américaine, puisque tout les oppose. Comme dans la scène du premier repas qu’Annie et Grace prennent avec la famille de Tom Booker. Gêne des uns. Maladresse des autres. Deux mondes dissemblables se côtoient sans trop se comprendre et se rejoignent sans trop savoir comment. Au coeur du film, il y a la peur, celle qui minait déjà les héros du premier long métrage de Redford, Des gens comme les autres. Ici, la fureur de l’animal blessé renvoie chacun à sa propre angoisse : Grace redoute l’avenir qui l’attend, Annie découvre en elle une vacuité qui menace de l’engloutir. Même Tom Booker, réputé n’avoir peur de rien, confie (est-ce Redford qui, un instant, s’exprime ?) sa crainte devant le temps qui s’enfuit : « J’ai peur de vieillir, dit-il à Grace, de devenir inutile.  » C’était déjà la morale d’Au milieu coule une rivière, l’un des précédents films de Redford : seul l’espace semble pouvoir, par moments, combler le vide qui nous cerne. D’où ces cieux immenses. Ces montagnes enneigées. La silhouette en ombre chinoise d’un homme qui chevauche dans le soleil couchant. D’ailleurs, dès qu’Annie et Grace quittent un New York engoncé, filmé en couleurs bleues et grises, Redford modifie le format du film : l’écran s’élargit soudain, comme pour accueillir une harmonie possible... Procédé presque naïf, qui pourrait prêter à sourire. Mais, précisément, chaque minute de L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux reflète le plaisir de Redford à tourner un film « comme avant ». À faire l’enfant avec son histoire d’amour à l’ancienne, son bétail attrapé au lasso, comme dans les vieux westerns des familles, et ses fêtes un peu bêtes où l’on boit, où l’on danse, mais où les tensions se relâchent, et où l’on entrevoit furtivement, durant quelques instants, le bonheur possible. Ce bonheur est fugace, Redford le sait bien. Mais le film n’existe, précisément, que par cette fragilité. Cette capacité à saisir au vol, entre deux moments contemplatifs, des instants apparemment insignifiants, mais pourtant si intenses. Un éclair, par exemple, dans le regard de Kristin Scott Thomas, qu’on savait magnifique, mais qui surprend à nouveau par son intelligence et son ambiguïté. À un moment, Grace demande à un gamin habillé en cow-boy : « Pourquoi portes-tu toujours ce chapeau ? » Et lui de répondre : « Parce qu’il est à ma taille ! » Eh bien, voilà : Redford a réalisé un film lyrique et sentimental. Un film qui lui ressemble. Un film à sa taille.

Année : 1998

Avec : Cherry Jones, Chris Cooper, Dianne Wiest, Jeanette Nolan, Kate Bosworth, Kristin Scott, Robert Redford, Sam Neill, Scarlett Johansson, Schwarz Austin, Steve Frye, Ty Hillman

Récemment en avril
 

Pale Rider - DVD

DVD/Blu-ray : 8 avril

Editeur : Warner Bros. Entertainment France

Année : 1985

De : Clint Eastwood

Avec : Clint Eastwood, Michael Moriarty, Carrie Snodgress, Christopher Penn, Richard Dysart

Récemment en mars
 

Mystic River

Netflix : 2 mars

Jimmy Markum, Dave Boyle et Sean Devine ont grandi ensemble dans les rues de Boston. Rien ne semblait devoir altérer le cours de leur amitié jusqu'au jour où Dave se fit enlever par un inconnu sous les yeux de ses amis. Leur complicité juvénile ne résista pas à un tel événement et leurs chemins se séparèrent inéluctablement.Jimmy sombra pendant quelque temps dans la délinquance, Sean s'engagea dans la police, Dave se replia sur lui-même, se contenta de petits boulots et vécut durant plusieurs années avec sa mère avant d'épouser Celeste.Une nouvelle tragédie rapproche soudain les trois hommes : Katie, la fille de Jimmy, est retrouvée morte au fond d'un fossé. Le père endeuillé ne rêve plus que d'une chose : se venger. Et Sean, affecté à l'enquête, croit connaître le coupable : Dave Boyle...

De : Clint Eastwood

Avec : Sean Penn, Tim Robbins, Kevin Bacon, Laurence Fishburne, Marcia Gay Harden, Laura Linney, Kevin Chapman

Récemment en février
 

Gran Torino

Netflix : 29 février

Walt Kowalski est un ancien de la guerre de Corée, un homme inflexible, amer et pétri de préjugés surannés. Après des années de travail à la chaîne, il vit replié sur lui-même, occupant ses journées à bricoler, traînasser et siroter des bières. Avant de mourir, sa femme exprima le vœu qu'il aille à confesse, mais Walt n'a rien à avouer, ni personne à qui parler. Hormis sa chienne Daisy, il ne fait confiance qu'à son M-1, toujours propre, toujours prêt à l'usage... Ses anciens voisins ont déménagé ou sont morts depuis longtemps. Son quartier est aujourd'hui peuplé d'immigrants asiatiques qu'il méprise, et Walt ressasse ses haines, innombrables - à l'encontre de ses voisins, des ados Hmong, latinos et afro-américains « qui croient faire la loi », de ses propres enfants, devenus pour lui des étrangers. Walt tue le temps comme il peut, en attendant le grand départ, jusqu'au jour où un ado Hmong du quartier tente de lui voler sa précieuse Ford Gran Torino...

De : Clint Eastwood

Avec : Clint Eastwood, Christopher Carley, Bee Vang, Ahney Her, Brian Haley, Geraldine Hughes, Dreama Walker

Récemment en février
 

American Sniper

Netflix : 28 février

Tireur d’élite des Navy SEAL, Chris Kyle est envoyé en Irak dans un seul but : protéger ses camarades. Sa précision chirurgicale sauve d’innombrables vies humaines sur le champ de bataille et, tandis que les récits de ses exploits se multiplient, il décroche le surnom de « La Légende ». Cependant, sa réputation se propage au-delà des lignes ennemies, si bien que sa tête est mise à prix et qu’il devient une cible privilégiée des insurgés. Malgré le danger, et l’angoisse dans laquelle vit sa famille, Chris participe à quatre batailles décisives parmi les plus terribles de la guerre en Irak, s’imposant ainsi comme l’incarnation vivante de la devise des SEAL : « Pas de quartier ! ». Mais en rentrant au pays, Chris prend conscience qu’il ne parvient pas à retrouver une vie normale.

De : Clint Eastwood

Avec : Bradley Cooper, Sienna Miller, Kyle Gallner, Cole Konis, Ben Reed, Elise Robertson, Keir O'Donnell

Récemment en février
 

La Mule

Prime Video : 10 février

À plus de 80 ans, Earl Stone est aux abois. Il est non seulement fauché et seul, mais son entreprise risque d'être saisie. Il accepte alors un boulot qui – en apparence – ne lui demande que de faire le chauffeur. Sauf que, sans le savoir, il s'est engagé à être passeur de drogue pour un cartel mexicain. Extrêmement performant, il transporte des cargaisons de plus en plus importantes. Ce qui pousse les chefs du cartel, toujours méfiants, à lui imposer un "supérieur" chargé de le surveiller. Mais ils ne sont pas les seuls à s'intéresser à lui: l'agent de la DEA Colin Bates est plus qu'intrigué par cette nouvelle "mule". Entre la police, les hommes de main du cartel et les fantômes du passé menaçant de le rattraper, Earl est désormais lancé dans une vertigineuse course contre la montre...

De : Clint Eastwood

Avec : Clint Eastwood, Bradley Cooper, Laurence Fishburne, Michael Peña, Dianne Wiest, Andy García, Ignacio Serricchio

Récemment en novembre
 

Le Bon, la Brute et le Truand

Prime Video : 25 novembre 2023

Pendant la guerre de Sécession, Tuco et Joe se lancent à la recherche d'un coffre contenant 200 000 dollars en pièces d'or volés à l'armée sudiste. Ayant des indices complémentaires sur la cache, chacun a besoin de l'autre. Mais un troisième homme entre dans la course : Sentenza, un tueur qui ne recule devant rien pour parvenir à ses fins.

De : Sergio Leone

Avec : Clint Eastwood, Eli Wallach, Lee Van Cleef, Aldo Giuffrè, Luigi Pistilli, Rada Rassimov, Enzo Petito

Récemment en novembre
 

Gran Torino

Netflix : 5 novembre 2023

Walt Kowalski est un ancien de la guerre de Corée, un homme inflexible, amer et pétri de préjugés surannés. Après des années de travail à la chaîne, il vit replié sur lui-même, occupant ses journées à bricoler, traînasser et siroter des bières. Avant de mourir, sa femme exprima le vœu qu'il aille à confesse, mais Walt n'a rien à avouer, ni personne à qui parler. Hormis sa chienne Daisy, il ne fait confiance qu'à son M-1, toujours propre, toujours prêt à l'usage... Ses anciens voisins ont déménagé ou sont morts depuis longtemps. Son quartier est aujourd'hui peuplé d'immigrants asiatiques qu'il méprise, et Walt ressasse ses haines, innombrables - à l'encontre de ses voisins, des ados Hmong, latinos et afro-américains « qui croient faire la loi », de ses propres enfants, devenus pour lui des étrangers. Walt tue le temps comme il peut, en attendant le grand départ, jusqu'au jour où un ado Hmong du quartier tente de lui voler sa précieuse Ford Gran Torino...

De : Clint Eastwood

Avec : Clint Eastwood, Christopher Carley, Bee Vang, Ahney Her, Brian Haley, Geraldine Hughes, Dreama Walker

Récemment en octobre
 

Et pour quelques dollars de plus

Prime Video : 31 octobre 2023

« L'indien », bandit cruel et fou, s'est évadé de prison. Il se prépare à attaquer la banque d'El Paso, la mieux gardée de tout l'Ouest, avec une quinzaine d'autres malfaiteurs. Le « Manchot » et le Colonel Douglas Mortimer, deux chasseurs de primes concurrents, décident, après une confrontation tendue, de faire finalement équipe pour arrêter les bandits. Mais leurs motivations ne sont pas forcément les mêmes…

De : Sergio Leone

Avec : Clint Eastwood, Lee Van Cleef, Gian Maria Volonté, Luigi Pistilli, Klaus Kinski, Joseph Egger, Panos Papadopulos