Télévision : 10 février à 05:30-06:00 sur Arte
documentaire cinéma
Belgique. Saison:1 - Episode:2 - Le cinéma belge, ce sont deux cultures, francophone et néerlandophone, aussi riches que différentes. Cet épisode les explore à travers quelques-unes de leurs grandes figures, de Jaco Van Dormael à André Delvaux, considéré comme le père du cinéma belge moderne. Il s'attarde aussi sur de grands succès flamands récents, notamment "The Loft" d'Erik Van Looy (2016) et "Alabama Monroe" de Felix Van Groeningen (2012), primé à la Berlinale. Côté francophone, ce volet se penche également sur le cinéma des frères Dardenne et sur celui de Chantal Akerman, avant de revenir sur un classique de la bande dessinée belge, plusieurs fois adapté à l'écran : "Tintin".
Année : 2017
Télévision : 10 février à 05:30-05:55 sur Arte
documentaire cinéma
Belgique. Saison:1 - Episode:2 - Le cinéma belge, ce sont deux cultures, francophone et néerlandophone, aussi riches que différentes. Cet épisode les explore à travers quelques-unes de leurs grandes figures, de Jaco Van Dormael à André Delvaux, considéré comme le père du cinéma belge moderne. Il s'attarde aussi sur de grands succès flamands récents, notamment "The Loft" d'Erik Van Looy (2016) et "Alabama Monroe" de Felix Van Groeningen (2012), primé à la Berlinale. Côté francophone, ce volet se penche également sur le cinéma des frères Dardenne et sur celui de Chantal Akerman, avant de revenir sur un classique de la bande dessinée belge, plusieurs fois adapté à l'écran : "Tintin".
Année : 2018
Télévision : 22 avril 2023 à 00:29-01:59 sur France 3
film fantastique
Mathias, professeur de linguistique dans une ville flamande, et Anne, une Française, décoratrice de théâtre, vivent ensemble. Un malentendu les sépare pourtant et les conduit à envisager de rompre. Anne, en effet, ne supporte plus d'être traitée en femme-objet et d'être rejetée par les Flamands, alors en pleine révolte contre la communauté francophone de Belgique. Un soir, Mathias monte dans un train. Il doit donner une conférence dans une autre ville. Anne le rejoint. Ils ne se parlent pas. Durant le voyage, une série d'événements d'apparence anodins va bouleverser la vie tranquille de Mathias. Lorsqu'il arrive enfin à destination, il entre dans un rêve curieux et complexe... - Critique : Genre : drame onirique. Professeur dans une université belge, Mathias refuse de participer à la querelle entre Flamands et Wallons qui déchire ses élèves. Une vive discussion - l'homme peut-il ou non dominer sa propre moralité ? - l'oppose à Anna, sa compagne ; pourtant le couple prend le train pour se rendre à un congrès. Pendant le voyage, Anna disparaît. Mathias part à sa recherche, se retrouvant dans une ville inconnue au milieu de gens dont il ne comprend pas la langue... Un beau soir, Mathias bascule de l'autre côté du miroir, dans un no man's land poétique et déroutant, monde tangible de l'incommunicabilité qui le renvoie aux situations vécues dans son couple et dans son pays. André Delvaux fait magnifiquement naître le fantastique d'une situation quotidienne (un voyage en train), et son sens plastique renvoie à la peinture flamande, des danses macabres médiévales aux oeuvres de son propre père, Paul Delvaux. On pense aussi à Jean Ray, aux ambiances entre chien et loup où le réel se trouble, où le voyageur, la vue brouillée, pénètre malgré lui dans une terre inconnue dont il a tout à redouter. Toute l'intelligence du film est de trouver des équivalences visuelles inédites aux thèmes classiques du cinéma d'auteur des années 60 - on est au fond tout près d'Antonioni. Yves Montand et Anouk Aimée sont formidables, et Un soir... un train est peut-être, tout simplement, le meilleur film de son auteur.
Année : 1968
Avec : Adriana Bogdan, Anouk Aimée, Domien De Gruyter, François Beukelaers, Hector Camerlynck, Michael Gough, Senne Rouffaer, Yves Montand
Télévision : 22 avril 2023 à 00:29-01:55 sur France 3
film fantastique
Mathias, professeur de linguistique dans une ville flamande, et Anne, une Française, décoratrice de théâtre, vivent ensemble. Un malentendu les sépare pourtant et les conduit à envisager de rompre. Anne, en effet, ne supporte plus d'être traitée en femme-objet et d'être rejetée par les Flamands, alors en pleine révolte contre la communauté francophone de Belgique. Un soir, Mathias monte dans un train. Il doit donner une conférence dans une autre ville. Anne le rejoint. Ils ne se parlent pas. Durant le voyage, une série d'événements d'apparence anodins va bouleverser la vie tranquille de Mathias. Lorsqu'il arrive enfin à destination, il entre dans un rêve curieux et complexe... - Critique : Genre : drame onirique. Professeur dans une université belge, Mathias refuse de participer à la querelle entre Flamands et Wallons qui déchire ses élèves. Une vive discussion - l'homme peut-il ou non dominer sa propre moralité ? - l'oppose à Anna, sa compagne ; pourtant le couple prend le train pour se rendre à un congrès. Pendant le voyage, Anna disparaît. Mathias part à sa recherche, se retrouvant dans une ville inconnue au milieu de gens dont il ne comprend pas la langue... Un beau soir, Mathias bascule de l'autre côté du miroir, dans un no man's land poétique et déroutant, monde tangible de l'incommunicabilité qui le renvoie aux situations vécues dans son couple et dans son pays. André Delvaux fait magnifiquement naître le fantastique d'une situation quotidienne (un voyage en train), et son sens plastique renvoie à la peinture flamande, des danses macabres médiévales aux oeuvres de son propre père, Paul Delvaux. On pense aussi à Jean Ray, aux ambiances entre chien et loup où le réel se trouble, où le voyageur, la vue brouillée, pénètre malgré lui dans une terre inconnue dont il a tout à redouter. Toute l'intelligence du film est de trouver des équivalences visuelles inédites aux thèmes classiques du cinéma d'auteur des années 60 - on est au fond tout près d'Antonioni. Yves Montand et Anouk Aimée sont formidables, et Un soir... un train est peut-être, tout simplement, le meilleur film de son auteur.
Année : 1968
Avec : Adriana Bogdan, Anouk Aimée, Domien De Gruyter, François Beukelaers, Hector Camerlynck, Michael Gough, Senne Rouffaer, Yves Montand
DVD/Blu-ray : 8 mai 2019
Editeur : Editions Montparnasse
Année : 1971
De : André Delvaux
Avec : Anna Karina, Mathieu Carrière, Roger Van Hool, Bulle Ogier, Boby Lapointe, Pierre Vernier, Luce Garcia-Ville, Jean Bouise
Télévision : 24 février 2018 à 05:25-05:50 sur Arte
documentaire : cinéma
Belgique - Le cinéma belge, ce sont deux cultures, francophone et néerlandophone, aussi riches que différentes. Cet épisode les explore à travers quelques-unes de leurs grandes figures, de Jaco Van Dormael à André Delvaux, considéré comme le père du cinéma belge moderne. Il s'attarde aussi sur de grands succès flamands récents, notamment «The Loft» d'Erik Van Looy (2016) et «Alabama Monroe» de Felix Van Groeningen (2012), primé à la Berlinale. Côté francophone, ce volet se penche également sur le cinéma des frères Dardenne et sur celui de Chantal Akerman, avant de revenir sur un classique de la bande dessinée belge, plusieurs fois adapté à l'écran : «Tintin».
Année : 2016
De : Matthias Luthardt
Télévision : 20 avril 2017 à 04:25-04:55 sur Arte
documentaire
Belgique - Le cinéma belge, ce sont deux cultures, francophone et néerlandophone, aussi riches que différentes. Cet épisode les explore à travers quelques-unes de leurs grandes figures, de Jaco Van Dormael à André Delvaux, considéré comme le père du cinéma belge moderne. Il s'attarde aussi sur de grands succès flamands récents, notamment «The Loft» d'Erik Van Looy (2016) et «Alabama Monroe» de Felix Van Groeningen (2012), primé à la Berlinale. Côté francophone, ce volet se penche également sur le cinéma des frères Dardenne et sur celui de Chantal Akerman, avant de revenir sur un classique de la bande dessinée belge, plusieurs fois adapté à l'écran : «Tintin».
Année : 2016
De : Matthias Luthardt
Télévision : 1er avril 2017 à 05:10-05:35 sur Arte
documentaire
Belgique - Le cinéma belge, ce sont deux cultures, francophone et néerlandophone, aussi riches que différentes. Cet épisode les explore à travers quelques-unes de leurs grandes figures, de Jaco Van Dormael à André Delvaux, considéré comme le père du cinéma belge moderne. Il s'attarde aussi sur de grands succès flamands récents, notamment «The Loft» d'Erik Van Looy (2016) et «Alabama Monroe» de Felix Van Groeningen (2012), primé à la Berlinale. Côté francophone, ce volet se penche également sur le cinéma des frères Dardenne et sur celui de Chantal Akerman, avant de revenir sur un classique de la bande dessinée belge, plusieurs fois adapté à l'écran : «Tintin».
Année : 2016
De : Matthias Luthardt
Télévision : 15 mars 2017 à 22:50-23:20 sur Arte
documentaire
Belgique - Le cinéma belge, ce sont deux cultures, francophone et néerlandophone, aussi riches que différentes. Cet épisode les explore à travers quelques-unes de leurs grandes figures, de Jaco Van Dormael à André Delvaux, considéré comme le père du cinéma belge moderne. Il s'attarde aussi sur de grands succès flamands récents, notamment «The Loft» d'Erik Van Looy (2016) et «Alabama Monroe» de Felix Van Groeningen (2012), primé à la Berlinale. Côté francophone, ce volet se penche également sur le cinéma des frères Dardenne et sur celui de Chantal Akerman, avant de revenir sur un classique de la bande dessinée belge, plusieurs fois adapté à l'écran : «Tintin».
Année : 2016
De : Matthias Luthardt