Allan Gray : passages TV et dernières sorties Netflix

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Antérieurement en 2021
 

Replicant

Netflix : 19 juillet 2021

Incapable d'appréhender un maniaque sanguinaire, une agence gouvernementale secrète fabrique un clone dans l'espoir qu'il pourra prédire le prochain coup du tueur.

De : Ringo Lam

Avec : Michael Rooker, Jean-Claude Van Damme, Ian Robison, Catherine Dent, Paul McGillion, Pam Hyatt, Margaret Ryan, Brandon James Olson, Allan Gray, James Hutson, Jayme Knox

Antérieurement en 2019
 

Une ennemie si proche

Télévision : 19 janvier 2019 à 12:15-14:05 sur C8

Téléfilm de suspense

Claudia et Beth sont les meilleures amies du monde. Pourtant, elles sont très différentes l'une de l'autre : Claudia, bien que mariée, multiplie les aventures, tandis que Beth, maman d'un petit garçon, reste fidèle à son époux Kurt, grâce auquel elle a vaincu sa dépendance à l'alcool. Un soir, Claudia apprend que Wyatt, son mari, a perdu sa situation et qu'il va lui falloir restreindre leur train de vie. Espérant toucher l'assurance-vie de Wyatt, Claudia l'assassine. Mais rien ne se passe comme elle l'avait prévu. En désespoir de cause, elle jette son dévolu sur Kurt. Parviendra-t-elle à ses fins et détruira-t-elle le couple de celle qui se croit toujours sa meilleure amie ?...

Année : 2005

De : Michael Scott

Avec : Megan Gallagher, Claudette Mink, Barclay Hope, Liam Ranger, Brittney Wilson, Nels Lennarson, Graham Kosakoski, Malcolm Stewart, Allan Gray

Antérieurement en 2017
 

Une question de vie ou de mort

Télévision : 10 novembre 2017 à 13:35-15:40 sur Arte

film fantastique

Un conte fantastique flamboyant, un hymne à l'amour fou, un poème surréaliste d'une extraordinaire puissance évocatrice. Incontournable. - Critique : Film de Michael Powell et Emeric Pressburger (A matter of life and death, G-B, 1946). Scénario : M. Powell et E. Pressburger. Image : Jack Cardiff. Musique : Allan Gray. 105 mn. VO. Avec David Niven : Peter Carter. Kim Hunter : June. Roger Livesey : Dr Reeves. Genre : immortaliser l'amour. Mai 45 : dans son avion en flammes, Peter Carter, chef d'escadrille de la Royal Air Force, entre en contact avec June, une jeune opératrice radio américaine. Flegmatique et charmant, il la bouleverse en lui confiant ses dernières pensées avant de sauter dans le vide puisque son parachute a brûlé. Il saute... mais reprend conscience, flottant à la surface de la mer. Un miracle ? Non, une erreur d'« aiguillage », comme le lui explique le messager céleste qui vient le récupérer un peu plus tard. Peter a une objection majeure : pendant ses heures de sursis, il a retrouvé June et ne veut plus la quitter. Il « fait appel »... D'une commande passée par le gouvernement britannique pour exalter la fraternité anglo-américaine, Michael Powell et Emeric Pressburger firent une ode à l'amour, la meilleure des pièces à conviction même dans un procès contre le Ciel. On pense à Lubitsch qui, trois ans avant, prétendait déjà que Le ciel peut attendre. Powell et Pressburger usent d'ailleurs, dans la description de l'« administration » céleste, du même humour que le grand Berlinois. Mais, grâce à un usage de la couleur inédit, merveilleux dans les deux sens du terme, ils transcendent le discours amoureux. A un au-delà monochrome ils opposent un ici-bas au Technicolor si flamboyant que la vie prend des contours fantastiques. Atteint d'une grave affection du cerveau, Carter n'est-il pas simplement victime d'hallucinations ? En entretenant sa confusion, Powell et Pressburger posent, en filigrane, la question du réel. On peut ainsi croire que la vie tient autant à la science d'un bistouri qu'à la magie d'une larme. Guillemette Olivier-Odicino

Année : 1946

Antérieurement en 2017
 

Une question de vie ou de mort

Télévision : 18 octobre 2017 à 13:35-15:35 sur Arte

film fantastique

Un conte fantastique flamboyant, un hymne à l'amour fou, un poème surréaliste d'une extraordinaire puissance évocatrice. Incontournable. - Critique : Film de Michael Powell et Emeric Pressburger (A matter of life and death, G-B, 1946). Scénario : M. Powell et E. Pressburger. Image : Jack Cardiff. Musique : Allan Gray. 105 mn. VO. Avec David Niven : Peter Carter. Kim Hunter : June. Roger Livesey : Dr Reeves. Genre : immortaliser l'amour. Mai 45 : dans son avion en flammes, Peter Carter, chef d'escadrille de la Royal Air Force, entre en contact avec June, une jeune opératrice radio américaine. Flegmatique et charmant, il la bouleverse en lui confiant ses dernières pensées avant de sauter dans le vide puisque son parachute a brûlé. Il saute... mais reprend conscience, flottant à la surface de la mer. Un miracle ? Non, une erreur d'« aiguillage », comme le lui explique le messager céleste qui vient le récupérer un peu plus tard. Peter a une objection majeure : pendant ses heures de sursis, il a retrouvé June et ne veut plus la quitter. Il « fait appel »... D'une commande passée par le gouvernement britannique pour exalter la fraternité anglo-américaine, Michael Powell et Emeric Pressburger firent une ode à l'amour, la meilleure des pièces à conviction même dans un procès contre le Ciel. On pense à Lubitsch qui, trois ans avant, prétendait déjà que Le ciel peut attendre. Powell et Pressburger usent d'ailleurs, dans la description de l'« administration » céleste, du même humour que le grand Berlinois. Mais, grâce à un usage de la couleur inédit, merveilleux dans les deux sens du terme, ils transcendent le discours amoureux. A un au-delà monochrome ils opposent un ici-bas au Technicolor si flamboyant que la vie prend des contours fantastiques. Atteint d'une grave affection du cerveau, Carter n'est-il pas simplement victime d'hallucinations ? En entretenant sa confusion, Powell et Pressburger posent, en filigrane, la question du réel. On peut ainsi croire que la vie tient autant à la science d'un bistouri qu'à la magie d'une larme. Guillemette Olivier-Odicino

Année : 1946

Antérieurement en 2017
 

Une question de vie ou de mort

Télévision : 16 octobre 2017 à 20:50-22:30 sur Arte

film fantastique

Un conte fantastique flamboyant, un hymne à l'amour fou, un poème surréaliste d'une extraordinaire puissance évocatrice. Incontournable. - Critique : Film de Michael Powell et Emeric Pressburger (A matter of life and death, G-B, 1946). Scénario : M. Powell et E. Pressburger. Image : Jack Cardiff. Musique : Allan Gray. 105 mn. VO. Avec David Niven : Peter Carter. Kim Hunter : June. Roger Livesey : Dr Reeves. Genre : immortaliser l'amour. Mai 45 : dans son avion en flammes, Peter Carter, chef d'escadrille de la Royal Air Force, entre en contact avec June, une jeune opératrice radio américaine. Flegmatique et charmant, il la bouleverse en lui confiant ses dernières pensées avant de sauter dans le vide puisque son parachute a brûlé. Il saute... mais reprend conscience, flottant à la surface de la mer. Un miracle ? Non, une erreur d'« aiguillage », comme le lui explique le messager céleste qui vient le récupérer un peu plus tard. Peter a une objection majeure : pendant ses heures de sursis, il a retrouvé June et ne veut plus la quitter. Il « fait appel »... D'une commande passée par le gouvernement britannique pour exalter la fraternité anglo-américaine, Michael Powell et Emeric Pressburger firent une ode à l'amour, la meilleure des pièces à conviction même dans un procès contre le Ciel. On pense à Lubitsch qui, trois ans avant, prétendait déjà que Le ciel peut attendre. Powell et Pressburger usent d'ailleurs, dans la description de l'« administration » céleste, du même humour que le grand Berlinois. Mais, grâce à un usage de la couleur inédit, merveilleux dans les deux sens du terme, ils transcendent le discours amoureux. A un au-delà monochrome ils opposent un ici-bas au Technicolor si flamboyant que la vie prend des contours fantastiques. Atteint d'une grave affection du cerveau, Carter n'est-il pas simplement victime d'hallucinations ? En entretenant sa confusion, Powell et Pressburger posent, en filigrane, la question du réel. On peut ainsi croire que la vie tient autant à la science d'un bistouri qu'à la magie d'une larme. Guillemette Olivier-Odicino

Année : 1946